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Jours tranquilles à Paris
5 février 2020

Crazy Horse de Paris

crazy33

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5 février 2020

À lui tout seul, un artiste crée des embouteillages monstres - 28 minutes - ARTE

Excellent !

5 février 2020

BRODZIAK presents: PERSONAL STREET SHOOT from Szymon Brodziak on Vimeo.

4 février 2020

Shakira et Jennifer Lopez ont enflammé la mi-temps du 54e Super Bowl

Si l’enjeu sportif du Super Bowl n’est pas à prendre à la légère, sa mi-temps est pourtant encore plus attendue que le jeu en lui-même. Il faut dire qu’en 54 éditions, cette grand-messe américaine a vu défiler les plus grandes stars, de Michael Jackson à Beyoncé. Dimanche 2 février, le Miami Hard Rock Stadium accueillait deux chanteuses pour le prix d’une, puisque Shakira et Jennifer Lopez étaient chargées de faire le show cette année. Et show il y a eu : en 14 minutes, les deux superstars ont livré une performance électrisante, où se mêlaient leurs meilleurs tubes (de « She Wolf » à « Wherever, Whenever » à « On the floor » et « Get Right ») et plusieurs reprises. Le tout accompagné d’effets pyrotechniques et de tenues à strass on ne peut plus flamboyantes. Quant à celles et ceux que le football américain passionne, rappelons tout de même que l’équipe des Chiefs de Kansas City a vaincu les 49ers de San Francisco, remportant là le deuxième Super Bowl de son histoire.

4 février 2020

Actuellement en salles...

caron200

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4 février 2020

« Parasite » ou l’art coréen de se démarquer

Le film du Sud-Coréen Bong Joon-ho, Palme d’or 2019, cartonne aux États-Unis et fait partie des grands favoris aux Oscars. Une réussite sur laquelle le pays s’appuie pour vendre son modèle culturel.

Par Clémentine Goldszal 

parasite

Bong Joon-ho (au centre) et les acteurs de son film Parasite lors de la soirée des Screen Actors Guild Awards, le 19 janvier, à Los Angeles.

Il y a quelques semaines, Jin-young Sung, la ­responsable des relations publiques du centre culturel coréen de Los Angeles, était invitée à un goûter d’enfants avec son fils de 7 ans. « Il n’y avait que des Blancs, mais tout le monde parlait de Parasite ! », dit-elle, ébahie par le phénomène suscité par le dernier film du Sud-Coréen Bong Joon-ho, sorti aux États-Unis le 11 octobre.

Avec 30 millions de dollars de recettes sur le sol américain (et plus de 160 millions dans le monde), cette satire grinçante sur la lutte des classes est devenue le septième plus gros succès de l’histoire pour un film en langue étrangère. Un exploit pour un film sous-titré et au casting inconnu du public américain. « Du jamais-vu », pour Jin-young Sung.

Depuis qu’il a reçu la Palme d’or à Cannes, en mai 2019, Parasite a connu une spectaculaire ascension qui l’amène aujourd’hui au seuil de la récompense suprême : l’Oscar du meilleur film, qui sera décerné le 9 février. Premier long-métrage coréen à être nommé dans cette catégorie, Parasite concourt également pour les prix du meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleur décor, meilleur montage et meilleur film étranger. Et fait figure de favori.

Le résultat d’un travail de longue haleine qui couronne la percée progressive du cinéma hybride de Bong Joon-ho, qui avait déjà connu le succès en 2013 avec Snowpiercer, distribué par la Weinstein Company, puis en 2017 avec Okja, dans la Sélection officielle à Cannes et diffusé par Netflix.

En sous-main, la vague Parasite est l’aboutissement pour la Corée du Sud de deux décennies de politique culturelle pour renforcer son industrie cinématographique. Celle-ci a été étouffée dans les années 1980 par les films hollywoodiens, qui ont profité de l’ouverture du pays après des années de restrictions et de censure pour squatter les salles obscures au détriment des productions locales.

Quotas et exception culturelle

Aujourd’hui la Corée du Sud se classe cinquième en termes de recettes en salles (après les marchés américano-canadien, chinois, japonais, britannique, et juste devant le français). Le pays encourage, depuis vingt ans, son cinéma à coups de gestes politiques forts. En 1999, une loi « pour la promotion des industries culturelles », accompagnée de la création d’un fonds spécial de 250 milliards de wons (212 millions de dollars) sur cinq ans, marque le lancement d’une série de mesures visant au développement des diverses branches du divertissement coréen. Surtout, depuis le début des années 2000, un système de quotas (chaque salle doit au minimum projeter un film coréen 73 jours par an) restreint fortement la présence des films étrangers.

Ce revirement a permis l’émergence, dans les années 2000, de cette « nouvelle vague coréenne » dont Park Chan-wook, Kim Jee-woon, Lee Chang-dong et, bien sûr, Bong Joon-ho sont les plus éminents représentants, et qui s’enorgueillit de mettre en avant une exception culturelle qui ne fait que très peu de concessions au modèle du blockbuster à l’américaine. Résultat : la part de marché en Corée du Sud des films produits sur place est aujourd’hui de 50 %.

L’État coréen met également son influence au service de ses artistes potentiellement exportables. Aides à la traduction pour la littérature, organisation d’expositions pour les arts graphiques, billets d’avion et mise à disposition des réseaux d’influence locaux pour le cinéma… Depuis quelques années, la culture coréenne se déploie comme jamais au-delà des frontières de la péninsule : les groupes de K-pop remplissent les stades, la K-beauty enthousiasme les blogueuses, la K-food passionne les gastronomes…

 « Quand j’ai commencé à travailler, se rappelle Jin-young Sung, nous organisions des événements autour du théâtre ou des danses traditionnelles, mais aujourd’hui, grâce notamment au succès de notre musique pop, nous proposons des choses beaucoup plus modernes. » Le centre culturel coréen de Los Angeles accueille toujours plus de curieux et prépare ainsi le terrain pour la réception favorable des films de ses réalisateurs stars.

Dès la fin de l’été, Jin-young Sung s’est donc mise en campagne pour Parasite. En octobre, pour inaugurer la rétrospective que consacrait la cinémathèque de Los Angeles à Bong Joon-ho (qui coïncidait avec le 100e anniversaire du cinéma coréen), elle s’assure que le réalisateur et son actrice principale feront bien le voyage depuis Séoul. Dans les semaines qui suivent, elle s’attelle à l’organisation de projections et soirées VIP à l’attention des votants.

En janvier, le centre culturel met aussi la main au porte-monnaie pour une réception au NeueHouse, un club privé huppé de Sunset Boulevard. « Nous avons payé une partie des 12 000 dollars qu’a coûté la soirée », précise Sung. Quant au budget global alloué pour « soutenir » les efforts de promotion de Parasite, difficile d’en savoir plus. Jin-young Sung indique à demi-mot qu’il s’agit de quelques centaines de milliers de dollars. Une goutte d’eau à Hollywood, mais qui fera peut-être la différence pour Parasite.

3 février 2020

Vidéo - art3f

3 février 2020

Shakira & J. Lo's FULL Pepsi Super Bowl LIV Halftime Show

Shakira et Jennifer Lopez ont enflammé la mi-temps du 54e Super Bowl

Si l’enjeu sportif du Super Bowl n’est pas à prendre à la légère, sa mi-temps est pourtant encore plus attendue que le jeu en lui-même. Il faut dire qu’en 54 éditions, cette grand-messe américaine a vu défiler les plus grandes stars, de Michael Jackson à Beyoncé. Dimanche 2 février, le Miami Hard Rock Stadium accueillait deux chanteuses pour le prix d’une, puisque Shakira et Jennifer Lopez étaient chargées de faire le show cette année. Et show il y a eu : en 14 minutes, les deux superstars ont livré une performance électrisante, où se mêlaient leurs meilleurs tubes (de « She Wolf » à « Wherever, Whenever » à « On the floor » et « Get Right ») et plusieurs reprises. Le tout accompagné d’effets pyrotechniques et de tenues à strass on ne peut plus flamboyantes. Quant à celles et ceux que le football américain passionne, rappelons tout de même que l’équipe des Chiefs de Kansas City a vaincu les 49ers de San Francisco, remportant là le deuxième Super Bowl de son histoire.

 

3 février 2020

Marisa Papen

NON A LA D'URSO
Yesterday night I was facing a wall of Italian fury. I figured: let's face the enemy on their own territory. Obviously I knew they weren't going to be too supportive of my actions in December 2018 on St. Peter Square...

They asked me: 'Why would you do such acts on Holy Ground?'
I answered: 'To me, the entire Earth is Holy Ground and I don't think any Religion has the right to claim a place on this planet. I treasure nature.'

 

And yeah I know... I'm dressed from head to toe.

As soon as I entered MediaSet, they made me sign this contract that said if I would take off my clothes during the show I had to pay a fine of 10000euro, I asked them if everyone had to sign this before going on stage, they're like: well, no

3 février 2020

L'affaire DSK bientôt sur Netflix ?

dsk

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