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Jours tranquilles à Paris
3 juillet 2018

Actuellement au Palais de Tokyo

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Encore un jour banane pour le poisson-rêve

Comment le sens de l’émerveillement, la capacité à inventer des mondes mais également les peurs et les angoisses enfantines se construisent et se déterminent ils en fonction des contextes ? L’exposition Encore un jour banane pour le poisson-rêve d’après le titre modifié d’une nouvelle de J.D. Salinger, tente d’y répondre en nous faisant voyager de territoires quotidiens et intimes à des mondes fantasmés, qui sont autant de fragments d’une identité en construction permanente.

Se rapprochant dans son principe et dans sa construction d’un conte, avec ses multiples niveaux de lecture s’adressant tantôt aux enfants, tantôt aux adultes, et avec ses nombreux rites de passage, l’exposition invite le visiteur « de 7 à 77 ans » à traverser diverses épreuves initiatiques, en se confrontant à l’étrange et à l’étranger.

L’exposition, conçue grâce au partenariat avec la Fondation Bettencourt Schueller, est imaginée avec la complicité de l’artiste et réalisateur Clément Cogitore. Dramaturge de l’exposition, il a imaginé un ensemble de salles, d’atmosphères, de scènes en collaboration avec des artisans d’art. Ceux-ci sont invités à être les véritables interprètes des intentions du metteur en scène, les matériaux et leur mise en oeuvre ayant été choisis pour la puissance émotionnelle qu’ils dégagent. À travers cette collaboration est ainsi à nouveau mis en lumière le travail des artisans d’art qui conjuguent savoir-faire et audace créatrice.

Conçue avec la commissaire d’exposition japonaise Kodama Kanazawa et co-organisée avec la Fondation du Japon, l’exposition, qui fait partie de la manifestation Japonismes 2018, sera l’occasion pour le visiteur d’apprécier les oeuvres d’une vingtaine d’artistes internationaux, dont six artistes japonais, et de découvrir une collaboration inédite avec le dessinateur de manga Yûichi Yokoyama.

Commissaires : Sandra Adam-Couralet et Yoann Gourmel

Commissaire associée : Kodama Kanazawa

Dramaturge : Clément Cogitore

Scénographe : Laure Pichat

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3 juillet 2018

EXPOSITION ALEKSEY D'HAVLCYON DU 2 Juillet au 24 Juillet au 3 rue Réattu - ARLES

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Vous êtes invité à l'exposition "BASTA PASTA" où je présenterai, auprès de Mario Riccardo Migliara, ma nouvelle série d'autoportraits "Food for Soul". 3, rue Réattu - Arles

L'exposition commence le 2 juillet et se terminera le 24 juillet.

Je serai présente, du 2 juillet au 8 juillet pour vous rencontrer, de 15h30 à 19h30.

Le vernissage aura lieux le 4 juillet, à partir de 18H.

À très bientôt !

Aleksey d'Havlcyon,

30001 Murcia, Espagne

0646890582

"« Food for Soul », est une série d’autoportraits spécialement conçue pour le festival Voies Off d'Arles. J'y incarne les femmes historiques, comme les déesses. J’ai décidé de les mélanger entre elles pour tenter une re-connexion au divin. Je les aient également adaptées à notre XXIème siècle. Comment serait Messaline actuellement ? Comment Lucrèce se suiciderait-elle ? Sous qu’elles incarnations se profilerai Isis, la Déesse mère ? Et les nouvelles prêtresses ?

Je me suis inspirée des représentations de ces femmes, peintures, sculptures, descriptions, textes, papyrus, bas relief… quels étaient leurs attributs ou leur traits de caractère avant de les incarner.

Je leur ai décerné à chacune des fruits ou des légumes et ai donné à ces derniers, une signification ou une symbolique plus ou moins explicite….

Tout en me moquant bien entendu, de la publicité représentant la femme et la nourriture, et l’aspect sensuel, sexiste et sexuel qui va avec.« Food for Soul », c’est redonner le pouvoir à la femme, une légitimité et une présence. Les femmes de « Food for Soul » sont toutes héroïques à leurs manières, sorores dans la conception, aimantes ou repoussantes.

Toutes divines Toutes sacrées."

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2 juillet 2018

Mac Val - « Les racines poussent aussi dans le béton » Exposition monographique de Kader Attia. Jusqu’au 16 septembre 2018

Pour cette exposition au MAC VAL, « Les racines poussent aussi dans le béton », Kader Attia imagine une réflexion, en forme de parcours initiatique, autour de l’architecture et de sa relation aux corps. Une exposition qu’il imagine comme une « conversation intime avec le public du MAC VAL » pour ensemble « sonder les maux et les joies qui articulent la vie dans les cités ». Ayant grandi à Garges-lès-Gonesse, il souligne la familiarité des paysages (architectures, population, transports en communs etc…), et a la sensation, à chaque fois qu’il vient au MAC VAL, de « rentrer à la maison ».

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IMG_8568Reportage photographique : J. Snap

 

30 juin 2018

Arles - Festival Voies Off - save the date...

Bonjour, 
Vous êtes convié à la présentation de ma nouvelle exposition qui se déroulera à Arles à partir du 2 Juillet et jusqu'au 9 Juillet à La Boucherie.
Dans le cadre du Festival Voies Off, notre exposition collective "A corps" réunie des photographes autour du corps.
Parmi eux: Peter Henri Stein, Louis Blanc et Dew, Vanda Spengler, Louise Dumont, Mathieu Andrieux, Nathalie Bagarry...
Le vernissage se déroulera le jeudi 5 Juillet à partir de 19h30 pendant la nuit de la roquette.
Aussi, j'ai le plaisir de donner une conférence en compagnie de Louise Blanc et Dew à La Place des Photographes le vendredi 6 Juillet à 17h au 1bis rue Réattu.
Pour plus d'informations: 
à très vite!
 
Louise Peau d'Âme.

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29 juin 2018

Vernissage - Concorde Art Gallery

CONCORDE ART GALLERY

Vous convie au

VERNISSAGE

De l'exposition

SENSUAL PAINTING 6 

Le VENDREDI 29 JUIN à partir de 19H

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27 juin 2018

John DeAndrea - Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois - 36 rue de Seine - Paris

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Si vous avez l’occasion de “rencontrer” une œuvre de DeAndrea, vous ne pourrez jamais l’oublier !

Né en 1941 à Denver dans le Colorado, John DeAndrea est un artiste dont la réputation internationale n’a d’égale que la rareté. Alors qu’il est actuellement exposé au MET Breuer à New York et à la Kunsthal de Rotterdam, la galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois est ère de présenter sa première exposition personnelle à Paris depuis près de trente ans.

(…) Avant d’exposer à New York, DeAndrea est bien solitaire. Durant ses études – à l’université de Boulder (Colorado) puis d’Albuquerque (Nouveau-Mexique) –, on lui a expliqué que la figuration était morte. « Je me sentais très seul, isolé au Colorado. Je me sentais comme un aventurier un peu cinglé. Je n’avais ni soutien, ni rien », dit-il à Duncan Pollock. Il connaissait certes le travail de George Segal, qui usait des mêmes méthodes de surmoulage avec un résultat très différent, mais pas encore celui de Duane Hanson : « Quand j’ai vu les trucs de Hanson, je me suis dit “mon Dieu, il y a quelqu’un qui pense comme moi !” (…) La première fois que je l’ai rencontré, c’est comme si je rencontrais quelqu’un de très proche (…) Duane Hanson fait ce qu’il appelle “du sang et des tripes”, tandis que mon travail est plus classique. » (…) Les modèles de DeAndrea au contraire sont plutôt jeunes, beaux et musclés. Pleins de vie, et c’est bien de cela dont il s’agit (…) « Jusqu’où voulez-vous pousser la « vérité » de vos sculptures ? », « Je veux qu’elles respirent. »*

Considéré comme l’un des membres les plus importants du mouvement Hyperréaliste américain qui se développe au début des années 70 à l’instar de Duane Hanson, Chuck Close ou encore Richard Estes, DeAndrea trouve sa singularité de par son regard sur l’Histoire de l’Art et sa position de peintre tout autant que de sculpteur. En effet, si chaque œuvre demande environ un millier d’heures de réalisation, c’est parce qu’au premier travail de moulage et de sculpture s’ajoute un travail d’enlumineur minutieux à la peinture à l’huile, superposant des centaines de couches jusqu’à créer l’illusion de la vie et de la chair, sans aucune possibilité de «camouflage», les figures étant nues dans la majorité des cas.

Et pour accentuer ce paradigme, DeAndrea s’attache à reproduire les poses et les thèmes les plus classiques de l’Histoire de l’Art, multipliant les références à l’Antiquité (du Galate mourant à Pygmalion en passant par la sculpture grecque du Vème siècle), à la Renaissance (les Vénus du Titien ou de Vélasquez) et jusqu’à la peinture française du XIXème (de Manet à Courbet et jusqu’à Cabanel !)

Mais il est aussi résolument contemporain, n’hésitant point à puiser son iconographie dans l’actualité, comme pour son œuvre American Icon, ou à montrer avec crudité mais sans jamais être vulgaire certaines parties d’anatomie habituellement savamment dissimulées ou escamotées.

Pour des raisons physiques et techniques, la production de John DeAndrea est, on l’a dit, très faible. On estime l’ensemble de son oeuvre à environ 350 sculptures dont la plupart sont d’ores et déjà dans des musées et collections privées. Mais à l’occasion de cette nouvelle exposition, l’artiste a décidé de montrer, outre une dizaine de sculptures, une facette totalement ignorée de son travail et pourtant présente depuis le tout début : il s’agit des moulages des têtes et bustes qu’il conserve depuis toujours dans son atelier, trace de la mémoire du travail, brut et captivant, visages impassibles aux yeux creux mais à l’intensité rare : The Faces of Fifty Years.

extraits du texte d’Harry Bellet « The Aphrodite Child » publié dans le catalogue de l’exposition.

27 juin 2018

Arles - save the date

Robert Chouraqui, a juste titre considéré comme le père de la photographie Fetish expose en Arles cet été et vous attend nombreux au 17 rue de la Liberté, Arles ! Venez découvrir ses créations fantaisiste, déroutantes, et surtout si séduisantes :-P

Christophe Mourthé, artiste mondialement connu pour ses photographies sensuelles et éclatantes d’animalité proposera son vernissage… à deux pas de son confrère et ami !

Celui dont l’égérie fut Dita Von Teese vous rencontrera au 28 rue de la Liberté, Arles le 12 juillet 2018.

Vente de tirages, signature de livres et affiches seront organisées !

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26 juin 2018

Concorde Art Gallery

24 juin 2018

Galerie trois cerises sur une étagère - rue Mazarine Paris

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24 juin 2018

Si vous passez à Rennes. A ne pas louper ... Exposition collection Pinault

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