"Orchestre debout" hier soir Place de la République
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— Le HuffPost (@LeHuffPost) 1 mai 2016
"À Léon Blum qui a eu le courage d'exercer le pouvoir pour donner au Front populaire le visage de l'espérance."
"À Léon Blum qui a eu le courage d'exercer le pouvoir pour donner au Front populaire le visage de l'espérance." pic.twitter.com/PCTf82GVHd
— Élysée (@Elysee) 30 avril 2016
http://www.elysee.fr/photos/hommage-a-leon-blum/
Léon Blum, né le 9 avril 1872 à Paris (2e arrondissement) et mort le 30 mars 1950 à Jouy-en-Josas, est un homme politique socialiste français.
Blum fut l'un des dirigeants de la section française de l'Internationale ouvrière (SFIO, parti socialiste), et président du Conseil des ministres, c'est-à-dire chef du gouvernement français, à deux reprises, de 1936 à 1937, puis de mars à avril 1938. Malgré un contexte de montée de l'antisémitisme en Europe, Blum devient alors le premier juif à diriger une puissance occidentale.
Il a marqué l'histoire politique française pour avoir refusé l'adhésion à la IIIe Internationale communiste en 1920, et pour avoir été le président du Conseil des ministres du Front populaire en 1936. Il a refusé d'aider militairement les républicains espagnols (pendant la guerre civile en Espagne), ce qui a entraîné le retrait des communistes du Front Populaire (qui était composé à la base du Parti communiste, de la SFIO, des radicaux et de Divers gauche). En juin 1937, Léon Blum démissionne une première fois du poste de président du Conseil. Il retrouve ses fonctions de chef du gouvernement, brièvement, du 13 mars au 10 avril 1938.
Chef du Gouvernement provisoire de la République française de décembre 1946 à janvier 1947, son cabinet sera chargé de mettre sur de bons rails les institutions de la IVe République.
Ses réformes auront représenté de grandes avancées sociales (congés payés, femmes au gouvernement, réduction du temps de travail, etc.), et il est considéré, encore aujourd'hui, comme l'une des grandes figures du socialisme français.
Hunger Magazine - ARAKI
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— Hunger Magazine (@HungerMagazine) 30 avril 2016
Ai Weiwei : Lego admet avoir commis «une erreur»
Six mois après l'affaire qui a opposé #AiWeiwei et la firme danoise, le vice président de Lego, Kjeld Kirk Kristiansen a finalement admis avoir commis «une faute» dans les colonnes du Wall Street Journal. Une malheureuse «erreur interne», selon lui symptomatique du mauvais dialogue qui existe «au sein des grandes entreprises».
En octobre dernier, les responsables danois avaient provoqué un véritable tollé sur les réseaux sociaux après avoir refusé d'approvisionner en Lego l'artiste chinois pour la création d'œuvres dites politiques.
«Je suis profondément désolé de vous informer que nous ne sommes pas en mesure de soutenir l'exposition Andy Warhol | Ai Weiwei en validant votre commande», avait indiqué via un communiqué l'entreprise de Kjeld Kirk Kristiansen.
Un refus, qui non seulement avait provoqué l'incompréhension de l'artiste sur Facebook (Ai Weiwei n'avait pas hésité à qualifier la décision «d'acte de censure et de discrimination») mais également la colère des internautes qui avaient alors inondé la Toile de messages contre le géant de la brique.
Des excuses tardives
Lundi dernier, le vice-président est revenu sur la préjudiciable affaire et a tenu à réparer le mal causé à l'artiste politique. Tout serait parti selon ses dires d'une mauvaise transmission d'informations. «C'est une erreur interne qui est responsable de tout cela», a-t-il expliqué au journal américain. Un employé aurait tout simplement mal interprété les directives qui sont celles l'entreprise sur la neutralité politique.
Une faute donc malheureuse, mais indépendante du grand propriétaire. «Cette erreur est typique de ce qui peut mal tourner au sein d'une grande entreprise», a conclu Kjeld Kirk Kristiansen, souhaitant se dédouaner de toute mauvaise action.
En réaction aux déclarations du vice-président de Lego, l'artiste Ai Weiwei s'est dit heureux du mea culpa du vice-président, tout en regrettant le retard desdites excuses. «Je pense que ces propos sont très positifs, mais je pense qu'ils arrivent trop tard», a-t-il déclaré lors d'une interview en début de semaine.
En janvier dernier, les responsables de Lego avaient indiqué changer leur «politique interne» afin d'éviter tout malentendu. «Le groupe Lego ne demande plus la thématique envisagée lors de la vente de brique Lego en gros destinée à des projets spécifiques.
Les clients seront priés de préciser, s'ils désirent exposer leurs créations Lego en public, que le groupe ne soutient ni n'approuve le projet concerné», avait indiqué dans un communiqué la firme danoise.
Nobuyoshi Araki - exposition
Foire de Paris
Excellent début de week-end à tous avec #FoireDeParis ! Bienvenue pour cette seconde journée riche en animations ! pic.twitter.com/gt34GJGRad
— Foire de Paris (@foiredeparis) 30 avril 2016