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Jours tranquilles à Paris
26 février 2019

Milo Moiré

milo69

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26 février 2019

Australie : le cardinal Pell, numéro trois du Vatican, reconnu coupable de pédophilie

cardinal

Le religieux de 77 ans est le plus haut responsable de l’Eglise catholique condamné dans une affaire d’abus sexuels sur mineurs.

Le cardinal George Pell, numéro trois du Vatican, a été reconnu coupable de crimes sexuels sur mineurs en Australie. Il devient ainsi le plus haut responsable de l’Eglise catholique condamné dans une affaire de pédophilie.

Mgr Pell, 77 ans, avait été reconnu coupable, en décembre 2018 de l’agression sexuelle dans les années 1990 de deux enfants de chœur, alors âgés de 12 et 13 ans, dans la sacristie de la cathédrale de Melbourne. L’une des deux victimes est décédée en 2014.

Black-out médiatique

Mais le tribunal interdisait jusqu’à présent aux médias de faire état de cette affaire : la justice avait pris une « ordonnance de suppression », sous peine de poursuites. Cette obligation de silence avait été imposée dans le but de protéger le jury d’un second procès lors duquel le cardinal Pell devait initialement être jugé pour d’autres faits présumés.

Mais l’accusation a décidé de renoncer à cette seconde série de poursuites, ce qui a eu pour conséquence de lever le black-out médiatique, mardi 26 février, et révéler le verdict de culpabilité. La peine à laquelle le cardinal sera condamné n’a pas été fixée, mais il encourt jusqu’à 50 ans de réclusion. Une nouvelle audience est prévue mercredi.

Les avocats de Mgr Pell ont d’ores et déjà annoncé l’intention de leur client de faire appel. Le cardinal, qui avait pris congé de ses fonctions au Vatican pour se défendre, reste cependant sur le papier à la tête du secrétariat pour l’économie du Saint-Siège, où il a été nommé par le pape François en 2014 avec la mission de réformer les finances de l’Eglise catholique.

Une « bataille totale »

Cette annonce intervient dans la foulée d’une conférence de quatre jours du Vatican consacrée aux moyens de lutter contre les abus sexuels au sein de l’institution. Au dernier jour de celle-ci, dimanche, le pape François a appelé à une « bataille totale » contre les abus sexuels perpétrés sur des mineurs par des membres du clergé, crimes qu’il a qualifiés d’abominables.

Le Vatican avait annoncé en décembre 2018 le remaniement du C9 – le Conseil des cardinaux chargé de conseiller le pape François – pour en retirer notamment George Pell, sans préciser les raisons de cette décision.

cardinaux

26 février 2019

Concombre

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26 février 2019

Trump et Kim, deux hommes pressés de s’entendre

Par Philippe Pons, Tokyo, correspondant, Gilles Paris, Washington, correspondant

Les dirigeants américain et nord-coréen veulent afficher un succès diplomatique pour leur deuxième rencontre.

Donald Trump et Kim Jong-un, qui vont se retrouver mercredi 27 et jeudi 28 février à Hanoï, ont un point commun : ils sont pressés. Le premier, en butte à ses difficultés internes, veut engranger au plus vite un succès diplomatique en étant le premier président américain à avoir mis fin à l’état de guerre avec la Corée du Nord et délivré les Etats-Unis du risque d’une attaque nucléaire nord-coréenne. Le second espère qu’une retombée de la tension avec les Etats-Unis permettra d’amorcer une sortie de l’ornière de l’économie nord-coréenne.

Depuis le premier sommet à Singapour, en juin 2018, Donald Trump ne perd pas une occasion de vanter la qualité de ses relations avec Kim Jong-un, qu’il présente comme la clef de la détente en cours. Un argument qui lui permet d’opposer ses qualités supposées de négociateur à celles de ses prédécesseurs. Il a assuré, le 15 février, que le dernier d’entre eux, Barack Obama, « était prêt à partir en guerre » contre Pyongyang. « En fait, il m’a dit qu’il était sur le point de commencer une grande guerre avec la Corée du Nord », a ajouté le président avant d’essuyer une salve de démentis de l’administration précédente.

Dénucléarisation mise en doute

La lenteur de ce processus risque rapidement de se heurter au calendrier électoral américain. Dans un an, les primaires d’investiture auront déjà débuté et Donald Trump sera progressivement absorbé par sa campagne de réélection. La fenêtre est donc particulièrement étroite pour avancer vers l’objectif officiel d’une dénucléarisation unilatérale « complète, irréversible et vérifiable ».

Cette dénucléarisation est mise en doute par les propres services de renseignement de Donald Trump. Le rapport annuel sur les menaces qui pèsent sur les Etats-Unis, publié en janvier, estime ainsi « peu probable que la Corée du Nord abandonne toutes ses armes nucléaires » et note la poursuite « d’activités non compatibles avec une dénucléarisation totale ». Un avis qui compte alors que la politique étrangère du président est de plus en plus contestée au Congrès, y compris dans les rangs républicains.

Donald Trump a répliqué à cette estimation peu encourageante par un message publié sur son compte Twitter. « Les relations avec la Corée du Nord sont les meilleures jamais eues pour les Etats-Unis. Aucun test [nucléaire ou balistique], les dépouilles rendues [de soldats américains morts pendant la guerre de Corée], les otages revenus [américains retenus en Corée du Nord]. Bonne chance de dénucléarisation », a écrit le président en énumérant les gains limités engrangés jusqu’à présent. Cet état d’esprit pourrait être propice à des concessions, pour peu que Kim Jong-un s’engage également dans une démarche de petits pas.

Progrès à petits pas de la RPDC

Ce dernier a également ses raisons pour aller vite. D’abord, pour profiter des bonnes dispositions de son interlocuteur – et du pouvoir dont il dispose encore – pour sortir de la situation de blocage avec les Etats-Unis. Cela permet de passer au-dessus du département d’Etat, plus multilatéraliste et moins enclin aux concessions pour obtenir un « deal », et du conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, John Bolton, également réticent.

L’opinion publique n’est assurément pas un facteur prépondérant dans un Etat

totalitaire comme la RPDC. Il reste que, depuis son arrivée au pouvoir en 2011, Kim Jong-un a réitéré à plusieurs reprises son engagement d’améliorer les conditions de vie. La RPDC a plus changé depuis son arrivée au pouvoir en 2011 que pendant les décennies précédentes. Le surgissement des tours dans Pyongyang, dont la physionomie s’est métamorphosée, la circulation automobile, l’apparition d’une embryonnaire couche moyenne urbaine en témoignent.

Les réformes qui ont accordé une plus grande autonomie de gestion aux entreprises d’Etat et aux coopératives agricoles ont permis l’apparition de « capitalistes rouges » (entrepreneurs, négociants, intermédiaires, commerçants de détail) et ouvert des portes à la débrouillardise, notamment au travail parallèle. Ces transformations, conjuguées à une corruption endémique qui met de l’huile dans les rouages, permettent au pays de progresser à petits pas et de faire face aux sanctions. Mais celles-ci n’en ralentissent pas moins les activités. Officiellement, le commerce avec la Chine, premier partenaire de la RPDC, a diminué de moitié. Les trafics frontaliers avec son grand voisin et la Russie pallient cette diminution des importations et les magasins continuent à être fournis et achalandés.

Nationalisme farouche

Ces réformes et le bouillonnement d’activités à la limite de la légalité qui tiennent souvent du bricolage pour contourner les blocages bureaucratiques atteignent un palier. La levée des sanctions devient impérative pour sortir de l’ornière et permettre une relance de la coopération avec la Corée du Sud – dont les projets n’attendent qu’un « feu vert » politique pour être lancés –, la Chine – même s’ils ne veulent pas en dépendre –, la Russie et d’autres pays. La RPDC vit sous un régime de sanctions, depuis la fin de la guerre de Corée en 1953. Elles ont été renforcées au fur et à mesure qu’elle progressait dans ses ambitions nucléaires pour arriver aujourd’hui à une tentative d’étranglement. La population a résisté.

Mais il n’est pas sûr qu’aujourd’hui le régime puisse lui faire subir une « nouvelle marche forcée » comme ce fut le cas au moment de la famine de la fin des années 1990, qui a fait près d’un million de morts sur 24 millions d’habitants. Entretenu par la propagande, un nationalisme farouche constitue le ciment le plus solide du régime. Mais en redonnant espoir à une population qui, à la mort de son père, Kim Jong-il, en 2010, semblait résignée, Kim Jong-un a amorcé une dynamique. Chacun à son niveau cherche à tirer son épingle du jeu, et espère que demain sera meilleur. Il est toujours dangereux pour un pouvoir de mobiliser l’espoir : même une dictature doit paraître répondre aux attentes qu’elle a fait naître.

Kim Jong-un est conscient qu’il doit aller vite et jouer la carte Trump. Depuis un an, en connivence avec le président sud-coréen Moon Jae-in, c’est ce qu’il fait. Un affaiblissement du président des Etats-Unis est la grande préoccupation des deux dirigeants. Moon Jae-in, cheville ouvrière de la dynamique amorcée de reprise en main de leur destin par les Coréens, est lui aussi pressé : il lui reste deux ans avant la fin de son mandat (non renouvelable) pour rendre celle-ci irréversible. Ce qui laisse supposer des concessions de part et d’autre – fussent-elles de façade.

26 février 2019

Vu sur internet

jaime82

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26 février 2019

Antiterrorisme, diplomatie : le pari irakien d’Emmanuel Macron

Par Marc Semo

Le pays, point d’équilibre dans une région tiraillée par les conflits et les rivalités de puissances, « a vocation à retrouver un rôle de pivot », selon le chef de l’Etat, qui accueillait lundi son homologue irakien.

Les autorités françaises misent sur l’Irak. Elles considèrent Bagdad comme un partenaire majeur aussi bien sur le terrain de l’antiterrorisme face à l’organisation Etat islamique (EI) que sur le plan diplomatique, pour revenir pleinement dans le jeu au Moyen-Orient. « Le relèvement de l’Irak est un signe d’espoir pour toute la région », a souligné Emmanuel Macron lundi 25 février dans une conférence de presse aux côtés de son homologue irakien Barham Saleh, à l’issue d’un déjeuner à l’Elysée.

Le président français avait prévu de se rendre en Irak en février ou début mars, projet renvoyé en raison de ses engagements dans le débat national. C’est donc son homologue, un Kurde dont les pouvoirs sont surtout symboliques, comme le prévoit la Constitution irakienne, qui s’est rendu à Paris avant une visite du chef de l’Etat « d’ici quelques mois ».

Comme pour souligner l’enjeu sécuritaire commun, le matin même du début de la visite, les autorités de Bagdad reconnaissaient le transfert dans leur pays de treize djihadistes présumés français capturés en Syrie par les Forces démocratiques syriennes (FDS), les partenaires de la coalition internationale. « Toute personne accusée d’avoir commis des crimes en Irak, contre le peuple irakien, contre les installations irakiennes, nous la recherchons pour la juger », a précisé Barham Saleh sans pour autant confirmer la nationalité des détenus.

A son côté, Emmanuel Macron s’est aussi refusé à tout commentaire sur leur nationalité ou leur identité. « Pour les Français majeurs détenus qui seraient transférés, il reviendra d’abord aux autorités irakiennes de décider souverainement s’ils doivent faire l’objet de procédures judiciaires sur place », a-t-il précisé. Le cadre ainsi fixé reste celui affirmé sous la présidence Hollande. En laissant quasiment carte blanche aux autorités irakiennes – sauf pour la peine de mort – il est suffisamment souple pour permettre le transfert, le jugement en Irak et l’incarcération de certains djihadistes français capturés en Syrie. Ils bénéficieront néanmoins comme tout citoyen français « du droit à la protection consulaire ».

Une pièce essentielle dans la lutte contre ce qui reste de l’EI

Le retrait américain de Syrie, même s’il sera plus limité qu’annoncé par Donald Trump en décembre 2018, avec le maintien sur place de 200 hommes, fait de l’Irak une pièce essentielle dans la lutte contre ce qui reste de l’EI. « La menace terroriste demeure et nous restons aux côtés des Irakiens aussi bien politiquement que militairement », a insisté le président français.

irak et france

Son homologue irakien a rappelé, aussi bien à l’Elysée que quelques heures plus tard devant l’Institut français des relations internationales (IFRI), la nécessité de « stabiliser et solidifier une victoire qui si elle est importante ne marque pas la fin de l’extrémisme et du terrorisme que nous avons connu ». Et d’insister en mettant en garde contre tout sentiment d’euphorie sur « la nécessité de ne pas crier victoire trop tôt » en affrontant maintenant « les causes profondes », notamment économiques et sociales du djihadisme.

« L’Irak a vocation à retrouver un rôle de pivot dans la région », a également encouragé Emmanuel Macron. Le pays est un partenaire clé, chez lequel la France peut bénéficier d’un terrain favorable. « Le refus, justifié, de participer en 2003 à l’intervention menée par les Etats-Unis qui a renversé Saddam Hussein a été un handicap vis-à-vis des autorités de Bagdad et de la majorité chiite, mais la guerre menée en commun contre Daech [acronyme de l’EI en arabe] a changé la donne », souligne un haut diplomate français. « Les Irakiens regardent vers la France aussi parce que l’Amérique n’est pas fiable, que les Russes n’ont pas grand-chose à apporter pour la reconstruction et que les pays du Golfe hésitent face à un pays à majorité chiite et gardant de bonnes relations avec l’Iran », renchérit une source proche du dossier.

De relativement bonnes relations avec tous les acteurs

« L’intérêt de l’Irak est d’être un point d’équilibre et de rester en dehors des querelles de nos voisins », a insisté Barham Saleh devant l’IFRI. Bagdad est en effet la seule capitale régionale à entretenir de relativement bonnes relations avec tous les acteurs, aussi bien l’Iran que le régime syrien mais aussi l’Arabie saoudite. Tout cela en restant lié aux Etats-Unis, qui maintiennent sur place quelque 5 000 hommes. Une montée des tensions entre Washington et Téhéran pourrait néanmoins tout remettre en cause, ce qui explique une très prudence des investisseurs occidentaux, dont les Français, même si Paris a accordé 1 milliard d’euros d’aides sur quatre ans pour la reconstruction.

Cet équilibre se retrouve aussi sur la scène politique intérieure avec une politique plus « inclusive » pour toutes les minorités. Le nouveau premier ministre, Adel Abdel Mehdi, francophone et francophile, nommé en octobre 2018 après un compromis entre les deux blocs chiites rivaux, en est le symbole. « La stabilité du pays passe par la capacité à construire des solutions politiques incluant toutes les composantes de la société irakienne », a souligné Emmanuel Macron, évoquant notamment les chrétiens et les Yézidis et en rendant hommage à cet égard aussi bien au premier ministre qu’au président irakien.

Celui-ci s’était rendu dans la matinée à l’Unesco, qui avait lancé il y a un an le projet « faire revivre l’esprit de Mossoul » la grande ville multiculturelle du nord dévastée par les djihadistes. Une manière de souligner l’importance de cet héritage commun.

26 février 2019

Affaire Benalla

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26 février 2019

Aille ! Aille !

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26 février 2019

Concorde Art Gallery - Patrice Dohollo - Peintre

Patrice Dohollo - Peintre

Parisien pure souche né en 1951. A partir de 1969, j'entre à l'ENSAIT de Roubaix, une école d'art, pour un cycle de quatre années en section publicité. En 1972, après quelques mois de farniente à Formentera et Ibiza, je suis engagé comme maquettiste maison au groupe Bayard presse et je collabore à presque tous les magazines de «Pomme d'Api à Okapi pour les jeunes jusqu'au magazine Notre temps pour les anciens».

Débauché un an plus tard par Jean Quentin Gérard, l'un des plus jeunes éditeurs de l'époque et propriétaire d'une grande quantité de magazines pour jeunes style «Salut les copains et Podium», je vais travailler comme maquettiste sur toutes ses revues. Je vais même par la suite devenir DA pour la revue de Michel Sardou «MS magazine» qui ne paraîtra qu'une année faute d'assez de lecteurs. Je retournerai ensuite chez JQG pour créer «Privé» un concurrent du magazine «Absolu» lancé par Claude François. C'est en travaillant pendant cette période avec les plus grands photographes de charme qui collaboraient avec «Lui, Playboy, Newlook, Penthouse..etc) que j'ai eu l'idée deux ans plus tard de créer ma première maison d'édition pour publier des beaux livres de nus vendus en librairies et à la FNAC.

La suite logique a été l'édition de nombreux magazines de photos, de charme, de cinéma, d'art ….dont le magazine «Généreux» en association avec Frédéric Beigbeder et Jean-Christophe Florentin et le magazine «Playboy» édition française de numéros spéciaux. Avec une autre société bien plus tard j'ai produit et commercialisé près de 200 films. Depuis ma retraite en 2010, je me suis remis à la peinture puis au fusain que je n'avais pas touché depuis plus de 40 ans et je vous en propose quelques-uns aujourd'hui.

Patrice Dohollo (1)

Patrice Dohollo (2)

Patrice Dohollo (3)

patrice dohollo33

26 février 2019

Iris Brosch

Photographe, Iris Brosch

Lieu, Musée de la Chasse et de la Nature de Paris

Scénographie, Stephane Blanc

Styliste, Britta Uschkamp

Hair, Dorah Doredte, assistée par Christophe Pastel

Makeup, Walter Denechere, assisté par Anna Delcroix

Assistants, Mahé Elipe, Jennifer Schubert

Retouche, Juliette Gagnadre

Backstage, Robin Deledicque, Guillaume Delecroix, Laura Mateu, Katalin Szaraz

Modèles, Andja Lorein, Cassandre Dagon, Annaelle Duguet, Clélia Altaïr, Alix Meier Watjen, Fanny Beladonna, Raphael Lourel, Alexia Ranguin, Alayrangues Zoe, Rebecca Maraki, Sateaurelie Boga

Diane Chasseresse, Iris Brosch - Normal Magazine from Normal Magazine on Vimeo.

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