Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Jours tranquilles à Paris

11 juillet 2018

Extrait d'un shooting - bondage

sexy

DSCN6471web1

Publicité
11 juillet 2018

Emily Ratajkowski

emily22

11 juillet 2018

Liu Xia, veuve du prix Nobel de la paix Liu Xiaobo, est arrivée à Berlin

Par Brice Pedroletti, Pékin, correspondant - Le Monde

Jusqu’ici maintenue de facto en résidence surveillée à Pékin, la poétesse désirait se rendre depuis plusieurs années en Allemagne afin d’y retrouver des proches.

La poétesse et artiste chinoise Liu Xia, 57 ans, veuve du prix Nobel de la paix (2010) Liu Xiaobo, est arrivée à Berlin, mardi 10 juillet, après de longues années sous surveillance policière dans son pays, et trois jours seulement avant l’anniversaire de la mort de son mari, le 13 juillet 2017.

Celui-ci avait été condamné en 2009 à onze ans de prison pour incitation à la subversion du pouvoir de l’Etat, à la suite de son rôle dans l’élaboration du manifeste pour la démocratisation dit « Charte 08 ». Il est mort sans avoir été libéré. Un événement est prévu à Berlin vendredi en hommage à l’écrivain disparu.

Départ négocié

Parmi les personnes venues souhaiter la bienvenue à sa veuve à l’aéroport, où s’étaient massés une trentaine de journalistes, figuraient l’écrivain chinois en exil Liao Yiwu et la lauréate du prix Nobel de littérature (2009), l’Allemande Herta Mülle. Liu Xia n’a pas souhaité faire de déclaration à son arrivée.

La poétesse désirait se rendre depuis plusieurs années dans la capitale allemande afin d’y retrouver des proches. Pékin avait confirmé que Mme Liu allait en Allemagne pour y suivre « un traitement médical ». Selon des proches, elle souffre d’une grave dépression. Son départ de Chine, négocié depuis de longs mois par l’Allemagne, est intervenu le lendemain de la visite dans le pays du premier ministre chinois, Li Keqiang.

M. Li a rencontré, lundi 9, la chancelière Angela Merkel, qui s’était rendue en Chine fin mai et faisait de la libération de Liu Xia l’une de ses priorités. Elle avait évoqué son cas avec Li Keqiang lors de ce voyage, et réitéré le souhait de Berlin d’accueillir Mme Liu.

Vague de protestations

Ce sont ses frères qui ont révélé, mardi matin, l’information à des amis de Liu Xia, qui l’ont ensuite diffusée plus largement. Le ministère chinois des affaires étrangères a confirmé dans l’après-midi.

Liu Xia ainsi que ses proches en Chine et à l’étranger avaient d’abord compté sur un départ fin avril qui n’avait pas eu lieu malgré, selon eux, les assurances de Pékin initialement données à Berlin.

Ce raté avait donné lieu à une vague de protestations suite à la diffusion sur Internet par le poète Liao Yiwu, exilé en Allemagne et ami de longe date des Liu, d’enregistrements sonores de Liu Xia au bord du suicide, et profondément déstabilisée dans l’attente de ce départ qu’elle souhaitait de tout cœur et qui ne venait pas. « Si je ne peux pas partir, je mourrai chez moi. Xiaobo est parti, il n’y a plus rien qui me retient dans ce monde », avait-elle confié.

Liu Xia était soumise à une forme de détention à domicile de facto depuis l’attribution du prix Nobel en 2010 à son mari emprisonné. Elle n’était autorisée à sortir ou à voir des gens qu’avec l’approbation des services chinois de sécurité, bien qu’elle n’ait jamais été accusée d’aucun délit et malgré la perte de ses deux parents au cours de l’année 2017.

L’accès de son immeuble dans le centre de Pékin était gardé en permanence par des agents, elle était privée d’appareils mobiles et de connexion Internet, et son téléphone était sur écoute. Une journaliste de l’AFP était parvenue, lundi matin, à la rencontrer brièvement dans son duplex, mais l’artiste avait décliné une demande d’interview, sans révéler qu’elle partait.

Frère cadet, bloqué en Chine

La « libération » de Liu Xia apporte une résolution à l’un des abus des droits humains par la Chine les plus médiatisés de ces dernières années. Ses proches considèrent toutefois que le départ de Liu Xia s’est fait sous condition et qu’elle gardera sans doute un profil bas, en raison de la vulnérabilité de son frère cadet, Liu Hui, bloqué en Chine.

Condamné à la prison en 2013 pour des violations mineures du droit commercial puis placé en liberté conditionnelle, il est toujours à la merci d’une nouvelle arrestation. Le verdict avait été dénoncé à l’époque par les ONG de défense des droits de l’homme et les avocats chinois comme une manœuvre grossière pour dissuader Liu Xia et les soutiens du couple de tenter de nouvelles actions afin d’obtenir la libération de Liu Xiaobo.

Liu Hui a été parmi les premiers à se féliciter mardi sur la messagerie WeChat du départ de sa sœur. « Ma sœur s’est envolée pour l’Europe à midi, et va commencer une nouvelle vie, merci à tous ceux qui se sont inquiétés pour elle et l’ont aidée toutes ces années. J’espère de tout cœur (…) qu’elle sera en sécurité et en bonne santé pour le reste de ses jours ! », a-t-il écrit selon Shang Baojun, l’ancien avocat de la famille, joint au téléphone.

Chine : un vétéran de la dissidence condamné à treize ans de prison. Qin Yongmin a été condamné, mercredi 10 juillet, à treize ans de prison pour « subversion », a annoncé le tribunal intermédiaire de la ville de Wuhan où il était jugé. Agé de 64 ans, il avait été arrêté en 2015 sous l’accusation d’avoir organisé un rassemblement illégal. Il avait à l’époque déjà passé vingt-deux ans de sa vie en prison ou en camps de rééducation par le travail, selon l’organisation de défense des droits de l’homme Chinese Human Rights Defenders.

11 juillet 2018

Milo Moiré

IMG_8778

IMG_8779

IMG_8781

11 juillet 2018

Dates du Festival de Cannes 2019

festival cannes

Publicité
11 juillet 2018

Les fantasmes sexuels varient en fonction du genre, de l'âge et de la personnalité

Une étude menée sur plus de 4.000 Américains âgés de 18 à 87 ans s'est intéressée aux fantasmes sexuels.

Dans son livre Tell me what you want :the science of sexual desire and how it can help you improve your sex life (en français : Dis moi ce que tu veux : la science du désir sexuel et comment cela peut aider à améliorer la vie sexuelle), le Dr. Lehmiller explore les fantasmes, pourquoi ils sont ressentis et comment ils diffèrent avec l’âge, le sexe et le type de personnalité (extraverti, introverti). Professeur de psychologie sociale à l’Université Kinsey d’Indiana, Justin Lehmiller a interrogé plus de 4.000 Américains de 18 à 87 ans, qui ont répondu à 369 questions sur les fantasmes sexuels. 97% des sondés ont confirmé avoir des fantasmes. Jusqu'ici, rien de bien surprenant.

Les recherches ont identifié sept thèmes majeurs de fantasmes (du plus courant au moins courant): le sexe en groupe, le pouvoir, le contrôle ou le sexe brut (incluant le bondage et tout ce qui ressemble de près ou de loin à du sadomasochisme), les nouvelles expériences, tout ce qui touche au tabou (le voyeurisme, le fétichisme et l’exhibitionnisme), la polygamie, la passion et la romance, et, enfin, la flexibilité érotique, en particulier l’homo-érotisme (le désir entre personnes du même sexe, sans passage à l'acte sexuel – à ne pas confondre avec l’homosexualité).

L’étude a prouvé que les femmes et les hommes n’ont pas les mêmes fantasmes, même si beaucoup se ressemblent. La plupart des hommes ont déclaré avoir besoin d’un élément affectif. Comprendre : le besoin de se sentir désiré, compétent sexuellement parlant et irrésistible. Si les femmes ont aussi ce genre de désirs, leurs fantasmes se tournent aussi vers le bondage, le sadomasochisme et la contrainte, aussi bien en tant que dominatrice qu'en tant que soumise.

Elle a également démontré que la personnalité influe sur les fantasmes. Les personnes extraverties avaient plus tendance à se tourner vers le sexe de groupe et la polygamie, alors que les plus introvertis fantasmaient surtout sur tout ce qui est "tabou". Pour le Dr. Lehmiller cela peut être lié au fait que les introvertis ont plus de mal à rencontrer du monde : "Ils peuvent avoir du mal à rencontrer des partenaires et à établir le genre de relation dont ils ont besoin, et cela semble mener certains à un autre genre d’expression sexuelle."

Les fantasmes changeraient aussi en fonction de l’âge. Les jeunes ont tendance à se concentrer sur des scénarios impliquant passion et romance alors que les personnes plus âgées, habituées à la monogamie et aux relations de couple, s’intéressent aux scénarios de groupe. À noter également, au fur et à mesure que les hommes vieillissent, ils ont tendance à fantasmer sur des relations homo-érotiques.

Bonne nouvelle, selon le Dr. Lehmiller, les fantasmes auraient une vertu thérapeutique : "Ils nous aident à accepter ce qu’il se passe dans nos vies."

11 juillet 2018

L'été au Havre

été havre

11 juillet 2018

Bonne Journée

bonne journée1

11 juillet 2018

Ballons

ballons

11 juillet 2018

La Presse ce matin

foot3

ouest

Publicité
Publicité