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Jours tranquilles à Paris
26 octobre 2014

Palais de Tokyo - INSIDE -

 

Another amazing piece @palaisdetokyo Le Refuge where rain is inside and not outside by Stéphane Tidet

Voir mon billet du 21 octobre (vidéo sur le vernissage)

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26 octobre 2014

Sonia DELAUNAY au MAM de Paris jusqu'au 22 février 2015...

Première grande rétrospective parisienne consacrée à Sonia Delaunay depuis 1967, l’exposition organisée par le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris rassemble, aux côtés de trois reconstitutions exceptionnelles d’environnements, plus de 400 œuvres : peintures, décorations murales, gouaches, estampes, mode et textiles. Cette monographie qui suit l’évolution de l’artiste de l’aube du XXème siècle à la fin des années 1970, met en lumière l’importance de son activité dans les arts appliqués, sa place spécifique au sein des avant-gardes européennes, ainsi que son rôle majeur dans l’abstraction dont elle figure parmi les pionniers.

Le parcours chronologique, largement documenté, illustre la richesse et la singularité de l’œuvre de Sonia Delaunay marquée par un dialogue soutenu entre les arts. L’ensemble des œuvres choisies révèle une approche personnelle de la couleur, réminiscence de son enfance russe et de son apprentissage de la peinture en Allemagne.

SONIA DELAUNAY

Tandis que Robert Delaunay conceptualise l’abstraction comme un langage universel, Sonia Delaunay l’expérimente sur les supports les plus variés (tableaux, projets d’affiches, vêtements, reliures, objets domestiques) et crée à quatre mains avec le poète Blaise Cendrars La Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France. Durant la Grande Guerre, son passage en Espagne et au Portugal coïncide avec un premier développement de ses activités dans les domaines du théâtre et de la mode qu’elle commercialise à Madrid dès 1918, puis à son retour à Paris dans les années 1920. La décennie suivante marque l’épanouissement d’une abstraction épurée, caractéristique du style international, et en harmonie avec l’architecture comme en témoignent les grandes décorations murales du Pavillon de l’Air de l’Exposition internationale des arts et techniques, présentées à Paris pour la première fois depuis 1937. Le rôle de « passeur » de l’artiste entre la génération des pionniers de l’abstraction et celle de l’après-guerre se manifeste à travers sa participation aux Salons des Réalités Nouvelles, son implication dans les projets d’architecture et sa présence au sein de la galerie Denise René. Dès l’après-guerre, la peinture de Sonia Delaunay connaît un profond renouvellement qui culmine, à la fin des années 1960, dans un art abstrait intensément poétique. Sa créativité formelle et technique s’exprime alors dans des œuvres monumentales (peinture, mosaïque, tapis, tapisserie) et son œuvre tardive connaît un ultime essor dans les albums d’eaux-fortes et les éditions Artcurial.

Servie par la reconstitution d’ensembles et de dispositifs inédits, et la présence de photographies et de films d’époque, l’exposition souligne le paradoxe d’une œuvre profondément inscrite dans son temps – de la belle époque aux années 1970 – et la constance des recherches formelles et la quête de synthèse des arts rendent également atemporelle.

COMMISSARIAT

Directeur : Fabrice Hergott

Commissaires de l'exposition : Anne Montfort et Cécile Godefroy 

25 octobre 2014

Paris collectionne les expos

25 octobre 2014

FIAC - Lorsque le Premier Ministre rencontre Zahia... (Zahia prise en photo par Pierre et Gilles)

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Voir mon billet du 19 mai 2014

Zahia, la Marie-Antoinette de la FIAC

C’est le rendez-vous ultra-chic de l’art contemporain, à Paris. Tout est possible sous les verrières du Grand Palais, comme rencontrer le mannequin Heïdi Klum, venue avec son toy boy, le jeune Vito Schnabel (12 ans d’écart). Vito est marchand d’art et accessoirement ex-petit ami de Demi Moore.

Mais c’est Zahia, la courtisane devenue styliste en lingerie, qui a fait la Une. Manuel Valls n’a pas vu le Scud arriver. Le Premier ministre, venu au vernissage sans sa femme, admire les œuvres avec la commissaire du Salon, une Américaine, quand tout à coup, un galeriste du Marais l’entraîne vers un tableau de Pierre et Gilles intitulé Marie-Antoinette. Le modèle du tableau, c’est la sulfureuse Zahia, que l’on présente aussitôt à Manuel Valls.

"C’est vous le modèle. Ne soyez pas timide", lui lance alors Manuel Valls, furieux de poser avec une ancienne escort girl

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25 octobre 2014

FIAC 2014 - Jardin des Tuileries (vu hier soir)

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Georg Baselitz

Louise Fuller, 2013

Bronze, patiné

351,5 x 135,5 x 130 cm

Présentée par la Galerie Thaddaeus Ropac, Paris, Salzbourg | FIAC

Georg Baselitz, né Hans-Georg Kern en 1938 en Saxe allemande, vit et travaille dans son atelier sur le lac Ammersee, près de Münich.

Son travail s’est construit autour de la rupture liée aux traumatismes sociaux, politiques et humains de l’histoire allemande du XXème siècle. D’abord peintre, qualifié de néo-expressionniste dans les années 80, il est fortement influencé par l’art brut, par les écrits et dessins d’Antonin Artaud et par la sculpture africaine. Baselitz, sculpteur, travaille exclusivement le bois à la hache ou à la tronçonneuse. Le caractère direct de cette technique lui permet d’exprimer autrement le radicalisme de son coup de pinceau. Mais depuis dix ans, Baselitz travaille étroitement avec la fonderie Noack, qui réalise des tirages de bronze à partir de ses bois. Ce bronze monumental est ici une douce parodie de la danseuse américaine Loïe Fuller, célèbre pour ses danses de voiles qu’elle faisait tournoyer dans ses chorégraphies.

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25 octobre 2014

FIAC - Place Vendôme

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L'oeuvre de Paul Mc Carthy avant qu'elle ne soit détruite (nuit du vendredi 17 au samedi 18 octobre 2014)

Voir mes précédents billets sur Paul Mc Carthy en cliquant ICI et ICI ENCORE ou encore

Mon billet du 18 octobre.

Autre billet du 18 octobre.

Billet du 16 octobre.

Aujourd'hui :  François Hollande dénonce "la bêtise qui conduit à agresser un artiste ou à détruire son œuvre". Une allusion à l'agression dont a été victime le plasticien américain Paul McCarthy qui avait érigé une sculpture en forme de sex toy géant place Vendôme à Paris.

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Le "plug anal" de McCarthy place Vendôme : un accident industriel ?

25 octobre 2014

PARIS - Week-end culture

Bouillonnement d'Art dans tous les sens ce week-end aux 4 coins de PARIS ! Férus d'art contemporain, à vous les expos, les musées, les foires, les hors les murs, les off, les galeries, les parcours, partez à la découverte de la Fondation Louis Vuitton, arpentez le nouveau Musée Picasso Paris, explorez la créations de la FIAC, la nouvelle facette de la La Monnaie de Paris ...
Ministère de la Culture et de la Communication

25 octobre 2014

FIAC - Paul Mc Carthy at Monnaie de Paris

25 octobre 2014

Œuvre vandalisée place Vendôme : McCarthy riposte

L’artiste américain Paul McCarthy dévoile dans une nouvelle exposition sa riposte artistique, après le saccage de son œuvre d'art Tree, vandalisée place Vendôme à Paris la semaine dernière.

L'artiste américain Paul McCarthy n'a pas dit son dernier mot. A l’occasion de sa seconde exposition, Chocolate Factory, à la Monnaie de Paris à partir du 25 octobre, il répond aux attaques dont son œuvre Tree a été la cible la semaine dernière. A sa manière.

“Les visiteurs seront accueillis par une forêt d’arbres de Noël gonflables géants dignes d’un conte de fées”, dévoile The New York Times. D’après M. Robic, porte-parole du musée, “[ces arbres] pourront toujours être interprétés comme des sex-toys par les non-initiés”. Commentant cette assimilation du travail de l’artiste à un “plug-anal”, M. Robic a confié au quotidien britannique The Guardian que McCarthy cherchait "à montrer que les gens sont nourris par le mercantilisme de leur société de consommation”.

The New York Times décrit un autre élément de l’exposition, “une vidéo de [la] main de [l’artiste] écrivant violemment, sur fond de sonorités agonisantes, dont sa voix vociférant les insultes proférées contre lui place Vendôme, tels que 'Toi, sale Américain', 'Tu ne devrais pas être ici', 'Ton travail est dégénéré'.”

Alors que la Foire internationale d’art contemporain (FIAC) vient d’ouvrir ses portes, la presse étrangère considère que cette polémique dessert les intérêts de Paris. The Guardian pense que “la controverse autour de l’exposition de l’arbre de McCarthy a fait de l’ombre à la tentative de [la capitale française] de se prévaloir d’être un centre mondial de l’art”.

The New York Times considère, lui, que, suite aux réactions agressives sur Internet et aux critiques des conservateurs catholiques, “la sculpture est devenue un totem de la liberté artistique.”

Source : Courrier international. article d'Emmanuelle Morau et Pauline Elie

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Des œuvres en chocolat de l'artiste américain Paul McCarthy exposées à la Monnaie de Paris, à partir du 25 octobre 2014 - AFP/Patrick Kovarik

25 octobre 2014

Une nouvelle galerie dédiée à la photographie au Centre Pompidou

A partir de novembre, le Centre Pompidou aura une galerie permanente d'exposition dédiée exclusivement à la photographie. La première exposition sera consacrée au surréaliste Jacques-André Boiffard.

La nouvelle "galerie de photographies" du Centre Pompidou, qui ouvrira le 5 novembre, sera située au niveau -1 du forum, sur 200 m2. En accès libre, elle a pour vocation de montrer la collection de photographies du Musée national d'art moderne.

Trois expositions par an pour faire connaître les collections de photographie du Centre

Trois expositions, monographiques ou thématiques, seront organisées tous les ans, qui permettront de découvrir un ensemble de 40.000 épreuves et de plus de 60.000 négatifs qui traverse l'histoire de la photographie moderne et contemporaine, particulièrement riche en œuvres des années 1920 et 1930, avec Man Ray, Brassaï, Brancusi, la Nouvelle vision et le surréalisme.

L'exposition inaugurale sera une première rétrospective de l'œuvre de Jacques-André Boiffard (1902-1961), avec 70 photographies du dernier grand photographe surréaliste à n'avoir encore jamais fait l'objet d'une grande exposition dans un musée.

Sur une courte décennie seulement, sa production fulgurante est une des plus authentiquement surréalistes de son temps. Il a arrêté la photographie dès les années 1930 pour se consacrer à la médecine.

Jacques-André Boiffard, un météore du surréalisme

L'exposition (du 5 novembre 2014 au 2 février 2015) rassemble pour la première fois ses images pour André Breton (il a illustré "Nadja"), Georges Bataille, ses travaux de commande et ses recherches expérimentales. Les collections du Centre Pompidou possédaient déjà 26 épreuves originales de l'artiste et se sont enrichies de 50 tirages supplémentaires grâce à l'acquisition de la collection de Christian Bouqueret en 2011. L'exposition sera augmentée de quelques épreuves vintages conservées dans des collections particulières.

La deuxième exposition de la galerie de photographies, "Qu'est-ce que la photographie ?" (4 mars – 1er juin 2015), rassemblera des artistes de la collection comme Ugo Mulas, Man Ray, André Kertesz, Dennis Oppenheim, Patrick Tosani, Wim Wenders…

La troisième sera consacrée à Anna et Bernhard Blume ("Lévitations", 1er juillet – 28 septembre 2015), un couple d'artistes allemands fascinés par les phénomènes paranormaux.

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