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Jours tranquilles à Paris

28 mars 2019

Marisa Papen

marisa40

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28 mars 2019

Laetitia Casta, Iris Mittenaere, Laura Tenoudji... séduisantes pour Etam

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Laetitia Casta

Jeudi 21 mars, de nombreuses personnalités se sont donné rendez-vous au "flagship" d'Etam, pour la soirée French Liberté. Des mannequins, influenceuses et anciennes Miss France ont pris le temps de poser pour les photographes.

Il y avait du beau monde pour la soirée French Liberté, organisée par Etam, le 21 mars 2019. Une poignée de personnalités, blogueuses et mannequins était rassemblée dans l'enceinte du nouveau flagship de la marque, dans le quartier de l'Opéra, à Paris. C'est un décor brut (et encore en travaux) qui a accueilli la pétillante Laura Tenoudji, la compagne de Christian Estrosi, assise auprès de Benjamin Patou (le PDG de Moma Group) et Dolores Herrera-Vegas (Wall Street Journal) pour déguster un dîner cuisiné par Cyril Lignac.

À croire que la soirée était une réunion de Miss France, puisque la splendide Iris Mittenaere (Miss France 2016, et Miss Univers 2016) était présente, tout comme Flora Coquerel (Miss France 2014). Laeticia Casta, tout en transparence en dentelle noire, a prouvé qu'elle était tout aussi sublime à 40 ans. De nombreux mannequins et égéries de la marque étaient également présents, à l'image de Constance Jablonski, Julie Ordon, Lena Simonne, la compagne du rappeur Roméo Elvis, Marie Zannou et Alexandra Ricci.

Une floppée d'influenceuses et de blogueuses étaient de la partie, comme Ophélie Duvillard, Babi Thomé, Nicole Bernardes, Estelle Chemouny Pigault, Ellie (slipintostyle) et Julia Mateian. Quelques hommes d'affaires ont également pris le temps de poser pour les photographes, à l'image de Nicolas Houzé, Paolo De Cesare, Mathieu Gallet, ancien PDG de Radio France, Laurent Milchior, le PDG d'Etam et son père, Pierre Milchior. Notons enfin la présence de Babeth Dijan, fondatrice du magazine de mode Numéro, et de Jean-Yves Le Fur.

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Iris Mittenaere

28 mars 2019

Bretagne - les cairns

28 mars 2019

Vernissage "Le Monde de C215"

28 mars 2019

Chut !

divers

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28 mars 2019

Paris: rouler sur le trottoir à trottinette maintenant passible d'une amende de 135 euros

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28 mars 2019

M.E.P.

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27 mars 2019

30 ans de la pyramide du Louvre : JR prépare une œuvre mystère

Pyramide du Louvre from Jacques Snap on Vimeo.

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Photos : J. Snap

Après avoir fait disparaître la pyramide du Louvre en 2016, le street-artiste, installe un nouveau collage du monument emblématique de Paris.

PARIS - Trois ans après avoir fait disparaître la pyramide, l’artiste JR revient au Louvre pour dévoiler “le Secret de la Grande Pyramide”, dans un collage géant sur toute la Cour Napoléon, auquel 400 volontaires participent.

L’installation a débuté le 26 mars et doit s’achever le 29 mars, jour des célébrations du trentième anniversaire de la pyramide du Louvre. Toute la Cour Napoléon sera recouverte, y compris les bassins et les Pyramidions, ces petites pyramides qui entourent l’œuvre de verre de Ieoh Ming Pei.

Le suspense a été gardé jusqu’à la dernière minute et le visuel final de l’installation demeure pour l’heure inconnu. On sait seulement que JR veut faire surgir la pyramide du sol de manière spectaculaire, comme si elle avait été découverte lors d’une fouille archéologique.

Une installation participative

Quatre cents participants bénévoles se relaient par groupes de 50, pour positionner ces feuilles de papier qui formeront un gigantesque patchwork. L’installation, qui sera achevée vendredi, sera visible jusqu’au 31 mars au soir. Les 30 et 31 mars, la cour sera normalement ouverte aux touristes qui pourront y marcher et observer l’illusion d’optique depuis le sol.

JR peut compter sur l'aide de 400 volontaires pour installer son œuvre dans la cour Napoléon.

Depuis mi-mars, cet expert mondialement connu du collage photographique, conviait le public, via une plateforme dédiée, à participer à ce gigantesque trompe-l’oeil. Il a tout de suite rencontré un très grand succès.

Un point d’anamorphose, avec une caméra, est installé sur le toit du Louvre, inaccessible aux visiteurs. Deux écrans doivent être installés sur la cour pour que les passants puissent suivre l’évolution du collage en direct. L’évènement pourra être suivi sur les réseaux sociaux.

Le Louvre, un terrain de jeu pour JR

Après avoir fait disparaître la pyramide en 2016, “JR propose de la faire sortir de terre et d’en révéler le secret” dans “ce qui constitue son plus grand collage”, a expliqué le Louvre qui prévoit trente événements jusqu’en février 2020 pour célébrer le monument de verre.

En 2016, l’artiste auteur de “Visages Villages” avec Agnès Varda, avait créé sur la surface de la pyramide une reproduction en trompe-l’oeil de la façade du Louvre, masquant la pyramide comme si elle n’existait plus.

En 2016, le français avait fait disparaître la pyramide avec un collage déroutant.

Comme il y a trois ans, JR a fait travailler ses graphistes sur une gravure à l’ancienne, dont s’inspirera l’installation sans la copier.

En 2014, JR avait déjà revisité un monument de la capitale. Le street-artiste avait fait entrer 4000 portraits d’anonymes et amis dans le Panthéon au moment de sa restauration.

27 mars 2019

L'ex-président chinois d'Interpol poursuivi pour corruption

Meng Hongwei

Par   Journaliste Figaro Cyrille Pluyette  

Les autorités chinoises ont clos leur enquête visant Meng Hongwei, qui avait disparu de façon rocambolesque fin septembre. Il sera traduit en justice pour avoir touché des pots de vin.

Après des mois de silence, les autorités chinoises ont fini par livrer les conclusions de leur enquête sur Meng Hongwei, l'ex-président d'Interpol, dont la disparition fin septembre avait stupéfait la planète. Comme attendu, le verdict est implacable. L'ancien dirigeant a été exclu du Parti communiste chinois (PCC) et de toute fonction publique, et il sera poursuivi en justice pour avoir touché des pots-de-vin et bafoué l'autorité du régime, ont annoncé mercredi les services d'inspection de la formation au pouvoir.

Meng Hongwei s'était «volatilisé» à l'automne dernier peu après avoir quitté la France - où est basé Interpol - et atterri en Chine. Pékin ne s'était manifesté qu'après plus d'une semaine, en indiquant qu'une enquête pour corruption avait été ouverte à l'encontre du haut fonctionnaire. Il avait démissionné par courrier le 7 octobre de la tête de l'organisation policière.

Les faits qui lui sont reprochés apparaissent en partie politiques. «Meng Hongwei n'a pas respecté les principes du Parti (…), il n'a pas communiqué des informations personnelles comme il aurait dû le faire et s'est refusé à mettre en œuvre les décisions du comité central du Parti», a déclaré la Commission d'inspection disciplinaire du PCC.

Ce haut dignitaire a également abusé de son pouvoir pour obtenir des gains privés et «gaspillé sans compter» les fonds de l'Etat «pour satisfaire le train de vie extravagant» de sa famille, a précisé cet organe du régime. L'accusé a aussi accepté illégalement «d'énormes quantités» d'argent et de biens, selon la même source. Autant de dérive qui valent à celui qui était aussi vice-ministre du ministère de la Sécurité publique, d'être accusé de ternir l'image du Parti et de nuire gravement aux intérêts du pays.

Vaste campagne anti-corruption

Restée en France, l'épouse de Meng Hongwei, laissée sans informations sur le sort de son mari depuis son arrestation, avait demandé au président français d'évoquer son cas avec son homologue chinois Xi Jinping lors de sa de trois jours visite en France (qui s'est achevée mardi). Dans le courrier qu'elle a adressé la semaine dernière à Emmanuel Macron, cette femme craignant pour sa sécurité et qui a déposé plainte en février pour une mystérieuse tentative d'enlèvement, demande à savoir où se trouve le père de ses deux jeunes enfants et «comment il se porte». Elle insiste pour que ce dernier puisse recevoir la visite de ses avocats. La commission nationale de supervision chinoise, qui a investigué sur Meng Hongwei, peut garder des suspects au secret pendant six mois sans prévenir leur famille ni leur donner accès à un avocat.

L'ancien numéro un d'Interpol est désormais quasiment certain d'être jugé coupable à l'issue de son procès. Les tribunaux, contrôlés par le Parti, ne devraient en effet pas remettre en cause ses accusations. Meng Hongwei est loin d'être le premier officiel à être victime de la vaste campagne anti-corruption lancée par Xi Jinping depuis son arrivée au pouvoir, fin 2012. Cette croisade a entraîné la chute de plus de plus de 170 hauts dirigeants du PCC. Selon ses détracteurs, le numéro un chinois l'utilise également pour écarter des rivaux ou des responsables qui ne lui sont pas assez fidèles.

Meng Hongwei, avait été nommé en 2016 à la tête d'Interpol, ce qui avait constitué une victoire pour Pékin, désireux de renforcer sa présence dans les organisations internationales. Il a été remplacé par le Sud-Coréen Kim Jong-yang en novembre.

27 mars 2019

Blowup-Veruschka von Lehndorff

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