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Jours tranquilles à Paris

4 avril 2020

'CUTE BUT PSYCHO' UNE NOUVELLE HISTOIRE VISUELLE PAR 'DARIA ATAMANOVSKAYA' {NSFW / EDITORIAL EXCLUSIF}

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Daria Atamanovskaya  et le mannequin Iraida se sont  associés pour l'éditorialexclusif NAKID intitulé `` Cute But Psycho '' avec le styliste slavnayallli.

Daria Atamanovskaya est une photographe de Moscou. Elle veut vous présenter ma dernière histoire exclusive où j'ai collaboré avec Iraida, qui était ma muse et ma mannequin et Liza qui stylisait le tournage. Il représente la personnalité et les sentiments d'une jeune femme à la fois douce et forte.

Si vous aimez cette histoire visuelle, montrez-leur un peu d'amour, ce n'est qu'un aperçu des choses incroyables qu'ils ont créées - rendez-vous sur leur Instagram ci-dessous pour en savoir plus sur cet artiste génial et soutenir leur créativité et votre inspiration quotidienne en les suivant !

Découvrez plus de Daria Atamanovskaya et leur travail

https://www.instagram.com/bydariataman/?igshid=rr8dvubebhrd

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4 avril 2020

Didier Lallement, fragilisé par sa sortie sur le confinement, fait son mea culpa en direct

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« Ceux qu’on trouve en réanimation, ce sont ceux qui n’ont pas respecté le début du confinement », a déclaré, menaçant, le préfet de police de Paris. Il a été rappelé à l’ordre par le ministère de l’Intérieur et s’est excusé quelques heures plus tard en direct.

Par L'Obs

Faudra-t-il bientôt falloir suggérer au préfet de police de Paris d’arrêter de s’exprimer en direct à la télévision ? Six mois après son célèbre « Nous ne sommes pas dans le même camp Madame » lancé à une « gilet jaune », Didier Lallement fait à nouveau parler de lui. Interrogé ce vendredi 3 avril au matin en direct sur BFMTV pour évoquer les contrôles policiers qui attendent les Parisiens désireux de quitter la ville lors des vacances de Pâques, il a établi un lien direct entre les malades du Covid-19 actuellement en réanimation et les personnes ayant enfreint les mesures de confinement :

« Pas besoin d’être sanctionné pour comprendre que ceux qui sont aujourd’hui hospitalisés, ceux qu’on trouve dans les [services de] réanimation, ce sont ceux qui au début du confinement ne l’ont pas respecté. »

Et le préfet de police de Paris d’ajouter :

« C’est très simple, il y a une corrélation très simple ! »

Nombreuses réactions politiques

Des propos qui ont déclenché de nombreuses réactions outrées, notamment du Pr Frédéric Adnet, chef du SAMU de Seine-Saint-Denis, qui, sur BFMTV, a dénoncé une prise de parole « scandaleuse » et appelé Didier Lallement à la démission.

« Pour lui, ceux qui sont malades ou qui sont morts l’ont bien cherché. Écœurant », s’est aussi indigné le député Jean-Luc Mélenchon sur Twitter, à l’instar de nombreux responsables politiques. « Ce préfet est une honte », ont ainsi déploré Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, ou Marine Le Pen qui a qualifié les propos de Didier Lallement de « totalement stupides » et « d’une froideur et d’une méchanceté qui donnent la nausée ». Des critiques venues aussi de la majorité :

« L’autorité n’est pas la brutalité et le maintien de l’ordre n’est pas le jugement moral de nos concitoyens. En plus de méthodes très contestables et contestées, le préfet Lallement sort régulièrement de son devoir de réserve. Combien de temps encore ? » s’est interrogé le député LREM Aurélien Taché sur Twitter.

Mea culpa en direct

Alors que 6 399 patients atteints du Covid-19 étaient toujours en réanimation jeudi soir, selon le directeur général de la santé Jérôme Salomon, la sortie du premier policier de Paris tombe au plus mal pour l’exécutif et le ministère de l’Intérieur s’est rapidement désolidarisé du préfet : « Ce propos du préfet de police est inexact. Ce qui est vrai, c’est que le bon respect du confinement est un enjeu sanitaire majeur », a-t-on précisé dans l’entourage du ministre de l’Intérieur, cité par BFMTV dès la fin de matinée.

Après la diffusion des propos du préfet, Christophe Castaner l’a aussi contacté par téléphone, l’exhortant à rédiger un communiqué. Un recadrage - dont on ignore les détails - qui semble avoir porté ses fruits : à 13 heures ce vendredi, la préfecture de police de Paris a finalement indiqué par communiqué que Didier Lallement « regrette » les propos tenus ce matin :

« Son intention n’était pas d’établir un lien direct entre le non-respect des consignes sanitaires et la présence de malades en réanimation. »

Didier Lallement, le préfet de police « qui ne voulait pas être aimé »

Avant de préciser ses excuses lors d’une conférence de presse organisée peu après 16 heures ce vendredi : « Je regrette d’avoir tenu ces propos, je comprends les réactions qu’ils suscitent et je présente mes excuses à tous ceux que j’ai pu heurter », a répété Didier Lallement, qui a reconnu que ses propos étaient « faux ».

« J’ai pu donner le sentiment que je n’étais pas conscient que nombre de nos concitoyens sont encore exposés à la maladie en raison de leur engagement professionnel. Je pense à la communauté de soignants, aux policiers, aux pompiers, aux gendarmes et à tous les services publics. Je veux leur dire à tous et à toutes mon profond respect pour leur engagement », a-t-il expliqué, avant de promettre de « continuer » son « action à la tête de la police ».

Habitué des propos polémiques

Ce n’est pas la première fois que des déclarations de Didier Lallement font polémique et sont l’objet du courroux de l’exécutif. En novembre dernier, au lendemain du saccage de la place d’Italie à Paris, en marge d’un rassemblement des « gilets jaunes », le préfet de police avait été filmé en train d’échanger avec une habitante du 13e arrondissement - porteuse d’un gilet jaune :

« Nous ne sommes pas dans le même camp Madame », lui avait alors lancé le préfet avant de tourner les talons.

« C’est une faute, la police ce n’est pas un camp », avait notamment jugé Emmanuel Macron en off, dans un échange rapporté alors par « le Canard Enchainé ». « L’autorité au sommet de l’Etat ne peut pas avoir seulement ce visage-là », expliquait aussi à « l’Obs » un habitué du ministère de l’Intérieur.

Didier Lallement, le préfet de police « qui ne voulait pas être aimé »

« Evitez les ennuis »

8 270 fonctionnaires et militaires seront mobilisés tout au long du week-end pour assurer le contrôle des entrées et sorties de Paris, avait également annoncé Didier Lallement ce matin sur BFMTV. « Nous ne baissons pas la garde, nous continuons à être vigilants et efficaces », a prévenu le préfet, fidèle à son style martial et cassant : « Pour ceux qui échapperaient à nos contrôles sur Paris et l’Île-de-France, ils rencontreront d’autres forces de police tout au long de leur trajet. »

« Je le dis très simplement à ceux qui persisteraient dans leurs intentions stupides : nous serons là au départ, pendant le trajet et à leur arrivée. Evitez les ennuis, évitez des verbalisations répétitives qui vous concerneront vous et l’ensemble de vos passagers. »

Pourquoi tout le monde ne respecte pas le confinement ? Décryptage d’un spécialiste des foules

Le 17 mars dernier, alors que débutait le confinement à Paris, Didier Lallement avait déjà tenté de mettre en valeur ses méthodes pour faire respecter les mesures décidées par le gouvernement. Faisant le constat que « malheureusement, les consignes ne sont pas assez vite comprises » dans certains quartiers parisiens, il expliquait :

« Vous me connaissez, je vais les faire comprendre assez vite si jamais les explications pourtant parfaitement claires du gouvernement n’étaient pas arrivées aux oreilles de tous. »

Avant, toujours sur le même ton, de promettre de trouver des « solutions » et de vanter son action à la tête de la préfecture de police de Paris depuis sa nomination en mars 2019 - dans le cadre du maintien de l’ordre :

« Vous savez, rien n’est compliqué pour nous. On nous a expliqué que les manifestations étaient très compliquées, on nous a expliqué que toute une série de choses étaient épouvantable. Mon travail n’est pas de lister les problèmes, mon travail est de trouver des solutions. Je vais les trouver. »

4 avril 2020

BRETAGNE : le beurre...

beurre salé

4 avril 2020

Eve Marie pour Ellen von Unwerth

eve marie pour ellen

3 avril 2020

La lettre politique de Laurent Joffrin - Dieu et le virus

Les voies du seigneur sont décidément impénétrables. La plupart de ses fidèles, tout en priant avec ardeur pour la pauvre humanité, s’en remettent sagement à l’action très séculière des autorités civiles pour les protéger de la maladie ; les autorités religieuses constituées, chrétiennes, juives ou musulmanes, appellent toutes au civisme antivirus et font manifestement plus confiance au confinement et aux «gestes barrières» qu’aux génuflexions et aux bénédictions pour combattre le fléau. Mais il faut bien dire, toute révérence gardée, que c’est parmi les croyants les plus convaincus, les plus rigoureux, qu’on trouve les alliés les plus zélés du coronavirus. Pour parler clair, l’influence des intégristes de tout poil et tout plumage sur la santé des mortels de la planète est tout bonnement catastrophique.

En France, on le sait, c’est un rassemblement évangélique de trois jours tenu dans l’est du pays, avec force embrassades, la «Porte ouverte chrétienne», qui s’est montré le plus efficace propagateur de la maladie sur le reste du territoire, quand les pèlerins illuminés par la grâce sont rentrés dans leurs pénates en portant, en plus de la bonne parole, de fortes doses de coronavirus dont ils ont comblé leurs proches et leurs voisins. La «Porte chrétienne» en question était en fait ouverte pour la maladie…

Encore ce rassemblement s’est-il déroulé au début de l’épidémie, quand la prise de conscience de la dangerosité du virus était encore faible, ce qui atténue la responsabilité des organisateurs. Mais aux Etats-Unis, d’autres sectateurs du même culte, pasteurs en tête, refusent encore aujourd’hui de se soumettre à la discipline commune et continuent de se rassembler dans leurs églises au mépris des précautions les plus élémentaires. On soupçonne même Donald Trump, quand il a annoncé que tout redeviendrait normal à Pâques, d’avoir voulu, par cette prophétie aux allures bibliques complaire à cette communauté religieuse où il trouve les plus zélés de ses partisans.

Les évangéliques, toujours… A Singapour, lit-on dans un papier de synthèse publié par les Dernières Nouvelles d’Alsace, le ministère de la Santé indique que plus de trente des tout premiers cas détectés sur l’île proviennent de deux églises évangéliques : Life Church and Missions, et Grace Assembly of God. Deux des fidèles venaient directement de Wuhan, en Chine, mais, tout à leur pieuse ferveur, ont négligé de s’isoler.

En Corée du Sud, c’est l’Eglise Shincheonji de Jésus, secte apocalyptique aux méthodes musclées, et son gourou Lee Man-hee, qui sont mis en cause. Des offices au sein de sa branche de Daegu, début février, seraient à l’origine de la propagation du virus. Mi-mars, 60% des 7 500 cas de Covid-19 sud-coréens étaient liés à la secte Shincheonji.

En Iran, les rassemblements de Qom, ville sainte, sont à l’origine d’une grande partie des contaminations. Les premiers cas ont été décelés à la mi-février mais les cérémonies collectives ont continué jusqu’à la fin du mois. L’ayatollah responsable du mausolée a refusé d’interrompre le culte en expliquant que le sanctuaire était une «maison de guérison». Un autre dignitaire iranien a déclaré au bon peuple que le virus ne pouvait pas frapper les musulmans, jusqu’à ce qu’il soit lui-même atteint par la maladie.

En Israël, le gouvernement a toutes les peines du monde à faire respecter les mesures de confinement dans les quartiers où habitent les juifs orthodoxes, qui continuent de se rendre dans les synagogues en contravention avec les règles civiles. Un chiffre a ébranlé l’opinion : la moitié des personnes hospitalisées en Israël sont issues d’une des communautés ultra-orthodoxes, alors que celles-ci comptent seulement pour 10% dans la population totale. Dans beaucoup de ces quartiers, les fidèles écoutent les consignes des rabbins et non celles des autorités. On continue de célébrer des mariages ou des enterrements en contradiction avec toutes les règles sanitaires. Comme ces croyants, souvent, ne disposent ni de la télévision, ni de la radio, ni d’Internet, le gouvernement fait diffuser ses mots d’ordre par haut-parleur. Les juifs orthodoxes sont présents aussi aux Etats-Unis. Le premier foyer virulent de la côte Est a été décelé à New Rochelle, une ville proche de New York. La majorité des personnes contaminées dans cette ville étaient liées à une communauté juive orthodoxe.

En Inde, comme le rapporte RFI, c’est à un autre rassemblement religieux, musulman celui-là, qu’on impute une grande partie des contaminations. A la mi-mars, à New Dehli, plus de 3 000 personnes ont assisté à un office du Tabligh Jamaat, une organisation de missionnaires fondamentalistes. Elles sont ensuite rentrées chez elles, transmettant le virus dans tout le pays. Quelques jours après, les autorités ont interdit tout rassemblement, mais les responsables du groupe ont poursuivi leurs activités en soutenant qu’Allah les protégeait. Aujourd’hui, plus de 10% des cas d’infection et un tiers des décès liés au coronavirus sont des participants à cette congrégation ou bien leurs proches. Et l’on pourrait encore aligner beaucoup d’autres exemples, tout aussi édifiants.

L’auteur de cette lettre ne bouffe pas du curé à tous les repas (ni de l’imam ni du rabbin). Quoique mécréant, il respecte la religion, souvent source de dévouement et d’altruisme. Il se garde de crier «croa, croa !» quand il croise un prêtre, comme on le faisait au temps du petit père Combes. Aussi bien, les églises dans l’épreuve de la pandémie font en général preuve de civisme et appellent à observer les règles édictées par les gouvernements. Ces précautions étant prises, il faut bien admettre que la religion ne joue pas toujours un rôle positif dans cette pandémie, en tout cas dans la version intégriste, qui ajoute à la pathologie des corps une pathologie de l’esprit. Partout, c’est le même raisonnement qui est tenu : s’il y a peu de malades, on rend grâce à Dieu pour la protection qu’il accorde aux croyants ; s’il y en a beaucoup, on explique le fléau par la colère du même Dieu devant le comportement impie de la population concernée.

A tous ceux-là, on conseille la lecture de ces vers, tirés d’un célèbre poème de Voltaire, écrit après le tremblement de terre de Lisbonne, que les autorités religieuses de l’époque attribuaient elles aussi à l’impiété des habitants de la ville, tout en glorifiant envers et contre tout l’infinie sagesse du seigneur, dont les voies sont effectivement impénétrables.

«Cent mille infortunés que la terre dévore,

Qui, sanglants, déchirés, et palpitants encore,

Enterrés sous leurs toits, terminent sans secours

Dans l’horreur des tourments leurs lamentables jours !

Aux cris demi-formés de leurs voix expirantes,

Au spectacle effrayant de leurs cendres fumantes,

Direz-vous : "C’est l’effet des éternelles lois

Qui d’un Dieu libre et bon nécessitent le choix ?"

Direz-vous, en voyant cet amas de victimes :

"Dieu s’est vengé, leur mort est le prix de leurs crimes ?"

Quel crime, quelle faute ont commis ces enfants

Sur le sein maternel écrasés et sanglants ?

LAURENT JOFFRIN

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3 avril 2020

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confinement 3 avril ter

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Coronavirus : de nouveaux malades seront accueillis en Bretagne ce week-end

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Les hôpitaux bretons vont à nouveau accueillir des malades du Covid-19, dimanche 5 avril. Deux trains sanitaires vont les acheminer vers les établissements de santé de la région.

Deux trains sanitaires doivent arriver en Bretagne ce dimanche 5 avril. Les horaires ne sont pas connus pour le moment. Ils transporteront plusieurs malades du Covid-19 originaires d’Ile-de-France, où les hôpitaux sont surchargés.

Un premier train s'arrêtera à Rennes, Morlaix ou Saint-Brieuc et Brest. L’autre devrait faire escale en gare de Vannes, Lorient et Quimper. Cette dernière information est en cours de validation, des visites sont en cours pour vérifier la faisabilité de ces opérations dans ces trois gares. Selon l'ARS, lAgence régionale de santé, ces transferts régulés par le ministère de la Santé, sont complexes à organiser, car ils impliquent le personnel de santé, l'État et notamment la SNCF.

En Bretagne, le taux d'occupation des lits en réanimation est de 60%

Mercredi 1er avril, la Bretagne a déjà accueilli deux premiers trains sanitaires avec 36 patients. Les malades ont été hospitalisés à Rennes, Saint-Brieuc et Brest.

 

3 avril 2020

Annas Workshops

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