Jours tranquilles à Paris

Une photo publiée par mario_sorrenti (@mario_sorrenti) le 31 Juil. 2016 à 16h16 PDT

Une photo publiée par mario_sorrenti (@mario_sorrenti) le 31 Juil. 2016 à 15h57 PDT

Une photo publiée par mario_sorrenti (@mario_sorrenti) le 31 Juil. 2016 à 15h50 PDT

Une photo publiée par mario_sorrenti (@mario_sorrenti) le 31 Juil. 2016 à 15h46 PDT

Une première vague de chaleur avait sonné le tocsin dès le printemps : plus de 30 °C en Normandie et en Picardie les 7 et 8 mai. L’été promettait d’être chaud… En 1976, on ne parlait pourtant pas de réchauffement climatique et surtout pas le long de la Méditerranée. Car, bizarrerie de cet été-là, l’anticyclone boude la Côte d’Azur. À Nice, le thermomètre atteint péniblement les 17 °C le 26 juillet. Au Nord, en revanche, les températures grimpent avec l’aisance du Belge Lucien Van Impe, vainqueur du Tour de France cette année-là, devant Zoetemelk et l’inusable Poulidor. Durant deux semaines consécutives, du 23 juin au 7 juillet, elles atteignent ou dépassent les 35 °C sur toutes les régions du nord et du nord-ouest. Dans le bassin parisien, en Bretagne et en Basse-Normandie, le déficit hydrique est de 60 %. Des terres agricoles se craquellent. Les agriculteurs ont du mal à nourrir leurs bétails et l’armée est appelée à la rescousse pour récolter et transporter le fourrage vers les régions déficitaires. Fin août, le gouvernement décide d’un « impôt sécheresse » qui sera payé par deux millions de Français. Dans les usines, on tente de s’adapter. Une blanchisserie arrose d’eau sa verrière sous laquelle suent les ouvrières. Une autre entreprise fait débuter ses salariés à 6 h au lieu de 8 h pour bénéficier de la relative fraîcheur matinale.« Du bricolage car, tout simplement, on n’était pas préparé à ça », commente le journaliste Roger Gicquel. À l’Élysée et à Matignon, ça chauffe aussi. Le 25 août, Jacques Chirac, Premier ministre, ne supportant plus d’être mis sous l’éteignoir par le président Valéry Giscard d’Estaing, claque la porte. Le tube de l’été, cette année-là, c’est Porque te vas (Parce que tu pars…) Article de Pierrick BAUDAIS.

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Une photo publiée par Ellen von Unwerth (@ellenvonunwerth) le 30 Juil. 2016 à 2h22 PDT

L'exposition Francesca Woodman - On Being an Angel touche à sa fin ! Vous avez été très nombreux à venir voir le travail de Francesca Woodman à la Fondation HCB et nous vous en remercions ! La Fondation ferme ses portes au public ce soir, rendez-vous le 9 septembre 2016 pour l'exposition Louis Faurer ! Photo : Francesca Woodman, Self-deceit #1, Rome, Italie, 1978 © George and Betty Woodman #francescawoodman #photography #americanphotographer #exhibition #fondationHCB #fondationhenricartierbresson #FHCB

Une photo publiée par Fondation H. Cartier-Bresson (@fondationhcb) le 31 Juil. 2016 à 1h14 PDT

9ème Traversée de Paris estivale dimanche 31 juillet #PARIS

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— foxoo Paris (@foxoo75) 31 juillet 2016

Dimanche 31 juillet 2016, rendez-vous dans les rues de Paris pour une traversée de la capitale... au volant de vieilles mécaniques !

C’est un rendez-vous que ne rateraient pour rien monde les amoureux d'anciennes carrosseries. Comme tous les ans à la même époque, l'association Vincennes en Anciennes organise sa Traversée de Paris Estivale au volant de vieilles mécaniques (autos, motos, tracteurs, bus et vélos). Et pour cette 9ème édition, l'association place ce nouveau voyage dans l'esprit "des départs en vacances".

Sur la ligne de départ : plus de 740 voitures anciennes

Il est donc fort probable que, parmi les plus de 740 véhicules de collection qui seront présents, les passionnés retrouvent 2CV, 4CV, Dauphine, AMI 6 et autres vieilles carrosseries remplies de souvenirs de vacances d'été. Ces dernières partiront de l'Esplanade du Château de Vincennes (94) pour rejoindre la Terrasse de l'Observatoire de Meudon (92) le tout -pour certains propriétaires-, en tenue d'époque ! Ainsi, ils flâneront dans les rues les plus emblématiques de la capitale. En effet, le cortège d’anciennes passera par la Place de la Bastille pour passer par celle de la République et continuer son chemin par la Basilique du Sacré-Cœur, la Place de la Concorde, la Place Charles de Gaulle-Etoile pour arriver sur la Terrasse de l'Observatoire de Meudon.

Au total, à pied ou à bord d'un des bus à plateforme mis à disposition pour l'occasion (places limitées/10€ par personne), petits et grands pourront observer de vrais bijoux de collection sur près d'une trentaine de kilomètres !

Une pause déjeuner entre passionnés

A partir de midi, les passionnés pourront retrouver les véhicules et leurs propriétaires. Ensemble, ils participeront à un pique-nique géant au milieu des veilles carrosseries (prévoir son pique-nique). Un moment privilégié pour en apprendre davantage sur l'histoire et la mécanique des anciennes. Cerise sur le gâteau, un espace militaire avec un carré spécial sera réservé aux véhicules US. Les curieux pourront par exemple retrouver un Jeep Willys.

Vu sur un abribus parisien

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