Happy Birthday to you, Lova Moor !
Marie-Claude Jourdain, dite Lova Moor, est une personnalité française du show business, égérie mythique du Crazy Horse de Paris, née le 5 mars 1946 (69 ans) à La Grève-sur-Mignon en Charente-Maritime.
Bettina, mannequin-star du new look - in memorem
Muse des couturiers Hubert de Givenchy et Dior, Bettina Graziani, star des défilés de la mode parisienne des années 1950-60 et du new look ,est décédée lundi à Paris, à 89 ans. Rebaptisée Bettina par le couturier Jacques Fath, Simone Bodin a été l’égérie des couturiers, mais aussi des plus grands photographes, dont Henri Cartier-Bresson, Irving Penn, Robert Doisneau… et, récemment Pierre & Gilles et Mario Testino. Pommettes hautes, yeux de biche, taille fine, cette jeune femme rousse tout en grâce du haut de son 1,66 m, née en Bretagne, et élevée à Elbeuf en Normandie était montée à Paris à 18 ans.
L’éminence rousse
Sa notoriété a vite décollé. Jacques Fath, couturier majeur de l’aprèsguerre, en avait fait son mannequin vedette dès 1947. Françoise Sagan lui a consacré un long article dans Vogue Paris , intitulé L’éminence rousse . Surnommée aussi « la Française la plus photographiée », Bettina, premier mannequin appelé par son prénom, a connu un succès mondial, faisant la une de tous les grands magazines de mode. Au sommet de sa carrière, à laquelle elle met un terme en 1955, Bettina gagne 7 000 francs par heure de pose, cachet exceptionnel pour l’époque. Valentino et Ungaro lui ont confié leurs relations publiques aux EtatsUnis dans les années 1960. En 1969, Chanel lui a consacrée une collection. Depuis, elle était restée une figure de la vie mondaine. « Je n’ai jamais été bluffée par ce que je faisais », assurait-elle. Bettina a entretenu une relation de plusieurs années avec Ali Khan, après la fin du mariage de ce dernier avec Rita Hayworth, jusqu’à la mort du prince. En 2010, le ministère de la Culture l’avait élevé au grade de Commandeur des Arts et Lettres.
Humour déplacé....
"Il reste encore des enfants a écraser. Vous pouvez accélérer." @lebienpublic pic.twitter.com/GwALNFkK2k
— François Beaudonnet (@beaudonnet) 5 Mars 2015
« The Sacred and The Profane » de Terry Richardson à la Galerie Perrotin
La Galerie Perrotin, à Paris, accueille l’exposition « The Sacred and The Profane » du photographe controversé Terry Richardson, du 7 mars au 11 avril. Cette exposition signe le retour de l’artiste à la Galerie Perrotin, qui n’y avait plus présenté ses œuvres depuis 1999.
Cet événement présentera une série de photographies prises au cours des deux dernières années dans les états de l’Ouest des États-Unis, illustrant les tensions entre le droit religieux et l’industrie du sexe dans cette région.
« Dans tous les lieux que j’ai visités, des fanatiques m’ont rappelé que Jésus nous regarde, que ceux qui ne vont pas à la messe sont destinés à brûler en enfer et que les dix commandements sont tout ce qu’il y a de plus vrais, et qu’il faut les prendre extrêmement au sérieux » explique Richardson. « En même temps, les sex-shops, les strip clubs et la pornographie sont omniprésents, on peut se procurer une arme facilement dans la plupart des enseignes et la pauvreté, la bigoterie, l’ignorance et la haine envahissent la société, a fortiori dans les zones où le zèle évangélique est le plus marqué. »