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Jours tranquilles à Paris

16 novembre 2016

Emmanuel Macron se déclare

Une déclaration en banlieue

Emmanuel Macron fera une déclaration à la presse, ce matin, à 10 h 30, à l’occasion d’un déplacement dans un centre d’apprentissage à Bobigny (Seine-Saint-Denis). L’endroit est symbolique.« On annonce des choses en banlieue, pas sur le plateau de TF1 » , indique son entourage. L’ex-ministre, qui avait parlé à la mi-octobre d’une décision probable« en décembre ou janvier » , puis, il y a dix jours, d’une décision« avant Noël » , a donc décidé de ne plus faire durer indéfiniment le suspense. Son annonce vient perturber la primaire de la droite et couper l’herbe sous les pieds de François Hollande et Manuel Valls.

96 000 adhérents

Depuis son départ du gouvernement le 30 août, Emmanuel Macron n’a pas chômé. Lancé en février, son mouvement compte désormais plus de 96 000 adhérents. En Marche ! s’est doté d’une structure nationale et territoriale, de référents départementaux et de plus de 1 800 comités locaux. L’ancien ministre a également commencé à dessiner un projet présidentiel, fruit de la collecte sur le terrain de milliers de témoignages. Il devrait faire la synthèse de ses propositions lors d’un grand meeting, le 10 décembre, à Paris. À ce jour, Emmanuel Macron est au mieux crédité de 14 % des intentions de vote au premier tour.

« Le chevalier blanc »

Avant même d’être officialisée, sa candidature suscite déjà nombre de réactions.« Voilà avec Emmanuel Macron quelqu ’un qui a totalement cautionné la politique économique menée depuis 2012, a ironisé Alain Juppé.Il se présente aujourd ’hui comme le chevalier blanc totalement nouveau. Il faut se méfier des gens qui font le contraire de ce qu ’ils disent et disent le contraire de ce qu ’ils font. » En déplacement au Maroc, François Hollande s’est contenté d’en appeler à la« cohésion » et au« rassemblement » . Source : Ouest France

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16 novembre 2016

Donald Trump

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16 novembre 2016

Victoria's Secret

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16 novembre 2016

Extrait d'un shooting - j'veux du cuir !

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16 novembre 2016

Concorde Art Gallery - SENSUAL PAINTINGS

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16 novembre 2016

Sur les grilles du Panthéon - jusqu'au 30 novembre...

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15 novembre 2016

Iris Brosch au Salon de la Photo

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15 novembre 2016

Primaire à droite : les candidats ont cinq jours pour mobiliser leur électorat

Par Matthieu Goar et Alexandre Lemarié

Après des mois de tours et de détours en France, les candidats à la primaire se lancent dans la dernière ligne droite. Avec une obsession chevillée au corps : mobiliser leur électorat pour le scrutin des 20 et 27 novembre. Meetings, déplacements, médias… Lors de ces derniers jours avant le premier tour, chacun tentera de cimenter sa base et de conquérir les indécis. Certains rêvent aussi de créer une ultime dynamique, afin de faire mentir les sondages.

Revigoré par la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis, mardi 8 novembre, Nicolas Sarkozy a ainsi prévu de tenir deux grandes réunions publiques avant le premier tour : l’une à Nice, mardi 15 novembre, l’autre à Nîmes, vendredi 18 novembre. Sur ces terres où le Front national (FN) réalise de gros scores, celui qui se pose en « porte-parole du peuple » devrait y tenir un discours musclé sur l’immigration et l’islam.

Sans nouvelles cartes dans sa manche, l’ancien président de la République reste fidèle à sa stratégie : cimenter un peu plus son socle et tenter de séduire les électeurs tentés par l’extrême droite. Sans jamais oublier d’agiter l’épouvantail François Bayrou (MoDem) pour renforcer ses positions auprès des militants du parti Les Républicains (LR).

« Le vote caché »

Toujours distancé dans les sondages par Alain Juppé mais en progression dans certaines enquêtes, M. Sarkozy aborde le sprint final avec une confiance inébranlable. « Je vais les vitrifier ! », s’est-il vanté récemment devant son entourage.

Persuadé qu’il existe « un vote caché » en sa faveur,...

15 novembre 2016

Extrait d'un shooting - mystère (Histoire d'O ?)

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15 novembre 2016

Face à Donald Trump, les Européens redoutent « le saut dans l’inconnu »

La réunion mensuelle des ministres des affaires étrangères de l’Union européenne (UE) devait prendre un tour très inhabituel, lundi 14 novembre, à Bruxelles. Censée initialement « évaluer les relations avec les Etats-Unis à la suite de la présidentielle américaine », elle aurait dû permettre, dans l’esprit de la grande majorité des participants, pour lesquels la victoire de la candidate démocrate Hillary Clinton semblait acquise, de célébrer la continuité : les Etats-Unis, depuis 1945, ont fait de l’alliance avec l’Europe une pierre angulaire de leur politique étrangère. Autant dire que la désillusion est grande pour l’UE après la victoire de Donald Trump.

Seul le premier ministre ultraconservateur hongrois, Viktor Orban, estime que l’arrivée au pouvoir du milliardaire signe le retour à « la vraie démocratie » et aux « discussions honnêtes, loin des contraintes paralysantes du politiquement correct ». L’élection du candidat républicain a sidéré beaucoup d’autres dirigeants, bouleversé les agendas et accru la tension née du vote des électeurs britanniques en faveur du Brexit, le 23 juin. « C’est la première fois que je vis une telle situation et je suis dans l’incapacité totale de vous dire ce que vont être notre politique étrangère et nos relations avec les Etats-Unis », avoue un diplomate.

« Pas de panique »

Dimanche soir, au cours d’un dîner informel, les ministres des affaires étrangères étaient censés procéder à un premier tour d’horizon et, selon la version officielle, « faire remonter » les sujets prioritaires à leurs yeux. A charge pour la haute représentante européenne, Federica Mogherini, de les évoquer lors d’une visite qu’elle compte effectuer à Washington avant la prestation de serment du futur président, en janvier 2017.

Les motifs d’interrogation ne manquent pas et les Européens redoutent un « véritable saut dans l’inconnu », selon la formule d’un dirigeant même si à la sortie du dîner, dimanche soir, plusieurs ministres usaient de la même formule : « Pas de panique. » Certains pays misent sur un retour rapide au réalisme du futur président, d’autres redoutent, eu égard aux nominations que M. Trump envisage, qu’il veuille vraiment appliquer son programme.

A ce stade, ceux-là redoutent surtout la mise à mal de l’accord de Paris sur le climat ou de celui sur le nucléaire iranien – auquel l’UE a activement contribué. Ils s’interrogent, par ailleurs, sur ce que sera précisément l’attitude M. Trump à l’égard de la Russie, et dès lors, du conflit syrien ou de la lutte contre l’organisation Etat islamique (EI). Le maintien, ou non, des sanctions à l’égard de Moscou à la suite de l’annexion de la Crimée et de son rôle en Ukraine risque, dans les mois à venir, de devenir un casse-tête de plus pour des Européens divisés sur le sujet.

La relance transatlantique elle-même est en question après les propos menaçants de M. Trump à l’égard des partenaires de l’OTAN qui ne respecteraient pas leurs engagements financiers. Les ministres baltes ont répété, dimanche soir, leurs inquiétudes face à la menace russe. La discussion entre les ministres n’a toutefois pas permis de départager le camp des « attentistes », surtout soucieux de calmer le jeu et de sauvegarder la cohésion de l’OTAN, de ceux qui poussent l’UE à agir vite pour relancer les projets de défense commune, quitte peut-être à enfoncer un coin dans l’Alliance atlantique.

Le tout étant de savoir si Paris et Berlin, qui ont formulé des propositions au cours des dernières semaines, pourront entraîner leurs partenaires vers un projet plus ambitieux que celui du « mode veille » qu’ils ont privilégié depuis des années.

D’autres craintes concernent les relations commerciales. La commissaire au commerce, Cecilia Malmström, refuse certes d’enterrer le projet de traité transatlantique, estimant qu’il convient encore de « voir comment sauvegarder les acquis de la négociation actuelle » mais beaucoup, à Bruxelles, estiment que les chances d’aboutir à une signature sont quasiment nulles.

Crise existentielle

La réunion de dimanche soir a été symboliquement boudée par le ministre hongrois et son homologue britannique, Boris Johnson, l’un des principaux artisans du Brexit, qui n’y voyait « pas d’utilité ». Jean-Marc Ayrault avait également décliné l’invitation, officiellement en raison d’un rendez-vous avec Antonio Guterres, le futur secrétaire général des Nations unies.

Paris veut éviter de donner l’impression que l’élection de M. Trump a automatiquement ouvert une crise. « Arrêtons de parler de désarroi », déclarait dimanche M. Ayrault sur Europe 1, évoquant « une occasion pour l’Europe de se ressaisir ». Ce qui laisse entendre que la France et l’Allemagne pourraient tenter de lui redonner rapidement une impulsion. « L’Europe a besoin d’une Union de la sécurité » insiste de son côté le président de la Commission, Jean-Claude Juncker.

Divisée, assaillie par les crises, l’UE sera-t-elle capable de réagir ? Certains sont franchement pessimistes. Le Brexit, qui occupait encore tous les esprits juste avant l’élection américaine, est en train de reculer sur la liste des urgences, la première étant désormais la nature de la relation avec Washington et la deuxième, l’angoisse liée à une éventuelle victoire de la présidente du Front national (FN), Marine Le Pen, lors de l’élection présidentielle française de 2017. En attendant, c’est Nigel Farage, l’un des piliers du vote en faveur du Brexit, qui a été reçu samedi à New York par Donald Trump. Pendant plus d’une heure. Source : Le Monde

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