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Jours tranquilles à Paris
12 août 2017

Michael Wolf, l'émergence du projet photographique - Rencontres de la Photo d'Arles 2017

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12 août 2017

Crazy Horse de Paris

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11 août 2017

Si vous n'avez rien d'autre à faire...

9 août 2017

Musique irlandaise à la chapelle des Loperhet - Erdeven

Musique irlandaise à Erdeven   Le duo Bléjean-Sargent, composé de Loïc, aux uilleann pipes et low whistles, et Tad, au bodhran, au bouzouki et au chant, livrent le meilleur de la musique irlandaise.

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Concert à la chapelle. Un duo dynamique

Loïc Bléjean et Tad Sargent, duo dynamique et talentueux, ont entraîné un auditoire ravi dans un voyage irlandais à travers leur musique tonique, à Loperhet, mercredi soir. La chapelle était comble pour ce concert organisé dans le cadre du festival des chapelles. Le Breton et le Londonien créent ensemble, avec uilleann pipes, bodhran, bouzouki et chant, une musique celtique rythmée et joyeuse, une invitation à danser, très largement applaudie par le public.

9 août 2017

Fanny Ardant

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9 août 2017

Fanny Ardant, la liberté avant tout

Coulisses. Dans Lola Pater, un jeune homme retrouve son père… qui est devenu une femme, jouée par Fanny Ardant, excellente.

Entretien

Elle est étonnante cette Lola ?

Fanny Ardant : Je l’aime beaucoup. Je n’avais jamais été dans une histoire comme ça.

Pour la jouer, vous êtes-vous posé la question du masculin ou du féminin ?

Non, je la vois plutôt comme quelqu’un qui est sorti d’un grand bouleversement. C’était le changement qui était important. Lola a souffert d’être dans un corps d’homme. Ça a été une longue quête d’identité. Et elle a payé les conséquences d’une liberté de choix.

Elle a recherché son absolu mais elle a cette blessure d’avoir abandonné son enfant ?

Il y a ce paradoxe et cette contradiction, mais ça se saurait si la vie était simple. Du coup, le film tourne autour de la relation père-fils. Et ce fils qui, finalement, préfère que son père soit vivant, même si c’est une femme, plutôt que ne pas avoir de père du tout.

Ils sont de culture maghrébine…

C’est une société qui, je crois, est encore plus stricte. La société musulmane a des codes infranchissables. Notre société française est plus ouverte aujourd’hui. Pourvu que ça dure. Notre bien le plus précieux, c’est la liberté.

Et le réalisateur, Nadir Moknèche, franco-algérien, ose aborder une telle thématique ?

Il permet une avancée dans le regard de la société. Si tout va bien, dans cinquante ans, on trouvera tout cela normal. L’important n’est pas d’être hétéro, homo, trans, bourgeois, Français… C’est parce qu’on est touché par un itinéraire que notre regard s’élargit.

Nadir Moknèche raconte qu’il pensait à vous pour ce rôle à cause de votre silhouette dans

Vivement dimanche de François Truffaut

… Vivement dimanche est né lors d’une fête, pendant le tournage de La femme d’à côté , parce que François m’a vu passer en silhouette. Ça lui a donné envie d’écrire une sorte de roman noir. Si maintenant, cette silhouette a inspiré Nadir, c’est une histoire de poupées russes. C’est l’une des fonctions du cinéma. Son emprise est plus forte que la réalité.

Article de Gilles KERDREUX. Ouest France

9 août 2017

Rencontre avec Valentina, Top-model transgenre

9 août 2017

Crazy Horse de Paris

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8 août 2017

NANTES : Royal de Luxe. Place aux « Miniatures »

« Miniatures » met en scène un pilote de ligne observant, du ciel, à la loupe, les catastrophes frappant la planète. Après Nantes cet été, le spectacle partira en tournée mondiale, en2018 et2019.

Délaissant ses géants mondialement connus, la compagnie de théâtre de rue Royal de Luxe propose, jusqu'au 20 août, à Nantes, son port d'attache, sa nouvelle création, « Miniatures », une plongée intime et poétique dans les affres du monde d'aujourd'hui.

« On voulait faire un petit spectacle, intime, proche des gens », explique Jean-Luc Courcoult, fondateur de Royal de Luxe en 1979 et, comme à l'accoutumée, auteur et metteur en scène de cette pièce. Deux rideaux pour seul décor ferment la scène de 20 mètres sur 10 et neuf comédiens évoluent au plus près des 700 spectateurs. Loin de la saga des géants se promenant dans les grandes villes du monde entier, « Miniatures » a été imaginé après les attentats de Paris quand il était « plus complexe de faire de grands spectacles de foule avec Vigipirate », précise-t-il. Marquant le retour de la compagnie à Nantes, où elle est basée depuis 1989, trois ans après y avoir proposé « Le Mur de Planck » et ses personnages géants, « Miniatures » met en scène un pilote de ligne observant, du ciel, à la loupe, les catastrophes frappant la planète.

« Sujet noir, spectacle tendre »

Dans une ambiance de hall d'aéroport, le public embarque place de la Petite-Hollande, en plein coeur de Nantes, pour un vol « Royal Airlines » d'une heure et demie. Après avoir libéré la piste d'un tapis de verres de vin rouge, le pilote assis sur une chaise à ressorts s'endort aux commandes de son manche à balai. Dans les nuages, il surplombe pays en guerre ou touchés par le réchauffement climatique, visionnant les conflits de très haut et rêvant de sa famille, de son père « maréchal du nettoyage », de sa mère, femme de ménage se transformant, à minuit, en reine-mère coiffée d'une soupière, et de ses soeurs « pareilles », chaussées de patins à roulettes. « C'est comme nous quand on est en face d'un écran, on aperçoit le monde réel à travers cet écran et on a l'impression d'y être. Mais on n'est pas dans la réalité, on est avec une grande distance de ce qui se passe dans le monde », souligne Jean-Luc Courcoult.

Dans une « cohérence incohérente », sa mise en scène alterne saynètes graves et humoristiques et convoque tour à tour un légionnaire romain sorti d'un réfrigérateur, un plombier-scaphandrier la tête coincée dans le tambour d'une machine à laver, un chef de gare cerclé d'un train électrique ou une machine à écrire frappant les touches toute seule. En plein barbecue, la visite au pilote d'un marchand d'armes provoque l'explosion d'un tank militaire, détournant brièvement le regard du spectateur avant qu'il ne soit accroché par un mannequin posé sur le bitume, représentant le corps sans vie d'Aylan, petit Syrien de trois ans retrouvé mort sur une plage turque en 2015, dont la photo avait fait le tour du monde. « Le sujet est noir mais le spectacle est extrêmement tendre », assure Jean-Luc Courcoult, qui a souhaité « poser un regard poétique sur la réalité du monde d'aujourd'hui ». Gratuit et tout public, le spectacle sera joué tous les soirs (à l'exception des lundis) et tous les mercredis après-midi. Coproduit par la métropole de Nantes et le ministère de la Culture, pour un budget de 650.000 €, « Miniatures », qui avait été présenté en avant-première en mars à Malines (Belgique), doit ensuite partir en 2018 et 2019 en « tournée mondiale », dont les dates et les lieux n'ont pas été communiqués.

7 août 2017

Concert ce matin à l'Eglise St Gildas d'Auray

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