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Jours tranquilles à Paris

28 mai 2017

Extrait d'un shooting - mode

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28 mai 2017

Paris-Plages invente la plage… sans sable

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Pas de sable cet été... mais des plages de pavés entre le pont Marie et le pont de Sully (en haut, à g.), de bois près du pont Neuf (en haut à dr.), et d’herbeentre le pont Notre-Dame et le pont au Change (en bas à g.). Sans oublier les espaces de baignade dans le bassin de la Villette (en bas à dr.).

L’événement phare de l’été fait peau neuve pour sa 16e édition et revient avec un nouveau concept : des plages qui ne compteront pas un seul grain de sable.

Par  Juliette Bénézit

«Paris-Plages demeure mais Paris-Plages change », a prévenu Bruno Julliard, 1 er adjoint à la mairie de Paris chargé de la culture et du patrimoine, hier matin. Et c’est en effet sous un autre jour que l’événement estival emblématique de la capitale débutera, le 8 juillet. Si les bords de Seine seront habillés, comme les années précédentes, de différentes plages, de centaines de transats et d’une cinquantaine de palmiers, il n’y aura en revanche pas un seul grain de sable à l’horizon du fleuve parisien.

Paris-Plages fait ainsi peau neuve pour sa 16 e édition et revient avec un nouveau concept : celui des plages sans sable. Cette idée, Bruno Julliard l’explique tout d’abord par « des raisons déontologiques ».

Plus écolo... et moins scandaleux

L’adjoint à la Ville de Paris indique, en effet, que « [leur] ancien fournisseur en sable, le groupe Lafarge, ayant été accusé d’avoir entretenu des relations commerciales avec Daech, la poursuite d’un quelconque contrat n’était pas concevable ». Mais d’autres justifications sont également invoquées par le responsable culture et patrimoine de la Ville de Paris comme la volonté de préserver l’environnement ou le souci de moderniser un événement conçu pour la première fois en 2002. Fini donc les 3 500 tonnes de sable acheminées sur les bords de Seine, chaque été. Cette année, les rives droite et gauche du fleuve parisien seront jonchées de plages d’herbe, de bois et de pavés, pour un Paris Plages « plus moderne et plus contemporain », se félicite Bruno Julliard. Une initiative qui réjouit Frédéric, un consultant de 55 ans : « L’herbe, c’est plus propre, plus sympa et plus permanent et puis ça va rajouter un peu de verdure ». Dona Martine, une retraitée de 64 ans, est quant à elle plus dubitative : « A mon âge, je ne compte plus faire des châteaux de sable, mais c’est peut-être dommage pour les enfants », analyse la sexagénaire.

Les plus jeunes ne seront néanmoins pas en reste. « La suppression du sable s’est faite au profit du développement d’autres activités et animations » explique Bruno Julliard. Et d’ajouter : « L’argent libéré par cette suppression a également permis d’investir dans du mobilier, des buvettes et des aires de jeux qui seront mis à disposition des visiteurs. » Le tout pour « un Paris-Plages plus grand, plus beau et au même prix pour les Parisiens », assure l’adjoint à la mairie tout en affirmant que la Ville de Paris a tiré les leçons des critiques qui lui ont été faites par la Cour des comptes, en 2015, sur la gestion financière de l’événement.

@leparisien_75

28 mai 2017

Les Pompiers de Paris

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Photos : J. Snap

28 mai 2017

Grosses chaleurs ces jours-ci : on se croirait en été...

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27 mai 2017

La tombe du général de Gaulle vandalisée à Colombey-les-Deux-Eglises

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Voir mes précédents billets sur Colombey les deux Eglises

cocolombeu

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27 mai 2017

Cannes 2017. «Cher François Ozon...» lettre ouverte au réalisateur de «l'Amant double»

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Le réalisateur ferme le ban des quatre films français en lice pour la Palme d'or. Notre critique Pierre Vavasseur ne la lui accordera pas pour «l'Amant double».

Vous revoici donc aujourd'hui à Cannes, dans les plus jolies conditions puisque vous concourez en compétition officielle, invité à fermer le ban de la sélection française. Félicitations. Votre film, qui sort ce même jour sur les écrans, est une comédie non romantique avec des accents de thriller mental saupoudré de gore. Il est librement adapté d'un ouvrage de la romancière new-yorkaise Joyce Carol Oates qu'elle avait d'ailleurs signé sous pseudo. Avant vous, en 1988, le cinéaste américano-canadien David Cronenberg en avait tiré «Faux-semblants», avec Geneviève Bujold et Jeremy Irons. Vous avez choisi Marine Vacth, révélée par vos soins en 2013 dans «Jeune et Jolie», et un autre Jérémie en la personne de Jérémie Renier. Le thème est fort : il s'agit de la gémellité cannibale. Comment des jumeaux se font la guerre dès la conception. Puis, s'ils s'en sont sortis, se jalousent entre eux. Ça, c'est le fond du problème, et il est sanglant. Tout commence par une rencontre entre une jeune femme dépressive, Chloé, et son psy, Paul, qui en tombe amoureux. Ils s'installent ensemble. Mais par hasard, Chloé croit apercevoir Paul dans Paris. Il lui assure qu'il a passé la journée à l'hôpital en compagnie de ses patients.

Cher François, vous avez fait de si belles choses, si délicates, telles ce «Frantz», onze fois nommé lors des derniers César. Mais je déteste votre film. Plus j'y ai pensé et repensé, plus je m'en suis éloigné. Il m'est lentement apparu comme la représentation tordue que vous avez des femmes. Ce désir de les débarrasser de la grâce et de l'amour qu'elles sont en droit d'inspirer. Marine Vacth est l'une de nos plus belles et troublantes actrices. Déjà, dans «Jeune et Jolie», vous en faisiez un miroir froid de vos fantasmes. Une prostituée sans tendresse. Dépucelée sans amour. Je ne vous parle pas de morale, je vous parle d'image.

 Vous auriez préféré naître d'un homme.

«Une nouvelle amie», en 2014, avec Romain Duris réincarnant son épouse disparue, avait aussi cette brûlure dérangeante et glacée, étanche aux sentiments. Vous n'aimez pas la douceur, François. Vous profitez de votre art pour l'assassiner. En faisant semblant d'aimer les femmes, de leur rendre hommage, vous nous empapaoutez. Ce ne sont pour vous que de charmants papillons de nuit. Avec le recul, «Huit Femmes» est d'une acidité totale dissimulée derrière une affectation acidulée. Ce n'est pas un film sur la féminité, c'est un film en couleur.

Mais avec «l'Amant double», vous vous lâchez pour de bon. Séquence générique : les longs cheveux de Marine Vacth sont coupés avec application. La caméra y prend son plaisir. Votre actrice, qui a pour elle de renverser le monde, de le mener par le bout du nez, vous l'aimez pour une seule raison : son personnage est une proie, une victime, une soumise, une violée consentante. Elle ne peut jouir que dévastée. Vous montrez son vagin en gros plan chez la gynéco. On a le nez dedans.

Plus tard vous récidivez : palpitation des lèvres et du désir. C'est 20 000 lieues sous la mère monstrueuse qu'elle est amenée à devenir. Reconnaissez-le, François. Vous n'aimez pas les femmes. Elles sont la transcription de vos peurs, voire de votre dégoût d'avoir été enfanté par l'une d'elles. Vous auriez préféré naître d'un homme. Et pourquoi ce plan sur le visage de Jacqueline Bisset qui, presque déformée par la focale et les insultes qu'elle profère, semble si laide... Vous voyez ? Si j'étais une femme, je serais accablée par ce que vous montrez de moi.

«L'Amant double», drame français de François Ozon, avec Marine Vacth, Jérémie Renier, Jacqueline Bisset, Myriam Boyer... 1 h 47. Sortie en salles vendredi 26 mai.

Le Parisien

27 mai 2017

Autophoto, l'expo qui met la gomme à la Fondation Cartier Paris

Jusqu'au 24 septembre 2017
La Fondation Cartier appuie sur le champignon avec cette exposition qui met les phares sur les automobiles, devenues muses des plus grands photographes le temps d'une expo hors du commun. Un événement riche en surprises, en découvertes et en émerveillement, comme quoi finalement, art et industrie peuvent aussi, bien s'entendre. Bravo !

27 mai 2017

Avec ce temps, boissons fraîches à volonté....

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Vu sur instagram

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27 mai 2017

Les « Frigos » vous ouvrent leurs portes

Opération portes ouvertes ce week-end aux « Frigos ». Comme chaque année, les artistes et les artisans installés dans ces anciens entrepôts frigorifiques auparavant situés au 91, quai de la Gare (XIII e) et aujourd’hui entourés par les immeubles de la ZAC Paris-Rive Gauche vont accueillir les visiteurs durant deux jours dans leurs ateliers. Une quarantaine d’expositions, de sculptures, de tableaux, de bijoux… et des concerts de jazz (demain à partir de 15 h 30) sont au programme.

L’opération, qui interviendra alors que la Ville (propriétaire du bâtiment depuis 2004) s’apprête à désigner un nouveau gestionnaire pour le site, pourrait prendre une tournure militante. Les membres de l’association les Frigos vont distribuer des tracts aux visiteurs pour les alerter sur les risques que des augmentations de loyers feraient courir à plusieurs occupants du site. B.H.

Aujourd’hui de 14 heures à 22 heures et demain de 14 heures à 20 heures, au 19, rue des Frigos (XIII e). Entrée libre.

Les Frigos (2)

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