Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
2 juillet 2015

Anish Kapoor

Publicité
2 juillet 2015

RENNES : 40mcube et la galerie BIEN présentent l'exposition Inner Silence de Sabdam, en ligne sur le site www.40mcube.org

Se situant dans une longue lignée de lieux gérés par des artistes, d'œuvres qui font exposition, collection, musée..., la galerie BIEN invite des artistes à jouer avec les spécificités de cet espace : les expositions proposées ne sont pas visitables mais restituées par une seule photographie, prise systématiquement du même point de vue. S'ajoutant les unes aux autres, ces photographies constituent une série uniquement visible sur le site de la galerie BIEN. La périodicité des expositions est aléatoire et la programmation jamais annoncée au préalable, jouant sur l'effet de surprise et de découverte.

Jeu aux règles à la fois déterminées et souples, la galerie BIEN se débarrasse de nombreuses contraintes, court-circuite un certain nombre d'étapes de l'exposition et, d'une certaine manière, nous amène directement à la case finale, celle de la trace de l'exposition.

D'avril 2015 à avril 2016, 40mcube invite la galerie BIEN à présenter sa programmation sur son site, dans le cadre de la programmation Outsite.

40mcube Outsite - www.40mcube.org | Galerie BIEN - http://galeriebien.free.fr/

2 juillet 2015

Andy Warhol au Centre Pompidou de Metz

pompidou metz

1 juillet 2015

Musée de l'Erotisme - Paris

1 juillet 2015

God save the street art and… the Queen (Paris) - Date : 4 juillet 2015 - 4 août 2015

God save the street art and… the Queen  (Paris)

Date : 4 juillet 2015 - 4 août 2015

​Adresse : Galerie Brugier-Rigail, 40 rue Volta, paris 3ème (75003) plan

Invitation

Auteur : Galerie brugier-rigail (Galerie)

God save the street art and… the Queen

Groupe show avec Guy Denning, Nick Walker et Pure Evil

Exposition

Du 4 juillet au 4 août 2015

Vernissage le jeudi 9 juillet 2015 à partir de 18h00

à la Galerie Brugier-Rigail

40, rue Volta 75003 Paris

"God save the street art and… the Queen"

Cela fait maintenant quelques années que nous nous sommes intéressés au travail de la scène anglaise dans la rue. S’intéresser à l’art urbain en Angleterre, c’est aller à Bristol, c’est là que tout commence.

Il y a la musique avec le Trip-Hop, la scène aux musico underground graff avec ses deux principaux représentants qui sont Guy Denning (punk graffeur) et Nick Walker (graffeur et pochoiriste).

Mais comment avoir passé à côté de Pure Evil élève de Banksy, tenant de la nouvelle scène Londonienne..

Nous souhaitons avec cette exposition montré une certaine vision du mouvement outre-manche. Ce sont trois artistes très différents qui transmettent un regard sur la société anglaise des années 80 à nos jours.

http://galerie-brugier-rigail.com/

Du mardi au samedi de 11h à 19h30

Publicité
30 juin 2015

Alice Springs à la MEP

IMG_4571

IMG_4572

30 juin 2015

Jacques Henri Lartigue à la MEP

lartigue

mep lartigue

IMG_4565

 

30 juin 2015

Anish Kapoor au Château de Versailles...

anish kapoor

30 juin 2015

"Les images intranquilles" de Valérie Belin

Les images intranquilles

Jusqu’au 14 septembre 2015

Centre Pompidou, Galerie d’art graphique, niveau 4, Paris 4e

Si les œuvres de Valérie Belin (née en 1964, à Boulogne-Billancourt) sont entrées dans les collections nationales (MNAM, MAM, Palais Galliera) et internationales (MoMA, San Francisco MoMA) dès 2006, c’est seulement aujourd’hui que le Centre Pompidou organise sa première rétrospective, autour de sa dernière série Super Models. Un thème qui renoue avec le rôle du mannequin, au coeur du travail de l’artiste.

Une trentaine d’œuvres présentent la « marque de fabrique » de Valérie Belin pour « l’inquiétante étrangeté », défini par S. Freud comme « le fait de douter qu’une créature apparemment vivante soit animée, et à l’inverse l’idée qu’une créature sans vie pourrait bien être animée, en se référant à l’impression produite par les mannequins de cire, les poupées ou les automates réalisés avec art » (1919).

Essentiellement féminines, les sujets de l’artiste sont à mi-chemin entre les mannequins formatés des magazines de mode et des entités réelles. La confusion est particulièrement troublante avec sa série Michael Jackson. Impossible de savoir si l’on est face au personnage réel, à son sosie ou une figure de cire !

Valérie Belin parvient à ce niveau de duperie grâce à son traitement de la lumière – ses toutes premières oeuvres était déjà des photographies de sources lumineuses qui présentaient l’aspect de radiographies ou d’empreintes laissées par la lumière -, l’exagération des proportions, le jeu des contrastes.

La photographe explique ne s’intéresser à la couleur qu’en 2006, après s’être lancé dans le numérique. « Car j’ai retrouvé le niveau de précision que m’offrait le noir et blanc », confie-t-elle. Ses portraits reflètent alors une beauté technologique qui évoque l’esthétique de l’avatar.

« C’est ainsi que l’artiste va mettre à l’épreuve, dans la plus pure tradition baroque, et souvent avec bonheur, jubilation et fantaisie, tous les artifices qui s’offrent aujourd’hui à elle, par le traitement des tons et des couleurs, la solarisation, la superposition, la saturation, l’accumulation », commente Clément Chéroux, commissaire de l’exposition.

Ses dernières séries abordent de nouveau la thématique du mannequin qui est maintenant inscrit (au lieu d’apparaître sur un fond neutre) dans un décor de science-fiction. Ou, pour être plus précise, le corps de ces femmes mi-réelles mi-sublimées semble traversés par le décor.

J’avais découvert avec plaisir l’œuvre de Valérie Belin à (feu) la galerie Jérôme de Noirmont. J’ai retrouvé cette même fascination devant les œuvres exposées aujourd’hui. Même sa nature morte composée d’un panier de fruits exotiques dégage ce sentiment d’inquiétante étrangeté. Bien que petite, cette exposition me paraît comme le point d’orgue de la nouvelle présentation des œuvres modernes et contemporaines du musée national d’art moderne !

30 juin 2015

Valérie Jouve

valerie jouve

Publicité
Publicité