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Jours tranquilles à Paris

30 avril 2016

FRANZ ACKERMANN, New Work, Galerie Templon

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30 avril 2016

PLOUHARNEL : Bégo. Un camp allié reconstitué

Installés sur le site du Bégo, avec tentes et matériel d'époque, c'est une vie comme en campagne loin de chez eux qui s'organisera. L'association LBMG (Liberty Breizh memory group), fondée en 2008 par un groupe de passionnés, est la cheville ouvrière de l'événement « Assaut sur le Bégo » qui se déroulera du 5 au 8 mai prochain. Le travail réalisé depuis a été colossal pour rénover un bunker et faire vivre la mémoire de l'histoire locale. Durant ce long week-end, un camp complet reconstitué rassemblera plus de 300 participants, avec leurs véhicules et matériel d'époque. C'est un saut dans le passé que propose LBMG durant quatre jours. Ses membres porteront les tenues de la 94e division d'infanterie US (Bretagne 1944), des SAS Français (Bretagne 1944) et du régiment blindé des fusiliers marins (2e DB). Des associations partenaires de collectionneurs, venant de toute la Bretagne et d'ailleurs, installeront leur camp avec leurs véhicules d'époque et seront en tenue réglementaire. Six mois de travail sur le bunker Mais comme c'est souvent accompagnés de leur famille que beaucoup vont faire le déplacement, les femmes et les enfants seront également en tenue d'époque, arborant socquettes blanches sur talons compensés, bérets ou coiffures crantées. En groupes ou individuellement, ils vont s'attacher à recréer un groupe de commandos SAS, de parachutistes, une équipe sanitaire, un détachement radio, les servants d'une mitrailleuse, d'un mortier... « Nous allons recréer toutes les conditions de cette vie en campagne, explique François Cailloce, le président de LBMG. Certains véhicules seront même réparés sur place dans un garage reconstitué. Tout l'équipement sera d'origine. On entendra aussi les airs et chansons de ces années-là ». Le bunker sera un lieu d'exposition exceptionnel. Chacun pourra se rendre compte du travail important réalisé par les adhérents. « Cela fait six mois que nous y passons de nombreux samedis, ajoute le président. L'étanchéité nous a posé des problèmes. Nous y avons réinstallé une ventilation, identique à celle d'origine récupérer sur un bunker de Lorient. Actuellement l'un de nos adhérents y restaure la génératrice d'un des canons 340 installés dans la batterie durant l'occupation allemande. Cette pièce nous a été offerte par la famille Brandner, d'Erdeven ». Pratique Site Internet : lbmg56.centerblog.net

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30 avril 2016

La prise de la Bastille

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30 avril 2016

Olivier Rousteing

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30 avril 2016

La France qui a du mal à aimer : « Les Habitants », de Raymond Depardon

ncien correspondant de guerre, le cinéaste et photographe est parti sur les routes avec une caravane qu’il a garée sur les grand-places de villes aussi différentes que Nice (Alpes-Maritimes), Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) ou Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Il a invité des duos d’inconnus, rencontrés dans la rue, à poursuivre leur conversation devant la caméra. C’était entre les attentats contre Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015, et ceux du Bataclan, le 13 novembre ; pourtant il est surtout question d’argent (il manque) et d’amour (il manque aussi). De ces propos captés comme à l’insu de leurs locuteurs se dégage une impression d’extrême violence, surtout dans les rapports de couple. La bienveillance et le respect dont témoigne Depardon à ses personnages accentuent encore le malaise face à ces paroles que l’on n’entend jamais au cinéma. Thomas Sotinel

Documentaire français de Raymond Depardon (1 h 24).

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29 avril 2016

Un avant-goût de cinéma dans le RER D

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Ce soir en rentrant du bureau. Photos : J. Snap

Explications

29 avril 2016

Vu sur le trottoir dans mon quartier ( des travaux en perspective)

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29 avril 2016

Vu sur instagram

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29 avril 2016

Street Art

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29 avril 2016

Abdeslam. Comment défendre un «monstre»

Mais comment peut-on défendre des gens pareils ? Qualifiés de monstres, d'ennemis publics numéro un, les grands criminels, terroristes ou tueurs d'enfants ont tous eu des avocats (Me Frank Berton est l'un de ceux qui défendent Salah Abdeslam). Un principe démocratique pas toujours facile à assurer, entre cas de conscience et stratégie de défense. « Oui, j'ai hésité », a confié, mercredi, Me Frank Berton, avocat français de Salah Abdeslam, seul membre vivant des commandos des attentats du 13 novembre, rappelant la difficulté d'un métier « où souvent on assimile l'avocat à son client ». Son confrère belge, M e Sven Mary, a confié à Libération qu'il hésitait à rester dans ce dossier qui lui a déjà valu des agressions verbales et physiques, et l'a contraint à faire protéger ses filles sur le chemin de l'école. « Bien sûr qu'il y a des gens qui ne comprennent pas quelle est la mission qui est la mienne aujourd'hui (...) mais nous sommes dans une démocratie et Salah Abdeslam est un homme, il a besoin de dire les choses. La justice se rend quand on comprend les choses, sinon il n'y a pas de sens aux procès, pas d'utilité pour les victimes », a fait valoir Frank Berton sur France 2. Des stratégies différentes De Landru, le tueur de femmes, à Youssouf Fofana, l'assassin d'Ilan Halimi, en passant par Patrick Henry, tueur du petit Philippe Bertrand, la question de la défense d'hommes considérés par l'opinion publique comme des « monstres » s'est toujours posée. Et les avocats y ont répondu par des stratégies différentes. Défenseur de Barbie, Khieu Samphân ou Milosevic, Me Jacques Vergès transformait les prétoires en tribunes politiques. Il appliquait une défense de rupture, expérimentée durant la guerre d'Algérie dans la défense des poseurs de bombes du FLN, consistant à récuser le droit des tribunaux à juger ses clients. À l'inverse, Sven Mary a traité son client Salah Abdeslam, avec son accord, de « petit con », une stratégie visant à minimiser sa responsabilité.

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