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Extraction de sable - Lannion

Plusieurs milliers de personnes contre l’extraction de sable dans la baie de Lannion

L’extraction de sable coquillier dans la baie de Lannion a commencé dans la nuit de mardi à mercredi de la semaine dernière par la Compagnie armoricaine de navigation (CAN), filiale du groupe Rouiller.

Entre 3 800 personnes, selon la police, et 5 000, selon les organisateurs, se sont rassemblées, dimanche 11 septembre, à Lannion, dans les Côtes-d’Armor, pour protester contre l’extraction de sable coquillier dans la baie.

« Non au pillage, dune à défendre ! », « Ne restez pas la tête dans le sable, sauvez-le ! », pouvait-on lire sur des pancartes brandies par des manifestants.

Le tribunal administratif de Rennes avait rejeté le recours déposé par plusieurs communes de la baie et une association environnementale pour demander la suspension des arrêtés autorisant cette extraction. Celle-ci, commencée en pleine nuit par la Compagnie armoricaine de navigation (CAN), filiale du groupe Rouiller, a provoqué la colère des opposants, dont des pêcheurs, inquiets de ses conséquences.

Concession accordée pour quinze ans

« Le fait de commencer en pleine nuit, c’est des méthodes de voyous », a lancé dimanche Yves-Marie Le Lay, président de Sauvegarde du Trégor, qui avait appelé les manifestants à se munir « de tout instrument sonore pour organiser le plus grand tapage du Trégor ». Son appel a été entendu, et pendant quelques minutes, un concert de casseroles a retenti dans le centre de Lannion.

La zone d’extraction représente une superficie de 4 km2 environ. La concession est accordée pour une durée de quinze ans et le volume d’extraction ne pourra pas excéder 250 000 m3 par an.

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Une photo publiée par Terry Richardson (@terryrichardson) le 12 Sept. 2016 à 8h57 PDT

Une photo publiée par CR Fashion Book (@crfashionbook) le 12 Sept. 2016 à 7h46 PDT

Une photo publiée par CR Fashion Book (@crfashionbook) le 9 Sept. 2016 à 10h24 PDT

« Monsieur Zuckerberg, emmenez vos algorithmes voir des expos » Edito de Lionel Charrier, Chef du service photo. Cher Mark Zuckerberg, Le photojournalisme a été victime d’un coup dur cette semaine. Un coup dur venant d’un ennemi d’un genre nouveau. Pas un des «usual suspects» de la censure de la presse qui tentent de couper la voix des journalistes et de tous ceux qui témoignent d’une réalité qui dérange. Mais la menace est venue de manière sournoise, moins violente et sous couvert de bonnes intentions : cette semaine, c’est vous, Mark Zuckerberg et votre grand réseau social ouvert sur le monde qui avez censuré l’une des photos les plus emblématiques de l’histoire de la photographie et du photojournalisme…….. Lire la suite sur le site de Libération : http://www.liberation.fr/futurs/2016/09/10/monsieur-zuckerberg-emmenez-vos-algorithmes-voir-des-expos_1491374 #nickut #zuckerberg

Une photo publiée par Libération (@liberationfr) le 12 Sept. 2016 à 10h07 PDT

http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/2016/09/10/34303020.html#comments

Casque rose et cape bleue, bonne humeur en bandoulière et sourire contagieux, ils ont enfourché, comme promis, leurs mobylettes bleues et descendu fièrement les Champs-Élysées hier. Petit parfum de nostalgie. Sur la plus belle avenue du monde, ces joyeux drilles ont ressorti leur « meule », la Peugeot 103 ou la Motobécane de leurs jeunes années. Un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… Ça rigole, mais c’est du sérieux. Ils ressemblent parfois à Super Dupont de Gotlib ou à Lucien de Frank Margerin, mais ce ne sont pas des superhéros. Les 700 chefs d’entreprise, pour moitié vendéens, pour moitié plus largement du Grand Ouest, ont choisi d’enfourcher la bécane et de parader pour dire stop à la morosité, à la sinistrose. Ils participent à la 3e édition des « Meules bleues », une opération « pilotée » par Philippe Maindron, le patron du festival de Poupet. Un rendez-vous unique sur fond d’Arc de triomphe. Sûrement pas le dernier…

Une photo publiée par Armano Scacci (@armano_scacci) le 11 Sept. 2016 à 5h57 PDT

Elle était l’une des plus illustres anonymes de la Seconde Guerre mondiale. Greta Zimmer Friedman est morte, samedi, à Richmond (ÉtatsUnis), à l’âge de 92 ans. Elle en avait 21, le 14 août 1945, jour de la reddition du Japon, qui mit définitivement fin au conflit. Des centaines de milliers de New Yorkais descendirent dans les rues et le photographe Alfred Eisenstaedt fixa sur la pellicule un baiser emblématique, celui donné par un marin de l’US Navy, George Mendonsa, à une jeune femme en tenue d’infirmière. La photo fut d’abord publiée dans les pages intérieures du magazine Life . Greta Zimmer Friedman, dont les parents étaient morts dans les camps nazis, n’était pas infirmière, mais assistante dentaire. Et le baiser n’en aurait pas été un : Mendonsa, fiancé à une autre jeune femme visible sur certaines photos, lui aurait donné une accolade un peu vigoureuse.