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Jours tranquilles à Paris
1 octobre 2018

"Jean-Michel Basquiat - Egon Schiele" à la Fondation Louis Vuitton

expo basquiat

C'est l'un des événements phare de l'automne 2018. La Fondation Louis Vuitton célèbre à la rentrée l'un des artistes majeurs du XXe siècle, soit Jean-Michel Basquiat. Ceux qui ont apprécié l'exposition dédiée au Centre Barbican de Londres seront tout aussi charmés par la monographie proposée par la fondation parisienne. Une centaine d’œuvres, conçue de 1980 à 1988, se déploiera sur les quatre étages du voilier de verre conçu par Frank Gehry. De la célèbre série des Heads de 1981-1982 à la fameuse collaboration entre Basquiat et Warhol en passant par des inédits, s'exprime ici le talent précoce de l'artiste mort à 28 ans, véritable pionnier de la mouvance underground. A ne pas manquer également, l'exposition Egon Schiele, donnée en parallèle et pensée en miroir avec l'oeuvre de Basquiat, pour une véritable leçon d'expressionnisme.

Jean-Michel Basquiat et Egon Schiele, du 3 octobre 2018 au 14 janvier 2019, Fondation Louis Vuitton, 8 Avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris

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1 octobre 2018

Expo The Untamed eye de Stéphanie Pfriender Stylander à la Galerie de l’Instant jusqu’au 28 novembre 2018

Stéphanie Pfriender Stylander est une photographe et portraitiste de mode qui a travaillé entre Paris, New York et Milan avec les plus grands mannequins. Cette exposition à la galerie de l’Instant porte le même nom que le catalogue qui illustre son travail de 1990 à 2006. On retrouve des sublimes portraits en noir et blanc de Kate Moss ou, entre autres, de Björk. Une expo très fashion week à caler dans votre agenda entre deux défilés !

La Galerie de l’Instant

46 rue de Poitou, 3e

Ouvert le lundi de 14h à 19h

Du mardi au samedi de 11h à 19h et le dimanche de 14h30 à 18h30

Entrée libre

30 septembre 2018

EXPOSITION - Zoé Duchesne - Poupée

Galerie Marguerite Milin

Poupée est une série d’autoportraits créée par Zoé Duchesne, composée de 25 courtsmétrages et de plus de 30 tableaux photographiques.

Dans une esthétique qui emprunte à la fois au cinéma muet, au théâtre grotesque et aux arts visuels, la série d’œuvres représente de manière symbolique les crises existentielles de l’humain et l’inévitable perte de l’innocence » a déclarée Zoé Duchesne qui a fait une apparition remarquée sur le tapis rouge du Festival de Cannes en mai 2014.

Zoé Duchesne est mannequin internationale depuis 15 ans. Associé aux plus grandes marques, Chanel, Revlon, Clarins, Guess, Victoria’s Secret et Sport Illustrated parmi tant d’autres, elle a travaillé aux quatre coins du monde et partage son temps entre Montréal et Paris.

À 18 ans, en devenant mannequin, Zoé réalisait un rêve de petite fille. Or, la superficialité du métier a tôt fait de la désillusionner et elle plonge dans la solitude. Ses crises existentielles viennent nourrir son esprit créatif et Zoé explore alors l’écriture et la peinture, qui l’aident à meubler un vide que son métier d’apparence n’arrive pas à combler. À ce stade, Zoé réalise que la création est essentielle à son épanouissement et à son autonomie. Elle incarne alors POUPÉE, un personnage à la fois émouvant et cru qui illustre de manière poétique son vécu émotionnel et psychologique.

POUPÉE évolue depuis maintenant cinq ans dans une démarche artistique entièrement indépendante, où Zoé explore diverses facettes de la création, comme la réalisation cinématographique, la photographie et les performances d’actrice. Le tout sans aucune retouche ni photoshop.

INFORMATIONS PRATIQUES

Galerie Marguerite Milin

46 rue du Château d´Eau

75010 Paris

Jusqu'au 28 octobre 2018

les jeudi, vendredi, samedi, mardi, mercredi de 11h à 19h

le dimanche de 11h30 à 15h30

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POUPÉE / ZOÉ DUCHESNE

« Je m’appelle Zoé. Zoé ça veut dire Vie »

Zoé Duchesne , née le 22 novembre 1981 à Montréal, est une artiste Canadienne qui explore la dualité de l’être et repousse les frontières de l’image et du mental à travers ses performances. Ayant été mannequin et actrice pendant plusieurs années, elle place le langage du corps au centre de son travail artistique. C’est au coeur de son propre vécu émotionnel qu’elle puise sa créativité.

« Nous vivons dans une société qui est en constante recherche du bonheur alors que tout porte à s’en éloigner. On nous montre dès le plus jeune âge à fuir nos émotions on nous bourre d’information superficiels et avec le temps nous devenons des êtres insensibles et malheureux. »

Pour produire ses oeuvres, Zoé Duchesne travaille sans assistant assumant ainsi les multiples rôles tels que photographe, maquilleuse et costumière. Poupée est une série d’autoportraits composée de courts métrages et de tableaux photographiques.

 » Je ne me maquille pas pour me cacher mais pour mieux me voir. »

Dans un esthétique qui emprunte à la fois au cinéma muet, au théâtre grotesque et aux arts visuels, la série d’oeuvre présente de manière symbolique les crises existentielles de l’humain et son inévitable perte d’innocence.

Regroupés, ces films et ces photographies forment une exposition percutante faisant écho à divers phénomènes de notre société de consommation comme le règne de l’image,  le culte du corps et l’hypersexualisation. De manière intime, drôle et touchante,  Zoé Duchesne explore les angoisses créées par ces phénomènes et raconte par le fait même sa propre renaissance.

« Poupée c’est  un personnage que j’ai créer pour interpréter cette façade invisible de la vie… La vie elle même. »

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29 septembre 2018

Street art à Vannes. Découvrez les fresques de Dédale en avant-première

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Une soixantaine d’artistes ont investi un ancien bâtiment administratif de 150 pièces prêté par la Ville de Vannes. Un lieu de création et d’exposition insolite sur le port qui sera détruit en 2020.

Vannes serait-elle en train de devenir l’une des capitales du street-art ? À côté de Paris ou de Nantes, la ville du Morbihan a désormais de sérieux atouts à faire valoir, à en croire le défilé d’artistes à la réputation internationale qui s’y pressent.

Artistes internationaux

L’association « L’art prend la rue », présidée par Laurent Sanchez, créateur du site internet de référence « Street-art-Avenue.com » n’y est pas étrangère. Ça n’est pas par hasard que le duo franco-espagnol Dourone, le Brésilien L7M ou encore l’Australien Rone ont laissé de magnifiques traces de leur passage sur des façades du centre-ville.

3 000 m2, 150 pièces réparties sur quatre niveaux

En juin dernier, c’est un pas de plus qui a été franchi par le maire. David Robo a confié à l’association les clés de l’ancien bâtiment de la Direction départementale de l’équipement (DDE), sur la rive gauche du port de Vannes. 3 000 m2, 150 pièces réparties sur quatre niveaux comme une énorme toile blanche laissée à la libre inspiration d’artistes jusqu’en 2020, date à laquelle le bâtiment sera détruit.

Après l’ouverture, il y a quelques semaines, d’un café aussi éphémère que le lieu d’exposition, ce samedi ce sera au tour des trente-cinq pièces du rez-de-chaussée de révéler leurs premières créations.

« Ici, ça n’est pas du street-art que nous avons voulu montrer, prévient d’emblée Laurent Sanchez, le directeur artistique. Même si 90 % des artistes viennent de là et qu’on le perçoit dans leur urgence à peindre, ils sont arrivés à un tel degré de maturité que leur technique et leur inspiration les amènent désormais ailleurs. »

C’est parti pour une incroyable immersion dans une succession de pièces de 9 à 30 m2. « Chacune a été confiée à un artiste différent qui a soumis un projet », explique Violaine Pondard, en charge de la communication de Dédale.

Dès l’entrée, Persu, le boss de la scène nantaise du graffiti, plante le décor : les lettres sauvages de son blaze (entendez de son nom d’artiste) débouchent sur une magnifique fresque de train qui véhicule ses graffs depuis ses débuts…

La déambulation se transforme vite en expérience sensorielle. À l’image de la méduse fluorescente de L7M qui prend toute son envergure quand on l’éclaire avec la torche de son téléphone portable. Puis on se laisse aspirer par le vortex dans lequel Astro invite le visiteur à plonger, grâce à une impressionnante illusion optique et artistique.

Des couloirs comme des sas de décompression

Notre regard se cogne à des mondes très différents, souvent fascinants, parfois dérangeants, distribués par de longs couloirs comme autant de sas de respiration, de décompression et d’interrogations sur ce que l’on vient de voir. Ici, c’est une expérience à part entière qui est proposée.

Si pour des raisons de sécurité, le premier étage n’est pas encore visitable, des artistes y travaillent déjà d’arrache-pied. Au deuxième, les pièces permettront aux créateurs de s’exprimer librement, au troisième, place aux expérimentations. Entièrement financé par des Mécènes à hauteur de 100 000 €, Dédale n’en a pas fini de surprendre et de bousculer les amateurs d’art.

A partir du 29 septembre, du mardi au dimanche, de 15 à 20 h (18 h le dimanche), visites gratuites par petits groupes (complet ce week-end).

Réservation obligatoire sur : dedale.lartprendlarue.org. A l'occasion de l'inauguration ce samedi 29 septmbre, de 15 h à 17 h 30: ateliers participatifs tout public avec fresque à la craie (sans inscription), cello-graffiti (sur inscription à partir du 24 septembre), fabrication de badges (contribution sur place). De 18 h à 18 h 45 : "Les Amants du Ciel" par la Compagnie volante Mattatoio Sospeso : un duo d'acrobates qui brise la loi de la gravité. A 21 h : DJ Tagada Balkanbeats. A 22 h : performance live-mapping par Nature Graphique.

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28 septembre 2018

"Plaza Fashion Spirit" au Plaza-Athénée

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C’est l’exposition à voir pendant la Fashion Week de Paris. Jusqu'au 14 novembre l’Hôtel Plaza Athénée mettra à l'honneur, dans son écrin prestigieux, les oeuvres de neuf artistes comme le photographe français Thierry Le Gouès, qui a immortalisé Linda Evangelista pour Thierry Mugler, l’artiste Fabien Mara, qui fait la part belle aux icônes de mode comme Carla Bruni chez Balmain, Yves Saint Laurent ou encore Karen Mulder. Il y aura aussi des clichés vintage des Fifties et Sixties, dont un portrait deBrigitte Bardot place François Ier. Une exposition à ne pas manquer, entre deux défilés, pour tous les férus de mode.

Plaza Fashion Spirit, du 22 septembre au 14 novembre 2018, Hôtel Plaza Athénée, 25 Avenue Montaigne, 75008 Paris

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28 septembre 2018

Aux yeux des femmes, 6 femmes photographes pour Marie Claire

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A l’occasion de la Fashion Week, le grand temps fort mode de la rentrée, le mensuel Marie Claire et la Ville de Paris proposent une exposition inédite jusqu'au 6 octobre. Dans le salon des Tapisseries, au cœur de l’Hôtel de Ville, découvrez soixante ans d’images de mode sous l’œil de six grandes signatures féminines du monde de la photographie.

UNE RÉTROSPECTIVE MODE DE 1960 À 2018

Parce que les images de mode racontent autant le vêtement que l’évolution des femmes dans notre société, Marie Claire et la Mairie de Paris ont choisi la Fashion Week pour célébrer six grandes photographes de mode qui ont collaboré avec le magazine. Pendant plus de soixante ans, ces photographes ont marqué plusieurs générations de lectrices en témoignant de leur époque et véhiculant le parti pris mode de Marie Claire. De Sarah Moon à Elina Kechicheva en passant par Marianne Chemetov, Betina du Toit, Sacha van Dorssen et Françoise Huguier, « Aux yeux des femmes » rend hommage à ces femmes qui ont fait le style de Marie Claire, libre et puissant par sa simplicité et sa vérité.

SOUS L’OBJECTIF DE SIX FEMMES PHOTOGRAPHES

La scénographie à la fois inspirante et étonnante a été orchestrée par Olivier Gabet, directeur du Musée des Arts Décoratifs et commissaire de l’exposition, avec l’appui de Constance Guisset, designer française. Les photographies présentées saisissent autant des portraits de femmes que des moments de mode. L’exposition revient sur les instants symboliques qu’elles ont vécus avec Marie Claire et qui les ont marquées. Toutes différentes, mais toutes animées par le même désir de poser leur regard sur cette interprétation particulière de la femme et de la mode

27 septembre 2018

29 femmes en Explosion

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Vernissage samedi, 29 sept. à 14:00-19:00 - Galerie Oberkampf 103 rue Saint-Maur, 75011 Paris

L'orgasme est l'émotion la plus intime que l'humain peut expérimenter et pourtant, il est au centre de multiples questionnements.

Est-ce tabou de parler de l'orgasme féminin? Est-il possible de capturer l'orgasme féminin dans une forme artistique? Dans l'art, l'orgasme est-il beau ou érotique ? Une pression grandissante s'exerce-t-elle sur les femmes à assurer et assumer cette explosion libératrice de jouissance? Une société moderne peutelle encore aujourd'hui s'acharner à encadrer et limiter le plaisir des femmes ?

Jeune photographe franco-allemande basée à Paris, je tente d'apporter des réponses à ces questions à travers "Women in Explosion".

Dans cette série, j'ai voulu saisir huit femmes en immersion, développant des mouvements fluides dans une atmosphère surréaliste. 8 visions de l'orgasme entre moments d'extase, mort, métamorphose et renaissance.

"Women in Explosion" constitue le résultat de deux années de travail intense durant lesquels je me suis plongée dans mon sujet; j'ai ainsi rencontré des femmes prêtes à relever le défi de ma série et me suis engagée à trouver les moyens de traduire leur vision de l'orgasme. Cette conversation sans tabou a donné naissance aux 8 photographies et témoignages que je vous présente aujourd'hui.

Au moyen de la photographie, mon ambition est de donner aux femmes la liberté de s'exprimer pour partager leurs désirs, leurs sensations et de révéler la puissance de leur corps. Une manière de rappeler que l'art, sur un sujet aussi intime, peut jouer pleinement son rôle émotionnel mais aussi social.

Je me réjouis de partager ces émotions avec vous.

Jugez par vous-même et donnez-moi votre avis !

A bientôt!

Sabrina

http://www.sabrinakleinas.com/

29 septembre au 04 octobre de 14h-19h

Entrée libre

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WOMEN IN EXPLOSION

 29 septembre au 4 octobre 2018

Tous les jours de 14H à 19H

Women in Explosion : L’orgasme féminin au cœur d’une série de portraits photographiques.

L’orgasme est l’émotion la plus intime que l’humain peut expérimenter, et il reste tant de questions auxquelles il nous faut répondre.

Est-ce tabou de parler de l’orgasme féminin? Est-il possible de capturer l’orgasme féminin dans une forme artistique? Dans l’art, l’orgasme est-il beau ou érotique ? Une pression grandissante s’exerce-t-elle sur les femmes à assurer et assumer cette explosion libératrice de jouissance? Une société moderne peut-elle encore aujourd’hui s’acharner à encadrer et limiter le plaisir des femmes ?

A travers “Women in Explosion”Sabrina Kleinas, jeune photographe franco-allemande basée à Paris, tente d’apporter des réponses à ces questions.

Women in Explosion: L’orgasme féminin au coeur d’une série de portraits photographiques. L’orgasme est l’émotion la plus intime que l’humain peut expérimenter, et il reste tant de questions auxquelles il nous faut répondre.

Est-ce tabou de parler de l’orgasme féminin? Est-il possible de capturer l’orgasme féminin dans une forme artistique? Dans l’art, l’orgasme est-il beau ou érotique ? Une pression grandissante s’exerce-t-elle sur les femmes à assurer et assumer cette explosion libératrice de jouissance? Une société moderne peut-elle encore aujourd’hui s’acharner à encadrer et limiter le plaisir des femmes ?

A travers “Women in Explosion”Sabrina Kleinas, jeune photographe franco-allemande basée à Paris, tente d’apporter des réponses à ces questions.

“Women in Explosion”saisit huit femmes en immersion, développant des mouvements fluides dans une atmosphère surréaliste. Huit visions de l’orgasme qui permettent à Sabrina Kleinas de nous donner à voir dans le même temps une variété de moments d'extase, entre mort, métamorphose et renaissance.

“Women in Explosion”constitue le résultat de deux années de travail intense durant lesquels Sabrina Kleinas s’est plongée dans son sujet, a rencontré des femmes prêtes à relever le défi de cette série et s’est engagée à trouver les moyens de saisir et traduire leur vision de l’orgasme. Une conversation sans tabou qui a donné naissance à ces huit photographies et témoignages.

Au moyen de la photographie, Kleinas poursuit l’ambition de donner aux femmes la liberté de s’exprimer pour partager leurs désirs, leurs sensations et de révéler la puissance de leur corps. Une vision où l’art joue pleinement son rôle émotionnel mais aussi social.

 Contact

 mail@sabrinakleinas.com | www.sabrinakleinas.com

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26 septembre 2018

Kouka

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Exposition hors les murs aux puces de Saint-Ouen en collaboration avec Marc Maison

Inauguration de l'exposition le 04 octobre 2018 à partir de 19h à l’occasion de « La Fête Des Puces »

RSVP - Pour recevoir une invitation : nadegebuffe@djtfa-paris.com

Exposition du 05/10 au 04/11

Petit fils du peintre expressionniste Francis Gruber, fils d'une dramaturge française et d'un artiste Congolais, KOUKA est né à Paris en 1981 et est diplômé de l’Ecole d’Art d’Avignon en 2005.

Revendiquant son appartenance à la culture urbaine, KOUKA combine performance et scénographie.

Son travail s’apparente à de véritables interventions urbaines dans l’optique de faire valoir l’Art Urbain non seulement comme un art mature et réfléchi mais aussi comme un acte de partage.

Son parcours et son expression se nourrissent au fil de ses voyages et multiples rencontres.

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Depuis que son premier Guerrier Bantu s’est dressé sur les murs du Centre International des Civilisations Bantus de Libreville en 2008, Kouka n’a eu de cesse de poursuivre sa quête sur l'universalité de l'Homme et la Mémoire des Origines.

Cette forte volonté d’incarner l’Essence de l’humanité s’est matérialisée par des symboles phares qui rythment l’Œuvre de l’artiste: le Guerrier Bantu, mais aussi l’Enfant Blam, les silhouettes HLM ou encore le Penseur.

Son style particulier dénonce, interroge, amuse parfois, et questionne toujours la condition humaine.

Dans une époque où l’espace et le temps deviennent élastiques, l’obsession de Kouka pour les Origines, la profondeur de son approche et la puissance de son style – notamment par la maîtrise du trait brut - nous guident résolument vers l’Essentiel.

Cette exposition Hors les Murs qui se tiendra dans le nouveau lieu de l’antiquaire Marc Maison dans le Marché Biron, sera l’occasion de présenter des œuvres inédites de l’artiste et de découvrir une scénographie qui a pour ambition de guider le public vers son univers mémoriel.

L’actualité de l’artiste est particulièrement riche pour cet automne puisque nous retrouverons Kouka à la galerie à partir du 15 novembre pour l’exposition « Vénus » son nouveau solo show.

©Kouka / Exposition « Venus » à partir du 15 novembre 2018

25 septembre 2018

LE PHOTOGRAPHE DINGO S’EXPOSERA AU PROCHAIN MONDIAL DE L’AUTO DE PARIS - 4 au 14 octobre 2018.

À l’occasion du Mondial de l’Automobile rebaptisé Mondial Paris Motor Show et qui se déroulera du 4 au 14 octobre 2018, un hommage exceptionnel sera rendu au photographe DINGO, pour les 40 ans de sa carrière exceptionnelle. Une dédicace qui se fera sous la forme d’une exposition intitulée : « DINGO LE TÔLE ART ».

Une référence de la photo auto/moto

DINGO, je l’ai découvert dans les années 80 alors que j’n’étais qu’un adolescent passionné de photographie. À cette époque, la plupart des canards auto/moto publiaient régulièrement les images exceptionnelles de ce photographe hors-pair. On retrouvait également ses clichés dans les publications consacrées à la photographie, comme Chasseur d’images lancé par Guy-Michel Cogné (qui nous a malheureusement quittés le 19 juin dernier) en juin 1976, ou PHOTO.

Trente-cinq ans plus tard, je l’interviewais pour monsieurvintage.com. Une rencontre que vous pouvez redécouvrir en cliquant sur ce lien.

Un surnom qui vient de la « colo »

DINGO, un sobriquet donné par des gamins lors d’une colonie de vacances et devenu une signature connue et reconnue dans le monde de l’auto, de la moto et de la photographie. DINGO, parce qu’il était souvent dans les nuages et qu’il était « différent » des gosses de son âge.

Newton & Dali

40 ans de carrière, ça n’est pas rien. Spécialisé dans la prise de vues de belles mécaniques, DINGO possède une patte particulière, souvent imitée mais jamais égalée. Plus qu’une photo, un cliché de DINGO est une mise en scène, une recherche, un tableau qui mélangerait Dali et Helmut Newton.

Un surnom, une expo, un bouquin

Jusqu’à aujourd’hui, DINGO, dont personne ne connaît le vrai nom, n’a réalisé qu’une seule exposition. C’était en 1993 à la piscine Deligny, dans le 7ème arrondissement parisien. Rien qu’à la soirée d’inauguration, 2 000 entrées avaient été enregistrées. En 1991 sortait « 10 ans de tôle », seul recueil sur le travail de l’artiste, devenu un véritable collector.

Rare et discret

Autant dire que DINGO est un photographe qui se fait rare, une raison pour ne pas rater son exposition, qui se fera grâce au soutien de la chaîne First Stop, spécialisée dans les pneumatiques et l’entretien auto.

Jean-Philippe Hénaff, Directeur Marketing et Achat de First Stop, déclare : « Le travail de Dingo est en rupture totale avec la représentation classique de la photo automobile et nous sommes très heureux de nous associer à ce projet artistique inédit en tant que partenaire exclusif. Une bonne occasion de découvrir sous un angle nouveau l’univers First Stop, enseigne majeure du pneumatique et de l’entretien automobile avec plus de 2 000 centres en Europe. »

DINGO – LE TÔLE ART : exposition au Pavillon 4 – Mondial Paris Motor Show – 4 au 14 octobre 2018.

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25 septembre 2018

Caro - Peintre et dessinatrice

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Elle naît par un heureux accident à Lille où son père guitariste et violoniste tourne un film avec Higelin. C’est le grand Jacques qui lui trouve son prénom. Enfant de la balle élevé dans une communauté en région parisienne, Caro révèle rapidement un don pour le graphisme. Elle passe une licence en arts plastiques à l’école des Arts de la Sorbonne. Le soir, elle suit les cours publics de nu aux Beaux-Arts. Sa sœur cadette l’entraîne sous le nom de Célène dans l’aventure musicale d’un album à voix jumelles qui sort chez Sony. Mais sa passion pour les courbes des nus rattrape celle qui aurait fait un parfait modèle pour les cours du soir. Longues, toutes en courbe, alanguies, intouchables : ses femmes, elle les plie et les déplie sous toutes les coutures, les croque à sa guise. Descendante indisciplinée d'Alberto Vargas, fille naturelle de Guido Crepax et Manara, pinup bavarde elle-même, rapidement repérée par les directeurs artistiques des magazines, Caro a illustré pour la presse des textes érotiques de Nicolas Rey, Bénédicte Martin, Patrick Eudeline et Jessica Nelson. Cette échappée des beaux arts expose ici sa belle mécanique des corps. Une démarche qui lui permet d’explorer les genres fondamentaux de l’érotisme féminin, avec différentes techniques, du trait vénéneux de l’encre de Chine à la soyeuse caresse de l’acrylique ‘‘La femme ici est plurielle, pin-up délurée, muse d’un Art déco onirique ou objet de ses propres fantasmes dont l’homme n’est plus que le spectateur.’’

Actuellement à la Concorde Art Gallery

http://www.concorde-art-gallery.com/galerie.html

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