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Jours tranquilles à Paris
8 octobre 2017

Nuit Blanche - Fondation EDF (7ème) - hier soir

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Photos : J. Snap

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8 octobre 2017

Nuit Blanche 2017 - Parvis de l'Hôtel de Ville de Paris - hier soir

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Photo ci-dessus : Mairie de Paris - Sophie Robichon

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Cinq photos ci-dessus : J. Snap

CHTO DELAT ?

Parvis de l’Hôtel de Ville

La révolution d’Octobre 1917, c’était il y a 100 ans. Que reste-t-il d’un siècle d’espoirs qui ont essaimé tout autour du globe ? Et à quoi ressemblerait un monument commémoratif dédié à ces mouvements populaires ? De la Commune aux tracts de mai 68, jusqu’aux plus récents printemps arabes, le collectif russe met en regard les représentations qui les ont accompagnés et qui ont façonné l’imaginaire. Un monument en forme d’élégie en hommage aux engagements individuels et collectifs et au caractère transnational de ces idéaux, dont une autre émanation est présentée conjointement à la Nuit Blanche de Toronto. « Que faire ? », c’est la question que brandit le collectif Chto Delat depuis 2003. Cellule à géométrie variable où se regroupent artistes et philosophes, elle interroge l’héritage des avantgardes et postule un nouvel activisme artistique.

Parvis de l’Hôtel de Ville, 75004

M° - Hôtel de Ville (1, 11)

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Photos ci-dessus : J. Snap

8 octobre 2017

Nuit Blanche au Forum des Halles - hier soir

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Vidéo et photos : J. Snap

Sous la canopée du Forum des halles Tapis de paillettes et valse à mille gens

«Une fois que vous êtes tous en clubbing, partez en fontaine, surtout pas en masse» ; «et là, vous devez aller directement dans votre zone d’ADN et, ensuite, ne plus bouger de votre groupe»… Sorties de leur contexte, certaines phrases sont plus difficiles à comprendre que d’autres mais, pour la centaine d’anonymes rassemblés en ce samedi d’automne dans une salle de répétition de la Feeling Dance Factory à Pantin, les consignes paraissent claires.

Parmi les performances proposées cette année dans le cadre de la Nuit blanche, sous la canopée du Forum des Halles, le chorégraphe Olivier Dubois promet Mille et Une Danses. Mais, à l’évidence, il n’est pas tout seul. Epaulé par 150 jeunes instrumentistes des conservatoires de Paris, l’événement réunit ainsi quelque 250 interprètes amateurs. Un premier groupe, composé de 70 personnes, se réappropriera huit saynètes extraites de films choisies par le maître de cérémonie, parmi lesquels Talons aiguilles de Pedro Almodóvar, l’Homme orchestre de Serge Korber (avec Louis de Funès), Top Hat de Mark Sandrich (avec Fred Astaire et Ginger Rogers) ou Beau Travail de Claire Denis. Décliné de 19 heures à 3 heures, à raison d’une séance par heure, le show durera à chaque fois quarante-cinq minutes. Le quart d’heure restant réunira, lui, 180 autres bénévoles, pour un grand bal au milieu d’un tapis de paillettes jonchant le sol.

Or, dans le cadre autrement ingrat d’une salle de répétition vite transformée en étuve, c’est précisément une partie du second groupe (divisé en deux, compte tenu des dimensions du lieu) qui sue à grosses gouttes sur la bande originale d’Irréversible, de Gaspar Noé, signée Thomas Bangalter (moitié de Daft Punk), à raison de quatre sessions réparties sur les week-ends de septembre, afin d’être prêts le jour J. «Nous avons reçu 500 candidatures et il n’était pas question de faire passer la moindre audition. Nous demandions juste à chacun d’évaluer son niveau de 1 à 5. Ceux qui se situaient entre 1 et 3 étaient orientés vers le bal, et les 4-5, les plus aguerris, vers le cinéma», précise Cyril Accorsi, un des quatre danseurs de la compagnie coordonnant les répétitions.

«Entre l’inscription et la première répétition, ajoute ce danseur professionnel, environ un tiers des volontaires sélectionnés ont disparu, ce qui est un chiffre normal dans ce genre de contexte. Mais depuis, nous avons perdu très peu de monde. Et ce serait une hérésie d’avoir des exigences démesurées : ce sont tous des amateurs qui paient de leur personne et c’est bien à nous de faire le job.» Ce qui, synthétisé par Olivier Dubois, donne : «Nous sommes partis du principe que chacun venait sur la base du désir, accompagné de cette élégance qui préserve le plaisir.» De fait, bien qu’il faille tempérer un peu de dissipation dans les rangs, l’atmosphère de travail est à la fois studieuse et bon enfant, à l’instar de ces indications formulées dans une phraséologie volontiers vulgarisatrice : «Travaillez avec un peu plus d’attaque, essayez d’accentuer pour que ce soit plus lisible : les "ivrognes", par exemple, vous devez être vraiment ivres, trouvez-le dans votre corps et prenez bien tout l’espace, dès que vous voyez un trou, allez-y.»

Comme toujours chez Olivier Dubois, figure éminente de la danse contemporaine française (Tragédie, Auguri), l’énergie prévaut, comme cet esprit de groupe sur lequel insistent les animateurs : «En cas d’erreur ou de doute, ne vous arrêtez pas, il y a toujours quelqu’un à côté de vous qui sait. A l’inverse, pour ceux qui suivent, si vous en voyez un en galère, aidez-le !»

La plupart des participants sont des filles, relativement jeunes. Parmi les aînés, Odile, qui fait de la formation en entreprise et de la traduction, ne ménage pas sa peine, et elle le confirme, le temps d’une pause, entre deux fruits secs : «Comme beaucoup, j’ai rêvé gamine d’être danseuse et ça ne s’est pas fait. Là, je trouve l’occasion de vivre une expérience unique en adhérant pleinement à la philosophie d’Olivier Dubois. Je ne le connaissais pas quand je me suis inscrite, mais je me suis pas mal documentée depuis, et j’ai découvert un artiste au profil particulier, qui a réussi à force de s’entendre dire qu’il n’était pas fait pour ça.»

Sensible à la bienveillance des danseurs de la compagnie, la quinquagénaire, qui a arrêté la danse à 27 ans, ne manque pas d’ardeur pour relever le «défi», mue par le désir de «faire honneur au chorégraphe». En corollaire, elle se félicite du brassage générationnel et sociologique généré par un projet où, par exemple, on croise aussi Dieynaba, travailleuse sociale à la Croix-Rouge qui, de son côté, anime des ateliers danse avec des enfants, plutôt hip-hop et dancehall. «Les mouvements sont assez faciles à mémoriser et le temps de répétition [seize heures de transmission avant la générale, ndlr] me paraît suffisant pour combler mes lacunes, observe la jeune femme. Hormis le registre musical, auquel je ne suis pas du tout habituée, il n’y a rien qui me déstabilise vraiment.»

«J’apprends encore beaucoup au contact des amateurs, avec lesquels je recompose et réajuste sans cesse, note Olivier Dubois. Car ce type de projet reste pour moi du donnant-donnant, et je les traite comme des professionnels en ce sens qu’une fois qu’on leur a fourni des clés, le moment venu, ils ne pourront plus s’en remettre sur scène qu’à eux-mêmes.»

Extrait Libération daté du 6 octobre 2017

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Photo ci-dessus : Mairie de Paris - Joséphine Brueder

7 octobre 2017

Zombie Walk 2017 / Paris - France 07 octobre 2017

7 octobre 2017

Le musée Yves Saint-Laurent ouvre à Paris - Visite en avant-première vidéo YouTube

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6 octobre 2017

Save the date...

Teaser de Tout nous sépare réalisé par Thierry Klifa avec Catherine Deneuve, Diane Kruger, Nekfeu, Nicolas Duvauchelle.
Le 8 novembre au cinéma

6 octobre 2017

Académie Fratellini -hier soir

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Photos : J. Snap

Présentation de la saison 2017-2018 et spectacle sous le grand chapiteau - "Le fil sous la neige" par les Colporteurs.

Les Colporteurs ont choisi l'Académie Fratellini pour revenir sur 20 ans de création, de prouesses, de poésie et d'émotions partagées avec le public. Les 7 funambules accompagnés des 3 musiciens du « Wildmini Antigroove Syndicate » rejouent pour 3 représentations exceptionnelles ce spectacle phare au succès planétaire. Une chorégraphie hors sol, mise en scène par Antoine Rigot, où poésie et virtuosité rivalisent pour débusquer le merveilleux attaché à notre destin. 

Du 5 au 8 octobre 2017 - Grand chapiteau de l'Académie Fratellini (St-Denis, 93)

4 octobre 2017

Gala

Gala

04 Oct - 15 Oct 2017 THÉÂTRE DU ROND-POINT         JÉRÔME BEL

Le Théâtre du Rond-Point présente Gala de Jérôme Bel, un spectacle réunissant danseurs professionnels et amateurs pour les conduire à s'approprier les codes du spectacle indépendamment de leurs talents supposés ou réels.

L’édition 2017 du «Festival d’automne à Paris» consacre un portrait à Jérôme Bel. Pièce créée en 2015, Gala est le premier spectacle présenté à cette occasion. Spectacle réunissant danseurs amateurs et professionnels, Gala confond âges et origines sociales et culturelles pour souligner l’universalité de la danse par-delà les différences physiques, sociales, et culturelles les plus frappantes.

Gala : amateurs et «savoirs dansés»

Gala naît d’une expérience inédite pour Jérôme Bel. Bien que celui-ci n’enseigne pas, il accepte de participer à un projet de travail avec des amateurs. Une telle démarche, précise Jérôme Bel, s’est révélée être l’occasion de prendre conscience des limites possibles de sa propre démarche artistique au cours d’ateliers consacrés au chant et à la danse. Travaillant alors avec des amateurs et fidèle à la signification première de ce terme, Jérôme Bel a pris le parti de ne retenir qu’aiment ces derniers, c’est-à-dire, leurs manières de danser et leurs références en matière de danse.

Dès lors, la danse apparaît non plus comme un ensemble de techniques et de codes dont l’apprentissage est nécessaire, mais une culture que chacun peut partager avec tous et transmettre. Gala répond ainsi une idée directrice particulière : il importe de se demander sous quelles formes pratiques et formes savantes de danse se diffusent dans la société. Si «Chacun porte des savoirs – non pas chorégraphiques, mais «dansés» – savoirs plus ou moins sophistiqués selon les personnes», que signifient alors ces savoirs dansés, que peuvent exprimer les choix individuels ?

Gala : représentation de la singularité

Mais Gala ne saurait se réduire à ces seuls choix individuels, la subjectivité ne pouvant se suffire à elle-même. Professionnels et amateurs collaborent donc à faire de Gala une pièce dont l’intention n’est autre que d’effacer cette même opposition entre amateurisme et professionnalisme, entre activité sociale et artistique. Gala entend d’abord rassembler des individus, indépendamment de leurs talents réels ou supposés, pour les conduire à s’approprier les principes généraux de tout spectacle, c’est-à-dire de la représentation, en l’occurrence les divers types de genres et formes de danse.

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4 octobre 2017

"Amour" - Jean Louis Trintignant

 

3 octobre 2017

CONFIDENT ROYAL Bande Annonce VF

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