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Jours tranquilles à Paris

10 février 2015

Poutine.... no comment !

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10 février 2015

Les expos 2015

10 février 2015

50 nuances de Grey

10 février 2015

Miss France 2016 : Lille privée de l'organisation de la cérémonie ?

Selon le magazine VSD, Camille Cerf pourrait ne pas transmettre sa couronne de Miss France dans le chef-lieu de sa région en décembre prochain.

Martine Aubry va-t-elle empêcher sa ville d'accueillir l'organisation de la prochaine élection de Miss France? Selon VSD, la maire socialiste de Lille serait fermement opposée à ce concours qu'elle jugerait dégradant pour l'image de la femme et qui serait trop coûteux à mettre en place. Contactée par nos confrères, son attachée de presse n'a pas souhaité faire par le moindre «pronostic» sans avoir, au préalable, pris connaissance du cahier des charges.

Un cahier des charges qui n'a, pour l'heure, été transmis à aucune municipalité. Chaque année, de nombreuses villes contactent la société Miss France pour proposer leur candidature et cette dernière prend également l'initiative de solliciter des mairies. Après l'élection de Camille Cerf au titre de Miss France 2015, la priorité va à la région Nord Pas-de-Calais d'où provient la lauréate.

Et si Lille venait à confirmer sa réticence, plusieurs villes voisines se montrent prêtes à accueillir le concours Miss France 2016. Natacha Bouchart, maire UMP de Calais, ville natale de Camille Cerf, a déclaré à VSD être disposée à faire les efforts nécessaires pour rendre possible l'organisation de cette élection. Plus généralement, les opposants politiques de Martine Aubry au sein de la communauté urbaine Lille Métropole auraient déposé un dossier de candidature.

Un budget de 400.000 euros pour Orléans en 2014

En décembre dernier, la République du Centre révélait que le budget global de la ville d'Orléans pour accueillir le concours Miss France 2015 était de 400.000 euros environ. Mais une fois les recettes déduites, cela correspondrait à une dépense de 100.000 euros pour une opération de communication et de promotion relativement intéressantes. En 2011, Brest avait budgété 234.000 euros ; moins de 150.000 euros pour Limoges en 2012 ; et 50.000 euros pour Dijon en 2013.

La société Miss France ne perçoit aucun argent de la ville hôte mais demande la mise à disposition de prestations, d'équipements et de personnels. La grande salle où se déroulera l'élection pendant une semaine, un hôtel 4 étoiles pour les 33 candidates et le personnel encadrant durant trois semaines et une salle de répétition à proximité. L'hébergement et les repas sont bien payés par la société Miss France.

10 février 2015

Taschen Gallery à Los Angeles

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10 février 2015

Mon studio

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10 février 2015

Rue de Rivoli

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10 février 2015

L’Ukraine suspendue aux visées de Poutine

L’initiative diplomatique franco-allemande pour obtenir un cessez-le-feu se poursuit. Berlin, Paris, Kiev et Moscou pourraient se retrouver demain, mercredi, à Minsk, en Biélorussie. Sous certaines conditions.

Quel calendrier ?

À Paris, on l’appelle le« format Normandie » . Celui qui, le 6 juin dernier, permit de dialoguer à quatre sur le sort de l’Ukraine. Porochenko, Poutine, Merkel et Hollande. Entre les quatre leaders, le contact est permanent depuis quelques jours. Les dirigeants allemand et français sont allés à Kiev, puis à Moscou samedi. Hier, les négociations ont continué par téléphone. Aujourd’hui, les hauts fonctionnaires prendront le relais à Berlin. Avec comme objectif la tenue d’un sommet, mercredi à Minsk. L’objectif est d’arracher un accord de cessez-le-feu et mettre un terme aux combats qui, depuis dix mois, ont fait plus de 5 300 morts dans l’est de l’Ukraine. Un premier accord avait déjà été trouvé à Minsk, en septembre, mais il est resté lettre morte. Le forcing diplomatique en cours aura-t-il plus de succès ? Les espoirs sont minces, car c’est une bataille beaucoup plus vaste qui est en cours. Entre Moscou et Washington.

Que veut Poutine ?

Si les conditions posées par Poutine à la tenue du sommet de mercredi restent confidentielles, ses visées géopolitiques ne sont pas un mystère. Que dit le président russe ? Que son pays ne veut pas la guerre, mais qu’il n’accepte plus l’ordre américain. Il l’a redit à Sotchi, samedi, en niant à Washington le rôle de« leader incontestable » . Moscou veut retrouver son rang international et le clame. Traduit concrètement, ce désir de restaurer la puissance russe passe par la revendication de zones d’influence bien déterminées. L’Ukraine est une pièce maîtresse de ce jeu, pour mille raisons. Historiques, culturelles, religieuses, militaires, linguistiques et surtout, symboliques. Voir Kiev se rapprocher de l’Union européenne, et y voir se déployer les armes de l’Otan, est vécu au Kremlin comme une menace majeure.

Que veut l’Occident ?

Écartons un instant les visées russes et demandons-nous ce que recherche l’Occident. L’Union européenne est-elle prête à intégrer l’Ukraine ? Pas le moins du monde. L’Otan veut-elle de Kiev en son sein ? Berlin et Paris sont contre, et ce serait un casus belli pour Moscou. Alors, profitant de cet entre-deux, Poutine exploite toutes les divisions du camp occidental. En jouant l’Europe contre les États-Unis, en soutenant les populismes nationalistes contre l’Europe. Prêt à souffler sur les braises en Moldavie, voire en Estonie. À soutenir Budapest, Belgrade et pourquoi pas, Athènes. Certes, l’économie russe souffre beaucoup. Sanctions, chute des cours du pétrole et du rouble. L’Occident mise beaucoup sur cet essoufflement. Mais Moscou mise sur les ambiguïtés de l’Occident vis-à-vis de l’Ukraine. Et ce bras de fer en trompe l’œil risque, hélas pour les civils, de durer encore longtemps. Article de Laurent MARCHAND.

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10 février 2015

Agence Magnum - exposition à l'Hôtel de Ville

Avec l'exposition Paris Magnum, la Mairie de Paris consacre l'agence de photo Magnum. Visible jusqu'au 28 mars 2015 à l'Hôtel de Ville, cette expo nous offre les plus beaux portraits de notre capitale, vue par les plus grands photoreporters de l'agence mondialement reconnue. Inédite et gratuite, cette exposition est LA sensation de cette fin d'année !

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10 février 2015

La Russie envoie ses bombardiers près des côtes françaises en signe de provocation

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a réagi sur le passage à proximité de l'espace aérien de la France et du Royaume-Uni d'avions militaires russes. Des provocations en augmentation.

Alors que la guerre continue dans l'est de l'Ukraine entre les forces de Kiev et les séparatistes prorusses, Moscou joue de plus en plus avec les espaces aériens européens. Dimanche, le ministre de la Défense a confirmé que des avions militaires russes s'étaient approchés des côtes françaises et britanniques le 28 janvier.

"J'ai constaté en tant que ministre de la Défense cette présence un peu intempestive de chasseurs, d'avions russes, qui sont venus se promener pour des raisons que j'ignore à proximité de nos côtes, a ironisé Jean-Yves Le Drian lors de l'interview dominicale d'Itélé/Le Monde/Europe 1. Nous leur avons fait savoir que nous les avions vus et qu'il était souhaitable qu'ils se retirent, c'est ce qu'ils ont fait."

Des bombardiers russes près de la Manche

L'incident fait référence à deux bombardiers russes Tu-95, dits "Bears", des appareils conçus à l'époque soviétique et capables de transporter de l'armement nucléaire. Ils ont longé l'espace aérien norvégien jusqu'au niveau de la Manche, mettant en alerte les forces aériennes norvégiennes, britanniques et françaises.

Ce n'est pas la première fois depuis un an que des bombardiers "Bears" sont poussés à s'éloigner de l'espace aérien de la couronne, et donc celui de l'OTAN, qu'ils frôlent sans y pénétrer. De telles manoeuvres ont valu l'intervention de chasseurs basés en Ecosse en avril, en novembre et même le lendemain de la convocation de l'ambassadeur russe par Londres, le 29 janvier, pour des explications.

Une cinquantaine d'incident en Europe en 11 mois

Samedi, Le Monde a rapporté que l'OTAN, ainsi que la Suède et la Finlande, qui n'en sont pas membres, ont recensé une cinquantaine d'incidents avec des avions russes sur les onze derniers mois. "On note plus d'activité que par le passé et des vols de plus en plus longs", a ainsi déclaré une source de l'organisation militaire au quotidien. Seule l'Estonie, à huit reprises, a constaté officiellement la violation de l'espace aérien de l'OTAN.

Dans les autres cas, comme celui évoqué par Le Drian, les avions russes se sont limités aux régions d'information de vol (FIR) surveillées par un ou plusieurs Etat, à l'exclusion de l'espace aérien souverain, jusqu'à 12 milles nautiques (22,22 km) des côtes. Il est admis qu'une autorité peut éloigner un appareil de sa FIR. Une partie de la FIR de la Manche est conjointement surveillée par la France et le Royaume-Uni. Source : site l'Express

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