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Jours tranquilles à Paris

12 janvier 2017

Fétichisme

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12 janvier 2017

Vu sur internet... c'est chaloupé !

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12 janvier 2017

Vu sur instagram

11 janvier 2017

Départ d'Obama, arrivée de Trump...

11 janvier 2017

Barack Obama

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11 janvier 2017

Kim Kardashian. Coup de filet suite au braquage

Le braquage de Kim Kardashian constitue le plus important vol de bijoux commis sur un particulier en France depuis plus de 20 ans.

Vaste coup de filet dans l'enquête sur le retentissant braquage, estimé à neuf millions d'euros de butin, de la star américaine Kim Kardashian, début octobre, à Paris : trois mois après les faits, 17 personnes ont été interpellées, hier matin, en région parisienne et dans le sud de la France.

Dans la nuit du 2 au 3 octobre, la vedette ultra-médiatisée de 36 ans s'était fait braquer par cinq hommes armés dans une discrète résidence hôtelière de luxe du centre de Paris, où elle était venue assister à la Fashion Week. Après l'avoir ligotée, bâillonnée et enfermée dans la salle de bain, ils étaient repartis avec une bague d'une valeur de quatre millions d'euros et un coffret de bijoux pour un montant de cinq millions.

Le chauffeur gardé à vue

Quatorze hommes et trois femmes âgés de 23 à 72 ans ont été interpellés, hier, dans le Val-de-Marne, en Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis, les Alpes-Maritimes et le Gard. Ces personnes « sont quasiment toutes connues pour grand banditisme », a indiqué une source policière. Le chauffeur de la star, employé d'une société de transport, fait partie des gardés à vue.

Les enquêteurs ont remonté la trace des braqueurs grâce aux traces ADN retrouvées sur les lieux. « Une des traces a "matché" (coïncidé) avec un individu connu des services de police pour des faits de braquage et des affaires de droit commun ». Il est considéré comme « un voyou de grande envergure », selon une source policière. Les enquêteurs ont alors mis en place des surveillances et filatures qui ont permis de reconstituer le réseau (braqueurs, intermédiaires, receleurs), avec des ramifications menant à Anvers (Belgique), plaque tournante du commerce de diamant. Les gardes à vue pourront durer jusqu'à 96 heures, l'enquête étant ouverte pour « vol avec arme en bande organisée », en plus d'« association de malfaiteurs » et « séquestration ». L'avocat du veilleur de nuit de la résidence, un Algérien de 39 ans rentré, fin décembre, dans son pays d'origine faute de renouvellement de son titre de séjour, a, pour sa part, affirmé qu'il allait déposer un recours en urgence pour que son client soit autorisé à revenir en France afin d'aider à l'identification des suspects.

La nuit du braquage, certains des voleurs étaient arrivés et repartis à vélo. Armés, masqués et portant des blousons de police, ils avaient d'abord entravé le veilleur de nuit, puis deux d'entre eux étaient montés dans l'appartement de la richissime Kim Kardashian.

Habituellement omniprésente sur les réseaux sociaux, la vedette, qui compte 49,4 millions abonnés sur Twitter et 89,8 millions sur Instagram, s'est murée, depuis, dans le silence. Sa fin d'année 2016 a décidément été tourmentée : son mari, le célèbre rappeur-producteur Kanye West, a été hospitalisé, fin novembre, pour une crise psychotique, selon plusieurs médias.

« Ils vont me tirer dans le dos »

La semaine dernière, « Kim K » est toutefois apparue dans une bande-annonce de la prochaine saison de la série de téléréalité « L'incroyable famille Kardashian », dans laquelle on la voit, en larmes, raconter son agression à ses proches. Elle confie avoir alors pensé : « Ils vont me tirer dans le dos. Il n'y a aucun moyen de m'en sortir ».

Selon son récit aux enquêteurs, la star s'était défaite de ses liens et avait prévenu son garde du corps, absent au moment de l'agression. Une version mise en doute par plusieurs sites américains. En riposte aux accusations de mise en scène pour toucher des assurances, Kim K. a déposé plainte pour diffamation.

 

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Il ne manque plus que les bijoux

Les « braqueurs du siècle », qui avaient agressé et dévalisé la star Kim Kardashian à Paris, font sans doute partie des 17 suspects interpellés hier.

Par   Éric Pelletier (avec Damien Delseny)

« Ils vont me tirer dans le dos… » La semaine dernière, une Kim Kardashian en larmes racontait la peur de mourir qui fut la sienne, il y a trois mois, à l’occasion du vol de ses 9 M$ (8,5 M€) de bijoux lors de la Fashion Week. Dans la bande-annonce de sa série de téléréalité « l’Incroyable Famille Kardashian », elle revenait pour la première fois publiquement sur l’agression violente dont elle a été victime à Paris, sans se départir du sens du marketing et de la communication qui fait son succès planétaire.

Hier matin, la brigade de répression du banditisme (BRB) lançait une vaste opération pour interpeller les agresseurs de la star américaine. Au total, 17 personnes ont été arrêtées, principalement en région parisienne (Val-de-Marne, Seine-et-Marne, Seine-Saint-Denis) mais aussi, pour l’une d’elle, dans les Alpes-Maritimes.

L’un des suspects a 72 ans

La police technique et scientifique a joué un rôle clé dans ces investigations. Plusieurs traces ADN retrouvées sur des liens en plastique noir ayant servi à entraver la victime ont en effet été relevées sur place. L’une d’elles a orienté les soupçons vers un premier braqueur présumé. Un homme connu des services de police, dont le profil génétique figurait dans la base de données nationale, le FNAEG. C’est en identifiant son réseau de relations, puis en le surveillant que les enquêteurs ont ciblé leurs autres suspects, notamment un chauffeur employé par la star à Paris qui aurait signalé l’absence du garde du corps peu avant l’attaque. Une information révélée par M 6 et confirmée hier soir.

En l’état, l’enquête dessine deux cercles concentriques. Le premier est celui des six braqueurs arrivés et repartis à vélo ou à pied devant le No Address, une résidence hôtelière discrète de la rue Tronchet, dans la nuit du 2 au 3 octobre. Armés, équipés de gilets « police », ils n’ont eu aucun mal à neutraliser le veilleur de nuit, rapidement ligoté. Une fois dans l’appartement loué par Kim Kardashian, l’un d’eux n’a pas hésité à lui plaquer une arme sur la tempe pour exiger sa bague à 4 M$ exhibée sur les réseaux sociaux. Ligotée, enfermée dans la salle de bains, la jeune femme a réussi à se défaire elle-même de ses liens puis a prévenu son garde du corps absent à ce moment-là, ce qui a, un temps, entretenu la rumeur d’une escroquerie à l’assurance. Si les éléments recueillis par l’enquête se confirment, il n’en est rien. La star américaine a bien été victime de malfaiteurs confirmés, voire très confirmés à en juger par leur âge. L’un d’eux, résidant à Grasse, a 72 ans. Il a déjà été arrêté pour une affaire de stupéfiants il y a dix ans et compte aussi plusieurs condamnations antédiluviennes pour détention d’armes et… contrefaçon de sceaux.

Le second cercle comprend une filière de recel, animée par une figure de la communauté des gens du voyage, déjà poursuivie pour faux monnayage notamment. La piste des diamants s’orienterait vers l’une des places fortes du secteur, Anvers, en Belgique.

De l’argent et des documents ont été retrouvés lors des perquisitions mais, semble-t-il, aucun bijou provenant du vol. « Plusieurs suspects s’attendaient à être arrêtés », confie une source proche du dossier. Ils se trouvaient hier au 36, quai des Orfèvres, en garde à vue. Une procédure qui peut durer jusqu’à quatre-vingt-seize heures en matière de « vol avec arme en bande organisée », « association de malfaiteurs » et « séquestration »

11 janvier 2017

Emily Ratajkowski

emily

11 janvier 2017

Pour ses adieux, Barack Obama invite les Américains à s’engager

Par Gilles Paris, Washington, correspondant

Plutôt que de défendre son bilan, le président sortant a évoqué l’état de la démocratie américaine, mardi, à Chicago. Et dressé le portrait d’un pays profondément divisé.

Pour la dernière fois sans doute en tant que président des Etats-Unis, Barack Obama a serré des mains, embrassé et même pris un nourrisson dans ses bras, avec le degré d’intimité et de chaleur permis par le Secret Service. Pour la dernière fois, ses supporteurs avaient réclamé pour la forme auparavant « quatre années de plus » à la Maison Blanche, interdites par la Constitution, puis rugi aux formules les plus fortes quelques minutes plus tôt, avant de longtemps l’applaudir. M. Obama avait écorné la tradition en s’échappant de Washington pour prononcer mardi 10 janvier son dernier discours de président à Chicago, là où tout avait commencé pour lui.

Il fut l’occasion pour lui d’évoquer l’état de l’Union, même si son auditoire n’était pas le Congrès. La défaite de son camp lors des élections pour la présidence et les deux chambres, le 8 novembre, en a évidemment compliqué l’exercice. Souvent critiqué ces dernières semaines pour un sens de l’autosatisfaction en décalage avec le ressentiment des électeurs exprimé dans les urnes, M. Obama ne s’est pas longuement étendu sur un bilan qu’il juge certainement globalement positif, sur l’emploi, la protection sociale et même en politique étrangère avec l’accord avec l’Iran et la normalisation avec Cuba. « L’Amérique est meilleure et plus forte » qu’au début de ses deux mandats, a néanmoins assuré un président qui sait par ailleurs qu’une bonne part de son legs risque d’être remis en cause par la prochaine administration.

Une fois ce satisfecit énoncé, le président mais aussi l’ancien professeur de droit et celui qui fut également travailleur social ont alors abordé l’état de la démocratie américaine. Pour déclarer leur foi en sa solidité tout en rappelant ce qui peut la corroder, mais aussi ce qui peut au contraire la conforter, dans un balancement permanent entre une inquiétude présentée en effort de lucidité et l’espoir qu’il avait incarné et insufflé huit années plus tôt. A l’image de ce qui était tout de même un adieu, la note la plus sombre l’a emporté sur la plus lumineuse.

« Traitement équitable promis par les Pères fondateurs »

Car M. Obama, en invitant son auditoire à dépasser l’idée reçue selon laquelle les problèmes de l’économie peuvent se résumer à la lutte entre « une classe moyenne blanche laborieuse » et « des minorités indignes » n’a pu que dresser le tableau d’un pays profondément divisé. Entre classes sociales tout d’abord, du fait d’inégalités qu’il considère comme la première menace contre la démocratie. Entre les communautés ensuite, malgré les progrès qu’il ne cesse de rappeler survenus au cours des dernières décennies.

Il a rappelé que lorsque les minorités ethniques manifestent, dans une allusion voilée au mouvement Black Lives Matter, c’est moins selon lui « pour demander un traitement spécial que le traitement équitable promis par les Pères fondateurs ». Il a demandé aux uns de songer que « l’homme blanc d’âge mûr qui, de l’extérieur, peut sembler jouir de tous les avantages, a vu son monde bouleversé par le changement économique, culturel et technologique », et aux autres que la ségrégation « n’a pas disparu soudain dans les années 1960 » avec les droits civiques.

Le président a également mis en garde contre les « bulles » dans lesquelles trop d’Américains s’isolent à son gré pour fuir l’altérité ou le contradictoire, que cela soit « sur les campus universitaires ou dans le flux des réseaux sociaux », stigmatisant la capacité à n’accepter que « l’information, qu’elle soit vraie ou fausse, qui conforte notre opinion ». Il avait rappelé auparavant que les stéréotypes pour stigmatiser les immigrants étaient les mêmes utilisés par le passé à l’égard « des Irlandais, des Italiens et les Polonais ».

M. Obama a vu dans cet enfermement une hypothèque aussi sérieuse que les deux précédentes sur la démocratie. Parce qu’il produit un affrontement politique ne pouvant plus désormais reposer sur aucun constat de départ partagé par les deux camps. Faute de confiance dans « l’information », « la science »et « la raison », les discussions ne peuvent être que « des dialogues de sourds », a-t-il estimé, pointant l’enjeu du réchauffement climatique.

« Mettez vos chaussures et mobilisez-vous ! »

Sans nier par ailleurs les menaces venant de l’extérieur, et notamment celle représentée par le terrorisme perpétré « au nom de l’islam », le président démocrate qui a maintes fois évoqué la fondation du pays a clairement montré qu’il considère que les États-Unis sont principalement menacés par le renoncement par les Américains aux principes sur lesquels leur nation a été fondée. « Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise », a-t-il averti.

La présence de la foule face à lui a alors donné plus de force à ce que M. Obama a mis en avant pour empêcher un délitement. « Si vous êtes fatigué de discuter avec des inconnus sur Internet, essayez de parler avec quelqu’un dans la vie réelle. Si vous pensez que quelque chose ne va pas, mettez vos chaussures et mobilisez-vous. Si vous êtes déçus par vos élus, prenez un bloc-notes, collectez des signatures, et présentez-vous. » Au tout début de son discours, M. Obama avait confié que « c’est [à Chicago] que j’ai appris que le changement ne se produit que si des gens ordinaires s’impliquent, s’engagent et se rassemblent pour le demander. Après huit ans de présidence, j’y crois toujours ! »

Nul doute qu’à cet instant, M. Obama s’est exprimé plus particulièrement à l’intention de son camp, qui a souvent essuyé les défaites au cours des huits dernières années, en contrepoint de ses deux succès personnels de 2008 et de 2012. Un parti démocrate frappé par le revers de novembre et qui hésite sur la stratégie à suivre, comme l’illustre l’analyse du professeur de Columbia Mark Lilla déplorant le coûteux abandon des anciens cols-bleus blancs au profit de minorités restées marginales du point de vue électoral.

M. Obama a donc pris congé en invitant les siens à se mobiliser et à trouver par eux-mêmes des réponses. Il s’était montré très ému lors de l’hommage rendu à son principal mentor politique, sa femme Michelle. Son public devait l’être tout autant lorsqu’il a pris conscience qu’il venait de perdre le sien.

11 janvier 2017

Boris Bugaev - photographe

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11 janvier 2017

ETEL = « Patron Émile-Daniel ». Star des festivités

Ange gardien d'Etel durant 41 ans, le canot de sauvetage « Patron-Emile-Daniel » sera l'ambassadeur de la cité thonière et de sa rivière, du 22 au 28 mai, à la Semaine du golfe, à laquelle il participe depuis 2005. Il y sera aussi l'un des ambassadeurs de la SNSM à laquelle un hommage sera rendu pour les 50 ans de sa fondation. Le canot prendra également sa part aux célébrations des 150 ans de la station de sauvetage d'Etel, en 2017.

Alexandre Le Goff l'a annoncé samedi matin, lors de l'assemblée de l'association qui, depuis 2003, a restauré et fait vivre ce canot, et en a obtenu le classement aux Monuments Historiques en mai dernier. Le président soulignait qu'il s'agissait là d'un plus pour Etel, avant de s'étonner de l'absence de tout écho ou mention lors des voeux de la municipalité. « Mais comme disait le maire dans ses voeux, on ne peut pas parler de toutes les associations ! ».

Lors de cette assemblée, l'association a rendu un hommage appuyé à la mémoire de Marcel Mahé, trésorier depuis la fondation, ainsi qu'à Estelle Kerzerho, bénévole.

Au sein du bureau, la trésorerie est reprise par Jean-Jacques Roland assisté d'Aimé Pallec.

Côté travaux, le canot a bénéficié en 2016 d'un gros chantier de remise en peinture et, en plus de l'entretien courant, de la réparation du guindeau par les mécaniciens du bord. Quant à l'abri, également classé, géré par la Cie des Ports, l'association est toujours en attente des travaux de rénovation annoncés.

Pratique

facebook/Aped Etel canot patron Émile Daniel

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