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Jours tranquilles à Paris

18 septembre 2020

Milo Moiré

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18 septembre 2020

L’assemblée générale des Césars provoque la colère

Roman Polanski, accusé de viols, figure parmi les membres de ce nouveau comité

Quelle sera l’ampleur de la rénovation de l’Académie des Césars ? Après le chaotique feuilleton qui avait conduit à la démission des membres du conseil d’administration de l’Association pour la promotion du cinéma (APC), en févier, l’institution avait annoncé différents axes de réforme : outre la parité, un nouveau mode de gouvernance et plus de diversité. Le renouvellement de l’assemblée générale (AG), composée de 182 personnalités issues de 21 branches (interprètes, scénaristes, costumes, réalisateurs…), était donc très attendu au mois de septembre. Sur les 182 membres de l’AG, 164 sont élus par les 4 313 membres de l’Académie, auxquels s’ajoutent 18 membres historiques admis d’office, soit parce qu’ils ont obtenu un Oscar, soit parce qu’ils sont d’anciens présidents de l’Académie, etc. « C’est une mascarade » Mardi 15 septembre, un document dévoilant la liste des 182 nouveaux membres de l’AG a relancé la polémique : y figurent en tant que « membres historiques », Roman Polanski, accusé de viols et d’agressions sexuelles, l’ancien patron contesté des Césars Alain Terzian ou encore le producteur Thomas Langmann, condamné en 2019 pour harcèlement à l’égard de sa femme. Les membres historiques avaient jusqu’à fin juillet pour faire savoir s’ils souhaitaient ou non être reconduits. Polanski, Terzian et d’autres se sont donc manifestés, comme les statuts actuels l’y autorisent. Lors de la dernière cérémonie des Césars, Polanski a reçu la statuette du meilleur réalisateur pour J’accuse, suscitant le départ de l’actrice Adèle Haenel. Exclu de l’association des Oscars en 2018, le cinéaste avait saisi la justice américaine pour se faire réintégrer, mais il a été débouté le 26 août. Certains parmi les membres de l’AG ne décolèrent pas, telle Andréa Bescond, la réalisatrice des Chatouilles (2018), sur une enfant victime de viol : « C’est une mascarade à laquelle nous ne pouvons participer. Merci de réagir, de changer ces vieux statuts, à défaut, ce sera sans nous », a­t­elle réagi sur Instagram. Prochaine étape le 29 septembre, où l’assemblée générale élira un nouveau conseil d’administration (CA). Selon un connaisseur de l’Académie, le nouveau CA devrait pouvoir modifier les statuts pour supprimer l’existence des « membres historiques ». Selon les statuts mis à jour le 9 juillet, le CA a aussi « la faculté de prononcer l’exclusion d’un membre de l’Association (…) pour tout motif grave, après mise en demeure (…), et après avoir, au préalable, requis l’intéressé de fournir toutes explications ». Article de Clarisse Fabre

18 septembre 2020

GLAMOUR - Rachel Cook

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18 septembre 2020

EDITORIAL "LE MONDE" - Ouïgours : l’asservissement d’un peuple

Le Xinjiang, ce vaste territoire aux frontières de l’Asie centrale où vivent les 11,5 millions de Ouïgours, est victime d’un totalitarisme dont la sophistication se révèle un peu plus chaque jour. Chaque mois, des « cousins » han, l’ethnie majoritaire chinoise, sont assignés par les autorités afin de s’inviter dans les foyers musulmans pour une semaine de vie commune, au nom de « l’union des ethnies en une seule famille ». Lancée en 2016 et généralisée depuis 2018, cette vaste campagne est présentée par les autorités chinoises comme une « politique douce » capable « d’approfondir la compréhension entre les ethnies et de contribuer à la stabilité de la région autonome du Xinjiang ». Derrière cette propagande, l’asservissement de tout un peuple est à l’œuvre.

Chaque visite de fonctionnaires hans comporte une mission officieuse : dénoncer la pratique religieuse et tester le patriotisme des hôtes ouïgours envers le pouvoir et son leader, Xi Jinping. Dans un contexte d’internement systématique des Ouïgours au moindre prétexte et au nom de la lutte contre le « terrorisme, le séparatisme et le fondamentalisme », la population est soumise à ces inspections orwelliennes. Ce pouvoir disproportionné ne fait qu’exacerber l’un des griefs latents des Ouïgours sous administration communiste : la colonisation de leur territoire ancestral et l’accaparement de ses richesses par l’écrasante majorité han (qui représente 96 % de la population chinoise et 40 % de celle du Xinjiang).

A l’occupation de l’espace, au mépris de la Constitution chinoise pourtant garante de l’autonomie de ces régions, s’est ajoutée celle des esprits, à travers un endoctrinement dit de « transformation par l’éducation » au moyen de camps où sont détenus au moins 1 million de Ouïgours. Dans le même temps, culture et langue locales sont niées. Le ouïgour (comme le tibétain et le mongol) a été marginalisé dans les cursus scolaires au profit du mandarin. Le contrôle de la vie intime parachève cette effrayante sujétion de la population.

Celle-ci s’exerce au moyen d’une violence « aux caractéristiques chinoises ». L’Etat chinois s’appuie sans garde-fous sur les technologies de surveillance les plus sophistiquées et sur des capacités logistiques et de génie civil comme seul Pékin en dispose. De récentes images satellites identifient 260 structures dotées des caractéristiques de centres de détention construites depuis 2017 au Xinjiang, dont certaines ont la capacité d’accueillir plus de 30 000 détenus. Ce degré de coercition est aussi rendu possible par la brutalité d’un Etat policier qui punit tout lanceur d’alerte, qu’il soit ouïgour ou han.

Enfin, contrairement à ce que promettent les dirigeants chinois en déplacement à l’étranger, il n’est pas possible pour des journalistes ou des chercheurs occidentaux d’enquêter librement sur place. Les abus au Xinjiang ne nous parviennent que grâce à des victimes et à des témoins qui ont pu fuir la Chine.

Face à ces abus systématiques contre les droits de l’homme, seuls les Etats-Unis ont adopté des sanctions, certes symboliques, contre les dirigeants du Xinjiang, mais aussi contre le Bingtuan, ou Xinjiang Production and Construction Corps, la gigantesque organisation paramilitaire chargée de coloniser le territoire en y attirant des Hans par des politiques incitatives d’installation. Les dirigeants européens, dont Emmmanuel Marcon, n’ont que très récemment choisi de nommer publiquement les exactions. Il reste à associer à ces discours des actions concrètes, qui n’ont que trop tardé.

18 septembre 2020

Marisa Papen

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18 septembre 2020

La panthéonisation de Rimbaud et Verlaine relève d’une idéologie bien-pensante et communautariste

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Arthur Rimbaud (à gauche) et Paul Verlaine.

D’artistes, Écrivains, Poètes Et Rimbaldiens,

Un collectif d’artistes, écrivains, poètes et rimbaldiens, parmi lesquels Florence Delay et Erri de Luca, demandent au président de la République de refuser cette « démarche sociétale, et non mémoriale »

Permettez à quelques écrivains, poètes, rimbaldiens, artistes et intellectuels, permettez à tout passant de vous exhorter, Monsieur le président de la République, à ne pas faire entrer au Panthéon les cendres d’Arthur Rimbaud [1854-1891] et de Paul Verlaine [1844-1896], comme vous le suggèrent, en une pétition récemment diffusée, quelques signatures illustres – qui n’ont pas, il est vrai, forcément, toujours clarté de tout. Pour notre part, également « fous du poète », comme disait Verlaine à propos d’Arthur Rimbaud, et dans une égale ouverture d’esprit aux questions sociétales, nous tenons à vous aviser de l’erreur que constituerait, à notre avis, l’entrée forcée au Panthéon d’Arthur Rimbaud (si jamais ces termes ne sonnaient pas immédiatement comme un oxymoron) et de Paul Verlaine, pour peu que vous voudrez bien examiner ces cinq raisons de bon sens.

Rimbaud le « patrouillote » Faut-il rappeler quelles provocations retentissantes de l’adolescent rebelle s’entendraient au fronton de « la patrie reconnaissante » ? « Ma patrie se lève ! Moi, j’aime mieux la voir assise ; ne remuez pas les bottes, c’est mon principe. » Pourquoi ne pas respecter les vociférations grandioses d’Une saison en enfer, refuser d’entendre à quel point elles ne se destinent pas aux cryptes de notre Panthéon : « Je suis de race inférieure », « Je ne suis pas de ce peuple-ci… »

Telles sont quelques-unes des citations que rappelaient déjà, en 1927, André Breton et Louis Aragon, dans le tract intitulé « Permettez ! », qu’ils distribuèrent à Charleville (Ardennes) lors de l’inauguration d’un buste de Rimbaud, avec les signatures de Robert Desnos, Paul Eluard, Max Ernst, Michel Leiris, Jacques Prévert, Raymond Queneau, beaucoup d’autres encore, tous indignés par cette ridicule tentative de récupération bien-pensante, celle-là même qui prendrait aujourd’hui une dimension nationale et irréversible !

Comment expliquer à la nation que le Panthéon abriterait, aux côtés de Pierre Brossolette et de René Cassin, un jeune Rimbaud sarcastique qui, pendant l’occupation prussienne [de 1870 à 1873], ironisait : « Je souhaite fort que l’Ardenne soit occupée et pressurée de plus en plus immodérément » ? Son « patrouillotisme » serait-il dans la manière de Jean Moulin ? N’entre pas au Panthéon qui veut. Mais quand on ne veut pas ?

Faites entrer à reculons, s’il vous plaît, le cercueil de Paul Verlaine, qui demandait à ses amis communards de retourner leurs canons contre le Panthéon.

Comment réprimerez-vous les inscriptions « sauvages » qui ne manqueront pas de dégrader régulièrement les murs du Panthéon, quand celui qui serait honoré à l’intérieur parmi les grandes figures aux actes édifiants écrivait jadis « merde à Dieu » sur les bancs des promenades ? Comment expliquerez-vous que Rimbaud, à son corps ou à ses cendres défendant, soit admis à cet honneur qu’il aurait détesté et dont ne sont toujours pas jugés dignes, par exemple, Charles Péguy, bouleversant écrivain et patriote mort au champ d’honneur ? Ou Guillaume Apollinaire, blessé dans les tranchées, et qui terminait ses soupers avec le Douanier Rousseau en chantant La Marseillaise ? Ou encore Missak Manouchian, poète, immigré arménien mort pour la France ? Les premiers signataires ci-dessous réagissent comme les intellectuels et artistes de 1927, mais en considérant que la situation est infiniment plus grave parce qu’il s’agit de la France tout entière, notre pays, qui présenterait, dans la confusion des valeurs, une significative image d’elle-même.

Hugo et les autres Un seul poète, immense, repose au Panthéon, jusqu’à présent, sur 78 personnalités… Si l’Etat songe enfin à réparer cet oubli, il importerait de faire entrer préalablement et d’urgence aux côtés de Victor Hugo, Baudelaire, Racine, Molière, La Fontaine, Marceline Desbordes-Valmore, Léopold Sédar Senghor, Saint-John Perse, tant d’autres poètes et écrivains ! Et n’oubliez pas Poussin ! Debussy !

Fonction du Panthéon Dans l’histoire prestigieuse du Panthéon survient une nouveauté remarquable, qui tient au projet de faire entrer non pas exactement un « poète », mais, tacitement, un couple « homosexuel ». Une internaute le comprend bien : « Leur panthéonisation, c’est pour leur œuvre ou bien pour leur relation ? » Associer les deux noms de Rimbaud et Verlaine – ce qui est une simplification biographique et une erreur littéraire, car ils ne sont pas de la même taille – et forcer publiquement, en une sorte de pacs morbide, des retrouvailles, auxquelles d’ailleurs Rimbaud se refusait absolument, une telle opération constitue en effet une démarche sociétale, et non mémoriale, qui n’est pas dans la vocation du Panthéon. Il ne s’agit que de faire passer pour une transgression (admettre un rebelle) ce qui est fondamentalement une démarche politiquement correcte.

En cela nous voyons un acte supplémentaire de l’américanisation, par ce communautarisme (qui peut mener loin dans les admissions au Panthéon), qui envahit la culture française et qui la compromet chaque jour jusque dans notre langue française. Et l’on passe ainsi de la culture (lire la poésie, qui nous interroge, nous éclaire) au culturel, du livre au spectacle, de l’œuvre à l’instrumentalisation du poète en un acte de communication.

« Drôle de ménage » Un tel changement de registre intellectuel oblige à faire le point sur les aspects intimes de la relation de ces deux poètes : en l’état actuel de la recherche rimbaldienne, il est impossible d’affirmer que Rimbaud fut homosexuel toute sa vie ; tout porte à croire que sa relation amoureuse avec Verlaine (« des amours de tigre », « un mauvais rêve », dira Verlaine) participe de la provocation antibourgeoise, si l’on veut bien se placer dans le contexte moral de son époque, et de ce qu’il nomme « l’encrapulement » nécessaire à son entreprise poétique. Plusieurs jeunes femmes sont attestées dans sa vie et ses poèmes à cette même époque ; Rimbaud vécut six mois avec une femme abyssine à Aden(dans l’actuel Yémen )en 1884 ; il envisage, en 1890, d’épouser une femme qui consentirait à le suivre dans ses errances (laquelle restait introuvable, et il en allait de même pour ses compagnons d’infortune). Le couple Verlaine et la jeune Mathilde, de son côté, fut l’un des premiers à bénéficier de la nouvelle loi favorisant le divorce, après s’être séparé en 1873 ; et le poète de Sagesse, qui vécut avec deux femmes à la fin de sa vie, est l’auteur de deux recueils, sommets de la poésie érotique française, symboliquement intitulés Femmes et Hombres…

Un dépassement de la séparation Une toute petite coterie est en fait à l’origine de la pétition militante qui demande la panthéonisation de Rimbaud et Verlaine ; elle relève d’une idéologie bien-pensante et communautariste ; elle promeut une biographie de Rimbaud, en vente à cette occasion, très documentée, mais dont la particularité consiste à ne développer que l’infinie platitude des faits, c’est-à-dire à se débarrasser enfin de la poésie et des remises en question qu’elle porte depuis cent cinquante ans. Or ce qui caractérise les problématiques de l’amour chez Rimbaud ne se comprend que par la poésie – dans sa recherche désespérée, au-delà même des qualifications sexuelles, d’un nouveau corps amoureux.

Monsieur le président de la République, vous qui êtes attentif aux symboles, ne commettez pas cette erreur, pire : cette gaffe ! N’arrachez pas Rimbaud à sa terre natale ! Laissez Rimbaud reposer parmi les siens, comme le réclament le maire de Charleville et tous les Ardennais, avec nous et tant d’autres amoureux des poètes ! Respectons Césaire dans son île, Chateaubriand en son Grand Bé, solitaires face à l’océan ! Laissons libres les poètes, tels qu’ils ont vécu et, par-dessus tout, respectez Arthur Rimbaud qui, pour avoir abandonné la poésie, n’a jamais cessé d’adorer ce qu’il appelait la « liberté libre ! »

Poètes, écrivains, artistes :

Adonis, Muriel Barbery, Stéphane Barsacq, Tahar Ben Jelloun, Claudine Bertrand, Zéno Bianu, Jean-Marie Blas de Roblès, Alain Blottière, Alain Borer, Denise Boucher, Frédéric Boyer, Bernard Cerquiglini, Jean Clair, Francis Combes, Antoine Compagnon, Michel Deguy, Florence Delay, Guy Goffette, Anouk Grinberg, Stéphanie Hochet, Mark Irwin, Pierre Jourde, François Jullien, Abdellatif Laâbi, Jean-Marie Laclavetine, Michel LeBris, Erri de Luca, François L’Yvonnet, Gérard Macé, Eric Marty, Gérard Mordillat, Sophie Nauleau, Nimrod, Bernard Noël, Xavier North, Valère Novarina, Gabriel Okoundji, Christian Olivier, Jean-Baptiste Para, Jean-Noël Pancrazi, Serge Pey, Ernest Pignon-Ernest, Denis Podalydès, Bernard Pozier, Jacques Réda, Robin Renucci, Olivier Rolin, Jean Rouaud, Jacques Roubaud, Rodney Saint-Eloi, David St. John, Christian Schiaretti, Gilles Sebhan, Jean-Pierre Siméon, Sylvain Tesson, André Velter, Marci Vogel. Rimbaldiens : Jacques Bienvenu, Olivier Bivort, Pierre Brunel, André Guyaux, Yanny Hureaux, Boris Ravignon, Henri Scepi, Jean-Luc Steinmetz, Jacqueline Teissier Rimbaud, Alain Tourneux, et les 119 adhérents des Amis de Rimbaud-Association internationale.

18 septembre 2020

Monica Bellucci

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18 septembre 2020

Street art - Banksy risque d’être dépossédé de sa propre marque

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THE GUARDIAN (LONDRES)

L’artiste britannique a perdu un procès contre une société de carte de vœux qui souhaitait utiliser une image de sa fresque Flower Thrower. Pour les autorités européennes, en raison de son anonymat, Banksy n’est pas considéré comme le propriétaire incontestable de ses œuvres, rapporte le Guardian.

Banksy est-il propriétaire de ses œuvres et de ses marques ? Rien n’est moins sûr selon le Guardian : l’artiste britannique a en effet perdu un procès contre une société de cartes de vœux, Full Colour Black, qui soutenait qu’elle devait pouvoir utiliser une image de la fresque au pochoir Flower Thrower, que Banksy avait peinte à Jérusalem, en raison de l’anonymat de l’artiste.

En 2014, les représentants de Banksy avaient déposé une demande de marque européenne pour le Flower Thrower, mais cette demande a été rejetée lundi 14 septembre, après un litige de deux ans.

D’après le Guardian, l’Office de l’Union européenne pour la propriété intellectuelle (EUIPO) a déclaré avoir refusé d’accorder une marque déposée à l’artiste parce que ce dernier “ne pouvait pas être identifié comme le propriétaire incontestable” de ses œuvres, son identité restant cachée.

Une marque qu’il n’exploite pas lui-même

“Banksy a choisi de rester anonyme et, le plus souvent, de peindre des graffitis sur la propriété d’autres personnes sans leur permission, plutôt que de les peindre sur des toiles ou sur sa propre propriété”, a déclaré l’EUIPO.

En octobre 2019, Banksy avait pourtant ouvert une boutique à Croydon, dans le sud de Londres, pour contester à la société Full Colour Black le droit de “vendre légalement sa fausse marchandise Banksy”.

D’après le quotidien britannique, cela a aggravé son cas auprès des autorités européennes. Ces dernières ont considéré que Banksy vendait dans ce magasin des marchandises “inexploitables et offensantes”, dont des boules de discothèque “fabriquées à partir de casques antiémeutes usagés de la police”.

Pour l’EUIPO, l’artiste n’avait pas pour intention d’exploiter la marque Flower Thrower pour vendre des marchandises mais “pour contourner la loi” et empêcher que Full Colour Black ne l’utilise.

Ce qui fait dire à Aaron Mills, avocat de l’éditeur de carte de vœux interrogé par le site spécialisé World Trademark Review, que le jugement pourrait signifier que d’autres marques de Banksy sont concernées :

S’il n’y a pas d’intention d’utiliser la marque, alors elle est invalide. En réalité, toutes les marques de Banksy sont en danger.”

Source

The Guardian

LONDRES www.theguardian.com

18 septembre 2020

Toilet Paper

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18 septembre 2020

Plouharnel - Le Bégo, un patrimoine mis en lumière grâce à Liberty Breizh Memory Group

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Les bénévoles de l’association LBMG, Liberty Breizh Memory Group, seront mobilisés pour les Journées du patrimoine ce week-end.

L’association LBMG, Liberty Breizh Memory Group, s’inscrit de manière durable dans la préservation du site du Bégo, à Plouharnel, lieu emblématique chargé d’histoire du territoire. Ses membres sont pleinement investis dans le cadre des Journées du patrimoine. Ce week-end, ils ouvriront les portes, gratuitement, du bunker qu’ils s’attellent à remettre en état d’origine depuis 2011 et dans lequel ils exposent des pièces de leurs collections privées. Un mini-camp alliés de la Seconde Guerre mondiale sera également reconstitué.

Pratique

Samedi et dimanche, visite libre du bunker de 10 h à 18 h 30. Visites du Mur de l’Atlantique : départ à10 h 30 et à14 h 30.

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