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Jours tranquilles à Paris

27 mars 2019

Dreamer...

dreamer

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27 mars 2019

Après s’être quittés, ils ouvrent un musée de la rupture

rupture

Après leur rupture, deux artistes croates ont décidé non pas de ne plus jamais s’adresser la parole, non pas de se crêper le chignon, mais d’ouvrir un musée ensemble. Et pas n’importe lequel puisqu’il s’agit… d’un musée de la rupture.

Ce qu’il y a de plus douloureux dans une rupture, c’est de se retrouver du jour au lendemain sans la personne aimée, entouré des seuls souvenirs de votre amour. Que faire de tous ces cadeaux offerts ? De ces objets achetés à deux du temps de votre bonheur ? Que faire de tous ces objets qui vous rappellent l’amour perdu ? Les jeter ? Les garder ?

C’est partant de ce triste constat qu’un couple d’artistes croate a décidé, après sa propre rupture, d’ouvrir un musée des cœurs brisés à Zagreb. Le principe : exposer tous ces objets envoyés par les couples qui se quittent, avec un petit mot expliquant l’histoire de l’objet et le motif de la rupture. Le Musée des cœurs brisés de Zagreb regroupe des milliers de souvenirs venant du monde entier. Ours en peluche, bijoux, lingerie et petits cœurs à toutes les sauces : on y trouve tous les présents habituels et parfois moins habituels que peuvent s’offrir les amoureux des quatre coins du globe.

Vous y verrez, par exemple, des porte-jarretelles accompagnés du mot suivant : "N’ont pas servi assez, sinon le couple aurait duré plus longtemps "… Plus surprenant encore, vous pourrez y voir une hache, envoyée par une Berlinoise, étonnant. Une hache utilisée pour détruire les meubles de l’appartement de son ex…

27 mars 2019

Marisa Papen

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27 mars 2019

Extrait d'un shooting

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27 mars 2019

ART CONTEMPORAIN - Un ciel de parapluies colorés envahit le Village Royal à Paris

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PAR MANON GARRIGUES

On a trouvé le spot le plus Instagrammable de la semaine. Direction le Village Royal de Paris où 800 parapluies de couleur suspendus au-dessus des têtes attirent tous les regards. Derrière ce joyeux projet, l'artiste portugaise Patricia Cunha qui, depuis 2011, recouvre les rues du monde entier de centaines de parapluies.

Depuis quelques jours, des centaines de parapluies colorés défilent sur les feeds de Parisiens et autres touristes qui ont trouvé LA photo génératrice de likes. Direction le Village Royal, situé au cœur du 8ème arrondissement de Paris, où 800 parapluies gravitent au-dessus des têtes le long de ce joli passage du 18ème siècle, qui abrite aujourd'hui un bel escadron de boutiques de luxe. Derrière ce projet baptisé Umbrella Sky Project, l'artiste portugaise Patricia Cunha qui, depuis 2011, recouvre les rues du monde entier avec ses parapluies multicolores. Tout commence dans la petite ville d’Agueda au sud de Porto, où un collectif mené par Patricia Cunha installe des centaines de parapluies colorés au-dessus des têtes, le temps d'un festival d'art contemporain. Un geste poétique et souriant qui tend à apporter de la gaieté et de la couleur aux villes grises. De Bordeaux à Saint-Pétersbourg en passant par Pittsburgh et même Lens, le Umbrella Sky Project fait le tour du monde, attirant toujours autant de promeneurs curieux et fascinés par ce plafond bariolé. Dernière destination en date, Paris où les 800 parapluies seront exposés jusqu'à fin avril. Ce serait dommage de les manquer.

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Umbrella Sky Project au Village Royal

Village Royal, 25 rue Royale 75008 Paris, jusqu'au 30 avril 2019, du lundi au samedi de 8h à 20h30, accès gratuit

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27 mars 2019

Les Galeries Lafayette s'installent aux Champs-Elysées

27 mars 2019

Viktoria Modesta bientôt au Crazy Horse de Paris...

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27 mars 2019

Etrange ressemblance

anne marie

27 mars 2019

Le Parlement européen se prononce pour la fin du changement d’heure

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Par Cécile Ducourtieux, Bruxelles, bureau européen, Jean-Baptiste Chastand

Le changement d’heure n’est pas définitivement enterré pour autant, car au Conseil de l’UE, tous les gouvernements ne partagent pas l’enthousiasme des citoyens consultés.

Un pas de plus vers la fin du changement d’heure dans l’Union européenne (UE) ? Mardi 26 mars, le Parlement européen, qui poussait la Commission européenne à agir depuis début 2018, s’est largement prononcé en faveur d’une proposition de directive de l’institution recommandant la suppression du changement d’heure saisonnier.

Il s’agit d’amender une directive de l’an 2000, qui harmonise les choix des Etats membres, tous étant censés appliquer deux fois par an les changements d’heure saisonniers, avec la même périodicité, à la même heure et le même jour.

L’hémicycle strasbourgeois s’est cependant montré moins ambitieux que la Commission – ou plus réaliste. Quand il a rendu publique sa proposition, en septembre 2018, le président de la Commission, Jean-Claude Juncker, recommandait une suppression du changement d’heure saisonnier dès fin 2019. Les Etats souhaitant rester sur l’heure d’été devaient pouvoir bloquer leurs horloges dès fin octobre 2019, les autres, la décaler encore d’une heure, pour se fixer définitivement sur l’heure d’hiver.

Mardi, les eurodéputés ont préféré donner deux ans de plus aux pays : ceux désirant rester toute l’année sur l’heure d’été pourront n’y passer définitivement qu’en mars 2021. Les adeptes de l’heure d’hiver s’y fixeront une bonne fois pour toutes fin octobre 2021.

Plus de 4 millions de réponses

Le sujet passionne partout dans l’UE, y compris en France, comme en témoigne la récente consultation lancée par l’Assemblée nationale. Début mars, elle a recueilli plus de deux millions de réponses, 80 % des personnes ayant participé souhaitant mettre fin au changement d’heure, et une majorité optant pour l’heure d’été.

La consultation lancée par la Commission européenne, au cœur de l’été dernier, avait, elle aussi, suscité un intérêt inédit : plus de 4 millions de réponses, l’écrasante majorité des participants se prononçant contre le changement d’heure.

Cette alternance saisonnière était justifiée, lors de sa généralisation en Europe à la suite du choc pétrolier de 1973, par les économies d’énergie qu’elle était censée générer. Mais, comme le soulignait la Commission dans son questionnaire estival, aucune étude scientifique à grande échelle, ces dernières années, n’a prouvé que le changement d’heure était réellement néfaste ou vraiment utile, pour la santé, les économies d’énergie ou la sécurité routière.

Attention : le vote du Parlement n’enterre pas définitivement le changement d’heure. Car au Conseil de l’UE (les Etats membres), tous les gouvernements ne partagent pas l’enthousiasme de leurs opinions publiques. Si la Finlande, les pays baltes, la Belgique ou l’Allemagne ont clairement pris position pour la fin de l’alternance, avec une fixation sur l’heure d’été, le Portugal ou la Grèce refusent la fin des changements saisonniers. Et la France, comme pas mal d’autres, n’a tout simplement pas tranché.

Risque de cacophonie

Au-delà de ces divergences, les pays ont tous conscience qu’à choisir chacun son heure sans se préoccuper du choix des voisins, à préférer les options nationales à une harmonisation européenne, ils pourraient sérieusement compliquer la vie de leurs citoyens et de leurs entreprises. Comment gérer la continuité des transports aériens ou ferroviaires, si la France optait pour l’heure d’hiver, tout comme les Pays-Bas, mais pas la Belgique ?

Lors de leur dernier conseil bruxellois, en décembre, les ministres du transport des Vingt-Huit ont donc jugé plus sage de prendre le temps de la réflexion. Et la Roumanie, chargée de la présidence tournante de l’UE, n’a pour l’heure reprogrammé aucun débat sur le sujet d’ici fin juin.

Les élus sont conscients de ce risque de cacophonie : les socialistes et radicaux français ont ainsi préféré voter contre le projet de directive, mardi, pour éviter la « désharmonisation européenne, les effets collatéraux n’ont pas été mesurés », selon la conseillère régionale d’Occitanie, Virginie Rozière (Radicaux de gauche).

L’eurodéputé Les Républicains Renaud Muselier a lui aussi voté contre cette « usine à gaz ». A moins que la fin du changement d’heure saisonnier ne s’accompagne de mesures cohérentes : « Le rapport du Parlement européen laisse la mainmise aux Etats de choisir, indépendamment de leurs voisins, l’horaire sur lequel ils souhaitent s’aligner à partir de 2021. L’Europe connaît trois fuseaux horaires. Comme aux Etats-Unis ou en Russie, je demande à ce que tous les Etats membres du même fuseau horaire s’alignent sur le même changement horaire. »

27 mars 2019

Vu sur internet

jaime83

jaime91

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