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Jours tranquilles à Paris

19 avril 2020

« Je n’ai plus de réunion et en plus ce n’est pas de ma faute » : les adeptes du confinement

confinement adeote

CHRONIQUE

Guillemette Faure

Ils ne l’avoueraient pas publiquement et peut-être même pas à eux-mêmes, mais une partie des confinés espèrent goûter le plus longtemps possible aux plaisirs de cette vie suspendue. Loin des soucis du bureau.

Des Français espèrent en douce que le confinement ne soit pas écourté trop rapidement.

Des Français espèrent en douce que le confinement ne soit pas écourté trop rapidement. Antoine Kremer/Hans Lucas via AFP

Depuis une dizaine de jours, un hashtag #stopconfinement est apparu sur les réseaux sociaux. Ceux qui le relaient relativisent souvent le nombre de morts du Covid-19 en les comparant à ceux de la canicule de 2003 qui, dans leur logique, n’a pas mis l’économie en quarantaine. Alors que Twitter est d’ordinaire un champ de contestations et d’injonctions, ce mot d’ordre n’a pas connu un grand succès. Au contraire, alors que le confinement dure, la grande majorité des Français y adhère, par raison ou solidarité.

Moins avouable : certains se régalent en douce des plaisirs du confinement, et à chaque intervention présidentielle, espèrent qu’il ne soit pas écourté trop rapidement. Si le déconfinement était annoncé pour demain, ils seraient pris de court et presque malheureux. Leur vie d’avant, celle avec une chemise repassée et des chaussures cirées, ne leur manque pas plus que ça : pourquoi faudrait-il retourner en réunion, retrouver des collègues qu’on n’aime pas et renouer avec un quotidien dans lequel on ne faisait que croiser ses enfants le soir en rentrant ? Le monde confiné est bien plus limité, mais il est aussi plus compréhensible et rassurant.

A quoi on les reconnaît

D’abord, ils ne vivent pas dans 20 mètres carrés. Et puis à l’annonce des deux premières semaines officielles du confinement, ils s’étaient fait mille promesses. Un mois après, les photos n’ont pas été triées dans des albums, et les murs et la moquette du salon n’ont toujours pas été lessivés. Si le déconfinement devait être annoncé brutalement alors qu’ils n’ont toujours pas trié leur tiroir à vieux chargeurs et leur armoire à pharmacie des médicaments périmés, ce serait l’échec.

D’autres fans cachés du confinement ont pris goût à une vie sans bousculade. Cette année, dès le matin du changement d’heure, ils ont pris le temps de re-régler la pendule du four. Grâce au télétravail, ils ont gagné trente minutes de sommeil par nuit et guettent le chant des oiseaux au réveil. Ils commencent tout juste à progresser en guitare et tutoient désormais des voisins dont ils ne connaissaient pas même l’existence en février (ils les prenaient pour des locataires Airbnb). Pourquoi faudrait-il renoncer à toutes ces minirévolutions ?

Comment ils parlent

« Je n’ai plus de réunion et en plus ce n’est pas de ma faute. » « J’ai fait les trois placards de la cuisine, demain j’attaque le tiroir à couverts. » « Je m’étais promis de faire les carreaux et ça fait déjà trois semaines. » « Je ne savais pas que c’était si facile de repriser des chaussettes. » « Avec quoi vous nettoyez vos rideaux de douche ? » « A force de regarder les tutos d’Eric le carreleur je serai au top pour les sols de la maison. » « De toute façon, je n’en suis pas encore à trente jours de cure de sébum. » (Un mois sans se laver les cheveux pour les fortifier.) « Quatre semaines que j’ai pas eu à faire le plein pour ma voiture. » « Ma carte bleue aime le confinement. » « On va pouvoir grouper les cadeaux de la Fête des mères, de la Fête des pères et de Noël. »

Leurs poncifs

Les journées filent à une vitesse. Je n’ai jamais autant profité de mes enfants. Ça remet l’essentiel et les priorités au centre de ma vie. Sans maquillage, ma peau respire enfin. Je voulais vivre comme ça depuis toujours mais ça n’aurait pas fait sérieux de le demander.

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19 avril 2020

Extrait d'un shooting - photos : Jacques Snap

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shoot studio (12)

19 avril 2020

Gros plan sur ce laboratoire chinois pointé du doigt

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laboratoireQuel est donc ce laboratoire de virologie de Wuhan (centre de la Chine), conçu avec l’aide de la France, qui nourrit les soupçons américains sur l’origine du Covid-19 ?

Selon la plupart des scientifiques, le nouveau coronavirus a probablement été transmis à l’homme depuis un animal. Un marché de la ville a été incriminé car il aurait vendu des animaux sauvages vivants. Mais l’existence, à quelques kilomètres de là, d’un institut de virologie alimente, depuis des mois, les hypothèses d’une fuite du Sars-CoV-2 depuis ces installations sensibles. À la suite d’articles de presse, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a évoqué, cette semaine, une « enquête » pour creuser cette théorie. Celle-ci ne s’appuie toutefois, pour l’instant, sur rien de très tangible.

Quel est ce site ?

Selon le Washington Post, l’ambassade des États-Unis à Pékin a alerté, en 2018, les autorités américaines sur des mesures de sécurité apparemment insuffisantes dans un laboratoire qui étudiait les coronavirus issus de chauves-souris. La chaîne américaine Fox News, citant « plusieurs sources » anonymes, a incriminé le laboratoire P4 (pour pathogène de classe 4) du site. Il s’agit d’une installation de très haute sécurité, qui héberge les souches les plus dangereuses des virus connus - comme Ebola. Ce lieu ultrasensible a été réalisé avec la collaboration de la France. Il permet de mener des recherches de pointe afin de réagir plus rapidement à l’apparition de maladies infectieuses. D’un coût de 40 millions d’euros, le laboratoire a été financé par la Chine. Les chercheurs y travaillent en confinement absolu. Il existe moins d’une trentaine de P4 dans le monde, dont la moitié aux États-Unis.

L’Institut de virologie de Wuhan possède, par ailleurs, la plus grande collection de souches de virus en Asie, avec 1 500 spécimens différents, selon son site internet. Quant à savoir si des coronavirus y ont bien été étudiés avant l’épidémie : l’institut a refusé de répondre aux questions de l’AFP.

Est-ce la source du coronavirus ?

Rien ne permet de le dire. Le Washington Post et Fox News citent des sources anonymes, ayant fait part de leur inquiétude quant à une potentielle fuite accidentelle du virus. Selon la chaîne de télévision, le « patient zéro » à l’origine de la pandémie pourrait être un employé de l’institut, contaminé, qui aurait ensuite diffusé, sans le vouloir, l’agent pathogène ailleurs, à Wuhan. Une hypothèse étudiée de très près par Washington.

Plusieurs théories ont fleuri, ces derniers mois, sur internet, pour incriminer ce laboratoire. L’institut a démenti, en février, les premières rumeurs. Il avait également déclaré avoir reçu, dès le 30 décembre, des échantillons du virus alors inconnu qui circulait à Wuhan, avoir séquencé son génome, le 2 janvier, puis avoir transmis ces informations à l’Organisation mondiale de la santé, le 11 janvier. Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a rejeté les accusations américaines visant l’institut.

Que disent les scientifiques ?

De l’avis de nombreux chercheurs, le nouveau coronavirus est sans doute né chez la chauve-souris, puis passé par le pangolin avant de se transmettre à l’homme. Seulement voilà : des études publiées par d’autres chercheurs chinois affirment que le premier patient connu n’a pas fréquenté le marché de Wuhan incriminé.

« L’origine de l’épidémie est toujours une question en suspens », souligne Filippa Lentzos, chercheuse en biosécurité au King’s College de Londres. Pour qui rien ne vient accréditer l’hypothèse d’une fuite de virus depuis un laboratoire… ni prouver qu’il provient du marché de Wuhan…

19 avril 2020

Confinement : pour tuer le temps....

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19 avril 2020

Ellen von Unwerth (née en 1954)

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La photographe. Après dix ans de carrière dans le mannequinat, l’Allemande Ellen von Unwerth passe derrière l’objectif. Dans les années 1990, ses photographies sont publiées dans de prestigieux magazines tels que Vogue, Vanity Fair et The Face.

Sa série à connaître. En 1989, elle photographie Claudia Schiffer en noir et blanc pour la marque Guess. Ces clichés sulfureux aux contrastes lumineux prononcés valent à la photographe et à la jeune mannequin de se faire rapidement repérer.

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19 avril 2020

Confinement

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19 avril 2020

Charles de Gaulle : les vérités de l’amiral Christophe Prazuck

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Selon l’amiral Christophe Prazuck, chef d’état-major de la Marine nationale, « Dès que la situation sanitaire a évolué à bord, la décision a été quasi-immédiate, sans débat ».

Selon l’amiral Christophe Prazuck, chef d’état-major de la Marine nationale, « Dès que la situation sanitaire a évolué à bord, la décision a été quasi-immédiate, sans débat ». (Photo archives Claude Prigent)

La mise hors de combat du porte-avions Charles de Gaulle par le Covid-19 posait de légitimes questions. Le chef d’état-major de la Marine nationale, l’amiral Christophe Prazuck, n’en élude aucune. Entretien vérité.

Solidarité coronavirus Bretagne

1 081 marins sont positifs au Covid-19. Dès le 6 avril, des familles de marins brestois du Charles de Gaulle avaient manifesté leur inquiétude. Que leur dites-vous ?

Je comprends leur inquiétude, comme celle de tous les Français touchés. Je leur dis que, dès le 7 avril, lorsqu’il apparaît que la situation évolue très rapidement à bord du porte-avions, la décision est prise quasi instantanément de le faire rentrer. Des rumeurs ont fait état de débats internes. Ce n’est pas du tout le cas. De surcroît, nous envoyons à bord des médecins pour tester les 60 cas les plus remarqués par le service médical. 50 se révèlent alors positifs.

Des marins relâchés avant ce 7 avril auraient-ils pu contaminer leurs familles…

Fin mars, lorsque le bâtiment mouille au Danemark, 11 marins sont débarqués pour diverses raisons. L’un d’eux, sans symptômes, sera dépisté positif deux jours après être rentré à Brest. L’était-il en descendant du bateau ou a-t-il contracté le virus sur le chemin du retour ? L’enquête répondra.

Combien la Marine nationale déplore-t-elle de contaminés au total ?

1 226 sont soit positifs, soit considérés comme tel sur décision médicale. Vous soulevez là un point important : oui, le Charles de Gaulle est un cas à part. Il était accompagné d’autres bateaux, qui ont aussi fait escale à Brest, sans quasiment aucune conséquence. La frégate La Motte-Piquet ne compte aucun contaminé. Sur le pétrolier ravitailleur La Somme, nous avons isolé 60 marins parce qu’ils auraient pu croiser des contaminés. Ils sont isolés au Centre d’instruction navale de Brest pour encore quelques jours. À Toulon, sur la frégate Chevalier Paul, qui a suivi exactement le même parcours que le porte-avions, une vingtaine de marins sont positifs, soit 10 % de l’équipage. C’est beaucoup, mais cela n’a rien à voir avec les plus de 50 % contaminés du Charles de Gaulle.

Il y a donc un sujet Charles de Gaulle…

Absolument. C’est probablement lié à la densité de population à bord, au fait qu’environ mille personnes vivent dans des chambres de 10. Cette promiscuité se retrouve dans le service, qui exige en permanence des mouvements de personnels sur le pont, entre la passerelle et les ponts inférieurs.

Comprenez-vous que la mise hors des combats en 10 jours du fleuron de notre Marine inquiète sur l’état de notre Défense ?

Moi aussi, je suis inquiet ! Comme je pense que le pays l’est en constatant la pression que cette crise inédite exerce sur tous les secteurs de notre société. La Défense n’y échappe pas.

Aurait-on pu - dû - prendre davantage de précautions pour « protéger » le Charles de Gaulle, qui contribue à la dissuasion nucléaire ?

Vous me demandez quelles mesures ont été prises ? Quand le bateau arrive à Brest, pour son escale du 13 au 16 mars, la France n’est pas en confinement.

Parlons donc de Brest où tout semble s’être noué…

Ce week-end-là, c’est le premier tour des élections municipales. Dans le Finistère, on sait bien qu’il y a entre 22 et 33 cas positifs au Covid-19. Mais c’est aussi un des départements de France les moins touchés. Il faut ravitailler le bateau, faire souffler l’équipage, en particulier le tiers qui habite dans le Finistère : les personnels du groupe aérien embarqué demeurent autour de Landivisiau. Le commandant délivre des consignes classiques, comme le respect des distances sociales. Il ajoute des mesures spécifiques : interdiction de fréquenter le principal foyer de l’épidémie en Bretagne, autour d’Auray (Morbihan). Quand les permissionnaires rejoignent le bord, l’éventualité d’une contamination est prise en compte. Un protocole est adopté pour 14 jours : la suppression des rassemblements du matin, la fermeture de carrés. Chaque marin remplit un questionnaire sur ses activités du week-end. 350 profils à risques sont identifiés et suivis médicalement deux fois par jour. Le 22 mars, un doute pèse sur un marin, mais son scanner des poumons ne révèle rien. À la fin des 14 jours, les autorités assouplissent donc ce dispositif qui pèse sur l’efficacité du service. C’était manifestement une erreur. Oui, le virus a contourné nos mesures.

La ministre a confirmé que l’équipage était fatigué avant d’arriver à Brest. Le Pacha a-t-il demandé à ce moment-là d’annuler sa mission en mer du Nord… ?

Cette rumeur est fausse. On sait très bien que le Charles de Gaulle est un outil extrêmement puissant, et que le Pacha est le mieux à même d’apprécier la fatigue de l’équipage. Quand le 7 avril, il nous alerte, la décision d’interrompre la mission est immédiate. Sans aucun débat. Combien de temps sera immobilisé le porte-avions à Toulon ? On est en train de procéder à son bio-nettoyage. On vise la fin du mois. C’est un travail très long, très compliqué. Mon attention se concentre sur l’équipage. Ma préoccupation est que les malades sortent de l’hôpital guéris, que les marins testés négatif puissent repartir chez eux en toute sécurité.

Pour assurer la résilience du groupe aéronaval, faudra-il un deuxième porte-avions ?

À chaque jour suffit sa peine !

porte avions

19 avril 2020

JDD de ce 19 avril

jdd

19 avril 2020

Le Parisien Dimanche

parisien dimanche

19 avril 2020

Technologie - Comment fonctionne la nouvelle appli italienne qui “traque” le coronavirus ?

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COURRIER INTERNATIONAL (PARIS)

Le jeudi 16 avril, le gouvernement italien a annoncé avoir sélectionné l’application qui devra aider le pays à contenir la diffusion du coronavirus une fois la phase 2 enclenchée. Elle s’appelle “Immuni” et devrait être disponible d’ici quelques semaines.

Le nom choisi sonne presque comme une promesse. “Immuni”, c’est ainsi que la société milanaise Bending Spoons a baptisé son application conçue dans le but d’enrayer la diffusion du coronavirus. Elle a été sélectionnée par le gouvernement italien “parmi 319 autres propositions”, détaille le quotidien turinois La Stampa, qui explique qu’Immuni “sera d’abord testée dans certaines régions avant que son utilisation ne soit étendue à tout le pays”. L’objectif affiché est que ce système soit pleinement opérationnel pour le 4 mai, date à laquelle le confinement italien devrait se terminer.

Comment fonctionnera cette application ? Comme l’explique le quotidien milanais Il Foglio, “Immuni propose un système de ‘suivi’ des contacts qui – en exploitant la technologie Bluetooth – révèle la proximité de deux smartphones dans un rayon d’un mètre. De cette façon, l’application va conserver sur le téléphone de chaque citoyen une liste de codes d’identification anonymes de tous les autres dispositifs dont l’utilisateur s’est approché au cours d’un certain laps de temps.”

Lorsqu’un citoyen se soumettra à un test de dépistage du coronavirus, un membre du personnel de santé (qui aura à disposition une version légèrement différente de l’application), générera un code qu’il transmettra au patient. À travers celui-ci, poursuit Il Foglio, Immuni pourra “calculer le risque d’exposition au coronavirus [pour les situations enregistrées précédemment], mesuré sur la base de la proximité physique et de la durée de la rencontre”.

Grâce à cette procédure “le serveur va générer une liste des personnes les plus à risque, auxquelles il sera possible d’envoyer une notification via smartphone”, conclut le quotidien milanais.

“Pour être efficace l’application devra être téléchargée par 60 % des Italiens”

Immuni sera également dotée d’une seconde fonctionnalité, précise Il Foglio :

Il s’agira d’une sorte de ‘journal clinique’, dans lequel les utilisateurs rentreront des informations comme leur âge, leurs antécédents médicaux ou leur prise de médicaments. Ce journal devra être mis à jour, selon l’évolution de l’état de santé du patient ; il restera privé, mais pourrait être utile pour contrôler l’évolution de l’état de santé de l’utilisateur et ainsi agir promptement en cas de développement de symptômes.”

Comme le précisent tous les titres de presse transalpins, le téléchargement d’Immuni se fera sur le principe du volontariat et ne saurait être rendu obligatoire. Néanmoins, estime La Repubblica, “pour que l’application soit efficace, elle devra être téléchargée par 60 % des Italiens. Un pourcentage qui ne sera pas facile à atteindre”, regrette le quotidien romain.

Voilà pourquoi La Stampa se demande purement et simplement si cette application “est vraiment utile”. Le quotidien turinois relaie les propos de Marco Trombetti – un des plus grands experts italiens en technologie – qui signale l’expérience négative de Singapour :

Dans ce pays, l’application adoptée par le gouvernement a été téléchargée moins d’un million de fois, pour une population de six millions de personnes, et parmi ceux qui l’ont installée seuls 50 % l’ont activée. De plus, le Bluetooth ne traçait pas automatiquement les iPhone, qui représentent environ 38 % des smartphones utilisés à Singapour.”

Immuni sera testée au sein de Ferrari

Voilà qui fait dire à La Stampa que, pour être efficace, “Immuni devra nécessairement fonctionner de la même façon sur les systèmes iOS et Android”. Selon le quotidien turinois, les deux géants seraient en train de travailler ensemble à un système commun, qui – comme l’a conseillé l’Union européenne – ne prévoirait pas l’exploitation des données GPS. Néanmoins, “les premiers résultats de la collaboration entre les deux groupes ne devraient être disponibles que vers la mi-mai. Jusque-là, Immuni pourrait ne pas fonctionner au maximum de son potentiel”, prévient La Stampa.

Fait surprenant, enfin : avant même que l’application ne fasse ses débuts dans certaines régions italiennes, selon les informations du quotidien milanais Corriere della Sera, “Immuni sera testée au siège de Ferrari, près de Modène, où le téléchargement de l’application sera proposé au personnel”.

Beniamino Morante

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