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Jours tranquilles à Paris
22 janvier 2007

Yves Saint Laurent (au Centre Pompidou en 2002)


Deneuve St Laurent
envoyé par Bruno-Lucas


Yves Saint Laurent tire sa révérence


Le défilé du 22 janvier 2002 à Beaubourg sera sans nul doute un « must » dans le milieu de la mode. Yves Saint Laurent mettra alors fin à quarante ans de vie consacrée à la Haute Couture en présentant son ultime collection. Aujourd’hui lundi, l’un des couturiers les plus célèbres du monde a officialisé son départ ainsi que la fermeture de la maison qu’il a fondée en 1962. On doit notamment à celui qui fut tout jeune assistant modéliste chez Christian Dior d’avoir révolutionné l’habit féminin en lançant le tailleur-pantalon androgyne, la « saharienne » ou bien le smocking pour femmes.

Sur le fond, la décision prise par Yves Saint Laurent intrigue autant qu’elle chagrine un milieu qui l’avait sacré dès ses premières collections. Certains estiment que le départ d’YSL n’est jamais que la conséquence inéluctable de la reprise en main de la « maison » par François Pinault et son holding Artemis il y a trois ans. A l’époque, pour concurrencer son éternel rival Bernard Arnault (groupe LVMH), le patron de PPR a scindé l’empire YSL en deux entités : l’une dédiée au prêt-à-porter et à la ligne de produits de beauté confiée à l’italien Gucci et dirigée par l’américain Tom Ford (YSL Couture) et l’autre dévolue spécifiquement à la Haute Couture directement rattachée à Artemis. Or, c’est cette dernière que contrôlait justement le tandem Yves Saint Laurent/Pierre Bergé. Le pôle Haute Couture emploie 150 salariés et a réalisé ces dernières années un chiffre d'affaires de 5 à 6 millions d'euros... pour des pertes deux fois plus importantes. 

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21 janvier 2007

"Le Serpent"

Aujourd'hui je suis allé voir le film "Le Serpent". L'intrigue m'a fait penser à "Harry, un ami qui vous veut du bien" mais mieux ficelé. Excellente distribution. J'ai surtout remarqué Olga Kurylenko et Yvan Attal.

Un conseil : allez voir ce film. D'ailleurs le bouche à oreille joue et actuellement il a fait un trés bon démarrage.

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Le Serpent, la bonne surprise

Surprise au box office avec la première place obtenue par "Le Serpent" d'Eric Barbier. Le thriller détrône "Arthur et les Minimoys" tout en battant sans appel "Apocalypto" de Mel Gibson.

On attendait Apocalypto et on a finalement vu triompher un polar français au box office de cette deuxième semaine cinéma de l'année. Eric Barbier a eu du flair et raison de reprendre sa caméra. Son troisième long métrage, Le Serpent, réunit 304.325 spectateurs pour sa première semaine d'exploitation. Le film avec Yvan Attal et Clovis Cornillac raconte la manipulation exercée sur un père de famille en instance de divorce par l'un de ses anciens camarades de classe. Eric Barbier avait longtemps délaissé les plateaux de tournage après l'échec cuisant en 1991 de son film Le Brasier, projet ambitieux et coûteux ancré dans l'univers des mineurs des années 30. La présence de Jean-Marc Barr et l'obtention du prix Jean-Vigo n'aura pu sauver le long métrage de la déroute. Barbier peut savourer à présent le succès du Serpent qui se paie le luxe de battre sans appel le nouveau film de Mel Gibson.

Cinéma : "Le serpent" d'Eric Barbier Divertissement - Source : en3mots

 « Il n’a pas de famille, pas d’enfant, pas de biens, c’est un vampire… il prend ». Il est trop tard lorsque Vincent Mandel s’en rend compte : Plender s’est déjà immiscé dans sa vie. Celle d’un photographe (Yvan Attal), père de deux enfants, en instance de divorce avec sa femme, une riche héritière allemande. Un soir il croise Joseph Plender (Clovis Cornillac), ancien camarade de classe. Loin d’être un hasard, cette rencontre n’est que le fruit d’une longue manipulation et le début d’une brusque descente aux enfers. Meurtre, enlèvement et chantage, le « serpent » s’enroule autour de lui et attaque ce qu’il a de plus cher. Dès lors Mandel n’a d’autre choix que de se battre avec les mêmes armes que son adversaire, découvrant que celui-ci n’est peut-être pas si infaillible…

Adapté de l’ouvrage de Ted Lewis, Plender, le scénario d’Eric Barbier en reprend le thème principal : un personnage en harcèle un autre pour des raisons qui seront révélées par la suite. Et si l’histoire fonctionne si bien, c’est parce que dans le livre comme dans le film se dégage le même plaisir de voir le héros se faire torturer. Toutefois, si l’écrivain anglais prend ouvertement le parti du bourreau, le cinéaste, lui, opte pour celui de sa victime. Mandel est justement pris au piège alors qu’il s’apprêtait à reprendre son envol et obtenir, de surcroît, la garde de ses enfants. La caméra suit le duel haletant des deux personnages, révélant leurs souffrances et leurs propres contradictions. Le système de pouvoirs s’inverse au fil de l’intrigue : Plender, jouant tout d’abord le rôle de l’ancien copain plutôt pesant, se révèle grand manipulateur puis finalement ébranlable. A contrario Mandel, qui semble s’élever au-dessus de cet ancien camarade de par son statut, devient vite sa proie avant d’être érigé en héros. Caractérisé par sa lâcheté initiale, il parvient à déstabiliser ce bloc de glace qui n’avait rien à perdre. Le spectateur finit même par éprouver une certaine empathie pour ce dernier, Eric Barbier éloignant ainsi toute vision manichéenne.

Le regard fixé sur la pellicule, on pense par moments à « Harry, un ami qui vous veut du bien » (Dominik Moll, 2000) lorsque Plender débarque dans la vie de son ancien « ami » ; on pense à « Anthony Zimmer » (Jérôme Salle, 2005 : Yvan Attal incarnant le rôle de François) lorsque Mandel tente de sortir de la situation cauchemardesque dans laquelle il a été plongé malgré lui...On pense surtout à deux acteurs, dont le duel à l’écran et la tension, tout aussi exacerbée que contrôlée, ne font qu’illustrer leur prestance et leur talent, qui ne sont plus à démontrer…

21 janvier 2007

Mitsubishi remporte le Dakar

Dakar 2007 : La neuvième de Peterhansel

Stéphane Peterhansel a décroché une troisième victoire dans le Dakar dimanche. Une neuvième consécration dans la capitale sénégalaise, motos et autos confondues.

Une victoire, voila ce qui sépare Stéphane Peterhansel d'Ari Vatanen au palmarès du Dakar. Dimanche, le pilote Mitsubishi a remporté son troisième succès sur quatre roues mais ses six autres victoires dans la catégorie moto font assurément du Français le plus grand pilote de l'histoire du fameux rallye-raid.

Un an après avoir bêtement laissé échapper la victoire à son coéquipier Luc Alphand au Mali, Stéphane Peterhansel a repris son bien, néanmoins sans avoir signé la moindre victoire d'étape. La tactique d'attente que l'écurie Mitsubishi avait mise en place pour ce rallye a donc parfaitement marché. Les Volkswagen, plus offensives, elles étaient incontestablement plus rapides, n'ont pas montré la même robustesse que le Pajero de la marque nippon. Problèmes électriques pour Carlos Sainz, moteur en feu pour Ginel de Villiers, la sélection naturelle a fait son travail et éliminé tour à tour les bolides Volkswagen, performants mais pas assez endurants.

 Aux commandes du classement au soir de la 9e étape entre Tichit et Néma, Stéphane Peterhansel a ensuite dû gérer la rivalité interne au sein du clan Mitsubishi. Il s'impose devant un Luc Alphand résigné et détrôné, et un Jean-Louis Schlesser miraculé après avoir galéré pour aligner son buggy au départ de l'épreuve. Sur un podium 100% français, la belle brochette de pilotes compte à elle seule 12 victoires.

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L'équipe Mitsubishi du Dakar 2007

21 janvier 2007

Piazza Beaubourg

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Photos JS

21 janvier 2007

Lâcher de 1001 ballons bleus : la Sculpture aérostatique d'Yves Klein sur la Piazza

Derniers jours de l'exposition Yves Klein et dernier Dimanche Yves Klein le 21 janvier !

En mai 1957, Yves Klein présente une double exposition à Paris, Yves, Propositions monochrome à la Galerie Iris Clert d'une part et Pigment pur à la galerie Colette Allendy d'autre part. L'avènement de "l'époque bleue" est célébrée par un lâcher de 1001 ballons bleus, gonflés à l'hélium, le soir du vernissage. Klein qualifiera plus tard ce geste de Sculpture aérostatique.

Cinquante ans après le premier lâcher de ballons orchestré par Yves Klein lui-même, un lâcher géant de ballons bleus aura lieu le dimanche 21 janvier à 15h sur la Piazza, pour célébrer l'air et l'espace. Les enfants et leurs familles sont conviés à vivre ensemble cet évènement festif et gratuit imaginé par Yves Klein.

Nocturnes exceptionnelles dans l'exposition...

A l'occasion des derniers jours de l'exposition Yves Klein, le Centre Pompidou vous propose des nocturnes exceptionnelles le vendredi soir jusqu'à 23 heures, en plus de la traditionnelle soirée du jeudi.

Le dimanche 21 janvier à 15h, Piazza. La manifestion aura lieu quelles que soient les conditions climatiques. Exposition jusqu'au 5 février 2007

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Photos JS

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21 janvier 2007

Il y a quelques dizaines d'années...

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20 janvier 2007

Shooting de cet aprés-midi

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Photo JS

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Photo JS

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Photo JS

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20 janvier 2007

C'était mieux avant ?

19 janvier 2007

Eau Cristaline

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Photo prise dans le métro avec mon téléphone mobile

19 janvier 2007

Chirac décore Bettina Rheims, le patron de Sipa et le maire d’Avignon

Jacques Chirac a décoré vendredi la photographe Bettina Rheims, promue au grade de chevalier de la Légion d'honneur. Le président de la République l’a qualifiée de l'une des photographes "les plus originales, les plus talentueuses d'aujourd'hui", elle avait réalisé en 1995 le portrait officiel du chef de l'Etat.

Le chef de l'Etat a également nommé chevalier de la Légion d'honneur Goksin Sipahioglu, qui créa en 1969 l'agence photo « Sipa », dont il a fait, selon M. Chirac, "la première agence de photojournalisme du monde".

Marie-José Roig, ancienne ministre et maire d'Avignon, a également été promue officier de la Légion d'honneur.

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Photo : Bettina Rheims

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