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Jours tranquilles à Paris
5 octobre 2016

Chantal Thomass prête pour le nouveau show du Crazy Horse

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Photos : Ellen von Unwerth

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4 octobre 2016

En Espagne, une pub choc pour un salon érotique au message très politique fait scandale

4 octobre 2016

FRANCE 2 : Polanski dans « Stupéfiant ! »

Roman Polanski sera le prochain invité de Léa Salamé dans « Stupéfiant ! », demain sur France 2. La journaliste interviewera le cinéaste à Paris autour de ses lieux de tournage et objets fétiches, pour le deuxième numéro de son magazine culturel. Lequel a réalisé un démarrage timide, ce mercredi à partir de 22 h 45, devant 644 000 personnes, soit 6,4 % du public. La saison dernière, Frédéric Lopez et sa bande de « Folie passagère » mobilisaient plus de 800 000 personnes en moyenne dans cette case, pour 8,2 % de part d’audience.

Voir mes précédents billets sur Roman Polanski

4 octobre 2016

Chantal Thomass met le Crazy Horse sans dessus dessous du 5 octobre au 31 décembre 2016

Chantal Thomass met le Crazy Horse sans dessus dessous du 5 octobre au 31 décembre 2016
Du dimanche au vendredi à 20:15 & 22:45 – Le samedi à 19:00, 21:30 & 23:45
Renseignements & réservations : lecrazyhorseparis.com  01 47 23 32 32 – reservation@lecrazyhorseparis.com
3 octobre 2016

Crazy Horse

LE CRAZY HORSE 

SIGNÉ CHANTAL THOMASS
 

A partir du 5 octobre prochain, la Papesse de la lingerie Chantal Thomass signe la direction artistique du nouveau spectacle du Crazy Horse intitulé «Dessous Dessus».

Chargée de créer plusieurs tableaux inédits et d’imaginer les costumes et la mise en scène du spectacle, elle apportera également sa touche personnelle sur des tableaux « classiques » du répertoire.

Elle nous raconte ici en exclusivité comment elle s’apprête à mettre le Crazy Horse sens et sans «Dessus Dessous» !

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2 octobre 2016

Dinard. La jeunesse qui chante primée

Avec « Sing street », John Carney succède au palmarès à Tom Geens qui l'avait emporté, l'an passé, avec « Couple in a hole ».

Hier soir, le film « Sing street » a reçu le Hitchcock d'or du Festival de Dinard (35). Claude Lelouch et son jury ont récompensé un film, témoin d'une jeunesse britannique des années 80, qui veut s'en sortir. Comme celle d'après le Brexit ! 18 h 30, hier, au pied du tapis rouge qui mène à la salle de cérémonie du 27e festival dinardais, les flashes crépitent lorsque Claude Lelouch, Anne Parillaud, Julie Ferrier, James D'Arcy et les autres membres du jury du festival du film britannique de Dinard sortent des voitures dans leurs habits de lumière. Sur le tapis rouge : show de Julie Ferrier avec un improbable chapeau russe sur la tête, glamour d'Anne Parillaud, pose féline de Victoria Bedos... Strass et paillettes, quand ça vous tient !

Claude Lelouch et son jury unanimes

Dans la fraîcheur du soir, la foule applaudit et le jury salue ces milliers de festivaliers venus approcher les stars mais aussi apprécier ce cinéma pas comme les autres, venu d'outre-Manche. Depuis mercredi, à la sortie des salles dinardaises, le coeur du public battait pour « Away », du réalisateur David Blair, qui conte l'histoire d'une amitié improbable entre deux personnes à la dérive. « Sing street », du réalisateur John Carney, recueillait également de très bons suffrages avec son ambiance ado des années 80. Par contre, « Prevenge », d'Alice Lowe, où une femme enceinte psychopathe trucide tout sur son passage, en révulsait plus d'un.

Mais qu'allait donc décider le jury ?

21 h 15, dans la salle de l'Alizée impatiente, alors que « Sing Street » vient déjà de remporter le prix coup de coeur, le prix du meilleur scénario et le prix du public, Claude Lelouch tient le Hitchcock d'or au bout des mains et met fin au suspense : « Quand un film rencontre un public, c'est déjà beaucoup. Quand il rencontre tous les publics, c'est l'aristocratie du cinéma ! C'est ce qui s'est passé cette semaine avec le film "Sing street" que nous déclarons vainqueur, à l'unanimité des membres du jury ».

Un Hitchcock d'or qui peut rapporter gros

Ce film se déroule dans le Dublin des années 80, sur fond de musiques pop, rock, metal et new-wave sur les radios K7. Là, Conor, un lycéen, monte un groupe de musique pour échapper à la violence scolaire et trouver l'amour. John Carney succède ainsi au palmarès à Tom Geens qui l'avait emporté, l'an passé, avec « Couple in a hole ». Son « Sing street » » se met ainsi dans les pas de grands films distingués ici comme « Billy Elliot », de Stephen Baldry, en 2000, « Full Monty », de Peter Cattaneo, en 1997 ou encore « Petits meurtres entre amis », de Danny Boyle, en 1994. À eux trois, ces films sacrés à Dinard totalisent plus de sept millions d'entrées en France. Souhaitons même réussite au lauréat 2016 !

Le palmarès : - Hitchcock d'or et Grand prix du jury ; Prix du meilleur scénario ; Prix du public ; Prix coup de coeur : « Sing street », de John Carney - Prix spécial du jury : « Away », de David Blair - Hitchcock d'honneur : Rémy Julienne - Hitchcock Film court du jury : « Bilaadi », de Safwon Suleyman -Hitchcock Film court du public : « Balcony », de Toby Fell-Holden.

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Hitchcock d'honneur pour Remy Julienne, le cascadeur éternel, très ému par ce Hitchcock surprise remis par Claude Lelouch en personne ! Standing ovation dans la salle !

1 octobre 2016

Chantal Thomass met le Crazy Horse sans dessus dessous du 5 octobre au 31 décembre 2016

30 septembre 2016

Pour la Nuit Blanche le CRAZY HORSE PARIS présente "MUSES"

Performance - Jardin du Petit Palais

Dans le jardin du Petit Palais, une rencontre envoûtante apaise Poliphile. Comme à de nombreuses reprises dans le roman, les nymphes viennent en aide à notre héros éprouvé pour le guider et l’émerveiller. En signe de rupture avec le monde réel, un flash de lumière blanche éblouit les visiteurs qui pénètrent dans l’enceinte du jardin. C’est un monde féerique qu’ils découvrent alors dans ce somptueux décor 1900. Cachées derrière les colonnes du péristyle, les nymphes du Crazy Horse semblent s’être réfugiées en ce lieu enchanteur. Au milieu du bassin central, elles font onduler leurs robes vaporeuses et chuchotent doucement à l’oreille des visiteurs.

Cabaret incontournable des nuits parisiennes, le Crazy Horse fête ses 65 ans. La maison mythique est réputée pour ses danseuses vêtues uniquement de lumière sur scène. En accueillant des metteurs en scène et des créateurs venus de la danse ou de la mode comme Philippe Découflé, Dita Von Teese ou Chantal Thomass, le cabaret renouvelle en permanence sa vision du glamour et de la féminité.

30 septembre 2016

La vie en Lily-Rose

« La danseuse » La fille de Vanessa Paradis et Johnny Depp explose dans ce film révélé au dernier Festival de Cannes.

De Lily-Rose, on ne connaissait que quelques photos people dans l’ombre de papa et maman, alias Johnny Depp et Vanessa Paradis. On sait désormais que la jeune femme de 17 ans est une future star de cinéma. Elle est la révélation de « la Danseuse », où elle incarne, aux côtés de SokoSoko, Gaspard Ulliel et Mélanie Thierry, la chorégraphe américaine Isadora Duncan.

Dans ce drame fiévreux de Stéphanie Di Giusto, Isadora Duncan est d’abord l’élève puis la rivale de Loïe Fuller, star de la Belle Epoque, qui révolutionna la danse avec ses chorégraphies spectaculaires. Si Soko porte le film, totalement investie dans ce personnage dévoré par son art, Lily-Rose Depp capte naturellement la lumière. « Elle a l’éclat des grandes actrices, assure la réalisatrice française, dont c’est le premier long-métrage. Elle est incroyablement mûre et professionnelle pour son âge. »

Finies les parties de cache-cache avec les paparazzis. Longtemps couvée par ses parents, entre Los Angeles, Paris et les Bahamas, Lily-Rose se dévoile au public depuis ses 13 ans et l’ouverture de son compte Instagram. Elle y partage avec deux millions d’abonnés ses dernières tenues Chanel, dont elle est égérie, et ses sorties entre copines. Après deux apparitions à l’écran dans « Tusk », avec son père, et dans « Yoga Hosers », l’adolescente a pris sa décision : elle sera actrice.

« Elle sait parfaitement ce qu’elle veut, observe Stéphanie Di Giusto. Elle a envie de choses audacieuses, pas de gros budgets commerciaux. » Ses premiers choix en témoignent : « la Danseuse », mais aussi « Planetarium » de Rebecca Zlotowski, qui sortira le 16 novembre. Natalie Portman et elle y communiquent avec des fantômes.

Des débuts à l’écran qui lui ont valu de fouler les tapis rouges des festivals : Cannes, Venise, Toronto. « A Cannes, elle ne s’attendait pas à une telle pression, avoue Stéphanie Di Giusto. L’expérience lui a donné de l’assurance. Elle a grandi. » Partout où elle va, Philippe, l’homme de confiance de Vanessa Paradis, ne la quitte pas d’une semelle. A la fois timide et sûre d’elle, Lily-Rose « observe et apprend ». Hier, elle avouait sur l’antenne d’Europe 1 : « Je suis ambitieuse. »

« La Danseuse », drame français de Stéphanie Di Giusto, avec Soko, Lily-Rose Depp, Gaspard Ulliel, Mélanie Thierry… 1 h 52.

la danseuse

29 septembre 2016

Nouvelle émission TV de Thierry Ardisson....

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