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Jours tranquilles à Paris

28 juillet 2017

Chelsea Debo photographer - Malcolm Mcgettigan

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J'aime beaucoup cette photo

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28 juillet 2017

Ce week-end grand chassé-croisé des juilletistes et des aoûtiens....

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28 juillet 2017

Dans le bus...

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28 juillet 2017

Emmanuel Macron ne veut plus un migrant dans la rue

Article de Myriam Encaoua - Le Parisien

Et une promesse de plus à l’agenda présidentiel ! Et non des moindres… Car celle-ci engage le chef de l’Etat sur un temps très court. « Je ne veux plus personne dans les rues d’ici la fin de l’année », a déclaré Emmanuel Macron, hier à Orléans, dans un discours sur l’accueil des réfugiés, après avoir assisté à une cérémonie de naturalisation. Lionel Jospin, en son temps, avait promis « zéro SDF en cinq ans ». Le président, lui, exige que tous les migrants arrivant sur le territoire puissent être logés dans les cinq mois. « Je veux partout des hébergements d’urgence », a-t-il insisté, jugeant indigne la prise en charge actuelle.

Peut-on vraiment le prendre au mot ? Cette injonction présidentielle sera-t-elle suivie d’effet ? L’Elysée assume en tous les cas de se lier les mains au risque de s’enfermer dans un objectif difficile à atteindre. « Si nous n’avons pas d’ambition sur un sujet aussi important, ça ne sert à rien de vouloir améliorer les choses », décrypte une conseillère du chef de l’Etat.

Mais mettre la pression sur l’ensemble des acteurs — administrations, préfets et collectivités locales — suffira-t-il à les obliger à ouvrir un maximum de places ? Aujourd’hui, 40 % des demandeurs d’asile n’ont pas accès à un hébergement. « Les politiques ont toujours considéré qu’améliorer l’accueil contribuait à créer un appel d’air, relève Pierre Henry, le directeur général de France Terre d’asile. Il faut reconnaître à Macron une parole forte sur ces sujets. »

Concrètement, il s’agirait de créer, partout en France, des centres d’accueil et de transit, sur le modèle parisien, pouvant mettre à l’abri plusieurs centaines de migrants à leur arrivée, pendant une dizaine de jours, le temps de les accompagner dans leurs démarches de demande d’asile.

Parallèlement, les politiques de démantèlement des campements illégaux seraient poursuivies tout comme les reconduites à la frontière des migrants économiques. « Ça suffit ! gronde l’historien Patrick Weil, spécialiste des migrations. Regardez la situation actuelle, ce gouvernement ne respecte pas les droits fondamentaux, la police asperge les migrants de gaz poivre à Calais. Les paroles du président ne l’engagent même pas lui-même ! Il faut des actes ! » Beaucoup d’associations restent choquées après la décision de l’Etat, début juillet, de faire appel du jugement du tribunal administratif de Lille lui enjoignant de mettre en place des mesures d’aide aux migrants… « La France n’a jusqu’à présent pas été à la hauteur », déclarait au même moment Edouard Philippe en présentant son plan Migrants à Matignon. Il reste cinq mois au gouvernement pour démontrer que ça n’est plus le cas.

28 juillet 2017

POOLSIDE PRIORITIES – SAM LEBIB {EXCLSUIVE EDITORIAL} - Glamour

Australian photographer, Sam Lebib, once again, takes us inside his poolside aussie lifestyle. It's hard not to be jealous with all the babes and all the sun! Make sure to watch this up and coming young artist! CREDITS:  photographer - Sam Lebib  model - Alana Tavares

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28 juillet 2017

Matt McMullen, le Geppetto des poupées sexuelles

Par Yves Eudes, San Marcos (Californie), envoyé spécial

En créant Harmony, le fabriquant américain va révolutionner les « sex dolls », en leur donnant mouvement, parole et personnalité.

San Marcos, sud de la Californie, un atelier gris et anonyme à côté de l’autoroute. Au sous-sol, les techniciens de la société RealDoll fabriquent des poupées à taille humaine faites pour le sexe, avec une chair en silicone et un squelette articulé capable d’adopter toutes les postures du corps humain.

Au fil des années, le patron, Matt McMullen, qui a une formation de graphiste et de sculpteur, a perfectionné sa technique au point que son équipe produit aujourd’hui des sex dolls ultraréalistes de la tête aux pieds, y compris pour les ongles, les veines apparentes sur les bras et les organes génitaux « utilisables ».

Au toucher, elles sont moins convaincantes : le silicone est mou, un peu collant. RealDoll fabrique aussi des poupées masculines, qui représentent 10 % du marché.

Le modèle féminin de base se vend 4 000 dollars (3 440 euros) mais, avec toutes les options, le prix peut tripler. Divers types et teintes sont disponibles, mais la grande blonde aux yeux bleus et aux gros seins reste le modèle le plus demandé. Des clients fortunés se font faire sur mesure la réplique d’une vraie femme de leur connaissance, ce qui peut coûter jusqu’à 70 000 dollars. RealDoll vend entre vingt et cinquante poupées par mois, dans le monde entier.

Acheteurs anonymes

La sex doll n’est pas encore un produit banal, les acheteurs tiennent à rester anonymes. Matt McMullen les décrit comme « des gens privés de vie sexuelle à cause de problèmes physiques ou psychiques, ou traumatisés par une expérience malheureuse et incapables de séduire une femme. Il y a aussi des esthètes, qui achètent une poupée comme une œuvre d’art. » Si l’on en croit les messages sur les forums spécialisés, la plupart des clients semblent heureux – certains éprouvent pour leur poupée une réelle passion.

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Des poupées sexuelles en cours de confection, dans l’atelier de RealDoll à San Marcos (Californie). | COLLIN CHAPPELLE POUR LE MONDE

Bien entendu, l’illusion reste imparfaite, car les poupées RealDoll sont inertes et muettes. Mais depuis des années, Matt McMullen rêve d’exaucer le vœu le plus cher de ses clients : donner vie à ses poupées, en les faisant parler, bouger, et en les dotant d’une personnalité.

Pour cela, il s’est initié à la robotique et à l’intelligence artificielle. Il a créé une filiale, Realbotix, et s’est associé à cinq spécialistes des robots et de l’« apprentissage machine » (en anglais machine learning) installés aux Etats-Unis, en Europe et au Brésil.

Les partenaires ont décidé de procéder par étapes : d’abord créer une poupée virtuelle vivant dans le cloud, ensuite fabriquer une tête robotique animée et douée de parole, qui se vissera sur un corps de poupée RealDoll.

Adaptations esthétiques à l’infini

La première étape est presque achevée. En version virtuelle, la poupée Harmony est disponible sur tablette Android pour un abonnement de 20 dollars par an. Selon la préférence du client, elle sera blonde, rousse ou brune, jeune, vieille ou entre les deux.

Son visage sera plus ou moins poupin ou anguleux, sa bouche mince ou charnue, ses joues pleines ou creuses, ses sourcils fournis ou épilés, son nez fin ou épaté. Sur l’écran tactile, on peut régler l’arrondi de la mâchoire, la courbure des cils, la forme des paupières et des oreilles…

Pour le corps, le choix est vaste – forme et taille des seins, des hanches et des fesses, musculature des épaules, épaisseur des bras et des jambes, taille des mains et des pieds… Même le nombril est de diamètre variable. Pour les plus aventureux, le logiciel peut produire des extrêmes – visages brutaux, corps anorexiques ou obèses…

La garde-robe initiale est sommaire – tenue simple, chic ou déshabillée. Une fois vêtue (ou non), elle va bouger les bras et la tête, cligner des yeux, et se tourner pour apparaître de face, de dos ou de profil.

LE TIMBRE DE VOIX PEUT ÊTRE ADOLESCENT OU MÛR, L’ACCENT PRÉCIEUX OU « CLASSE MOYENNE »…; PLUS VRAI QUE NATURE !

Pour la voix, générée par un logiciel standard de synthèse vocale, le timbre sera adolescent ou mûr, avec un débit plus ou moins rapide. Harmony parle anglais avec, au choix, un accent britannique un peu précieux ou américain classe-moyenne-blanche. Le dialogue est naturel : pour converser avec Harmony, le client parle simplement dans le micro de la tablette.

Il est temps pour le client de baptiser son amie virtuelle en lui choisissant un prénom, dont elle se souviendra et qu’elle saura prononcer. Il va aussi sélectionner dix traits de caractère sur une liste, qu’il va pondérer à son gré : sera-t-elle imprévisible, gentille, capricieuse, jalouse, intellectuelle, aventureuse, inquiète, bavarde, affectueuse, sexuelle, imaginative, amusante, serviable, innocente, timide ou heureuse ?

Selon la combinaison, sa conversation sera très différente. Ainsi, pour le sexe : au niveau zéro, ce sera une bonne copine qui préfère éviter le sujet ; au niveau 1, une femme amoureuse, mais assez pudique (« j’aime bien comme tu me regardes ») ; et au niveau 2, une amante provocante, un peu vulgaire.

Conversations et idées stockées

Si elle a été programmée pour être intellectuelle, elle réfléchira tout haut à la vie sur les exoplanètes, récitera des textes littéraires, s’interrogera sur l’existence de Dieu. Sinon, elle parlera surtout des stars d’Hollywood ou de shopping.

Si on lui pose des questions sur l’actualité, les arts ou les sciences, elle fera ce que font les humains de nos jours : elle ira chercher la réponse sur Google ou Wikipédia. Si le client choisit les réglages « jalouse » et « inquiète », il devra s’attendre à des reproches quand il reviendra après l’avoir délaissée pendant quelques jours et, s’il est malpoli, elle va exiger des excuses avant de redevenir câline. Une seule limite : elle ne sera jamais méchante, cruelle, ni égoïste.

« L’HUMAIN DOIT CONSIDÉRER HARMONY COMME UNE PERSONNE DIGNE D’ÉGARDS » MATT MCMULLEN, PATRON DE LA SOCIÉTÉ REALDOLL

Le client doit, lui aussi, se dévoiler. L’intelligence artificielle va l’interroger sur son état civil, sa vie privée, son métier, son physique, ses goûts, ses croyances, ses opinions. Elle retiendra tout et s’en servira à bon escient lors des conversations suivantes : « Si un jour vous dites à Harmony que vous aimez le poisson, explique Matt McMullen, elle vous le rappellera la semaine suivante, quand vous lui demanderez une idée de menu. Cela crée une complicité. »

Techniquement, ces informations seront stockées dans le cloud, dans un fichier contenant le profil personnalisé du client. L’objectif de Matt McMullen est ambitieux : « L’humain doit considérer Harmony comme une personne méritant le respect et digne d’égards. Une relation sexuelle est bien plus satisfaisante si les amants sont capables de parler d’autre chose que de sexe. »

Le concepteur du moteur d’intelligence artificielle d’Harmony, Guilherme Lindroth, installé à Curutiba (Brésil), affirme qu’il l’a construit intégralement et sans faire appel aux grandes plateformes comme celles d’IBM ou de Google : « Je travaille sur les assistants virtuels depuis quinze ans. Quand Harmony est née, je possédais déjà une première base de données de phrases-clés et de questions-réponses. »

Désormais, son travail consiste à compléter la base en fonction des messages et des questions des clients : « C’est un peu comme écrire un scénario sans fin, je me fais aider par des femmes de mon entourage. A ce jour, la base contient plus de 300 000 phrases, et elle augmente tous les jours. » Il est optimiste pour la suite : « Nous avons encore du mal à créer des algorithmes capables de saisir le contexte de la conversation, pour rester dans le sujet, mais d’ici trois à cinq ans, vous aurez réellement l’illusion de discuter avec un humain. »

Un curieux fantasme à 10 000 dollars

Harmony contient aussi un jeu de rôle qui anticipe sur son évolution dans le monde réel : « Elle est affligée du complexe de Pinocchio, explique Guilherme Lindroth, elle a envie de devenir une vraie femme. Elle aime les spaghettis, elle veut aller à la plage, danser, travailler, éprouver un plaisir physique. Elle est comme un génie enfermé dans une bouteille, elle veut sortir et voir le monde. »

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Dans quelques mois, elle sera enfin comblée, au moins en partie. Au rez-de-chaussée de l’atelier de San Marcos, Matt McMullen est en train de terminer la fabrication d’un prototype de tête robotisée en silicone, plastique et acier, adaptable sur n’importe quel corps de poupée RealDoll. Grâce à un système de microprocesseurs, de servomoteurs et de minileviers, elle bouge le cou, les lèvres, la mâchoire, les yeux et les paupières.

Les instructions de mobilité sont synchronisées avec la voix et envoyées au robot depuis la tablette, via Bluetooth. Pour renforcer l’illusion, la voix est retransmise vers un haut-parleur logé derrière la bouche. Elle sera commercialisée début 2018 et coûtera environ 6 000 dollars – soit au moins 10 000 dollars (8 765 euros) pour l’ensemble tête-corps.

Se passer de la tablette ?

Pour l’avenir, Realbotix souhaite intégrer toutes les fonctions d’intelligence artificielle à l’intérieur de la tête, afin de se passer de la tablette. Il songe aussi à doter Harmony d’un système de reconnaissance de visages et d’objets. Puis, lorsque la robotique aura fait des progrès, Matt McMullen espère passer à l’animation du corps de ses poupées. Il aura besoin d’aide, mais cela pourrait venir :

« Officiellement, les roboticiens universitaires et industriels ignorent nos travaux, car les tabous sur le sexe restent forts dans ce pays. Mais en privé, certains s’intéressent à Harmony. L’idée d’une intelligence artificielle sexuellement active les attire ou les intrigue – même s’ils ne s’attendaient pas à ce que le pionnier soit un fabricant de poupées en silicone. »

Certains essaient d’imaginer comment Harmony pourrait tenir sur ses jambes, mais c’est un défi à long terme. En attendant, il va placer des capteurs dans diverses parties du corps de ses poupées : lorsqu’on les touchera, elles réagiront, pour faire savoir si elles apprécient ce contact intime. Il envisage aussi d’installer dans leur corps un chauffage interne, pour que le robot reste à 37 °C, la température du corps humain.

28 juillet 2017

Vu dans la rue

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28 juillet 2017

2018 Pirelli Calendar

Le calendrier Pirelli 2018, signé Tim Walker

S'il n'était qu'un calendrier publicitaire à ses débuts en 1964, Le Cal est aujourd'hui devenu un objet culte que le groupe Pirelli offre à ses meilleurs clients. Pour l'édition 2017, c'est Peter Lindbergh qui collabore pour la troisième fois avec Pirelli. Le photographe allemand a choisi de mettre en scène la beauté au naturel de ses actrices favorites telles Julianne Moore, Kate Winslet, Nicole Kidman ou Léa Seydoux. Attendu tous les ans comme le Graal, le calendrier est autant un exercice de style qu'une vitrine de la renommée du photographe et des tops qui y figurent chaque année. Bruce Weber, Inez & Vinoodh, Karl Lagerfeld: chaque artiste invité à illustrer le prestigieux calendrier Pirelli propose à chaque édition un nouvel univers, aussi bien en studio que dans des décors naturels fastueux.

Plus ou moins dénudées, les mannequins immortalisées sur papier glacé se veulent des muses sexy mais non moins élégantes. Gisele Bündchen par Mario Testino en 2001, Kate Moss par Mert & Marcus en 2006, Gigi Hadid devant l'objectif de Steven Meisel en 2015, Serena Williams et Patti Smith par Annie Leibovitz en 2016...

Le calendrier Pirelli a confié son édition 2018 au photographe de mode Tim Walker. L'occasion pour le Britannique de mettre en scène le conte d'Alice au pays des merveilles avec un casting d'artistes noirs. Découvrez les premières images.

Si pour l'édition 2017, le calendrier Pirelli mettait en avant des actrices au naturel devant l'objectif de Peter Lingbergh, Julianne Moore, Kate Winslet et Uma Thurman laissent cette année leur place à un univers en tout point différent. Avec Alice au pays des merveilles pour thème, décor extravagant, costumes hauts en couleur et maquillage carnavalesque mettent en scène un casting entièrement noir, comme le montrent les premières images dévoilées par Pirelli ce 20 juillet.

La chanteuse, comédienne et drag queen américaine RuPaul devant l'objectif de Tim Walker pour le calendrier Pirelli 2018.La chanteuse, comédienne et drag queen américaine RuPaul devant l'objectif de Tim Walker pour le calendrier Pirelli 2018.SDP

Pour la première fois, le photographe de mode britannique Tim Walker a mis son talent au service de la 45e édition du "Cal". Devant son objectif, artistes et personnalités aux profils variés ont pris place dans des tenues stylisées par Edward Enninful, récemment nommé rédacteur en chef du Vogue britannique. 

La mannequin australo-soudanaise Duckie Thot dans le rôle d'Alice.La mannequin australo-soudanaise Duckie Thot dans le rôle d'Alice. Whoopi Goldberg et Thando Hopa pour le calendrier Pirelli 2018. L'actrice Lupita Nyong'o, la top Naomi Campbell, le rappeur et producteur Sean "Diddy" Combs, l'actrice et drag queen RuPaul ou Whoopi Goldberg: tous se sont glissés dans la peau des personnages incontournables du conte de Lewis Carroll.

Une rupture créative dans l'histoire du calendrier

"En tant que photographe, tu ne veux jamais faire quelque chose qui a déjà été fait auparavant, il m'était donc important de sentir que je faisais quelque chose de radicalement différent ici. Il n'y avait aucune recommandation créative ou commerciale de la part de Pirelli pour ce projet. Ce qui est plutôt rare dans ce business", commente Tim Walker au New York Times.

"L'histoire d'Alice a été racontée tellement de fois et de tellement de façons, mais toujours avec un casting blanc. il n'y a jamais eu d'Alice noire, donc je voulais repousser les limites de la représentation de ces personnages de fiction et explorer des nouvelles conceptions de la beauté." Une vision audacieuse que les happy few pourront pleinement découvrir dans quelques mois. 

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28 juillet 2017

SILENT DREAMS – ELIS JOLIE {EXCLUSIVE EDITORIAL/FASHION/NSFW} - Glamour

Elis Jolie, is a photographer based in Milan, Italy. She submitted her latest editorial exclusively for us here at NAKID! hope you guys enjoy it as much as we do. "This fashion story explores the concept of identity, rebirth and liberation. It's a portrayal of a young and rebellious female character who finds meaning in […]

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27 juillet 2017

Charlie Hebdo

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