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Jours tranquilles à Paris

10 janvier 2017

Helmut Newton - photographe

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 Ci-dessus = Photo : Helmut Newton 1985 (Liz Taylor)

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Ci-dessus = Photo : Helmut Newton

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10 janvier 2017

Street Art

divers (1)

10 janvier 2017

Bachar Al-Assad choisit Fillon

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En marge d'une rencontre avec trois députés français, dimanche 8 janvier, le président syrien, Bachar Al-Assad, a salué la position de François Fillon au sujet du conflit qui déchire la Syrie. " Sa rhétorique concernant les terroristes ou, disons, la priorité du combat contre le terrorisme sans s'ingérer dans les affaires des autres pays, est bienvenue ", a déclaré M. Al-Assad aux micros de RTL, France Info et LCP. S'il a toujours condamné les actes de ce dernier, M. Fillon a répété à plusieurs reprises que la priorité en Syrie est de vaincre les islamistes grâce à une coalition unique avec les Russes, alliés indéfectibles de M. Al-Assad. Le " soutien " du président syrien a été peu apprécié dans l'équipe de M. Fillon. " Il aurait mieux valu qu'il se taise ", tranche un soutien du candidat à la présidentielle, qui a déjà été cité lors des vœux de Vladimir Poutine, le 30 décembre.

10 janvier 2017

Barack Obama

10 janvier 2017

Extrait d'un shooting - recherche personnelle

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10 janvier 2017

EVA & ADELE - YOU ARE MY BIGGEST INSPIRATION

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Jusqu'au 26 février 2017 au MAM (Musée d'Art Moderne)

Dans les collections permanentes. EVA & ADELE, autoproclamées The Hermaphrodite Twins in Art (Les Jumelles hermaphrodites dans l’art), sont un couple atypique et emblématique de l´art actuel. Les artistes dépassent les frontières des genres dans une transgression affirmée. Toujours vêtues de tenues identiques surprenantes et ultra féminines, maquillées de paillettes et le crâne rasé comme des hommes, elles cherchent à démontrer que l’identité sexuelle n´est pas une question simple. Tout en restant en retrait du système du marché de l’art, EVA & ADELE sont, depuis plus de 25 ans, de tous les vernissages, tous les lieux qu’elles considèrent comme des « socles de représentation ». Créant « l´événement dans l´événement », leurs apparitions ne relèvent pas de mondanités mais sont de véritables performances dont chaque détail est préalablement étudié et répété.

« Wherever we are is museum » Tout lieu où nous sommes est musée. (E&A). Considérant que tout ce qu’elles font est une œuvre d'art, EVA & ADELE fondent leur production artistique sur des idées d'échanges permanents avec le public, dans une véritable symbiose entre art et culture de masse, entre vie publique et sphère privée. Leur action est basée sur une réflexion sur le rôle social de l’artiste dans la société contemporaine.

« Coming out of the future ». Tout droit venues du futur. (E&A)

Refusant toute référence à leur passé avant leur rencontre en 1989, EVA & ADELE déclarent être venues du futur. Adoptant le mot « FUTURING » comme logo, les artistes souhaitent initier de nouveaux modes de vie et de genre.

L’exposition YOU ARE MY BIGGEST INSPIRATION est conçue à partir d’un don fait par EVA & ADELE au Musée d’Art moderne en 2013 : deux installations vidéo, deux sculptures et une édition.

- Hellas (1989/2001/2007), installation vidéo se déployant sur sept projections simultanées, évoque la toute première rencontre des deux artistes et illustre leur évolution progressive vers une identité sexuelle de plus en plus fusionnelle.

- Wings I, II et III (1997/98), vidéos, relèvent d’une démarche de répétition comme mode de progression.

- Non rien de rien (1991) et Biographische Skulptur n°7 (1993/2006), deux sculptures autobiographiques, intègrent des objets personnels.

- Polaroid Diary (1991/2005) est constitué de 1500 autoportraits en polaroïd réalisés quotidiennement par les artistes, selon un rituel très codifié avant de sortir et de se laisser photographier par d’autres.

L’exposition est complétée par une sélection d’œuvres phares, représentatives de leur activité depuis près de 25 ans, tels le camping-car rose (Biographische Skulptur n°2, B-EA 5800, 1999/2006), le premier « double » costume en vinyl rouge (Red Vinyl Costume, 1991), ainsi que plusieurs peintures de la série MEDIAPLASTIC. Dans cette dernière série, EVA & ADELE interrogent les mécanismes de la diffusion de leur image à travers les médias.

Une performance des artistes se déroulera lors du vernissage, et ponctuellement pendant toute la durée de l’exposition, notamment au moment de la FIAC.

Cette exposition est rendue possible grâce au soutien de Swatch aux artistes.

10 janvier 2017

Emily Ratajkowski

10 janvier 2017

Circulation(s) - save the date

Septième édition de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne organisé par l’association Fetart  au CENTQUATRE-PARIS du 21 janvier au 5 mars 2017.

Vernissage presse : vendredi 20 janvier 2017 de 9h30 à 12h

Vernissage grand public : samedi 21 janvier 2017 de 14h à 19h30

Ce festival a pour vocation de faire émerger les talents de la jeune photographie européenne et de faire découvrir au public la création artistique contemporaine innovante.

Présidé cette année par Hercules Papaioannou , il présentera une exposition de 44 photographes européens ainsi que de nombreuses autres manifestations.

Autour de cette exposition d’envergure, Little Circulation(s), l’exposition à hauteur d’enfants, revient en 2017 avec son programme pédagogique et les activités pour le jeune public.

Le studio photo : tous les week-ends,vous pourrez vous faire photographier seul(e), en famille ou entre amis par un photographe professionnel, dans des conditions d’un studio de prise de vue et repartir avec un tirage signé (59 €).

Deux photographes de Circulation(s) seront exposés à la Gare de l'Est et, nouveauté cette année, cinq artistes du festival exposeront en exclusivité au centre photographique de Clermont-Ferrand (Hôtel Fontfreyde) du 02 mars au 05 juin 2017

Innovation chez Circulation(s): pour la première fois, le festival s’associe aux lieux parisiens qui soutiennent et défendent la jeune photographie contemporaine. Rendez-vous dans les galeries Clémentine de la Féronnière, Escale à La Grange aux Belles, Esther Woerdehoff, Galerie Fisheye, Intervalle, La Capsule, Little Big Galerie et Librairie 29.

Et également la galerie en ligne Circulation(s). Rendez-vous sur www.galerie-circulations.com et voir le message suivant

Plus d'informations sur http://www.festival-circulations.com

10 janvier 2017

Extrait d'un shooting - lingerie

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10 janvier 2017

Les 1 001 vies de Dani

Dani sort un livre de souvenirs et un double album best of. L’occasion de revenir sur une vie hors normes.

Par   Éric Bureau

Dani revient et on n’en revient pas. Elle a 72 ans ! Aussi cash qu’élégante, elle ne s’en cache pas dans un savoureux livre de souvenirs qu’elle sort en même temps qu’un double album best of, « La nuit ne dure pas ».

On n’en revient pas non plus de tout ce que Danièle Graule, fille de vendeurs de chaussures, a pu faire depuis qu’elle a quitté Castres (Tarn), sa ville natale, pour Paris, le 11 novembre 1963. Première surprise : avant de devenir l’égérie des noctambules et des rockeurs, elle a d’abord voulu être esthéticienne. « Alors que je déteste me maquiller, rigole-t-elle entre deux cigarettes grillées sur la terrasse de la boutique Agnès B. des Halles, où elle vend des fleurs depuis un an. D’ailleurs, je ne suis restée qu’une seule journée à l’école d’esthéticienne. »

C’est son premier coup de foudre qui a changé sa vie. Il s’appelle Benjamin Auger, un photographe de mode avec qui elle aura deux enfants, de qui elle se séparera et qu’elle épousera vingt ans plus tard. Avec lui, elle se lance dans le mannequinat puis dans le cinéma, tourne avec Jean-Marie Périer, Roger Vadim, Georges Lautner, François Truffaut… « J’ai rencontré Truffaut en emmenant mes fils à l’école, se souvient Dani. Et il m’a fait jouer dans la Nuit américaine ». Après j’ai refusé de tourner dans Hair et dans Emmanuelle. Pas question d’être à poil. »

Gainsbourg et Dah0 comme porte-bonheur

Riche d’une voix aussi androgyne que son physique, Dani chante « Garçon manqué » dès 1966, vend un million de disques en 1968 avec une chanson rigolote, « Papa vient d’épouser la bonne ». Meneuse de revue à l’Alcazar en plein Mai 68, chanteuse populaire — « dire qu’on me croit snob ! » — elle est sélectionnée en 1974 pour représenter la France à l’Eurovision. « Mais Pompidou meurt et la France en deuil se retire de la cérémonie, raconte-t-elle. L’année suivante, Serge Gainsbourg m’écrit  Comme un boomerang, mais la chanson est jugée trop osée pour le concours. »

Gainsbourg devient un ami. « On faisait des goûters avec nos enfants où Gérard Majax faisait des tours de magie », se souvient-elle. L’autre artiste qui lui portera bonheur, c’est Etienne Daho qui la remettra en selle en 1999 grâce à leur duo sur « Comme un boomerang ». « J’ai rencontré Etienne quand ma petite sœur est décédée. Il a soigné mon chagrin… »

Les années 1980 avaient été difficiles. « J’ai goûté à l’héroïne par curiosité et, comme je suis excessive en tout, je suis tombée dedans jusqu’au cou, sourit-elle. Si j’avais partagé la vie d’un surfeur, j’aurais fait du surf. J’ai vécu des très hauts et des très bas. Je suis une miraculée, qui fait du rab depuis longtemps. Mais même les rencontres douloureuses m’ont fait avancer. »

Les roses aussi ont sauvé Dani. Elle leur a consacré plusieurs boutiques, Au nom de la rose en 1993, D-Rose en 2000, By Dani, en 2009. « Ma passion pour les roses remonte au jardin de ma tante, sourit Dani. Grâce à Agnès B., j’ai un rendez-vous passionnant avec mes fleurs chaque jour. Les fleurs le matin, la musique l’après-midi et le soir… J’ai trouvé mon équilibre. »

« La nuit ne dure pas »  , de Dani ; compilation 2 CD, Fontana/Universal, 15,99 € ; livre Flammarion, 240 pages, 19,90 €.

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