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Jours tranquilles à Paris

21 novembre 2016

Un peu de culture : Voltaire

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21 novembre 2016

Donald Trump en couverture de l'Express de cette semaine

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21 novembre 2016

Vitrines de Noël du Bon Marché - vu hier soir

21 novembre 2016

Backstage

studio (2)-ANIMATION

21 novembre 2016

Alliés - mercredi prochain en salles

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21 novembre 2016

Erdeven : Tourisme. Pierrick Lofficial délégué communal

À Erdeven, où le tourisme est le moteur de l'économie, le regroupement intercommunal des offices de tourisme, imposé par la loi, est un sujet sensible, comme en témoignent les interrogations et oppositions lors du débat sur la question, vendredi en conseil. « Je regrette que cette compétence s'en aille », s'élevait Hervé Robic.

Le maire, Dominique Riguidel, a commencé par retracer l'historique de l'office d'Erdeven depuis sa création en 1981 avec Jean Bellier, Maurice Hubert,etc. « Ça fait oraison funèbre ! », ironisait Eric Le Carour. De fait, au 31 décembre, la promotion touristique et les personnels seront transférés à cette Société publique locale (SPL) ancrée à LaTrinité.

Une entité locale créée

En revanche, « la SPL n'a pas vocation à réaliser les animations locales ; ma volonté est de créer une assemblée locale qui en serait chargée, bénéficiant du budget communal de 15.250€ : une nouvelle association du type Anim'Erdeven ou une modification de l'actuel office, et qui pourrait bénéficier d'un équivalent temps plein pour y travailler », avançait le maire.

Cette entité locale pourrait même intégrer des volontaires non issus du tourisme, précisait Pierrick Lofficial, président de l'actuel office et élu vendredi pour représenter la commune au sein de l'assemblée « spéciale » de la SPL.

Cette assemblée de 22 membres s'ajoutera au comité stratégique de 21 socioprofessionnels et à celui des douze élus d'Aqta (Auray Quiberon terre Atlantique), tous sous la houlette d'un conseil d'administration de 18 membres : élus d'Aqta, un socio-professionnel et un délégué de l'assemblée « spéciale ».

Répondant à Hervé Robic sur la sous-représentativité des socioprofessionnels, le maire indiquait que la solution trouvée était la seule où ils n'étaient pas écartés. Et sur la place réduite d'Erdeven au regard de Carnac, Quiberon et LaTrinité, il précisait qu'Erdeven n'avait pas persévéré pour devenir station classée et se hisser, dès lors, au même rang.

Des bornes.... À la place des agents ?

Hervé Robic s'inquiétait aussi du sort des agents : « Sur Lorient, beaucoup ont été peu à peu remplacés par des bornes. Dans deux-trois ans, on aura des bornes à Erdeven pour accueillir les touristes ? ». « Comptez sur moi pour que le bureau d'Erdeven perdure », s'engageait le maire, qui évoquait même une implantation, plus valorisante, au rond-point des Menhirs.

21 novembre 2016

Zahia

Après être passée par la #chirurgie #esthetique, #Zahia est devenue méconnaissable ! #Instagram #AvantApres

Une photo publiée par Potins.net (@potinsnet) le 20 Nov. 2016 à 2h38 PST

21 novembre 2016

Feuilles mortes. Un vrai fléau pour la SNCF

Elles semblent inoffensives, si petites, avec leurs belles couleurs mordorées, mais les feuilles mortes donnent, chaque automne, des sueurs froides aux cheminots, font subir aux voyageurs retards et annulations, et coûtent cher à la SNCF.

En cet automne venteux, le réseau social Twitter regorge de moqueries de passagers du réseau... ferroviaire : « Mon train qui a 15 min de retard à cause de la présence de feuilles mortes sur les rails... Paye ton excuse la SNCF ! », « Ah enfin le retour de l'excuse des feuilles mortes de la SNCF », « Flash SNCF : trafic paralysé sur Paris-Granville ce wd// annulés & retardés à cause d'une violente chute... de feuilles mortes en automne ». Le président (UDI) de la région Normandie, Hervé Morin, a même demandé à la SNCF « des conditions de transports décentes » pour les usagers du Paris-Granville, ligne très touchée par le phénomène.

1.173 heures de retard cumulé

Face à ces critiques, l'opérateur ferroviaire martèle son message pédagogique, expliquant que « la présence de nombreuses feuilles mortes sur les voies diminue l'adhérence des roues sur les rails ». « C'est le même phénomène que pour une voiture sur une chaussée humide », commente André Fauve-Piot, directeur technique maintenance et travaux à SNCF Réseau.

Pour les trains, pas d'aquaplaning, mais le « patinage » en phase d'accélération, et l'« enrayage » en phase de freinage : les roues glissent sur le rail, allongeant les temps d'accélération et de freinage. Et la roue est anormalement usée, ce qu'on appelle la « roue carrée » en jargon cheminot. Tout cela oblige parfois le conducteur à « devoir s'arrêter ou limiter sa vitesse », ajoute André Fauve-Piot.

Résultat, les trains mettent plus de temps à effectuer le même parcours, cumulent des retards, et doivent parfois être supprimés. Ils sont aussi moins disponibles car leurs passages en atelier sont plus fréquents. L'automne passé, les trains ont cumulé 1.173 heures de retard.

L'enjeu de la sécurité

Au-delà des retards, il y a également un enjeu de sécurité, et la SNCF veut surtout éviter que ne se produisent des phénomènes de « deshuntage », une brève perte de contact entre le rail et le train, qui peut, par exemple, empêcher les feux de signalisation de fonctionner. Aucun « deshuntage critique », pouvant engager la sécurité, n'a été observé en 2016, fait savoir la compagnie ferroviaire.

16 wagons laveurs

Pour les cheminots, impossible de passer le balai sur les rails entre deux passages de train, la solution est un peu plus complexe. D'abord, on élague et on débroussaille le long des voies, avant l'automne, pour empêcher les feuilles de tomber sur les rails.

Les wagons de travaux sont réquisitionnés et deviennent « wagons brosseurs » pour nettoyer les voies.

Mais la SNCF a aussi ses 16 wagons laveurs flambant neufs, qui débarrassent les voies ferrées de cette pellicule : « Ils soufflent de l'eau à haute pression, ce qui revient à faire une sorte de décapage du rail, et aspirent en même temps » les résidus de feuilles, explique André Fauve-Piot. Ces gros wagons circulent toute l'année, mais particulièrement à l'automne, jusqu'à trois fois par semaine sur certaines lignes. Chacun d'entre eux nettoie environ 480 kilomètres de rail par jour. Le parc a été entièrement renouvelé en 2015 et 2016, pour huitmillions d'euros.

Quant aux trains les plus récents, ils sont équipés de systèmes qui limitent le blocage des roues, comme les « systèmes d'ABS sur les voitures. (...) Ça contribue directement à maîtriser le phénomène ». Les trains de moins de 30 ans en Ile-de-France en ont également été équipés, 40 millions d'euros ont été investis.

21 novembre 2016

Emily Ratajkowski

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21 novembre 2016

Miss France. Les Miss de l'Ouest en route pour l'élection

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Photo Erwan Miloux

Samedi, les trois Miss 2016 de l'Ouest de la France, Miss Bretagne Maurane Bouazza, Miss Normandie, Esther Houdement, et Miss Pays-de-Loire, Carla Loones, étaient à Rennes. Les trois Miss, âgées de 20 ans, se retrouvaient notamment pour une séance de photos officielles avant de partir rejoindre, à Paris, les 27 autres candidates à l'élection de Miss France. Après une participation au journal de 13 h sur TF 1 mercredi, elles s'envoleront pour l'île de La Réunion. Elles y resteront jusqu'au 2 décembre. Puis direction Montpellier, où elles s'entraîneront pour les huit tableaux de présentation : défilé en maillot de bain, en robe de soirée ou en costume régional, lors de la grande soirée Miss France, samedi 17 décembre. En attendant, les Miss de l'Ouest, qui appréhendent un peu la rencontre avec les autres participantes, restent confiantes pour décrocher la fameuse couronne. « On a une chance sur trente et on est là pour la saisir », souligne Miss Bretagne, la Morbihannaise Maurane Bouazza. Dans sa ville natale de Plumelin, une grande soirée pour l'élection de Miss France est déjà prévue à la salle communale, qui devrait réunir 400 personnes, pour la soutenir.

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