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Jours tranquilles à Paris
bretagne
24 octobre 2016

AURAY - travaux Place de la République

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Photos : Mairie d'Auray

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20 octobre 2016

AURAY : La région alréenne fait sa « vélorution »

L’intercommunalité veut développer ses infrastructures pour développer l’usage du vélo. Élus, associations et techniciens planchent sur ce réseau intercommunal de pistes cyclables.

Le vélo est sur la bonne piste ! La communauté de communes d’Auray Quiberon Terre Atlantique (Aqta) planche sur son réseau de pistes cyclables. Objectif ? Le développer pour« démocratiser » l’usage de la petite reine.

Trajet domicile-travail

Selon un diagnostic établi par le cabinet d’études Item, près de 10 000 personnes sur le territoire travaillent dans leur commune de résidence, soit la moitié des actifs du secteur. Et 81 % des scolaires étudient dans la région.« Les flux vont en majorité vers Auray dans le cadre de déplacement domicile-travail, et une majorité de personnes vient du nord du territoire » , indique Séverine Grould, chef de projet au cabinet. Soit un secteur relativement proche de la cité alréenne. Or, malgré ce nombre important de personnes qui réalisent de courtes distances, le vélo est sous utilisé. 3 % seulement l’utilisent contre 15 % qui choisissent de marcher. Le potentiel est donc là quand on sait que sous la barre des 5 kilomètres, la pratique de la petite reine peut devenir un vrai mode de vie.

Des besoins

Reste que c’est justement dans le nord que l’inventaire des infrastructures cyclables révèle le plus de besoins. Si la côte est bien pourvue en termes de liaisons douces permettant la pratique du vélo, du côté de Landaul, Plumergat, Sainte-Anne, Locoal ou encore Pluneret, le manque de pistes cyclables est réel.« Le territoire ne part pas de rien » , rappelle néanmoins Fabrice Robelet, vice-président à Aqta en charge du dossier. 357 kilomètres de voies cyclables existent en effet déjà et 137 kilomètres sont en projet par les communes. Mais seulement 45 % de ce réseau existant sont en adéquation avec les déplacements domicile travail.

Un plan

Des propositions sur les infrastructures à mettre en place pour élaborer un réseau intercommunal cyclable ont été présentées : où rallonger les pistes, installer des équipements adaptés, etc., en s’appuyant aux équipements intercommunaux prioritaires comme les gares, le futur pôle d’échange multimodal, les aires de stationnement… Des ateliers vont à présent être mis en place avec élus, cabinet, associations d’usagers et techniciens pour prioriser les besoins :« Nous ne pourrons pas tout faire d’un coup » ,confirme Emmanuel Oger, directeur pôle technique et infrastructure à Aqta.« L’idée n’est pas d’intervenir sur besoins communaux mais bien d’établir un réseau continu d’intérêt intercommunal » , rappelle le technicien. Le schéma définitif pourrait être présenté dès le printemps prochain avec un début de travaux espéré dès fin d’année. Fanny Pilet, chargée de mission mobilité transport à Aqta, l’assure :« La demande pour la réalisation de ces liaisons douces est très forte. Et c’est en créant les infrastructures nécessaires que l’on donnera de nouvelles habitudes pour aller au travail. C’est l’avenir. » Article de Stéphanie HANCQ.

11 octobre 2016

AURAY : Baisse des ventes sur le marché du lundi

Depuis un mois, une partie du marché du lundi a déménagé du côté de la place de Gaulle en raison des travaux place de la République. Certains commerçants sont très mécontents.

La polémique

Comme souvent, il y a ceux qui sont contents et ceux qui sont mécontents. Depuis le lundi 12 septembre, les commerçants non sédentaires du marché du lundi, installés place de la République, ont déménagé vers la place de Gaulle et du Four-Mollet. En raison des travaux de la place de la République, les étals ont quitté leur site historique pour quelques semaines. Dans un premier temps jusqu’à la mi-décembre, si le rythme des pelleteuses et des pioches ne prend pas de retard… Hier matin, ce n’était déjà plus l’affluence du mois de septembre sur le marché nouvelle version, les vacanciers ayant visiblement quitté le sud du Morbihan. D’ailleurs, quelques étals avaient changé de place, migrant de la place du Four-Mollet à la place de Gaulle. Il est vrai que des marchands ambulants saisonniers avaient eux aussi quitté la ville.

« Moins 30 % »

Place du Four-Mollet sont essentiellement installés ceux qui sont partis de la place de la République. Comme Laurent, de Lolo Rôtisserie. Lui, comme d’autres sur le même lieu, ne s’y retrouve pas :« Les quinze premiers jours, j’ai perdu 30 % de mon chiffre d’affaires. Les clients nous ont finalement retrouvés petit à petit. Aujourd’hui, c’est moins 20 %. Si ça devait durer, on se poserait des questions. » Yolande, elle, vend des fruits et des légumes. Et ne se plaint pas car« il y a du passage. Les clients ont retrouvé mon étal. Mais je me rends compte que mes ventes ont baissé ». Jean-Luc, Mister Paella depuis 22 ans, note aussi une légère baisse.« Je fais différents marchés, c’est toujours comme cela au départ quand on bouge. Ici, au bout d’un mois, les gens commencent à s’habituer. » À quelques mètres, Jean est mécontent. Celui qui est là depuis 1979 avec ses tissus et ses voilages, estime qu’il« n’y a eu aucune concertation avec la Ville. Alors que nous avons l’expérience. On aurait pu être consultés pour les emplacements ». Roland, qui vend des fruits et des légumes confirme :« On n’a pas été du tout concertés. Un plan a été fait et c’est tout. La clientèle m’a retrouvé, mais j’ai une perte financière. » Beaucoup de clients apprécient le côté« regroupé des étals. C’est mieux », indique Pierrick, un habitué. Et c’est vrai que les gens sont plutôt du côté de la place de Gaulle. Julien, de la poissonnerie Beg ar Pesked, est à un coin de rue et a une vue circulaire :« La fréquentation est la même, mais ce ne sont pas les mêmes personnes. Certains ne viennent plus car les parkings sont remplis très tôt le matin. » Isabelle, elle, apprécie ce changement depuis son camion de galettes bio car« avant, on était très peu sur la place en hiver. C’est très bien de tout regrouper ». Du côté des Halles, c’est plutôt grise mine. Mais pas le lundi, car des clients du marché font un détour. Le constat est plus sévère pour les autres jours de la semaine. Car les travaux sur la place en rebutent plus d’un. Article de Sophie CAPELLE. Ouest France

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11 octobre 2016

PLOUHARNEL : Tourisme - un été globalement satisfaisant

L’office de tourisme a interrogé les professionnels du secteur des vacances afin de dresser un bilan de la saison, qui court d’avril à septembre.

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Madeleine Juberay, directrice de l’office de tourisme de Plouharnel, analyse le retour de satisfaction des professionnels du tourisme sur les deux grandes périodes de la saison estivale : avril, mai, juin, et juillet, août, septembre. Les hôteliers, restaurateurs, campings, professionnels du loisir, de l’hébergement, et commerçants se sont exprimés sur leur niveau de satisfaction pour ces six derniers mois.« Pour la période avril, mai et juin, les professionnels sont plutôt satisfaits. L’appréciation monte pour juillet, août et septembre pour atteindre son plafond habituel en août, avec un mois de septembre relativement satisfaisant », confie Madeleine Juberay. Pour l’ensemble de la période d’avril à septembre,« c’est une saison satisfaisante, mais pas exceptionnelle, toutefois la Bretagne et le Morbihan ont été globalement épargnés par rapport à certaines régions » .

Comportement « météo dépendant »

Le mois de juillet et le mois d’août confirment l’activité la plus intense. Le mois qui enregistre le plus de déçus est le mois de mai, dû essentiellement au mauvais positionnement des ponts du calendrier. La première quinzaine de juillet reste un peu décevante, à cause d’une météo très capricieuse. Quant au mois de septembre, la météo clémente a eu une influence évidente sur la fréquentation.« On peut même parler de comportement météo-dépendant », souligne la directrice de l’office. Les taux de remplissage chez les professionnels de l’hébergement sont en moyenne de 70 % pour juillet, et de 80 à 100 % en août. Parmi les succès cette année, incontestablement, la piste cyclable, dite « voie verte » en est un.« Cette voie, qui part en direction de Quiberon, est la plus fréquentée de Bretagne. » Les renseignements sur les itinéraires cyclistes sont en effet la première des demandes des vacanciers qui viennent à l’office.

Les premiers visiteurs, les Bretons

La clientèle principale est un public familial, mais aussi senior et excursionniste, à la recherche de calme. Le vacancier y est majoritairement français, avec un ratio de 86 %, contre 14 % de vacanciers étrangers.« Les premiers des visiteurs en Bretagne sont les Bretons » , viennent ensuite les Parisiens, puis les Pays de La Loire, la Normandie et RhôneAlpes.« Cette dernière est un vivier très important pour nous. » L’autre succès est l’aire réservée aux camping-cars, proche du camping des Sables-Blancs.« Le taux d’occupation de cette aire est quasiment à cent pour cent constamment, y compris au mois de septembre » . Quant à la tendance des vacances dites « classiques », camping, mobile-home et hôtel, le raccourcissement des séjours est réel, trois nuitées en moyenne.« Aujourd’hui, les outils numériques, tels que les sites internet, doivent être extrêmement soignés et performants, car ils sont désormais décisifs dans le choix des destinations touristiques. » Source Ouest France

8 octobre 2016

Plouharnel. Grand nettoyage dimanche à « Tata Beach »

La plage de la Guérite à Plouharnel ? Tata Beach pour les intimes ? fait l'objet d'une double pollution : celle ? classique ? déposée par la mer, le vent ou les humains sur la plage et dans les dunes, et celle occasionnée par ceux qui fréquentent pour diverses raisons les blockhaus depuis des décennies... Dimanche 9 octobre, l'association Les Mains dans le sable propose un double ramassage : nettoyage de la plage entre Mentor et Sainte-Barbe (ouvert à tous). Nettoyage des blockhaus : il s'agit d'une action à risque. Ces lieux délabrés n'ont jamais été nettoyés, ce sont de véritables décharges où existe un risque sanitaire. Une équipe constituée d'adultes protégés (gants solides, bottes, tenue adaptée, masque) interviendra. « C'est l'occasion de frapper un grand coup, mais en prenant toutes les précautions nécessaires », précise l'association ! Si cette action vous intéresse merci de prévoir votre équipement ainsi que quelques outils (pelle, tenaille...). Rendez-vous à partir de 14 h sur le parking de la plage de la Guérite pour le nettoyage classique. Pour le nettoyage des dunes et des blockhaus les groupes partiront à 14 h, pas de départ différé possible. Les sacs poubelles seront fournis, l'association prête des gants si vous n'en avez pas.

Pratique

Accès depuis Plouharnel (localisez sur la carte) : suivre la direction Quiberon, après avoir traversé la voie ferrée et dépassé le Musée de la Chouannerie prendre la première à droite, direction Ty Hoche/La Guérite. Après 600 m, tourner à gauche, le parking est au bout (si vous continuez tout droit, vous aboutissez à la plage de Ty Hoche). Les Mains dans le sable, association de nettoyage de plage Morbihan - Finistère. Site Internet : lesmainsdanslesable.com Facebook : lesmainsdanslesablemorbihan

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7 octobre 2016

Sainte Anne d'Auray

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3 octobre 2016

Carnoët. Vallée des Saints : cinq nouvelles statues dressées

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Cinq nouvelles statues ont rejoint, samedi, le site de la Vallée des Saints, à Carnoët (22), portant à 80 le nombre de géants de granit posés en plein coeur du Poher, désormais pour l'éternité. Dans le vaste panthéon des saints celtiques figurent à présent sant Nouga, sculpté par Seenu Shanmugam, sainte Avé, par Patrice Le Guen, sainte Riwanon, par Christophe Le Baquer, saint Léry, par Goulven Jaouen et saint Colomban, par Didier Hardellet. Ce dernier, lourd de 17 tonnes, a été planté à proximité du futur oratoire Saint-Colomban, dont la première pierre a été posée en août dernier par l'ambassadeur d'Irlande et bénie par Mgr d'Ornellas, archevêque de Rennes.

230.000 visiteurs cette année !

Le cap de 100 statues, pour le dixième anniversaire de l'association, en 2018, sera franchi sans encombre puisque trois chantiers sont déjà assurés en 2017 et qu'une soixantaine de statues supplémentaires sont déjà en cours de financement. Des négociations sont actuellement menées avec des artistes gallois et irlandais pour qu'ils taillent dans leurs pays des sculptures monumentales de saints fondateurs qui traverseront ensuite la Manche pour rejoindre la Vallée des Saints, clin d'oeil aux grandes migrations qui ont peuplé l'Armorique aux Ve et VIe siècles. Au rythme actuel, 230.000 visiteurs au moins auront arpenté la Vallée des Saints à la fin 2016, obligeant à franchir des étapes plus rapides que prévues dans le programme de développement : la construction d'un centre d'accueil, d'un coût d'un million d'euros, va démarrer au premier trimestre 2017 ainsi que le déplacement de l'aire de stationnement. Un programme de lecture numérique des oeuvres d'art est en cours. La mise en lumière du site est aussi envisagée. Dans un premier temps, deux autres emplois vont être créés, s'ajoutant aux trois déjà en place.

26 septembre 2016

AURAY : À quand la fin des bouchons Porte-Océane ?

Dans le cadre du projet du pôle multimodal, une liaison routière est en projet pour relier la gare et la Porte-océane, permettant ainsi de désenclaver ce nœud routier. Deux études sont en cours.

Enquête

Matin ou fin de journée, le rituel est le même pour les automobilistes empruntant la Porte-Océane : il faut passer par les bouchons. Et lors des vacances, cette entrée de la cité alréenne ressemblerait à s’y méprendre aux portes de l’enfer avec ses files interminables de voitures, prenant la direction de la côte.« Ça devient très préoccupant , reconnaît d’emblée le maire d’Auray, Jean Dumoulin.Il devient urgent de désenclaver la zone. »

Gros bouchons

Depuis 2012, les zones d’activités de ce secteur ne cessent de se développer. De nouvelles entreprises doivent encore s’y installer, à l’image du projet de bâtiment porté par Kermorvant, à Kerbois, ou encore des 2 500 m2 de bureaux dans le parc d’activités de Porte-Océane en cours de construction (la Saur doit s’y installer). Problème : la circulation y est complètement congestionnée. L’axe charrie en effet environ 20 000 véhicules par jour, en moyenne annuelle. Aux heures d’embauche et de débauche, le rond-point de Kerbois se retrouve complètement bloqué, entraînant de fait la paralysie de la circulation sur la voie express où là, ce sont plus de 33 000 véhicules qui circulent chaque jour.

2x2 voie avortée

Le problème n’est pas nouveau. La mise en 2x2 voies de la route départementale 768, entre Auray et le rond-point du Purgatoire, qui marque la séparation entre les routes de Carnac et Plouharnel, a été envisagée dans les années 90. Cette liaison aurait pu soulager, un peu, le rond-point de Kerbois, mais le projet a avorté depuis longtemps. Pour preuve : l’hôtel du rond-point de Kergroix, situé face au parc de loisirs Le P’tit Délire, et acheté à l’époque par le conseil départemental pour créer un échangeur à cet endroit, est actuellement en vente.

Projet de la gare et déviation

Une autre idée a émergé ces dernières années : la construction d’une voie de désengorgement entre la gare et la zone d’activités de PorteOcéane. Cette liaison est l’un des volets du projet d’échange multimodal (PEM), qui prévoit notamment le redimensionnement de la gare d’Auray, en vue de l’arrivée de la ligne à grande vitesse (Paris à 2 h 30 au lieu de 3 h 15 actuellement).« Une déviation et une desserte Porte-Océane sont en effet prévues » , précise Fabrice Robelet, maire de Brec’h et vice-président à Aqta (Auray Quiberon terre atlantique) en charge du PEM. La communauté de communes a d’ailleurs acheté 15 ha de terrain à La Chartreuse, pour un montant de 1,7 million d’euros dans cet objectif. Cette desserte permettrait de désengorger la zone de Porte-Océane en créant une nouvelle sortie.

Premiers coups de pelle en 2018

Alors où en sont ces projets ?« Une étude environnementale a été lancée au printemps pour connaître le tracé exact de cette liaison. Une fois les résultats connus, au printemps 2017 normalement, une enquête publique sera lancée » , annonce Fabrice Robelet. Une seconde étude portant sur la circulation et le stationnement dans le cadre du PEM vient aussi d’être lancée. L’élu se veut confiant :« Les travaux pourraient débuter début 2018. » Une nouvelle qui ravit le maire alréen, Jean Dumoulin :« On a vraiment hâte de voir cette route aboutir ! » Article de Stéphanie HANCQ.

23 septembre 2016

Saint-Philibert. Le Chat Noir : légendes, histoires et réalité

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Après en avoir vu de toutes les couleurs pendant trois ans, le Chat Noir a trouvé refuge dans la salle du conseil.

Sur le cadastre napoléonien, le Chat Noir est un lieu-dit situé sur la route de Locmariaquer. Ce n'est que bien plus tard que le carrefour, alors appelé Fourchêne, a pris le nom de Chat Noir. Mais pourquoi ? En l'absence de réponse, les hypothèses vont bon train. Au départ, il y avait un carrefour. Et un café. Certains racontent qu'il y avait un chat noir devant. Les copains se disaient « On se retrouve au Chat Noir pour boire un coup ». De là le nom... « Mais non ! », lance un riverain « Quand M. Demay a acheté le café il a eu l'idée de mettre un chat noir sur la maison ». Les histoires commencent. Au début des années 60, les Américains sont en garnison à Kernevest. Un soir de bordée, ils montent sur le toit pour décrocher le chat. Le propriétaire remet un autre chat, volé à son tour. Il parait qu'il serait parti Outre-Atlantique. Après une première transformation du carrefour, le rond-point est créé en 1995. Au centre, une stèle sur laquelle trône un chat noir en granit, sculpté par Emile Germain. C'est le début d'une longue série de déguisements, travestissements, changements de couleurs et vols. Car le chat attire les convoitises. Entre voyages et déguisements Il disparaîtra plusieurs fois avant d'être retrouvé sur un stade d'Auray, à la station du Poulben. Il paraît même qu'on l'aurait vu en Belgique ! L'emblème de la commune est régulièrement tagué et transformé au gré de l'imagination des artistes de tout poil. Vert à pois noirs, rose fluo, blanche avec des hermines noires, rayures multicolores, dorée, tricolore... le chat va en voir de toutes les couleurs. Et se parer des déguisements les plus hétéroclites. Un jour marié, un autre gendarme, ou encore pompier, les bandes de joyeux drilles rivalisent d'imagination. Les curieux suivent les changements de couleurs du félin. Des riverains dénoncent des nuisances. Le bruit perturbe leur sommeil et celui de leurs enfants. Ils retrouvent des pots de peinture sous les voitures et au fond des jardins. Côté déco, après des choses magnifiques, ça devient du grand n'importe quoi. Le chat quitte le rond-point en 1998. Il trouve refuge à la mairie où il coule des jours heureux. Le rond-point est arboré. Aujourd'hui il ne reste du chat noir que le nom. Source : Le Télégramme

20 septembre 2016

Il y a exactement 20 ans le Pape Jean Paul II était à Ste Anne d'Auray...

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Autoportrait devant l'espace où le Pape Jean Paul II s'est posé en hélicoptère il y a exactement 20 ans aujourd'hui

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