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Jours tranquilles à Paris

15 août 2017

Street Art

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14 août 2017

Bretagne - soleil, le retour

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14 août 2017

Donald Trump... en face de la Maison Blanche !

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14 août 2017

La une de Libération de ce matin

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14 août 2017

Cathédrale Saint Corentin - Quimper

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14 août 2017

L’Espagne dit son ras-le-bol du tourisme de masse

tourisme

Par Isabelle Piquer, Madrid, correspondance - Le Monde

Entre les excès provoqués par l’ivresse des estivants et la dénonciation d’activités qui ne profitent pas aux résidents, l’exaspération monte de l’autre côté des Pyrénées.

L’Espagne est-elle atteinte de « tourismophobie » ? Alors que leur pays s’apprête à battre de nouveaux records – il a déjà accueilli plus de 36 millions de visiteurs (11,6 % de plus qu’en 2016) et devrait dépasser les 80 millions avant la fin de l’année –, les Espagnols s’interrogent sur les méfaits induits par un secteur qui représente 11,2 % du produit intérieur brut (PIB) et qui fait vivre 2,5 millions de personnes.

L’hôpital universitaire de Palma de Majorque, Son Espases, est ainsi devenu une référence mondiale dans une spécialité assez particulière : soigner des vacanciers blessés lors d’un balconing, une pratique qui consiste à sauter d’un balcon à un autre, ou dans une piscine. Le profil des quarante-six personnes soignées par l’établissement entre 2010 et 2015 ? D’après un rapport publié en mars : jeune (environ 24 ans), majoritairement britannique (60,8 %) et complètement ivre.

Dernière victime en date, un Irlandais de 27 ans qui s’est jeté de sa chambre d’hôtel de San Antonio (Ibiza) début juillet. Le balconing aurait déjà causé la mort de trois touristes à Majorque depuis le début de l’été, selon les autorités locales.

Il y a aussi les booze cruises (les « croisières arrosées ») pour lesquelles on peut embarquer depuis la plage de Magaluf (Majorque) et qui offrent trois heures de musique et de boissons non-stop sur des bateaux bondés pour 55 euros…

Pneus crevés et confettis

C’est contre de tels excès que s’insurgent désormais les Espagnols. Et le débat est virulent car il touche un secteur particulièrement sensible de l’économie ibérique.

Fin juillet, quatre personnes encagoulées ont subitement obligé un bus touristique de Barcelone à s’arrêter ; ils ont alors crevé les pneus du véhicules avant de peindre sur son pare-brise le slogan « Le tourisme tue les quartiers ». L’attaque a été revendiquée par le collectif Arran, le mouvement de jeunesse du parti d’extrême gauche indépendantiste CUP.

Ses militants dénoncent « un modèle de tourisme qui génère des bénéfices pour très peu de personnes et aggrave les conditions de vie de la majorité ». Ils ont aussi lancé des confettis aux clients d’un restaurant du port de Palma de Majorque et collé des centaines de stickers sur des véhicules de location contre le « tourisme qui tue Majorque ».

Au Pays basque, une organisation séparatiste, Ernai, a pour sa part annoncé une manifestation à Saint-Sébastien pour le 17 août, avec pour slogan : « Votre tourisme, la misère des jeunes ».

Madrid a durement critiqué les actes de vandalisme. Le président du gouvernement, Mariano Rajoy, a demandé à ses concitoyens « un peu de bon sens » et il a attribué les attaques à des « extrémistes radicaux ».

Emplois précaires

« Ce qu’on ne peut pas faire à Monsieur le touriste, qui heureusement vient ici, génère d’énormes revenus et permet à de nombreux Espagnols de travailler, c’est le recevoir à coups de pied. Cela me semble une aberration », a déclaré M. Rajoy, lundi 7 août, lors d’une visite à Majorque où il s’est entretenu avec le roi Felipe VI qui, comme chaque année, passe ses vacances sur l’île.

Pays le plus compétitif au monde en matière de tourisme d’après le Forum économique mondial de Davos, l’Espagne a profité ces dernières années de la désaffection pour des destinations considérées à risque comme l’Egypte, la Turquie ou la Tunisie.

Les régions les plus visitées du pays sont la Catalogne (8,6 millions de touristes durant le premier semestre), les îles Canaries (6,9 millions), les Baléares (5,4 millions) et l’Andalousie (5,2 millions). Selon les estimations de l’Institut national de statistique espagnol (INE) les visiteurs ont dépensé un peu plus de 37 millions d’euros depuis janvier, soit 14,6 % de plus par rapport à la même période de 2016.

Le secteur emploie 13 % de la population active en Espagne, et jusqu’à 20 % en Catalogne. Mais il requiert surtout une main-d’œuvre peu chère et temporaire, donnant l’impression d’un « pays de serveurs » comme le dénonce régulièrement la presse ibérique. « La précarisation des emplois touristiques est de plus en plus problématique », affirme un rapport de l’université Loyola Andalucía publié en avril.

Ne pas tuer la poule aux œufs d’or

Un nombre croissant d’Espagnols estiment par ailleurs que le tourisme de masse fait grimper en flèche les loyers, provoque des nuisances en matière d’environnement, et exerce une pression presque insoutenable sur les ressources hydriques. Sans parler de l’urbanisation massive qui a déjà détruit une bonne partie des côtes.

Une enquête réalisée en juin par la mairie de Barcelone a montré que « le tourisme est le principal problème de la ville » pour 19 % des habitants interrogés. La ville a d’ailleurs pris plusieurs mesures contre la plateforme Airbnb pour tenter de limiter le nombre d’appartements disponibles à la location. Et un arrêté municipal va entrer en vigueur fin août pour interdire la location des trottinettes électriques dans le centre-ville, des engins jugés nuisibles par les résidents.

Le gouvernement des îles Baléares, où les socialistes ont formé une coalition avec la gauche radicale, a pour sa part annoncé, mercredi, son intention de limiter le nombre de locations de meublés touristiques. En cas mise en location d’appartements sans licence, les amendes peuvent atteindre 40 000 euros pour les particuliers, 600 000 euros pour des plateformes spécialisées comme Airbnb.

Mais le secteur hôtelier estime qu’il ne faudrait pas tuer la poule aux œufs d’or qui a contribué à sortir l’Espagne de la crise. D’autres destinations pourraient vite lui faire concurrence. Selon TUI, le premier voyagiste européen et numéro un mondial, « l’Espagne est au complet », ce qui pourrait bénéficier, a estimé son directeur général, Fritz Joussen, jeudi, dans un communiqué, à des pays comme le Cap Vert ou la Bulgarie.

14 août 2017

Vacances

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14 août 2017

Extrait d'un shooting - lingerie

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14 août 2017

In memorem : Dorothy Stratten

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Beautiful Dorothy Hoogstratten (better known by her stage name Dorothy Stratten) was a shy, awkward teenager when she met Paul Snider, a money hungry hustler who immediately saw the potential for fame in the buxom blonde. Dorothy had struggled with self-esteem issues her entire life, and despite her ethereal looks she did not consider herself worthy enough of a mans attention until Paul Snider came along.

The two fell in love and got married in June 1978, and soon after the wedding Snider persuaded Stratten to pose for nude photos, which he secretly sent off to Playboy magazine. Just a few months later the pair moved to Los Angeles, where Dorothy became a finalist in the Playboy Bunny Hunt competition. She met Hugh Hefner and worked as a dancer in his Playboy Club, and Snider encouraged her to audition for movie roles. To help her get roles, Snider bullied Dorothy into dying her hair peroxide blonde, and forced her to undertake a gruelling diet and exercise regimen. Dorothy’s hard work paid off when she featured as Playboy’s “Playmate of the Month” for August 1979, and she was also voted “Playmate of the year 1980”.

In 1980 Dorothy starred in her first (and only) movie, ‘Galaxina’, where she plays a beautiful robot. At the movie’s first screening, Hugh Hefner pulled Dorothy aside and warned her to keep away from Snider. “He’s a hustler and a pimp. He’s just using you” Hefner reportedly said. Dorothy made the fatal mistake of telling her husband about this remark, and Snider grew even more jealous and paranoid over his beautiful young wife.

Snider began beating Dorothy, flying into rages about the affairs he believed Dorothy must be having. He prohibited her from leaving the house without him, took away her car keys, and would stand next to Dorothy when she talked on the phone. Her friends desperately tried to seek help for her, but Stratten would always blame herself for his behaviour and make excuses for the bruises that were showing up on her body with increasing regularity.

In April 1980 Dorothy fell in love with Peter Bogdanovich, the director of the new film she had scored a lead role in. Snider hired a private detective to spy on her, and when he discovered his wife’s affair he reportedly threatened to kill Dorothy and “ruin that pretty face”. Dorothy and Peter moved in together at his mansion in Beverley Hills, and by August Dorothy had filed for divorce.

On August 14, 1980, Snider rang Dorothy and asked to meet her at his house to talk about an amicable divorce. Dorothy enthusiastically agreed and withdrew $1000 to give to Snider.

What happened next is unclear. Dorothy arrived at Snider’s house around noon, and at some point during the night Snider beat Dorothy and tied her into an elaborate BDSM harness. He violently raped and sodomized her, before shooting her in the face at point-blank range with a 12-gauge shotgun. Snider raped her dead body again, aimed the gun at his head, and committed suicide.

The landlord of the house discovered the two nude bodies the next day. Dorothy was only 20 years old, and Hugh Hefner wrote this about her in an article:

“Dorothy took my breath away. She had this beautiful inner quality about her that was so charming, so innocent, and it touched everything in the room”

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Dorothy Stratten

14 août 2017

Auray - Matinée musicale. L'orgue s'invite au marché

Dans le but de faire découvrir l'impressionnant orgue de Saint-Gildas d'Auray, les Amis de l'orgue ont mis en place les concerts de l'été chaque lundi du 17 juillet jusqu'au 14 août. Dernière chance d'en profiter ce lundi !

L'association Les Amis de l'orgue de Saint-Gildas d'Auray, créée en 2010, a pour but de faire vivre cette pièce patrimoniale en la faisant connaître au plus large public.

Dans cette démarche, les concerts de l'été ont repris le 17 juillet et se poursuivent tous les lundis matin, jusqu'au 14 août. Lundi dernier, Jean-François Haberer à l'orgue, accompagné de Céline Jacob à la flûte à bec et au cornet à bouquin, ont interprété des morceaux de la musique baroque italienne associant ces trois instruments.

Michel Jézo ce lundi 14

Une matinée musicale très appréciée des nombreuses personnes réunies dans l'église Saint-Gildas. Lundi 14 août, pour le dernier récital, Michel Jézo s'installera face au majestueux clavier. Cet organiste, titulaire de la cathédrale de Vannes et de la basilique de Sainte-Anne-d'Auray, interprétera Brahms, Schumann et Mendelssohn.

Pratique : Église Saint-Gildas, le lundi, de 11 h 15 à 12 h.

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