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Jours tranquilles à Paris
22 juillet 2017

Le Voyage à Nantes - #LVAN

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21 juillet 2017

« PIN-UP, L’Age d’Or du Balnéaire »

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UNE EXPOSITION GLAMOUR ET ESTIVALE

Galerie Joseph FROISSART | 7 rue Froissart - 75003 Paris jusqu'au 4 septembre 2017

Un hommage aux maillots de bain des Pin-Up des années 50, sublime pièce de la garde-robe féminine. Suite au succès de la rétrospective « Les 70 ans du Bikini » à Paris, Lyon, New-York et Milan en 2016, les historiens de mode, experts-collectionneurs, Ghislaine Rayer et Patrice Gaulupeau présentent cet été, une nouvelle exposition dédiée au maillot de bain.

La Galerie Joseph, lieu prisé par le milieu de la mode, accueille cet été une « Fashion exposition » de 60 maillots de bain de l’âge d’or du balnéaire hollywoodien des années 50, doublée d’une exposition de photos des plus grandes stars en tenue de plage (Elizabeth Taylor, Ava Gardner, Jayne Russel, Esther Williams, Gene Tierney…). La pièce phare de l’exposition est un maillot de bain glamour en velours et dentelles porté par Marilyn Monroe lors d’une shooting photo pour la marque des stars « Catalina ».

Cet évènement s’inscrit dans le cycle « Hollywood » composé de 3 événements culturels au cœur du Marais.

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Quand de la censure naît une mode glamour….

Dans les années 50, les actrices Hollywoodiennes n’avaient pas le droit de se montrer en lingerie ou tenue légère. Pour contourner la réglementation en vigueur, les producteurs de cinéma, afin de valoriser la plastique de leurs célébrités eurent l’idée de les faire poser en maillot de bain.

Il y eut un tel engouement pour ces photos que le règne des « Pin-Up » commença. La plus célèbre d’entre elles fut et reste Bettie Page qui, si elle fut connue pour avoir posé en lingerie sexy, dut son plus grand succès à ses poses en maillots léopard, relançant ainsi la mode de cet imprimé. L’âge d’or du balnéaire aux Etats-Unis dans les années 50/60, c’est aussi l’inconscience de l’après-guerre, la musique, la plage, le surf et un nouvel art de vivre !

La mode du balnéaire prit tant d’ampleur que les marques rivalisèrent de créativité pour créer ces maillots de « stars » qui sublimaient les femmes. Certains d’entre eux sont devenus iconiques et la mode « Pin-Up ou retro » a encore de beaux jours devant elle tant les reproductions de ces pièces sont prisées aussi bien par les jeunes filles que les femmes.

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– Un focus Marylin Monroe avec, pour la première fois exposé en Europe, le maillot de velours et de dentelle qu’elle porta pour une séance photo de la marque Catalina en 1951. Des clichés de ce shooting accompagnent ce maillot mythique.

– Des maillots « couture » créés par les marques emblématiques américaines (Jantzen, Catalina, Cole of California, …) conçus pour les Pin-up et les stars hollywoodiennes.

– Une présentation de maillots de bain issus des films aquatiques hollywoodiens, dont Esther Williams fut l’illustre sirène.

– Un corner dédié aux maillots de bain de luxe qui ont su égaler et dépasser les robes de soirée lors des « Pool Parties » huppées d’Hollywood.

– L’exposition met aussi en avant les tendances européennes des années 50, le Brigitte Bardot style ou l’esprit New-Look… quand la collaboration des grands couturiers français (Dior, Jacques Fath, Schiaparelli) avec les grandes marques américaines donne naissance à un style balnéaire Haute Couture et intemporel.

–        Des archives photographiques rares et des publicités des plus grands illustrateurs de cette époque, Gruau, Vargas, Petty, etc…

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« PIN-UP, L’Age d’Or du Balnéaire »

UNE EXPOSITION GLAMOUR ET ESTIVALE

Dans les années 50, le puritanisme ambiant, le maccarthysme tout puissant et le lobby des ligues de vertu de la société américaine touchent l’univers de la mode. Parmi toutes ces ligues et autres organismes répresseurs, il en est un qui va sévir pendant plus de 30 ans et perturber le cours d’une industrie florissante : le code Hays, guide d’autocensure pour la communauté cinématographique hollywoodienne. En pratique, l’application stricte du code impose de suivre des règles saugrenues : les baisers sont chronométrés, la nudité est proscrite, les costumes trop révélateurs sont bannis, le lit, même conjugal, devient obligatoirement des lits jumeaux… Les scènes de déshabillage et la lingerie provocante doivent être évitées, sauf lorsqu’elles constituent un élément essentiel du scénario. En outre William Hays, étant sujet à un fétichisme particulier, traque personnellement les nombrils féminins. Le maillot de bain deux-pièces taille haute, devient alors la seule pièce sexy et glamour autorisée sur les tournages et la promotion des films. Quant au maillot une-pièce, il sublime les stars en dévoilant leurs atouts, mais dans les règles ! « Bathing Beauty », (Le Bal des Sirènes), est le premier film 100% aquatique produit à Hollywood. Somptueusement mis en scène dans le plus grand studio alors jamais construit, ses scènes de natation synchronisée majestueusement chorégraphiées par le maître de l’époque Busby Berkeley, font d’Esther Williams une star dont le seul costume est le maillot de bain. Ses maillots, parfois provocants pour l’époque n’en demeurent pas moins des œuvres d’art en termes de style. Surnommée « la Sirène d’Hollywood », l’actrice américaine, après avoir été la vedette d’une vingtaine de films, devient une femme d’affaire prospère en se lançant dans la création de maillots de bain. S’inspirant des tenues de ses films, elle travaille pour la marque Catalina puis lance sa propre griffe, toujours commercialisée de nos jours.

Marilyn Monroe, Pin-up et star

L’ambassadrice iconique des marques de maillots de bain

Marilyn Monroe est l’icône glamour par excellence, le mot photogénie a été inventé pour elle. Mais l’actrice n’aurait jamais imaginé qu’elle puisse un jour avoir un tel destin. Née de père inconnu et d’une mère schizophrène, placée en famille d’accueil à 9 ans, elle se retrouve mariée, en 1942, à l’âge de 16 ans avec un ouvrier qui s’engage dans la marine marchande. Marilyn qui n’a pas fait d’étude, finit par trouver du travail dans la même usine que son mari en tant que plieuse de parachutes.

C’est là qu’elle se fait repérer par un photographe de l’armée, David Conover, venu pour illustrer l’implication des femmes dans l’effort de guerre. Il cherchait un « physique » pour stimuler le moral des troupes à l’étranger quand il a découvre Norma Jean, une jeune fille de 18 ans, qui avait l’air très intéressante, même en salopette… Grâce à cette série de photo publiée un peu plus tard dans le magazine YANK en 1945, elle fait ensuite la couverture d’une trentaine de magazines de Pin-up et commence à se faire connaître comme la « Mmmmm girl ». Elle abandonne son travail pour se consacrer à sa carrière de mannequin, notamment auprès de l’agence Blue Book Modeling Agency. En décembre 1945, elle tourne son premier film-test pour l’agence, afin de promouvoir des maillots de bain. La « bombe sexuelle » est née et sa carrière commence alors … Même lorsqu’elle devient actrice, puis star, elle reste l’ambassadrice incontestée des marques de beachwear qui utilisent à l’envi son sourire et son incomparable plastique pour promotionner leurs maillots de bain. Marilyn n’est pas une légende, mais LA légende !

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Le saviez-vous? D’où vient le mot Pin-Up?

Une Pin-up est une représentation rêvée de femme, en dessin ou en photo, dans une pose attirante ou « sexy ». L’expression anglo-saxonne « Pin-up girl » pourrait se traduire en français par « jeune femme épinglée au mur » (to pin : épingler). Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Pin-Up, symboles de charme et d’érotisme, connaissent un très large succès, surtout chez les militaires, et notamment chez les G.I. Des représentations de Pin-up étaient fréquentes sur leurs murs de leur chambrée et paquetage. Certains pilotes, avec la bénédiction de leurs supérieurs, en faisaient même peindre une sur le nez de leur avion bombardier. Les années 1950, deviennent l’âge d’or des Pin-up, principalement aux États-Unis. À cette époque, elles sont partout et apparaissent en « Une » des magazines, des journaux, posters, calendriers, petites vignettes à collectionner… La success-story des Pin-up continue jusque dans les années 1970, où elles sont utilisées dans la publicité. Même Coca-Cola fera appel à Marylin Monroe pour faire la promotion de leur célèbre boisson. A la suite de l’apparition des magazines érotiques comme Playboy ou Penthouse, la mode des Pin-Up disparaît progressivement au profit de photos réalistes de femmes nues moins fantasmées. On assiste depuis quelques temps à un regain d’intérêt pour ces égéries des années 1950. La mode, la publicité, les médias et les artistes remettent ce style au goût du jour. Dita von Teese, en est la grande prêtresse et célèbre, dans ses shows internationaux, le grand retour de la Pin- Up.

Exposition « Pin-Up, l’Age d’Or du Balnéaire »

Galerie Joseph Froissart, 7 rue Froissart, 75003 Paris

Du 5 juillet au 4 septembre 2017 | De 11 h à 20 h / ouvert 7j/7

Entrée : 6 euros

19 juillet 2017

Rencontres Photographiques d'Arles

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17 juillet 2017

Un été japonais à la MEP

Dès le début des années 1990, la société d’impression japonaise Dai Nippon Printing Co., Ltd constitue pour la Maison Européenne de la Photographie une importante collection représentative de la photographie japonaise de la deuxième moitié du XXe siècle. L’exposition investit la quasi-totalité des espaces de la MEP et propose une large sélection de chacun des 21 photographes de la donation, riche aujourd’hui de 540 pièces.

Cette exposition est dédiée à la mémoire de Keiichi Tahara, 1951-2017, et de Hiroshi Yamazaki, 1946-2017.

Avec des œuvres de Nobuyoshi Araki, Masahisa Fukase, Seiichi Furuya, Naoya Hatakeyama, Hiro, Eikoh Hosoe, Yasuhiro Ishimoto, Miyako Ishiuchi, Ihei Kimura, Taiji Matsue, Ryuji Miyamoto, Yasumasa Morimura, Daido Moriyama, Ikko Narahara, Toshio Shibata, Hiroshi Sugimoto, Keiichi Tahara, Hiromi Tsuchida, Shomei Tomatsu, Shoji Ueda, Hiroshi Yamazaki.

En 1992, sous l’impulsion de son président Monsieur Yoshitoshi Kitajima, la grande société japonaise d’impression Dai Nippon Printing Co., Ltd., fondée en 1876, décide de constituer pour la Maison Européenne de la Photographie une importante collection représentative de la photographie japonaise depuis le début des années 1950. À cette époque, les photographes japonais étaient très peu présents dans les collections publiques françaises. Ainsi, chaque année de 1994 à 2006, la collection de la MEP s’est enrichie d’une ou deux séries majeures des maîtres de la photographie japonaise. Les choix, réalisés avec la collaboration essentielle de la galeriste Kazé Kuramochi, se sont avérés pertinents.

Constituées aujourd’hui de 540 œuvres, cette « collection dans la collection » révèle la place essentielle prise par la photographie japonaise dans l’histoire de la photographie mondiale et l’importance d’auteurs devenus pour la plupart des acteurs majeurs de la création contemporaine.

En quelques décennies, dans un après-guerre bouleversé par la double tragédie nucléaire des 6 et 9 août 1945, suivie de l’occupation américaine qui durera jusqu’en 1951, se succèdent des générations de photographes témoins des bouleversements économiques et sociaux d’une société blessée mais en pleine mutation. En 1968, le Japon devient la troisième puissance économique mondiale. Dans le même temps, les mouvements contestataires des années 1960 libèrent toutes les expressions artistiques et particulièrement la photographie, notamment grâce à la revue Provoke publiée entre 1968 et 1969. Apprenant les uns des autres, ces auteurs repoussent toujours plus loin les possibilités et les limites de la photographie. Scrutant les failles et les cicatrices d’un pays meurtri mais en plein renouveau, ils confrontent l’intime à l’histoire collective, et s’impliquent totalement dans l’acte photographique avec une froide sobriété et une violence contenue qui confèrent à leurs travaux une puissance sous-jacente.

Beaucoup de ces photographes documentent le Japon dans un contexte historique qui influence fortement leur style photographique ; et bien que ces auteurs soient largement ouverts sur le monde, leurs travaux, jusqu’aux années 1980, sont peu diffusés à l’étranger. Les artistes nés après-guerre continuent de dépeindre l’identité japonaise, scrutant leur territoire tout en voyageant et en élargissant leurs champs d’investigation. Certains vivent et travaillent hors du Japon, comme Yasuhiro Ishimoto, Hiro, Keiichi Tahara, Seiichi Furuya. Aussi ne peut-on les cantonner à l’étiquette de photographie japonaise, tant leur propos est universel. La plupart ont obtenu une forte notoriété internationale. Ce qui les rassemble, c’est leur engagement dans l’acte photographique.

L’exposition, qui occupe l’ensemble des quatre niveaux de la Maison Européenne de la Photographie, présente une très large sélection de chacun des vingt-et-un photographes de la donation.

Si certains photographes nous donnent à voir les conséquences d’une des plus grandes catastrophes humaines de tous les temps, alors que d’autres évoquent leur propre amour disparu, il se dégage de l’ensemble de ces travaux, toujours réalisés à la bonne distance, une force de la mémoire et une proposition de regarder en nous, avec humilité, notre propre humanité.

Exposition "Mémoire et lumière", jusqu'au 27 août à la MEP.

https://www.mep-fr.org/event/memoire-et-lumiere/

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17 juillet 2017

Walker Evans - exposition au Centre Pompidou (actuellement)

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17 juillet 2017

"Marilyn, La Dernière Séance", jusqu'au 6 janvier 2018, au DS World Paris - Photos de Bert Stern

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Le DS World Paris accueille l'exposition "Marilyn, La Dernière Séance". Jusqu'au 6 janvier 2018, les visiteurs du showroom vont pouvoir découvrir quelques-uns des clichés de l'actrice pris par le photographe Bert Stern en 1962 quelques jours avant la mort de la star.

Pendant deux jours et une nuit, à l'hôtel Bel-Air à Los Angeles (États-Unis), Bert Stern a pris pas moins de 2.571 photos de Marilyn Monroe destinées au magazine Vogue, dont 59 des plus célèbres vont être exposées pendant quelques mois au DS World Paris.

La rencontre de deux icônes

L'idée est de réunir deux légendes du XXe siècle, avec d'un côté une marque iconique, DS, et de l'autre la blonde la plus célèbre du 7e art, Marilyn Monroe, le tout dans une mise en scène du créateur et designer Hubert Le Gall. Comme d'habitude, les visiteurs du flagship de DS pourront également approcher les derniers modèles de la marque ainsi qu'une exceptionnelle DS 21 Cabriolet Export US de 1966.

Le DS World Paris est le théâtre de multiples expositions tout au long de l'année depuis son ouverture en novembre 2013.

"Marilyn, La Dernière Séance", jusqu'au 6 janvier 2018, au DS World Paris, site Web : dsworldparis.fr

16 juillet 2017

Street Art à la Cité Universitaire - ATTENTION : c'est aujourd'hui DIMANCHE le DERNIER JOUR....

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Quoi : Rehab 2. Où : Cité U, 17, place Jourdan (XIV e). Quand : ce dimanche de 10 heures à 22 heures. Combien : participation libre. Se renseigner : http://rehab2.fr

15 juillet 2017

Jeff Koons à Artcurial... et chez Louis Vuitton (Champs Elysées)

15 juillet 2017

Expo Steve Mc Queen à Paris jusqu'au 3/09/2017 à la galerie Joseph

Steve Mc Queen est une légende. D’Hollywood d’abord au travers des 27 films dans lesquels il a joué, des sports mécaniques par sa passion pour les voitures de sport et les motos, mais également de la mode par la façon qu’il avait d’exposer sa « cool attitude ».

Au sein de la plus grande des galeries Joseph, sur 850 M² et 2 niveaux, vous découvrirez l’acteur sous 4 thèmes principaux : « Movie star » avec des affiches de films et des photographies, « Fashion icône de la mode », « Motors Fan » pour la partie sports mécaniques et belles carrosseries et « Steve Mc Cool » avec un focus sur sa vie privée en images. Une réplique de la Ford Mustang Fastback du film « Bullit » sera d’ailleurs exposée, ainsi qu’une Triumph Bonneville série spéciale Steve Mc Queen.

Un rendez-vous à ne pas manquer pour les fans de Steve Mc Queen.

« Steve Mc Queen Style » : jusqu'au 3 septembre 2017 – Galerie Joseph – 116 rue de Turenne – 75 003 Paris.

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15 juillet 2017

BRUSK à la Galerie Laurent Strouk

Galerie Laurent Strouk

2 avenue Matignon

75008 Paris

France

+33 (0) 40 46 89 06

www.laurentstrouk.com

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BRUSK

Le monde tel que Brusk le représente se délite. Bâtiments, trains, personnages, animaux, scènes de rue…, tout se décompose, comme l'expriment coulures et déchirures. Cette manière virtuose de dessiner est sa marque de fabrique. Les éléments s'échappent, se tordent, explosent : un choc visuel dans l'univers luxueux et feutré de la galerie Laurent Strouk, avenue Matignon. Le Lyonnais, quadra, ne renie pas ses convictions militantes pour séduire. Il va même plus loin en consacrant une salle entière aux naufragés en Méditerranée réfugiés. Une partie du fruit de la vente de ces œuvres sera d'ailleurs reversée à une association qui leur vient en aide.

http://www.laurentstrouk.com/fr/artistes/brusk-fr/?gclid=Cj0KEQjwkZfLBRCzg-69tJy84N8BEiQAffAwqkqij94MqcpKREyvM01BHDq0RBc1PUl9p9-50nuHeM4aAn6v8P8HAQ#oeuvres

https://www.facebook.com/bruskdmv/

http://www.blog.stripart.com/art-urbain/brusk/

http://www.telerama.fr/sortir/brusk-un-street-artiste-au-pied-du-mur,127286.php

https://www.sortiraparis.com/arts-culture/exposition/articles/140893-le-street-artiste-brusk-s-expose-a-paris

https://www.brusk.fr/

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