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Jours tranquilles à Paris

13 février 2015

Le Panthéon en travaux

Voir mes précédents billets sur le Panthéon :

Le Panthéon en travaux jourstranquilles  21:48
Jean Jaurès - Exposition jourstranquilles  09/09/2014
JR au Panthéon jourstranquilles  04/06/2014
JR au Panthéon jourstranquilles  03/06/2014
JR au Panthéon (en cours de montage...) jourstranquilles  31/05/2014
JR sur la coupole du Panthéon... jourstranquilles  21/05/2014
JR au Panthéon jourstranquilles  16/04/2014
JR au Panthéon jourstranquilles  31/03/2014
Paris sous le soleil (hier) jourstranquilles  21/03/2014
JR à Carnac ! (save the date) jourstranquilles  11/03/2014
Panthéon en travaux... jourstranquilles  01/03/2014
Germaine Tillion : bientôt au Panthéon jourstranquilles  20/02/2014
Panthéon : trois résistants et un ancien... jourstranquilles  20/02/2014
Panthéon....Des volontaires ? jourstranquilles  03/09/2013
Des féministes militent pour l’entrée de... jourstranquilles  27/08/2013
C’EST ARRIVÉ UN 11 JUILLET : VOLTAIRE... jourstranquilles  11/07/2013
STÉPHANE HESSEL : HOMMAGE NATIONAL CE... jourstranquilles  07/03/2013

Pour y accéder (après avoir noté les différentes dates) voir l'historique en cliquant sur le lien suivant : http://jourstranquilles.canalblog.com/archives/index.html 

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13 février 2015

Il faut dormir...

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13 février 2015

Elodie Bouchez fait son retour au cinéma

À l’affiche de Réalité, film vertigineux, avec Alain Chabat, elle cultive une singularité sans concession. Portrait d’une actrice dont la douceur apparente se double d’une détermination mordante.

Qui s’étonnera de retrouver Élodie Bouchez, dont la filmographie témoigne de vrais choix, dans le film de Quentin Dupieux, l’auteur inclassable de Steak  (satire d’une époque où le lifting règne en maître) et de Rubber  (épopée d’un pneu psychopathe)  ? Elle incarne Alice, la femme d’Alain Chabat, apprenti cinéaste auquel un producteur hystérique intime de trouver « le plus beau gémissement du monde » pour financer sa série Z. Tandis que le réalisateur se met à confondre cauchemars et réalité, Alice, psychiatre un poil rigide, lit Endless Mirrors (Miroirs sans fin) au lit, dans une forêt… Où est le problème ? « J’avais vu les films de Quentin, explique la comédienne. J’aimais tout : le décalage et la façon dont il dirigeait les acteurs. J’ai lu le scénario et j’ai compris d’emblée l’humour et le ton de Réalité. C’était, pour moi, d’une telle évidence  ! »

À la fin des années 1980, Élodie Bouchez prend un départ fulgurant. Serge Gainsbourg repère une de ses photos et la choisit pour Stan the Flasher : « J’avais 16 ans, je rêvais de ce métier, il m’a montré la voie. » Elle enchaîne avec Les Roseaux sauvages, d’André Téchiné (césar du meilleur jeune espoir féminin), puis avec La Vie rêvée des anges d’Erick Zonca (prix d’interprétation à Cannes) : « Là, je rencontrais un personnage, ce fut un tournage très facile, il me suffisait ensuite d’ouvrir une porte, c’était incarné. » Cette jeune femme loyale et tranchée élit alors un projet singulier : une trilogie expérimentale avec Jean-Marc Barr et Pascal Arnold. Puis elle rejoint Abdellatif Kechiche pour son premier long-métrage, La Faute à Voltaire. « Comme dans La Vie rêvée, je reconnaissais un personnage familier. Je ne doute pas que les actrices de La Vie d’Adèle en aient bavé, mais lorsqu’on bosse avec Kechiche, on sait. On sait à quel point il pousse les comédiennes vers le haut. C’est d’ailleurs tout le problème, on atteint un tel niveau d’exigence, il faut ensuite accepter qu’un rôle pareil ne se représente pas chaque matin. Le cinéma a beaucoup changé. Quand j’ai démarré, par exemple, une actrice ne faisait pas de campagne de pub, c’était “Vade retro, Satana” ! Aujourd’hui, c’est l’inverse. »

En 2010, Happy Few, d’Antony Cordier, ballet d’échanges amoureux entre deux couples, l’entraîne sur un nouveau terrain. « Antony m’a filmée comme une femme alors que l’on me voit encore souvent comme une jeune fille, mais j’ai 41 ans. » Elle ne les paraît pas dans sa jupe de patineuse panthère. Dans tous ses films, Élodie Bouchez, qui danse depuis l’enfance, engage son corps. Elle l’engage aussi au théâtre, où elle a croisé la Elodie Bouchez, route d’Emmanuel Demarcy-Mota, directeur du Théâtre de la Ville, il y a quatre ans. « Quand Emmanuel m’a sollicitée pour reprendre un rôle dans Casimir et Caroline, d’Ödön von Horváth, je devais occuper le plateau du Théâtre de la Ville, lui rendre honneur. J’ai aussi été accueillie par la troupe de la manière la plus sobre et la plus généreuse qui soit. »

C’est avec cette troupe, dont elle partage désormais le chemin, qu’elle a marché, le dimanche 11 janvier, comme près de quatre millions de Français, contre le terrorisme. À l’image de son compagnon, Thomas Bangalter, du groupe Daft Punk, célèbre pour cacher son visage sous un casque, Élodie Bouchez préfère être reconnue pour ce qu’elle fait. « Je trouve plus douloureux de tourner un film qui ne m’intéresse pas que de ne pas tourner. »

*Réalité , de Quentin Dupieux, en salle le 18 février.

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13 février 2015

Extrait d'un shooting - portrait

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13 février 2015

ça c'est ben vrai !

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13 février 2015

AURAY (morbihan) : Le nouveau cinéma table sur une ouverture en avril

Après plusieurs reports, le miniplexe Ti Hanok (cinq salles, 850 fauteuils) devrait finalement ouvrir en avril, espèrent ses futurs gérants. Le chantier avance maintenant à bonne allure.

« Cela se présente bien. Les premiers spectateurs en avril, c’est jouable. » Gérants du cinéma Les Arcades en centre-ville et du futur miniplexe Ti Hanok (5 salles, 850 fauteuils) à Porte océane, Yun Planchenault et Sylvain Lecointre affichent un optimisme teinté de prudence.« On sera véritablement soulagés une fois installés. » Initialement, Ti Hanok devait ouvrir fin 2013. Météo difficile, défaillance d’une entreprise de charpente-bardage… La construction ce bâtiment de 4 500 m2 a subi des retards. Les travaux ont repris mi-novembre et vont maintenant bon train.« Le bâtiment est à 99 % étanche. Cela signifie qu’il est hors d’eau. On l’attendait avec impatience car cela nous bloquait pour agencer l’intérieur, surtout le hall. » Artère centrale de l’édifice, ce dernier« concentre l’essentiel des travaux à finir » .

Dix ouvriers à pied d’œuvre

Électriciens, plaquistes, chauffagistes… Une dizaine de salariés sont à pied d’œuvre.« Cela fait plaisir de voir que ça avance », glisse Sylvain Lecointre.« Les entreprises ont fait preuve de souplesse et de compréhension face aux décalages de planning », salue Yun Planchenault. En centre-ville, l’actuel cinéma, dont le local est en vente, fermera à l’ouverture de Ti Hanok. Les Arcades (600 m2 ) proposaient trois salles, pour 360 fauteuils. L’établissement enregistrait environ 50 000 entrées par an.« À Ti Hanok, l’objectif est de 150 000. Davantage de séances, de films en sortie nationale, de blockbusters en 2D et 3D, en version française et qu’on va pouvoir tester en version originale …On va élargir notre public, sans renier notre offre art et essai. » L’enjeu consiste à« capter les spectateurs du pays d’Auray » qui allaient au cinéma à Vannes ou Lorient. Au lieu d’une douzaine de séances hebdomadaires aux Arcades (le double pendant les vacances), le rythme atteindra« une vingtaine » (35 pendant les congés). L’effectif suivra : il passera de trois à six personnes, plus un renfort lors des vacances.

Les fauteuils en mars

Dans les salles de projection, la moquette est posée. Le revêtement mural aussi (sauf dans la grande salle) : du tissu gris et rouge.« Il manque encore les fauteuils, l’équipement son et luminaires, mais ça commence à ressembler à une salle de ciné », rebondit Sylvain Lecointre. Les fauteuils, neufs, devraient être installés en mars. Ceux des Arcades pourraient être vendus aux enchères. Ti Hanok comptera deux salles de 100 places, une de 140, une autre de 190 et une grande de 310 fauteuils (avec un écran de 16 m). Cette dernière comportera une« particularité architecturale » : le plafond conserve la forme« à deux pentes » du toit. Investissement privé dont le montant n’est pas dévoilé, Ti Hanok a bénéficié d’aides du conseil régional et du centre national de la cinématographie. Le« parcours du combattant » de sa construction se termine. Quel impact auront eu ces reports successifs sur l’entreprise ?« Au final on arrive à ce que cela ne mette pas en péril l’exploitation, mais il est temps d’ouvrir. » In fine , ils se traduisent par« une année d’exploitation perdue .C’est d ’autant plus rageant que ce fut une bonne année cinématographique. Mais 2015 s’annonce comme une grosse année aussi. » Article de Virginie JAMIN.

12 février 2015

Bonne nuit...

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12 février 2015

Poutine - UKRAINE

Poutine annonce la signature d'un accord sur le conflit ukrainien, un cessez-le-feu entrera en vigueur le 15 février. Un accord a été conclu à Minsk (Biélorussie), jeudi 12 février, sur le conflit ukrainien, annonce Vladimir Poutine. Un cessez-le-feu doit entrer en vigueur à partir du 15 février.

12 février 2015

Le son des films de Tarantino....

Tarantino, cet obsédé du son - Il n’y a pas que l’image qui compte au cinéma, il y a tout ce qui va avec, en l’occurrence le son. Et Dieu sait que Tarantino est passé expert dans l’art du slurp du Coca bu avec une paille, du clic du pistolet qu’on arme, du zig d’un sabre qu’on dégaine ou du shhhh que font les liasses de billets qu’on compte…

12 février 2015

Extrait d'un shooting - lingerie

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