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Jours tranquilles à Paris
22 mars 2020

Laetitia Casta et Yves Saint Laurent

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22 mars 2020

Michel Barnier

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21 mars 2020

Fanny Müller

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21 mars 2020

Hôpital de campagne

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21 mars 2020

Virginie Efira

virginie57

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21 mars 2020

Marlène Delcambre

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Je suis une artiste plasticienne française, utilisant les mots et l’image comme support d’une narration de ma vie à travers moi-même et à travers les autres.

Mes images ont été exposées à Paris, Londres, New York dans des galeries d’art contemporain ou dans des salons d’art.

Influencée par mon expertise en psychiatrie et en neuropsychologie, je me suis fait connaître par mes séries « De la dissonance du temps au silence » et « Fantasmagorie de l’absence » où je mets en scène des personnages en jouant sur leur présence physique et non psychique dans des décors picturaux. Dans certaines de mes séries, j’apparais anonymement parmi mes personnages.

Dans mes derniers travaux, je me concentre sur l’autoportrait et devient mon seul personnage.

« La ligne noire » et « L’idéal rythmique dans la coïncidence avec soi-même » occultent totalement l’aspect psychique pour me concentrer sur ma position graphique dans l’espace.

Dans ma nouvelle série « La baigneuse », je rends hommage aux baigneuses de Newton en me mettant en scène, dans une dissociation mentale où la réalité est toujours optionnelle, et où la volonté de dépasser l’illusion excède n’importe quelle fiction.

Je dénonce dans un clip le problème du gaspillage de l’eau dans le monde à travers mon personnage en baigneuse.

Je me mets en scène pour ma première collaboration avec le marchand d’art François Laffanour et l’artiste Olivier Urman dans la maison de Jean prouvé, dans un évènement pour la Fiac.

Mon personnage de baigneuse apparaît dans une baignoire en peluche crée par Olivier Urman et en danseuse classique sur la dame nature en peluche de l’artiste.

Marlène Delcambre

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21 mars 2020

Caroline Vreeland

caroline vree

21 mars 2020

Où vais-je aller ?

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21 mars 2020

Paris confinée, “le cœur de l’Europe a cessé de battre”

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Vu de l’étranger - COURRIER INTERNATIONAL (PARIS)

Pour faire face à la pandémie de Covid-19, le gouvernement français a annoncé le confinement du pays. Paris, habituellement fourmillante, est aujourd’hui presque à l’arrêt. Dans la presse étrangère, les journalistes sont nombreux à décrire les rues vides de la ville, et à lui rendre hommage avec mélancolie.

“Paris a tout vu. La peste noire et la Révolution. L’occupation et les barricades des étudiants. Les attaques terroristes et l’incendie d’une cathédrale”, décrit El País. Mais “ce que la ville n’avait jamais vu auparavant, c’est le confinement de toute sa population, les rues désertes, les brasseries fermées, les transports publics quasi-vides” et les passants “portant un masque, l’air grave”.

“Eh bien, ce Paris-là existe”, complète La Tribune de Genève. Et “il est devenu le cauchemar des Parisiens” depuis que le pays est entré en confinement pour lutter contre la propagation du Covid-19. Les déplacements sont interdits sauf dans certains cas et avec une attestation (se rendre au travail si on ne peut pas télétravailler, aller chez le médecin, faire ses courses, promener son chien ou encore faire de l’exercice physique, seul).

Une ambiance sépulcrale

Fini le temps où de nombreux Parisiens profitaient inconsciemment du soleil dans les parcs ou sur les bords de Seine, comme ce fut le cas dimanche 16 mars – “un spectacle qui avait révolté les médecins affairés à combattre le virus, dans des hôpitaux au bord de la saturation”, note Le Temps. La capitale est désormais “à l’arrêt”, explique la correspondante en France de Die Welt. “Cela ressemble à une guerre ou à un accident nucléaire.” C’est “si calme”, pour ce journaliste d’El Mundo, que sur les bords de Seine, “on entend l’eau se briser contre les piliers des ponts”.

“À la gare du Nord, l’ambiance est sépulcrale”, renchérit La Tribune de Genève. “Partout, les parcs et jardins sont fermés ‘jusqu’à nouvel ordre’.” Et dans le métro, “les stations sont vides, les quais déserts.”

Sur les vitrines des boulangeries, pharmacies et magasins, relate The Financial Times, des panneaux invitent les personnes à maintenir un mètre de distance entre elles. Dans les supermarchés, précise El Mundo, plusieurs étagères sont vides de produits : les pâtes, le papier toilette, l’alcool et même, le chocolat.

Preuve que les gens sont stressés !”

Des vacances sinistres

De nombreux “Parisiens, qui ont une résidence secondaire à la campagne ou de la famille ailleurs, ont décampé pour attendre la fin de la quarantaine”, rapporte le FT. Une situation qui a parfois été accueillie “avec une certaine froideur” par les habitants des lieux, constate The Guardian.

Mais, interrogée par The Daily Telegraph, une jeune femme justifie : “Avec mon mari, nous vivons dans un appartement de 60 mètres carrés et l’idée d’être enfermés avec trois enfants âgés de huit mois à six ans et demi n’était tout simplement pas possible.” Désormais installée dans la maison de sa mère, en Normandie, elle ajoute :

Si cela peut paraître idyllique, c’est un curieux mélange entre le sentiment d’être en vacances et quelque chose de plus sinistre.”

Fluctuat nec mergitur

À Paris, “ceux qui restent, occupent des appartements souvent exigus”, explique le FT. Et dans cette situation, remarque le correspondant d’El Mundo, “on comprend ce qu’il est bon de vivre. […] Entendre le camion poubelle ou récupérer son journal dans la boîte aux lettres prend désormais une saveur particulière”.

Une sensation qui est la même pour la journaliste de Die Welt. Elle déplore néanmoins, après avoir promené son chien sur “la place vide de la Concorde”, que la situation a “des airs de fin des temps”.

Mais si, “le cœur de l’Europe a cessé de battre”, elle tient quand même à rappeler que, “fidèle à sa devise, Paris tangue mais ne coule pas” (Fluctuat nec mergitur). Peut-être, conclut-elle, qu’“en réalité, la ville est encore plus belle sans la foule”.

21 mars 2020

Plage interdite !

corona plage

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