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Jours tranquilles à Paris
7 juin 2017

HHhH - Bande-annonce

Historique de Cédric Jimenez
Avec Jason Clarke, Rosamund Pike, Jack O'Connell, Jack Reynor, Mia Wasikowska

Résumé

L’ascension fulgurante de Reinhard Heydrich, militaire déchu, entraîné vers l’idéologie nazie par sa femme Lina. Bras droit d’Himmler et chef de la gestapo, Heydrich devient l’un des hommes les plus dangereux du régime. Hitler le nomme à Prague pour prendre le commandement de la Bohême-Moravie et lui confie le soin d’imaginer un plan d’extermination définitif. Il est l’architecte de la solution finale. Face à lui, deux jeunes soldats, Jan Kubis et Jozef Gabcik. L’un est tchèque, l’autre slovaque. Tous deux se sont engagés au côté de la résistance, pour libérer leur pays de l’occupation allemande. Ils ont suivi un entraînement à Londres et se sont portés volontaires pour accomplir l’une des missions secrètes les plus importantes, et l’une des plus risquées aussi : éliminer Heydrich. Au cours de l’infiltration, Jan rencontre Anna Novak, tentant d’endiguer les sentiments qui montent en lui. Car les résistants le savent tous. Leur cause passe avant leur vie. Le 27 mai 1942, les destins d’Heydrich, Jan et Jozef basculent, renversant le cours de l’Histoire.

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5 juin 2017

Crazy Horse - nouvelle revue

ACTUELLEMENT AU CRAZY HORSE

Le Crazy Horse présente son nouveau show "Totally Crazy" ! 65 ans de créations en un show exceptionnel !

Le Crazy Horse invite parisiens et amoureux de Paris à s'échapper du quotidien et à plonger sans retenue dans 65 ans de création et de folie concentrés en 90 minutes d'envoûtement avec son nouveau spectacle Totally Crazy.

Sous la direction artistique d'Andrée Deissenberg, directrice générale création & développement du Crazy Horse et mis en scène par Stéphane Jarny (« The Voice », « Saturday Night Fever », « Dessous Dessus« ),

Totally Crazy réunit en un seul show les créations les plus emblématiques du célèbre cabaret parisien, détournées avec une touche d'impertinence, et les numéros incontournables des signatures mythiques qui ont révolutionné ce haut-lieu de la nuit parisienne ces dix dernières années.

C'est ainsi que Totally Crazy intègre dans son programme, de manière inattendue et cadencée, une sélection de tableaux majestueux signés Philippe Decouflé, Christian Louboutin, Chantal Thomass, Dita Von Teese & Ali Mahdavi.

Le public fidèle aura également le plaisir de revoir sur scène les grands classiques intemporels du Crazy Horse, joyeusement twistés.

Au programme: des numéros iconiques tels que « Upside Down », « Rougir de Désir », « Lay, Laser Lay« , « U Turn Me On« , des créations espiègles telles que « Voodoo » ou encore « Reine des Coeurs » ainsi qu'une prouesse esthétique et technologique comme « Undress to Kill« , étonnant striptease du 21ème siecle … Vous l'aurez compris, bien d'autres surprises pétillantes vous attendent !

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5 juin 2017

Le défi des bâtisseurs - ARTE

Plus haut monument de l’Occident jusqu’au XIXe siècle, la cathédrale de Strasbourg, joyau gothique, relève à la fois du rêve démesuré et de la prouesse architecturale. Comment, au Moyen Âge, un tel prodige a-t-il été possible ? Ce docu-fiction passionnant de bout en bout retrace l'histoire épique de la cathédrale de Strasbourg et de ses géniaux bâtisseurs.

Plus haut monument de l’Occident jusqu’au XIXe siècle, la cathédrale de Strasbourg, joyau gothique, relève à la fois du rêve démesuré et de la prouesse architecturale. Comment, au Moyen Âge, un tel prodige a-t-il été possible ? Derrière son élégante façade de grès rose et sa célèbre rosace qui s'embrase au crépuscule, se sont succédé pendant trois siècles des maîtres d’œuvre visionnaires et inspirés – Erwin de Steinbach, Ulrich d’Ensingen ou encore Jean Hültz – et des artisans au savoir-faire envié dans l'Europe entière. Lesquels revivent ici dans des séquences de fiction. Une épopée qui mêle mystères, doutes et révélations, intrigues et tragédies.

Vertiges

Pour retracer cette folle aventure humaine et les étapes de la construction de ce chef-d'œuvre, le film combine reconstitutions historiques, parole d'experts et images de synthèse, dans un voyage habilement mis en scène entre jadis et aujourd’hui. Et avec la troisième dimension du relief, la cathédrale et ses figures – vertus, vierges et prophètes – offrent un vertigineux spectacle qui conte les espoirs caressés et les défis artistiques relevés. Fruit des savoir-faire les plus accomplis de part et d'autre du Rhin, la cathédrale de Strasbourg et sa flèche rappellent aussi cette part oubliée du passé franco-allemand. Un film spectaculaire signé Marc Jampolsky, déjà auteur pour ARTE du remarqué Nom de code : poilus d'Alaska.

Documentaire de Marc Jampolsky (Allemagne/France, 2012, 1h29mn) ARTE

http://www.arte.tv/fr/videos/045775-000-A/le-defi-des-batisseurs

5 juin 2017

Ailona Hulahoop

2 juin 2017

Au théâtre ce soir...

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Théâtre Édouard VII le vendredi 2 juin

La Récompense

Théâtre Edouard VII

Jusqu'au 10/06

Martin (Daniel Russo) est historien, il vient de recevoir Le Grand Prix International d'Histoire. Il devrait être heureux ; il est terrifié. En effet, les lauréats des années précédentes sont tous morts. Martin est convaincu qu'il est le prochain sur la liste. Au même moment, Véronique (Anne Jacquemin) - la femme de son frère Lucas (Lionel Abelanski) - décide de changer de vie. Elle va quitter Lucas, mais pas avant de lui avouer qu'elle a eu une aventure avec Martin. Quant à Fabienne (Alysson Paradis), sa compagne, elle lui avoue qu'elle le quitte aussi.

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1 juin 2017

"L'Amant double" toujours en salles...

Cannes 2017 : Jérémie Renier, « en résonance »

Par Laurent Carpentier

Rencontre avec le comédien à l’affiche de « L’Amant double », film de François Ozon en compétition officielle au Festival de Cannes, dans lequel il interprète deux jumeaux.

Il ne s’en rappelle pas. Pourtant, il a déjà joué un jumeau. Bien avant L’Amant double de François Ozon, dans lequel on le retrouve aujourd’hui en compétition officielle au Festival de Cannes. C’était il y a dix ans dans Nue propriété de Joachim Lafosse, un double qui s’aime et se détruit.

Sauf qu’alors, le jumeau de Jérémie Renier était interprété par son frère dans la vraie vie, Yannick, de six ans son aîné. C’est sur ce tournage qu’ils ont découvert le plaisir de travailler ensemble (« On a le même humour mais pas les mêmes angoisses », dit-il) et mis en chantier leur premier long-métrage qui devrait sortir en janvier 2018, sur la « sororité » : deux sœurs, qui exercent le même métier, actrice. Son titre : Carnivores.

C’est à ce moment-là qu’il a reçu le coup de fil de François Ozon. « Souvent, j’ai remarqué qu’on me proposait des films qui avaient un rapport direct avec ce que j’étais en train de vivre, sourit-il, accoudé à la fenêtre, pieds nus, une cigarette au bec. Est-ce que c’est une énergie ? Ou le hasard ? Je ne sais pas, mais souvent il y a une résonance. »

Des jumeaux, Paul et Louis, psychanalystes, l’un est un ange, l’autre un diable. Ils partagent une patiente, Chloé qui est aussi leur amante. « Je sortais de mon tournage à moi, et je n’avais pas spécialement envie de jouer. Le côté thriller érotique demandait d’y aller à fond. Certes c’est un cadeau de pouvoir jouer comme ça deux personnages dans un film mais je crois que je ne l’aurais pas fait si cela n’avait pas été François », dit-il.

« Bouffées d’oxygène »

Jérémie est seul dans sa chambre. Pas plus de « gentil » Paul dans le fauteuil, que de « méchant » Louis allongé sur le lit, ces deux caractères complexes qu’il cisèle dans le film au point de nous perdre – malice du réalisateur et de son acteur.

« Avec François on aime jouer, se charrier, se titiller. Dès le premier film, Les Amants criminels, les tournages ont été des bouffées d’oxygène. Pourtant : à 17 ans, me trimballer en caleçon, accroché à une laisse, tirée par Miki Manojlović, ce n’était pas forcément évident. Mais il y a toujours quelque chose de l’amusement. Avec François Ozon, on est là pour essayer, pas pour souffrir. Avec lui, j’ai l’impression de pouvoir être moi, dans ma bêtise, dans le côté enfantin du jeu, le côté tactile, sans qu’il y ait des choses étranges ou mal perçues. »

« Jérémie, c’est un peu comme mon petit frère, assure le réalisateur. Pour L’Amant double, il n’était pas mon premier choix justement sans doute pour ça : parce que je voyais d’abord l’enfant chez lui. C’est notre troisième film ensemble mais on lui a fait passer un casting. Et j’ai été bluffé. Il a acquis une maturité, une virilité que je ne voyais pas. Comme tous les grands acteurs, il est à l’aise avec le fait d’être érotisé. Il me fait penser à Michael Fassbender avec qui j’ai travaillé sur Angel. Ce besoin de s’engager physiquement. Son corps, il le donne. S’il comprend pourquoi. »

La dernière fois qu’on l’a vu au cinéma, Jérémie Renier était brun avec une barbe. C’était en 2016 dans La Fille Inconnue – à Cannes toujours et avec les frères Dardenne encore – ces faux jumeaux du cinéma belge avec qui il a tourné cinq films, dont celui qui l’a fait débuter, La Promesse. C’était en 1996. Il avait 15 ans. « On avait débarqué sur la Croisette au dernier moment avec les bobines dans un vieux van, sourit-il à ce souvenir. J’étais très timide. » Deux ans plus tard, il est avec son slip et sa laisse dans Les Amants criminels d’Ozon.

« Le travail de toute une vie »

Depuis on l’a vu chez Gans, Guirado, Assayas, Trapero… Il est devenu Claude François dans Cloclo de Florent Emilio Siri, et Pierre Bergé dans Saint Laurent de Bertrand Bonello… Des rôles de composition. « Il y a des acteurs qui ont une personnalité très forte, avec laquelle ils jouent. Moi peut-être que je n’ai pas cet atout-là alors je vais aller explorer des personnages, dit-il. Je suis fasciné par un acteur comme Philip Seymour Hoffman qui arrive à faire oublier sa composition tant il est ses personnages. »

Le thème du jumeau est un classique au cinéma, de Pierre Richard à Tilda Swinton dans Okja (présenté en compétition). Pour préparer son rôle, il a revu Jeremy Irons dans Faux-Semblants de David Cronenberg, Armie Hammer et Josh Pence dans The Social Network de David Fincher, Tom Hardy dans Legend de Brian Helgeland.

« Dans le travail que j’ai fait pour rechercher ce personnage, enfin ces deux personnages, je me suis inventé des histoires. Est-ce qu’ils sont deux, est-ce qu’il est seul et double, est-ce qu’il se joue d’elle ou est-il le reflet de son regard à elle… C’est pourquoi, pour moi, ce film parle aussi du couple. De comment on voit l’autre, comment on se voit à travers lui, les manques. Chloé, c’est comme si elle construisait son fantasme de l’homme, celui qui remplirait toutes les cases. »

Le confort et le désir. Sur sa table de nuit : 24 heures de la vie d’une femme de Stefan Zweig. Lui qui dit s’être lancé dans le cinéma parce qu’il avait « un appétit de vie plus grand que ce qu’[il] vivait à l’école » se dévoile avec délicatesse, en cherchant ses mots, sans trop en dire mais en cherchant toujours la sincérité : « On a commencé à tourner à un moment de ma vie où je me posais des questions sur moi-même, et je me suis dit que j’étais un peu des deux sans doute. Paul et Louis. Quelqu’un de doux, d’attentionné, de généreux, mais peut-être aussi avec une partie d’ombre qui pourrait avoir envie de posséder, de détruire. Cette face-là, on a du mal à la voir, à la regarder en face. Au début, j’ai pensé : Paul il va être ennuyeux parce que c’est le gentil. En fait, à l’arrivée je me demande si Paul n’est pas plus complexe que Louis. Sait-on jamais qui on est réellement ? C’est le travail de toute une vie. »

Lui qui partage désormais sa vie entre Valence en Espagne « où j’ai mes enfants » – Arthur et Oscar, 16 et 11 ans – et son ex-femme, Bruxelles « où j’ai ma famille », et Paris « où je travaille », regarde longuement sa main avant d’expliquer : « Le fait d’être acteur permet d’explorer des recoins de son âme. Parfois, je me demande ce que traverser toutes ces vies provoque dans notre métabolisme neurologique, et comment le cerveau fait la différence entre ce qu’on lui propose de vivre à travers un personnage et ce que l’on est. »

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31 mai 2017

TV : « The Beatles : Eight Days a Week – The Touring Years »

Par Bruno Lesprit

Le réalisateur Ron Howard a mis la main sur des images inédites, récupérées auprès de télévisions ou auprès de fans américains des Fab Four.

Passons sur l’accroche commerciale du documentaire, inepte à moins qu’elle ne relève d’un second degré british : « Vous connaissez le groupe. Pas leur histoire. » Formulée en 2016 à propos d’un secret aussi bien gardé que les Beatles, elle prête pour le moins à rire tant la geste des Fab Four a été documentée et ressassée aux jeunes générations.

Notamment en 1995 avec Anthology, série télévisée en huit épisodes, où les héros se racontaient. Paul McCartney, George Harrison (mort en 2001), Ringo Starr et le producteur George Martin (disparu en 2016) avaient alors ouvert leurs archives pour ce qui devait être « la » somme sur un phénomène qui fut musical, sociétal, voire religieux.

L’environnement extérieur était décrit le plus souvent comme un vaste asile, au début distrayant, puis menaçant. Ce que le sage Harrison devait résumer par cette formule : « Nous étions normaux, le reste du monde était fou. »

Sigourney Weaver, « amoureuse de John »

Que peut donc ajouter, vingt ans après, Eight Days a Week, du réalisateur américain Ron Howard (Apollo 13, Rush) ? Son film se focalise sur l’œil du cyclone : les concerts et les tournées, la conquête de l’Amérique à partir du passage à l’« Ed Sullivan Show », en février 1964, en un mot : la beatlemania.

Les bornes vont de 1961, avec les débuts au Cavern, un club de jazz de Liverpool, à la dernière apparition ­scénique de pop stars à la célébrité christique le 29 août 1966, dans un stade de football américain de San Francisco rempli de 25 000 spectateurs. Certaines images n’ont cessé d’illustrer les récits sur la génération du baby-boom : hurlements féminins et crises de larmes, évanouissements, policiers débordés…

Mais l’équipe de Ron Howard a aussi entrepris un long travail de recherche et mis la main sur du matériel inédit, récupéré auprès des télévisions ou de fans qui ont consigné leurs souvenirs grâce au super-8.

Parmi les documents amateurs les plus étonnants, cette vision de Sigourney Weaver adolescente, filmée dans la foule du Hollywood Bowl. L’actrice témoigne rétrospectivement de son émoi et confie avoir été « amoureuse de John ». On entend aussi sa consœur Whoopi Goldberg – qui assista à un concert de l’autre côte, au Shea Stadium de New York – ­affirmer que leurs chansons transcendaient les barrières raciales.

« Magical Hysteria Tour »

A ce sujet, un éclairage méconnu est apporté sur la prestation du groupe au Gator Bowl de Jacksonville, en Floride, en 1964. Les Beatles parvinrent à imposer aux organisateurs la ­ déségrégation du public (la loi sur les droits civiques venait d’être promulguée), une première en ce lieu, en faisant une condition sine qua non à leur venue.

Ces ressentis émus contrastent avec ceux des intéressés – les deux survivants, McCartney et Starr, se sont prêtés à de nouvelles interviews –, vite effrayés par ce « cirque » selon l’expression de Lennon. Un « Magical Hysteria Tour » qui ne leur apportait aucun plaisir musical. La sonorisation de l’époque ne pouvait lutter contre l’incessant vacarme. Le batteur explique ainsi que, faute de les entendre, son seul repère était les mouvements rythmiques de ses camarades qui lui tournaient le dos… Difficile de savoir, dans ces conditions, ce que valaient réellement les Beatles sur scène.

Pour le studio, la sentence définitive se prépare dès décembre 1966, quand ils se réfugient à Abbey Road pour enregistrer Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band. L’album qui transformera la musique pop en œuvre d’art.

« The Beatles : Eight Days a Week – The Touring Years », de Ron Howard (Royaume-Uni - Etats-Unis, 2016, 105 minutes). Mercredi 31 mai à 21 heures.

29 mai 2017

L'extravagant Monsieur Piccoli - ARTE

26 mai 2017

Théâtre - Scènes de vie conjugale - prolongations au Théâtre de l'Oeuvre

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26 mai 2017

C'est quoi Nicole Kidman ? - Blow Up - ARTE

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