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Jours tranquilles à Paris
4 août 2020

BIGNAN* Domaine de Kerguéhennec

«Un été à Kerguéhennec», jusqu'au 30 août

Pour sa saison estiva te 2020, le grand centre d'art contemporain nous propose de découwir l'ensemble des créations réalisées in situ par Cathryn Boch dans les écuries, et le « Chant de la phalène » de la photographe Anne-Lise Broyerdans la bergerie. S'y ajoutent l'installation «Construire un feu //Arroser les plantes », résultat du travail à quatre mains de Fabien Leplae et Julie Bon naud, et « La chapelle des ronces », conception botanique d'Erik Samakh dans la chapelle de La Trinité. De son côté, le parc accueille trois nouveautés, la permanence architecturale du duo de designers Barreau et Charbonnet, ['installation d'une micro-architecture d'Edouard Sautai et celle de deuxœuvresde Marc Didou.A ne pas manquer davantage, l'espace permanent dédié au fonds Tal Coat, avec son parcours pédagogique présentant la vie et l'œuvre de l'artiste. Renseignements : 02 97 60 31 S4-www.kergiiehennec.fr

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4 août 2020

Un été au Havre

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Sur le parking de la plage, vous ne pouvez pas la louper et pour cause. Elle culmine à plusieurs mètres de hauteur ! Toujours à la plage, en remontant vers Sainte-Adresse, l’œuvre de Fabien Mérelle, A l’origine, avait marqué les esprits. Elle revient en 2020 là où on ne l’attend pas… ! Changement d’ambiance dans la fantastique Eglise Saint-Joseph, source intarissable d’inspiration pour les artistes d’Un Eté au Havre. Carte blanche a été laissée à Claude Lévêque qui y déploie un « manteau de fleurs mouvant ». (photos ci-dessous)  Enfin, il ne vous aura pas échappé que le thème retenu cette année est « Regarder la mer ». Qui mieux que Monsieur Goéland de Stephan Balkenhol pour incarner ce thème ? Cette sculpture monumentale en bronze peint, de 2m80, est posée sur un perchoir de 3m20.

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1 août 2020

Landerneau - Chessboxer, d’Enki Bilal

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La faculté d’anticipation d’Enki Bilal lui a permis d’anticiper quelques-uns des changements les plus marquants du XXe siècle, tels que la chute du mur de Berlin, ou la dislocation de l’URSS.

1 De Belgrade à Paris

Enes Bilalovic est né en 1951, à Belgrade, en République fédérative socialiste de Yougoslavie, d’un père Bosniaque et d’une mère Tchèque. Il voit donc le jour, sous le régime de Tito, six ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Son père, refusant d’adhérer au parti en place, demande l’asile en France. Il l’obtient et part travailler à Paris. En 1961, Enes rejoint son père, avec sa sœur et sa mère.

2 Ses débuts à Pilote

Enes dessine beaucoup et se lance dans la réalisation de bandes dessinées. Il ne tarde pas alors à proposer ses dessins à la rédaction de Pilote, l’hebdomadaire de BD français créé, entre autres, par François Clauteaux, Goscinny et Uderzo. C’est en 1972, après un court passage à l’école des Beaux-Arts, qu’il publie sa première histoire dans Pilote, « Le bol maudit ». Dans cette même rédaction, il rencontre Pierre Christin, le scénariste de « Valérian », avec lequel il entretiendra une longue et très fructueuse collaboration. Ils publiront alors « La croisière des oubliés », en 1975, « Le Vaisseau de pierre », en 1976 et « La ville qui n’existait pas », en 1977. Suivront ensuite « Les Phalanges de l’Ordre noir », en 1979, et « Partie de chasse », en 1983, ce dernier ayant en toile de fond, l’histoire de la Révolution russe et la situation de l’URSS en 1983.

3 La trilogie « Nikopol »

Réalisée entre 1980 et 1992, la trilogie « Nikopol », constituée de « La foire aux immortels », « La femme piège » et « Froid Équateur », fait partie de ses travaux les plus emblématiques. Enki Bilal, scénariste et illustrateur, y dépeint une société inégalitaire, en 2023. Dans ce chef-d’œuvre d’anticipation, Bilal dénonce, non sans humour, la conquête démesurée et absurde du pouvoir, dans une ville peuplée d’aventuriers et d’extraterrestres de tout poil.

Cette œuvre décisive a valu à Enki Bilal d’être reconnu comme l’un des auteurs cultes de la BD contemporaine.

4 De la BD au cinéma

En 1989, l’année de la chute du mur de Berlin, Bilal sort son premier long-métrage : « Bunker Palace Hôtel ». En collaboration avec Pierre Christin, il adapte avec finesse son univers de bande dessinée au grand écran. Une fresque sur le totalitarisme, avec Jean-Louis Trintignant et Carole Bouquet. Suivront « Tykho Moon » en 1996, avec Michel Piccoli, Jean-Louis Trintignant, Richard Bohringer et Julie Delpy et, en 2004, le film d’animation « Immortel, ad vitam ». On retrouve dans ce dernier, les personnages fétiches du dessinateur, Alcide Nikopol et Jill Bioskop, présents entre autres dans « Froid Équateur », le dernier opus de la trilogie « Nikopol ».

5 Le chessboxing, c’est quoi ?

Dans « Froid Équateur », Alcide Nikopol concourt pour le titre de champion du monde de chessboxing. Ce sport, inventé de toute pièce par Enki Bilal, réunit deux athlètes sur un ring, pour onze rounds, alternant des combats de boxe anglaise et une partie de jeu d’échecs. Pour Bilal, cette activité hautement paradoxale, presque caricaturale, illustre avec humour le système d’évaluation de l’humain imaginé dans « Froid Équateur ».

La quête de l’excellence, dans tous les domaines, est permanente et le chessboxing permet de mettre en lumière les individus les plus performants, tant sur le plan physique qu’intellectuel.

6 Une fiction dépassée par la réalité

En 2003, l’artiste néerlandais Iepe Rubingh organise le premier match officiel de chessboxing, en Allemagne. La World Chess Boxing Organisation voit le jour, des fédérations fleurissent dans de nombreux pays et des championnats du monde s’organisent ! Certains adeptes de la discipline rêvent même de se faire une place aux JO ! Enki Bilal rend hommage à ce sport. Dans le tableau « Chessboxer », il représente une femme au style « bilalien », la dame de l’échiquier, pommettes hautes et saillantes, corps hybride, équipée de gants de boxe et affrontant un cheval au motif en damier, clin d’œil au cavalier. Leur lutte s’annonce sans merci, jusqu’au KO… ou à l’échec et mat !

« Chessboxer » d’Enki Bilal est visible au Fonds Hélène & Édouard Leclerc pour la Culture à Landerneau (29), Les Capucins. Ouverture tous les jours, de 10 h à 18 h, jusqu’au 4 janvier 2021, sauf les 1er novembre, 24, 25, 31 décembre et 1er janvier. 6/8 €, gratuit - 18 ans. Tél. 02 29 62 47 78.

30 juillet 2020

Perros-Guirec : une pétition contre l’exposition de Philip Plisson

Douze clichés de Philipp Plisson sont exposés, jusqu'en avril 2021, plage de Trestrignel, à Perros-Guirec. 

Le 27 juin, la ville de Perros-Guirec (22), les éditions Jack et Pêcheur d’images inauguraient, sur la plage de Trestrignel, l’exposition « Images du monde ». Elle est composée de photographies de Philip Plisson, prises en Polynésie française, aux Seychelles ou à Madagascar. Certains Trégorrois s’indignent de la visibilité donnée à un homme jugé en 2014 pour le viol de sa nièce. Condamné à cinq ans de prison, dont trois ferme, il a aujourd’hui purgé sa peine.

200 signataires

Un collectif, créé pour l’occasion, a lancé une pétition, vendredi, sur le site change.org, « Plisson à Perros, l’exposition de la honte : pour un retrait immédiat de l’espace public ». Les 200 signataires ne nient pas le droit à la réinsertion du photographe - « sa famille et lui sont libres de faire commerce de ses photos (…) dans des lieux privés » - mais s’opposent aux expositions dans l’espace public : « Pourquoi imposer à une partie de la population de penser "viol" chaque fois qu’elle va à Trestrignel ? ».

« C’est l’éternel débat de savoir s’il faut distinguer l’homme de l’artiste » estime Erven Léon, maire de Perros-Guirec. « Il a été jugé, il a purgé sa peine. Nous, on a avant tout regardé la démarche artistique. Il n’y avait pas 50 photographes qui correspondaient à notre projet. » L’édile n’a pas l’intention de retirer l’exposition.

28 juillet 2020

Exposition photographique

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26 juillet 2020

Exposition photographique

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25 juillet 2020

L’art en mouvement de Franck Scurti, au Grand Palais

Par Philippe Dagen

Pour l’été, l’artiste a établi son atelier sous la nef de l’établissement parisien, où le public pourra découvrir ses œuvres qu’il construit de bric et de broc.

En proposant à Franck Scurti de faire de la nef du Grand Palais son atelier en juillet et en août, Chris Dercon, président de la Réunion des musées nationaux (RMN), savait à qui il s’adressait. Scurti, qui est né en 1965 et vit et travaille à Paris, est un poète du débris, un obsédé de la récupération, un bricoleur railleur et sacrilège – de loin l’un des meilleurs aujourd’hui dans ce genre dont l’histoire commence avec Picasso, Duchamp et Schwitters.

Or la nef du Grand Palais est un espace noble, solennel et démesuré. En 2007, Anselm Kiefer y avait inauguré la suite des interventions d’artistes vivants nommée « Monumenta » – titre en rapport avec les dimensions et la hauteur sous verrière.

A l’exception de Christian Boltanski, tous ceux qui lui ont succédé en ces lieux, jusqu’à Huang Yong Ping, qui a clos la série en 2016, ont cédé à l’appel du spectaculaire, tantôt réussi – Richard Serra en 2008 –, tantôt raté – Daniel Buren en 2012. Que peut donc faire ici un artiste dont les travaux sont le plus souvent de dimensions modestes et résolument hostiles à toute grandiloquence ?

Un premier point était acquis avant même qu’il ne prenne possession du lieu : il n’y ferait pas une exposition. « Il faut rompre avec les habitudes, disait-il en juin, faire autre chose, un anti-Monumenta. » Tous les participants à cette manifestation avaient conçu et exécuté un projet qui était achevé au jour de l’ouverture et ne changeait plus jusqu’à la fin. L’intervention de Scurti s’appelle « Au jour le jour » parce qu’elle changera jusqu’au dernier.

Quelques éléments, peu nombreux, ont été mis en place au début et, probablement, le resteront. D’autres seront modifiés, déplacés, retirés peut-être. D’autres encore, dont rien n’annonce la présence aujourd’hui, pourraient apparaître dans les semaines à venir.

Le critique se trouve donc lui aussi dans une position inhabituelle : il écrit sur ce qu’il a vu à un instant donné, mais ne saurait assurer que les visiteurs verront les mêmes pièces dans le même ordre quelques semaines plus tard. La notion de work in progress est strictement appliquée. « Je veux installer un atelier où il se passe plein de choses, toujours en mouvement : que ça ne se fixe pas. » Pas de projet arrêté : « on verra » – lui le premier – comment « ça tourne ».

Il n’est donc possible que de donner des précisions sur ce qui est voué à demeurer tel quel ou à peu évoluer ; et d’énumérer ensuite les éléments connus de ce grand jeu de construction et destruction auquel Scurti propose de venir assister.

Jarres de terre cuite tapissées d’or

Ce qui est voué à rester est, principalement, ce que Scurti appelle la « corde des débris », qui n’est pas exactement une corde, mais mesure plus de quarante mètres de long. Depuis 2014, l’artiste la fabrique selon un rituel qui fait la part belle au hasard.

Chaque fois qu’il se rendait à pied de l’appartement qu’il habite à l’atelier qu’il occupait jusqu’à une date récente, il ramassait les restes et fragments d’objets ou débris qui se présentaient à sa vue dans cette partie du 13e arrondissement de Paris. Il les attachait à des lacets de chaussures mis bout à bout, comme un prisonnier nouant ses draps pour en faire la corde de son évasion. Ainsi a-t-il collecté des bouts de DVD, des débris d’instruments ménagers et de jouets en plastique, des bouts de tissus et de sacs de toutes les couleurs.

DES TACHES DE ROUILLE DESSINENT DES CONSTELLATIONS. LE VISITEUR, PIÉTON CÉLESTE, EST INVITÉ À CIRCULER ENTRE CES FLAQUES

Au fil du temps, lacet après lacet, la corde est devenue de plus en plus longue : un gros rouleau assez difficile à dérouler. En observant l’architecture de la nef, Scurti a su qu’en faire : la tendre dans toute sa hauteur du point culminant de la verrière jusqu’au sol, au centre géométrique de la coupole, qui est elle-même au centre de la nef. A l’extérieur, sur le toit, c’est le point où est fixé le mât qui porte le drapeau tricolore. A l’intérieur, cet axe central est matérialisé par une pendeloque de fonte que l’on appelle le clocheton. « Clocheton, cloche, clochard », commente Scurti. La tresse des débris est donc attachée au clocheton.

Il a fallu pour cela deux spécialistes des travaux dans le vide, spectacle déconseillé à quiconque est menacé de crises de vertige. La corde descend à la verticale et touche le sol de la nef, exactement au centre d’une plaque d’égout, elle-même circulaire. Le drapeau et le ciel sont ainsi symboliquement reliés à la terre et au sous-sol par un fil lesté de rebuts de la société contemporaine.

Il serait difficile de ne pas attribuer à cette situation un sens quelque peu ironique, d’autant plus que Scurti est l’auteur de nombreux travaux qui traitent le politique et l’économie par la satire : l’inénarrable vidéo La Linea (Tractatus logico-economicus) (2001), Les Reflets (2004), suite d’enseignes lumineuses de commerce prises de tremblote, l’installation Empty Worlds (2009) faite de jarres de terre cuite tapissées d’or, distordues et crevées, et bien d’autres.

Cages à oiseaux

Un deuxième dispositif destiné à durer est celui que l’artiste définit par ces mots : « Faire tomber le ciel par terre. » Le ciel, vu à travers la verrière de la nef l’été est, quand tout va bien, d’un beau bleu. Cet azur est aussi celui du revers des affiches collées dans les stations de métro. Scurti a donc récupéré des rouleaux d’affiches arrachées et les étend sur le béton du sol, le bleu tourné vers le haut. Ainsi obtient-il des flaques de ciel, traversées de nuages blancs là où le papier a mal résisté au décollage en force. Des taches de rouille dessinent des constellations. Le visiteur, piéton céleste, est donc invité à circuler entre ces flaques. L’idée, précise l’artiste, lui vient d’un détail des fresques de Giotto dans la chapelle des Scrovegni à Padoue : un ange qui roule un coin du firmament comme un tapis.

Dans sa forme ultérieure, l’installation développera peut-être plus largement de telles allusions artistiques. Des cages à oiseaux figurent parmi les objets que Scurti a apportés pour alimenter son travail. A l’heure actuelle, deux d’entre elles sont, si l’on peut dire, en fonction. Elles n’enferment pas des oiseaux mais des constructions de morceaux de bois pris à des planches, des madriers ou des caisses et peintes de couleurs si vives qu’elles font penser à des perruches ou des perroquets, mais leurs volumes géométriques rappellent les architectones de Malevitch – autre amateur de couleurs intenses.

Malevitch et le suprématisme en cage ? Dans ce cas, n’y aurait-il pas quelque allusion au traitement que le régime stalinien infligea à Malevitch et, plus largement, à toute forme d’art aux prises avec des régimes dictatoriaux ? Et pourquoi des mégots sont-ils soigneusement posés sur les volumes peints ?

Lors de notre dernier passage, il y avait aussi une grille du genre de celles qui arment le béton, mais tordue et inutilisable pour la construction ; un tas de ces plaques d’un affreux plastique vert creusées d’alvéoles qui servent au transport des fruits – des kiwis en la circonstance – ; un rouleau de fil de fer piqué d’étoiles ; et un stock de débris multicolores récemment recueillis et piqués sur un contreplaqué. Leur avenir, Scurti disait alors l’ignorer.

« Au jour le jour », Grand Palais, Paris 8e. Jusqu’au 23 août, du vendredi au dimanche de 16 heures à 20 heures, hors week-end du 15 août. Entrée libre. Grandpalais.fr

24 juillet 2020

Fonds Hélène et Edouard Leclerc

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22 juillet 2020

Vannes - La voiture posée dans le port, jardin éphémère, dégradée

La voiture et la caravane, posées sur l’eau devant la cale de la capitainerie, sur la rive gauche du port, ont été victimes d’une dégradation.

« Je dénonce avec la plus grande fermeté les dégradations commises sur le jardin éphémère positionné dans le port de Vannes, s’est exprimé David Robo, maire de Vannes. Cette œuvre, à l’instar des autres jardins éphémères disséminés dans la ville, fait le bonheur des Vannetais et des touristes ».

C’est sans doute l’œuvre la plus photographiée de cette cuvée 2020 des jardins éphémères, mais elle est pour certains l’objet de vives critiques. La voiture et la caravane, posées sur l’eau devant la cale de la capitainerie, sur la rive gauche du port, a été victime d’une dégradation. « La voiture a sans doute été chahutée et elle s’est renversée », précise Patrick Le Toquin, le responsable du service des espaces verts. Les deux ont été retirées dans la matinée. L’entreprise Ouest Concept Jardin, société de paysagistes basée à Saint-Avé, qui en est l’auteur, a pu la remettre en place dès ce mardi soir.

Une plainte va être déposée. Cela devrait permettre d’exploiter les images de vidéosurveillance qui pourraient permettre d’identifier les auteurs de ces dégradations.

Pas de pollution pour le port

Certains reprochent notamment à cette création, visant à interpeller sur la montée des eaux en lien avec le réchauffement climatique, de générer de la pollution.

Mais Patrick Le Toquin précise bien que la voiture et la caravane sont en fait posées sur des flotteurs, et que toutes les pièces mécaniques et hydrauliques ont été retirées. Il n’y a que les carcasses, et donc pas de nuisance pour l’environnement.

Quant au maire David Robo, il conclut : « J’en profite pour remercier les professionnels du paysage qui nous accompagnent dans la mise en valeur de notre patrimoine et qui, notamment cette année malgré les mesures sanitaires liées au Covid, ont su se mobiliser pour embellir notre quotidien ».

21 juillet 2020

Plouharnel - Anne-Claire Coudray, marraine d’Escales Photos

Le festival Escales Photos a été inauguré ce lundi, à Plouharnel (56). Une fois encore, sa marraine, la journaliste Anne-Claire Coudray, était présente.

Une fois de plus, la marraine du festival Escales Photos, Anne-Claire Coudray, était présente pour l’inauguration de cet événement artistique. Ce lundi, la journaliste de TF1 était à Plouharnel au côté d’élus du territoire, mais aussi d’Erwan Amice, le photographe qui présente « Skiant ar mor ».

260 photographies, 13 expositions

Maintenir le festival Escales Photos n’a pas été une évidence, mais témoigne d’une réelle volonté. L’événement photographique en libre accès a donc bien lieu. 260 photographies, soit 13 expositions, sont proposées comme autant d’histoires.

Anne-Claire Coudray a insisté sur l’importance de ce patrimoine, sur la richesse et la vitalité des hommes et des femmes qui forgent le territoire.

Avec Erwan Amice, c’est le monde de la coquille Saint-Jacques et les bancs de maërl qui s’exposent sur les murs du vieux bourg. Une visite en images, mais aussi la découverte de la bio-acoustique en baie de Quiberon grâce à des QR Code apposés sur certaines photographies.

Pratique

Exposition en libre accès jusqu’en novembre à Locmariaquer, La Trinité-sur-Mer, Plouharnel, Le Palais (Belle-Ile-en-Mer), Houat et Hoëdic.

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