Rise like a phœnix ce soir ma petite impératrice @ConchitaWurst au @crazyhorseparis ! #pierreetgilles #blancali pic.twitter.com/aB5eqBoB5W

— Jean Paul Gaultier (@JPGaultier) 9 Novembre 2014

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Can't wait to be with the crazy girls tonight! A bientôt! #ConchitaHEROES@crazyhorseparis pic.twitter.com/mKfJMFNYjk

— Conchita Wurst (@ConchitaWurst) 9 Novembre 2014

Le duo #PierreEtGilles signera l'affiche officielle de #Conchita #Wurst au #CrazyHorse en novembre pic.twitter.com/XYWP6WOtcL

— Jean-François Guyot (@JFGuyot) 25 Septembre 2014

http://next.liberation.fr/musique/2014/11/06/conchita-wurst-la-cantatrice-barbue_1137810

Dossier_Presse_Crazy_Horse

Une nouvelle amie - de François Ozon

Le professeur Abronsius (David Alexis) part en Transylvanie avec Alfred, son assistant, à la recherche des vampires (Daniele Carta Mantigli) Alfred tombe amoureux de Sarah, la fille de l'aubergiste.

Mais elle a déjà rencontré le comte Von Krolock, un vampire, et semble bien éprise.

Il faut donc la sauver...

Des décors incroyables, une mise en scène qui joue avec la promiscuité du public, à ce niveau là, c'est une réussite.

On reconnaitra la musique Total Eclipse of the Heart, de Bonnie Tyler, qui revient comme un fil conducteur.

Certaines reprocheront toutefois à la comédie d'avoir perdu ce côté décalé propre au film. D'autres aimeront moins les chansons.

http://www.billetreduc.com/110545/evt.htm

Miley Cyrus a trouvé un nouveau moyen de faire parler d'elle. Dans le clip Tongue Tied, elle se dévêt à nouveau, dans une ambiance qui fait vraiment penser à l'univers sadomasochiste.

Dans cette vidéo en noir et blanc réalisée par Quentin Jones, Miley Cyrus, vêtue d'une simple culotte et de collants résilles noirs, danse avec des accessoires qui font penser à ceux utilisés pour le bondage, une pratique sadomasochiste. Et pour rajouter une couche de trash, elle finit par s'enduire le corps de peinture noire.

Conchita Wurst, le travesti autrichien à barbe qui a remporté l'Eurovision 2014, a fait ses premiers pas la semaine dernière sur la scène du Crazy Horse, à Paris, dont il sera la "guest star" le temps d'une résidence du 9 au 15 novembre. Le premier travesti à se produire dans le temple international du nu féminin chic depuis sa création en 1951 a présenté devant le public et la presse deux des trois tableaux montés spécialement pour lui, dans des costumes signés Jean Paul Gaultier et une mise en scène de la chorégraphe Bianca Li. Présentée par le Crazy Horse comme "une artiste libre se jouant des conventions avec grâce et humour", Conchita Wurst, 25 ans, succède comme invitée exceptionnelle à la comédienne française Clotilde Courau, la performeuse Dita von Teese ou la chanteuse Arielle Dombasle.

Au milieu du show habituel du cabaret, Conchita Wurst, avec ses yeux de biche, sa longue chevelure et sa barbe courte noire, est apparue bluffante de féminité et de grâce, tout autant que les légendaires danseuses du Crazy. Telle une reine sur son trône, dans un bustier or et une longue jupe transparente, Conchita a interprété "Rise Like a Phoenix", la chanson qui lui a permis de remporter l'Eurovision. À ses pieds, six danseuses du Crazy, nues et dans des poses langoureuses, arboraient elles aussi la même barbe en postiche, déclenchant l'étonnement et parfois les rires des spectateurs. Après l'entracte, Conchita Wurst est revenue pour une deuxième chanson en robe courte or et argent découvrant ses jambes, accompagnée de six danseuses seins nus et portant des pantalons or, dans l'esprit des variétés des années 1970.

"Une artiste de très haut niveau"

"Ma singularité est d'être la première lady spéciale du Crazy. J'ai saupoudré un peu de mon esprit sur le show. Peut-être que des spectateurs préféreraient que je ne sois pas là", a confié à l'Agence France-Presse Conchita Wurst, ravie d'incarner "une femme d'un autre genre". "Dans mon monde, l'orientation sexuelle, la couleur de peau ou la religion ne sont pas des choses importantes. Cela concerne l'être humain, pas la société", a ajouté Conchita, à la ville Thomas Neuwirth, qui, après sa résidence au Crazy Horse, terminera l'enregistrement de son premier album.

Pour Philippe Lhomme, propriétaire du cabaret parisien, "briser les lignes du bien-pensant et du conformisme, transgresser les règles établies et anticiper les courants nouveaux sont depuis toujours dans l'ADN impertinent du Crazy". "La féminité peut être très multiple dans son expression. Conchita l'exprime mieux que personne et nous sommes très fiers de recevoir pour la première fois cette artiste spéciale qui est très inspirante", a-t-il indiqué. "Nous ne faisons ni compromis ni provoc facile en accueillant Conchita. Elle est avant tout une artiste de très haut niveau. Dès 1951, Alain Bernardin, notre fondateur, a bousculé l'ordre établi en mettant le nu sur scène", a rappelé Andrée Deissemberg, directrice artistique du cabaret. "Nous continuons dans cette même liberté artistique. Hier comme aujourd'hui, le public du Crazy a envie d'être surpris. Avec des clins d'oeil et de l'humour, l'érotisme et la sensualité sont encore plus intéressants."

Avec Une nouvelle amie, François Ozon s’attaque de manière romanesque à la question de la mort en mettant en scène un endeuillé qui se travestit.

Portrait. Derrière l’image du cinéaste classique à la vie bourgeoise, derrière ce solitaire qui ne pouvait appartenir à aucun mouvement mais qui s’engageait ponctuellement, derrière celui qui disait qu’un film devait être un acte d’amour, il y a François Truffaut l’insoumis. Ce beau portrait d’Alexandre Moix rappelle à quel point le réalisateur des 400 coups est resté marqué par son enfance de mal-aimé. Délaissé par sa mère, il sera sorti du centre d’observation des mineurs délinquants de Villejuif par l’écrivain André Bazin. Il ne découvrira que tardivement l’identité de son père biologique, un dentiste juif. De belles archives, notamment de Jeanne Moreau et Jean Renoir, « amicalement jaloux » de Jules et Jim .Arte , 22 h 55.

Une photo publiée par Jacques Snap (@jacquessnap) le Oct. 10, 2014 at 12:09 PDT

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