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Jours tranquilles à Paris
17 juin 2020

Presqu’île de Quiberon

bretagne4

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17 juin 2020

QUIBERON - Expositions d’Arts Plastiques – Hôtel de Ville

Expositions

18 mai 2020 - 29 août 2020

Salle d’exposition Hôtel de Ville

7 rue de Verdun, 56170 Quiberon

Chaque semaine, des artistes amateurs ou professionnels viennent exposer leurs oeuvres à l'Hôtel de Ville : peintures, aquarelles, photographies, sculptures, artisanat d'art...  Programmation 2020 : (sous réserve de modifications) - 18 au 24 mai : Françoise Kerrien- 25 au 31 mai : Nathalie Michault- 1er au 7 juin : ?- 8 au 14 juin : AQUAMER- 15 au 21 juin : Jean‐Marc Poiriez- 22 au 28 juin : Denise Pop- 29 juin au 5 juillet : ?- 6 au 12…

Salle d’exposition Hôtel de Ville

7 rue de Verdun, 56170 Quiberon

17 juin 2020

Erdeven - Le Nautilus émerge à côté de l’église

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Le nautilus vient d’émerger au milieu du massif de fleurs créé au coin de l’église, intrigant les passants rue Nationale. Ce sous-marin est la pièce maîtresse des réalisations 2020 de l’équipe des espaces verts. Depuis plusieurs années, ils ont pris l’habitude d’imaginer une thématique nouvelle chaque saison, et de réaliser les éléments de décors avec des objets de récupération. « Cette année, on a choisi Jules Verne. On fait ça, l’hiver à la serre, quand il pleut », expliquent-ils en détaillant le nautilus : « L’étrave est une bouée de plage enfoncée dans une poubelle, le corps du sous-marin est l’ancienne tonne qui servait à arroser les massifs, avec sur les côtés des plots de voirie qui ne sont plus homologués, les hublots sont des globes d’éclairage public, etc. On recycle ! ». Un panneau explique d’ailleurs cette conception.

D’autres créations issues de l’univers de Jules Verne et de l’imaginaire des jardiniers vont aussi émerger dans les différents décors. L’an dernier, l’effort de la commune et leur travail a été distingué au concours des villes et villages fleuris.

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16 juin 2020

Plouharnel - Les Passagers du vent prêts pour la reprise

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Pierre et Simon, sont prêts au centre des Dunes.

Comme les autres structures, l’école de char à voile les Passagers du Vent, à Plouharnel, fondée il y a plus de 20 ans, a beaucoup souffert durant la crise sanitaire.

Aujourd’hui encore, l’activité se fait au ralenti du fait de l’absence des scolaires sur le site. Pourtant, tout est prêt pour accueillir le public dans les meilleures conditions et les projets sont nombreux.

Agréés auprès de la Fédération française de char à voile et de la Fédération française handisport, l’association Les Passagers du vent ont aujourd’hui renoué une entente cordiale avec l’auberge des Dunes.

La bonne entente avec les autres associations qui occupent le centre de glisse s’est également concrétisée avec la création d’un pôle nautique : « Nous sommes aujourd’hui regroupés au sein d’une même association avec l’EBS et Terre-Mer aventure, insiste Simon Ternisien, cogérant de la structure avec Pierre Nataf. Il est prévu que nous partagions un même accueil et nos vestiaires, après d’Aqta (Auray Quiberon terre atlantique), propriétaire du site ait réalisé les travaux nécessaires.

« Protocole validé »

« Pour cette saison, Emmanuel, le saisonnier moniteur, a accepté de revenir, malgré un contrat écourté. L’association, qui est toujours conduite de façon collégiale, continue de progresser avec une cinquantaine d’adhérents ». Et de conclure : « En cette période où l’activité est calme, c’est le moment de débuter, insistent les deux permanents. Nous faisons également des bons cadeaux. Toutes les mesures sanitaires sont bien sûr strictement respectées entre chaque utilisateur du matériel. Notre protocole a été validé ».

Pratique

Les Passagers du vent, avenue Surcouf, Centre des Dunes, à Penthièvre.

Contact : www.lespassagersduvent56.com ; tél. 06 08 83 57 87.

16 juin 2020

Bretagne

boite aux lettres

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15 juin 2020

Chapelle de St Cado

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La tradition attribue la fondation du monastère au VIe siècle à Saint Cado, moine gallois. Après les invasions normandes, la communauté reprend son activité au cours du XIe siècle : le Cartulaire de Quimperlé conserve des chartes de dotation en faveur du monastère en 1009 et en 1058-1084.

En 1089, le duc de Bretagne Alain Fergent unit l’établissement qui devient prieuré à l’abbaye Sainte-Croix de Quimperlé. Celle-ci en garde les bénéfices jusqu’à la Révolution3.

La façade ouest est modifiée au XVIe siècle.

A partir du XVIIe siècle, les archives de la communes ne font plus état de moines à Saint Cado, mais d’un prêtre appointé par l’abbaye Sainte Croix qui réside dans la “Maison du Saint” attenante à la chapelle et est chargé d’organiser le pèlerinage.

A la Révolution, la chapelle est vendue comme Bien National à un dénommé Vincent Lorho, qui la restitue intacte à la paroisse.

Au XIXe siècle, on agrandit l’édifice en le flanquant d’une sacristie au nord-est et d’une chapelle portant clocheton au sud. Cette dernière, présente sur le plan cadastral de 1811, est remaniée en 1842 (date gravée au dessus de la baie du pignon).

L’édifice est restauré en 1959-602.

La chapelle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 mai 1925.

Le pardon traditionnel a lieu le 3e dimanche de septembre, pardon dont le rituel le plus original est l’offrande de poulets blancs.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chapelle_Saint-Cado_de_Belz

15 juin 2020

À Vannes, une dizaine de jardins éphémères sortent de terre

Article de Laurent Guenneugues

Il y aura moins de jardins éphémères cette année à Vannes, mais il y en aura tout de même une dizaine. Dont l’un réalisé par les riverains au cœur du quartier Nord-Gare, une double première !

Si la nature a repris ses droits pendant le confinement, selon l’expression consacrée, cette période de repos forcé n’a pas fait les affaires des jardins éphémères… « Mi-mars, on avait déjà validé 25 ou 26 projets pour cette sixième édition », se souvient Patrick Le Toquin, responsable du service des espaces verts de Vannes. Mais le confinement a changé la donne.

Les élèves des lycées horticoles et CFA de la région, notamment, ne pourront pas mettre à exécution leurs idées créatives. Plusieurs jardineries ont aussi renoncé cette année, car après une longue période de fermeture, elles se retrouvent avec beaucoup de travail. Dans ces conditions, pas facile de dégager du temps pour réaliser bénévolement un jardin éphémère !

Une dizaine de projets sont tout de même en train de sortir de terre, en ce moment. Ils devraient être terminés pour la fin juin. La plupart sont réalisés par des paysagistes ou autres professionnels du secteur, de Vannes ou des environs. Mais l’un d’eux est aussi l’œuvre d’habitants du quartier Nord-Gare, en face du futur hangar culturel, au pied des nouveaux immeubles bâtis par Giboire.

Du lien social plein pot

C’est une double nouveauté pour les jardins éphémères : « C’est la première fois que des riverains portent un projet et c’est aussi la première fois qu’il y en aura un en dehors du centre-ville », se réjouit Alain Musset, président de Fleurs de pavés. Lancée il y a deux ans, cette association a d’abord créé un jardin partagé pour produire des fruits et légumes. « Cette année, on a souhaité réaliser un jardin éphémère, qui permettra de faire connaître notre quartier à tous les Vannetais. Et puis, ça crée du lien social. Il n’y a rien de mieux pour intégrer les nouveaux arrivants. Une fois terminé, ce sera un lieu propice aux échanges ».

Une quinzaine de voisins de tous âges ont donc sorti pelles et râteaux, depuis la fin mai, pour réaliser ce joli coin de verdure, baptisé Le Passage. « C’est sur le thème de la récup. Tout ce qui est utilisé ici a déjà eu une autre utilité auparavant, on leur donne une seconde vie ». Par exemple, la plupart des palettes ont été récupérées sur le chantier de construction voisin.

Objets de brocante ressortis des greniers, coccinelles réalisées avec des pneus peints ou encore vieux jeans d’où s’échapperont des plantes… Leur imagination a été florissante ! Du bambou va aussi offrir un petit bruit agréable quand il y aura du vent.

Après trois semaines à ratisser et empoter, leur jardin éphémère est terminé… Et ça dépote !

14 juin 2020

Bretagne - Jardins

Bretagne jardins

13 juin 2020

L’emblématique château Turpault prend l’eau

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L’emblématique château Turpault, à Quiberon, fuit de tous bords. Son propriétaire, engagé dans un combat judiciaire contre les entreprises chargées de sa rénovation, craint pour la survie du bâtiment.

Impossible de rater l’imposante bâtisse qui trône sur la pointe de Beg-er-Lann, tout au bout de la presqu’île de Quiberon. Le château Turpault, construit au début du XXe siècle, a affronté la Seconde Guerre mondiale et résisté à un incendie lors du départ des soldats allemands qui l’occupaient.

Aujourd’hui, c’est l’eau qui le menace. Elle semble venir de partout, s’infiltrer jusque dans le réseau électrique qui dégouline, quand Alain Bensoussan fait visiter sa propriété.

L’avocat spécialisé en droit des technologies avancées, et par ailleurs candidat aux élections municipales à Quiberon, l’a acquis en 2014. Un rêve pour ce fils d’un postier et d’une secrétaire, qui raconte être tombé amoureux de la construction un soir de tempête. « Je devais y installer mon bureau et venir y vivre avec toute ma famille. » Mais avant, Alain Bensoussan veut faire entrer le château dans le XXIe siècle et le doter des dernières technologies « plug and play » pour qu’il soit entièrement piloté par une intelligence artificielle. « Des webcams, des caméras partout, et des images du château projetées à l’intérieur, à l’extérieur, des jeux de lumière », décrit-il, passionné par ce qu’il avait imaginé. Les lieux étaient divisés en plusieurs appartements, Alain Bensoussan veut tout ouvrir pour ne garder que « des pierres et du verre pour faire entrer la lumière ».

« Les murs ruisselaient »

Pour la rénovation, il charge de la maîtrise d’œuvre une entreprise de la presqu’île. Elle a été liquidée, en décembre 2019. « Les travaux devaient répondre à trois impératifs : étanchéité, car on savait que le château était dans l’eau ; sécurité, pour pouvoir accueillir mes petits-enfants, et l’équiper pour qu’il soit géré par la voix ».

Le chantier débute et le rêve vire au cauchemar. Après plusieurs retards, en 2018, lors d’une ultime visite qui devait se solder par la réception des travaux, l’avocat découvre « une véritable fontaine dans la pièce principale. Il pleuvait, les murs ruisselaient, des flaques partout ».

Alain Bensoussan a engagé une procédure judiciaire, toujours en cours, contre l’entreprise en charge de la maîtrise d’œuvre et celles qui ont participé aux travaux. « Une seule avait demandé à faire arrêter le chantier », précise le propriétaire. Un expert a été mandaté.

En attendant, le château Turpault continue de se dégrader. Des bassines sous les fenêtres qui fuient, des murs porteurs humides qui s’effritent, des traces sur les planchers, des revêtements cloqués… Et aucune pièce ne semble épargnée. « Il y a plus d’eau après les travaux qu’avant », constate tristement Julien Lemoing, ami de l’avocat qui devait se charger de tout l’aspect connecté.

C’est ce qui inquiète désormais le propriétaire des lieux qui dit avoir dépensé plus d’un million d’euros dans les travaux dont il a payé 80 % de la facture. « Il faut tout recommencer. Trouver d’où vient l’eau sinon le bâtiment va finir par s’effondrer. » Et personne n’imagine la pointe Beg-er-Lann privée de son emblématique château.

13 juin 2020

La base de sous marins à Lorient

La plus importante des bases de sous-marins allemands, construites pendant la Seconde Guerre mondiale, est à découvrir pour comprendre comment Lorient s’est trouvée projetée au cœur de la Bataille de l’Atlantique. Visite guidée dimanche à 15 h (+7 ans : 3,50/6,50 €. 02 97 02 23 29). Le sous-marin Flore se visite tous les jours sur rendez-vous (samedi et dimanche dès 10 h).

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