Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
7 août 2017

Ste Anne d'Auray - Le spectacle Yvon Nicolazic commence ce soir

nico01

Les comédiens du spectacle « 1625… le mystère de sainte Anne » entrent en scène pour la première représentation à 22 h. Depuis plusieurs semaines, les répétitions s’enchaînent.

Le rendez-vous

« Aller aller, on y va, on lance la répétition générale », lance au micro le metteur en scène, le père Frédéric Fagot. Et c’est parti pour deux heures, où chacun doit rentrer dans son rôle. Ils sont 130 figurants à évoluer en plein air, dans une scénographie où les décors sont plus vrais que nature.« Ils assurent, mais nous ne devons jamais relâcher la pression. J’ai vraiment peu de remarques à leur faire. Avant chaque répétition, nous refaisons le parcours des acteurs qui nous rejoignent et le tour est joué. » Certains positionnements sont à revoir car,cette année, l’association Asyn, en charge de la production, a fait le choix d’un éclairage plus intimiste, qui vient donner plus de sens aux différentes scènes.« La lumière vient se focaliser plus sur les personnages et les bâtiments. Les petits détails sont plus mis en valeur, notamment sur les métiers représentés dans le spectacle », confie le metteur en scène.

Une reconstitution

Le spectacle, véritable reconstitution historique du XVIIe , vient plonger les spectateurs et les comédiens dans les origines de Sainte-Anne-d’Auray, faisant revivre la vie d’Yvon Nicolazic, laboureur témoin des apparitions de sainte Anne. La petite chapelle construite par lui-même deviendra, en 1872, l’actuelle basilique, haut lieu spirituel breton de pèlerinage.« Depuis 1625, on vient ici prier intron santez Anna, Madame sainte Anne. Ici, on vient vivre quelque chose d’unique, d’indicible, qui vous permet de repartir avec un cœur consolé. Ici, les Bretons viennent à la source », confie Patrick Geindre, responsable de la communication. Une heure et demie de spectacle qui permet de revivre ce troublant mystère, en compagnie des témoins de l’époque, des paysans, moines, curés, évêques, du seigneur Pierre de Kériolet, de la reine d’Angleterre, et des premiers pèlerins, jusqu’à la visite du pape Jean-Paul II en 1996.

Du 7 au 13 août, à 22 h, à Ponter-Groah (derrière la basilique). Relâche le 10 août. Tarifs : 15 € adultes, 7 € moins de 12 ans. Contact : tél. 07 82 18 25 15. Cette année, la troupe a été renforcée par de nombreux bénévoles, notamment des jeunes acteurs. La moyenne d’âge est de 15 ans.

IMG_1131

Publicité
6 août 2017

Souvenir... Souvenir - Musique de Serge Gainsbourg

20478959_156621478242897_4938318676425179136_n

6 août 2017

Crazy Horse de Paris

crazy333

5 août 2017

"Orange Mécanique" de Stanley Kubrick avec Malcom McDowell

16583564_1826759670910447_40611879311114240_n

2 août 2017

A la chapelle des Sept Saints... ce soir

Winner Team en concert à Erdeven   Dans le cadre du Festival des chapelles : Loïc Audureau et Florent Méry, un accordéoniste et un clarinettiste. Ce duo a particulièrement développé son répertoire autour des musiques traditionnelles d’Europe de l’Est et des musiques juives relues dans un esprit actuel inspiré de David Krakauer et du label Tzadik de John Zorn.  A 21 h  , chapelle des Sept-Saints, Erdeven. Gratuit.

7 saints 2 aout

chapelle

Publicité
31 juillet 2017

Paris 21 juin 2017 - Première du film "The Circle" - Emma Watson

30 juillet 2017

Ce soir sur France 2 : "Yves Saint Laurent"

Paris, 1957. A tout juste 21 ans, Yves Saint Laurent est appelé à prendre en main les destinées de la prestigieuse maison de haute couture fondée par Christian Dior, récemment décédé. Lors de son premier défilé triomphal, il fait la connaissance de Pierre Bergé, rencontre qui va bouleverser sa vie. Amants et partenaires en affaires, les deux hommes s'associent trois ans plus tard pour créer la société Yves Saint Laurent. Malgré ses obsessions et ses démons intérieurs, Yves Saint Laurent s'apprête à révolutionner le monde de la mode avec son approche moderne et iconoclaste.

ysl124

ysl

29 juillet 2017

Cinéma : EGON SCHIELE - sortie en salles le 16 août - save the date

egon 16 aout

28 juillet 2017

"The Circle" - vu ce soir

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Les Etats-Unis, dans un futur proche. Mae est engagée chez The Circle, le groupe de nouvelles technologies et de médias sociaux le plus puissant au monde. Pour elle, c'est une opportunité en or ! Tandis qu'elle prend de plus en plus de responsabilités, le fondateur de l'entreprise, Eamon Bailey, l'encourage à participer à une expérience révolutionnaire qui bouscule les limites de la vie privée, de l'éthique et des libertés individuelles. Désormais, les choix que fait Mae dans le cadre de cette expérience impactent l'avenir de ses amis, de ses proches et de l'humanité tout entière…

Mon avis : tres bien 7/10

share

TC_comments

the-circle-arriva-secondo-trailer-in-italiano-del-film-con-emma-watson-v3-284914-1280x720

the-circle-poster

The-Circle-still

28 juillet 2017

« Valérian », un défilé de cartes postales intergalactiques

valerian25

Le réalisateur n’a pas réussi à combler le vide entre les cases de la bande dessinée de Pierre Christin et Jean-Claude Mézières.

Par Isabelle Regnier - Le Monde

L’AVIS DU « MONDE » – ON PEUT ÉVITER

Pour comprendre qui sont Valérian et sa copine Laureline, on se reportera aux bandes dessinées de Pierre Christin et Jean-Claude Mézières. L’adaptation qu’en propose Luc Besson, elle, ne fournit guère d’explications, ni sur la mission des deux « agents » ni sur le pouvoir qui les emploie.

Valérian et la cité des mille planètes, film que le réalisateur présente comme son grand œuvre, les suit deux heures durant dans une course dans la galaxie, jouant à saute-planète, zigzaguant entre les univers parallèles, engloutissant des ­années-lumière l’air détaché en devisant de leurs vacances…

Lui (Dane DeHaan) ressemble à Tintin. On nous prie d’accepter le fait qu’il est un « bad boy », séducteur impé­nitent. Elle (Cara Delevingne, célèbre top ­model qui donne le la d’un casting ultrapeople) est cette aventurière typiquement bessonnienne, descendante d’Héléna (Isabelle Adjani), dans Sub­way, de Nikita ou encore de Lucy. La personnalité en moins. Elle n’a pour exister que son joli minois et les quelques lignes de dialogues téléphonés dont on a bien voulu la gratifier – pour mettre le héros en demeure de vaincre cette peur de l’engagement qu’auraient tous les garçons.

Syncrétisme neuneu

Au service d’un « gouvernement des ­humains », dont le représentant (Herbie Hancock) leur communique des instructions par écran interposé, ils cherchent de précieuses perles mauves au pouvoir régénérant, que se disputent divers potentats de la galaxie.

Au passage, ils désamorcent des bombes, se retrouvent suspendus au-dessus du vide intergalactique quand ils ne sont pas offerts en festin à des pachydermes friands de cervelle humaine, plongés au fond des océans en compagnie d’un vieux loup de mer incarné par Alain Chabat, ou encore happés dans un peep-show où une ­extraterrestre, jouée par Rihanna, se livre à un numéro de pole dance transformiste…

Sans doute est-il question de sauver les survivants d’un génocide qui aurait décimé 6 millions d’âmes sur une planète semblant sortie d’une sorte de Mario Kart croisé avec My Little Pony.

Avant de voir surgir dans le ciel de leur paradis en toc l’armada de vaisseaux qui devaient les décimer, les victimes, créatures longilignes aux mœurs pacifistes, vivaient dans un bain d’innocence. Sourire béat sur le visage, elles n’aimaient rien tant que secouer leurs bras dans de grands moulinets et s’échanger des politesses sucrées. En regard de ce syncrétisme neuneu, la guerre, se dit-on entre deux bâillements, paraît un moindre mal.

Luc Besson ne s’intéresse qu’à une chose : la multiplication des tableaux où évoluent ses personnages. Puisant ses références dans tout le cinéma de science-fiction (Star Wars, Blade Runner, Star Trek, Avatar, The Edge of Tomorrow, Total Recall, tout y passe) et même plus (une touche de James Bond, un zest de Ziggy Stardust, mâtiné de Starmania…), il bourre son film de tout ce qui lui passe par la tête.

Au-delà de l’amour pour le bling tendance années 1980 qu’elle révèle, cette profusion bigarrée a quelque chose de triste. La vitesse est au rendez-vous, mais pas le rythme. Les tentatives de gag tombent à plat. Les décors, aussi variés soient-ils, sont comme interchangeables, surfaces glissantes où les yeux ne se fixent pas.

Laissant ses personnages à l’état de figures, ses situations à l’état d’esquisses, Besson n’a pas su combler le vide entre les cases de la bande dessinée. Le ­récit, la chair, la vie, font défaut.

gettyimages_822648256_jpg_8373_north_499x_white

gettyimages_822651712_jpg_4939_north_499x_white

gettyimages_822655624_jpg_3414_north_499x_white

Publicité
Publicité