Spectre, nouvelle aventure de James Bond, sortira le 23 octobre. L’agent sera incarné pour la 4e fois par le Britannique Daniel Craig. Le méchant, par l’Autrichien Christoph Waltz. Et les « girls », la Française Léa Seydoux et l’Italienne Monica Bellucci. Derrière la caméra, Sam Mendes de nouveau, le réalisateur de l’excellent Skyfall.

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— France 3 (@France3tv) 13 Octobre 2015

Le duo de comiques Shirley et Dino sont sur la scène du Théâtre de l’Atelier dans un spectacle intitulé Dino fait son crooner / Shirley fait sa crâneuse. Ce nouveau spectacle où s'affiche le duo de comiques Shirley et Dino a de quoi surprendre leur public : Dino fait son crooner / Shirley fait sa crâneuse, est un petit théâtre musical où un des personnages clés n’est autre que l’Italie, pays de Dino. En musique, l’humoriste sort de son rôle habituel pour conter son pays et ses souvenirs d’enfance, accompagné, à l’occasion, de Shirley, qui chante, danse, joue les pin-up et les présentatrices à ses côtés. Accompagné de quatre musiciens, Dino va raconter, avec tout l’humour et le charme caractéristiques d’un vrai crooner, son enfance, ses souvenirs, en passant par la recette de la sauce tomate de sa grand-mère. 

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Dino et Shirley - Théâtre de l'Atelier

En 2006, Gilles participe au conte musical Le Soldat Rose de Louis Chédid. Suite à cette expérience, le désir de chanter s'est imposé. C'est le début d'une formidable aventure. Un nouveau spectacle, un vrai tournant ! Les parents de Gilles sont italiens. Enfant, il écoute les magnifiques mélodies que diffuse le transistor réglé en permanence sur la station Radio Italia. Le répertoire s'impose : les chansons italiennes ! "Come Prima", "Da una lacrima sul viso","tu vuo'fa' l'Americano", "Bella Ciao!"... Pour autant, il ne s'agit pas d'un simple tour de chant mais d'un spectacle original où la chanson croise la comédie (à l'italienne), où Gilles raconte sa famille, l'arrivée dans l'est de la France, les vacances dans les Pouilles, en Italie du sud. Dino interpelle son public, le public répond, on blague, on se dévoile, on rit, on s'émeut, on voyage. Pas de Dino sans Shirley: Shirley profite du show de Dino pour faire sa crâneuse. Elle le rejoint sur scène, chante, danse, joue les présentatrices, les pin-up, change de robe à chaque apparition. Ca n'est plus tout à fait la même ni tout à fait une autre... et entre deux chansons, on retrouve, avec bonheur, le duo dans ses improvisations. Une mise en scène en toute complicité: Sous l'œil bienveillant de Corinne qui travaille en toute complicité depuis toujours avec son crooner adoré, le spectacle se crée, se récrée chaque soir. Bien sûr une base, une trame tient le spectacle mais à chaque représentation tout peut arriver, c'est l'enjeu même ! Gilles en bon italien, possède ce sens inné de la comédie, une faculté à toujours inventer, en fonction du soir, des envies, du public. Le secret de la sauce tomate :  en Italie, cuisiner c'est sacré ! Gilles donne à chaque représentation le secret de la recette de la sauce tomate de sa grand-mère, la nonna. Il la mitonne sur scène et pour rester fidèle à la générosité italienne, le public est convié, à la fin de la représentation, à manger les pâtes. De formidables musiciens: La présence de quatre musiciens exceptionnels enrichit le spectacle (pianiste, percussionniste, guitariste et saxophoniste). Issus d'univers musicaux différents, ils mêlent leur savoir-faire et harmonisent leur style afin de servir au mieux la subtilité des mélodies italiennes. Au-delà de leur talent, ils participent avec enthousiasme à tous les jeux de scène, chorégraphie et improvisation du spectacle.

En 2006, Gilles participe au conte musical Le Soldat Rose de Louis Chédid. Suite à cette expérience, le désir de chanter s'est imposé. C'est le début d'une formidable aventure. Un nouveau spectacle, un vrai tournant ! Les parents de Gilles sont italiens. Enfant, il écoute les magnifiques mélodies que diffuse le transistor réglé en permanence sur la station Radio Italia. Le répertoire s'impose : les chansons italiennes ! "Come Prima", "Da una lacrima sul viso","tu vuo'fa' l'Americano", "Bella Ciao!"... Pour autant, il ne s'agit pas d'un simple tour de chant mais d'un spectacle original où la chanson croise la comédie (à l'italienne), où Gilles raconte sa famille, l'arrivée dans l'est de la France, les vacances dans les Pouilles, en Italie du sud. Dino interpelle son public, le public répond, on blague, on se dévoile, on rit, on s'émeut, on voyage. Pas de Dino sans Shirley: Shirley profite du show de Dino pour faire sa crâneuse. Elle le rejoint sur scène, chante, danse, joue les présentatrices, les pin-up, change de robe à chaque apparition. Ca n'est plus tout à fait la même ni tout à fait une autre... et entre deux chansons, on retrouve, avec bonheur, le duo dans ses improvisations. Une mise en scène en toute complicité: Sous l'oeil bienveillant de Corinne qui travaille en toute complicité depuis toujours avec son crooner adoré, le spectacle se crée, se récrée chaque soir. Bien sûr une base, une trame tient le spectacle mais à chaque représentation tout peut arriver, c'est l'enjeu même ! Gilles en bon italien, possède ce sens inné de la comédie, une faculté à toujours inventer, en fonction du soir, des envies, du public. Le secret de la sauce tomate: En Italie, cuisiner c'est sacré ! Gilles donne à chaque représentation le secret de la recette de la sauce tomate de sa grand-mère, la nonna. Il la mitonne sur scène et pour rester fidèle à la générosité italienne, le public est convié, à la fin de la représentation, à manger les pâtes. De formidables musiciens: La présence de quatre musiciens exceptionnels enrichit le spectacle (pianiste, percussionniste, guitariste et saxophoniste). Issus d'univers musicaux différents, ils mêlent leur savoir-faire et harmonisent leur style afin de servir au mieux la subtilité des mélodies italiennes. Au-delà de leur talent, ils participent avec enthousiasme à tous les jeux de scène, chorégraphie et improvisation du spectacle.

Mario Testino souhaite un joyeux anniversaire à... par VOGUEPARIS

Après trois jours de compétition, le jury présidé par Jean Rochefort a rendu ce samedi soir son verdict. C’est le film du réalisateur Tom Geens qui remporte trois prix dont le Hitchcock d’or pour son film Couple in a hole.

Les équipes des six films en compétition lors de l’édition 2015 du festival du film britannique ont toutes foulé le grand tapis rouge au milieu de la foule venue les acclamer. Précédant de peu le jury présidé par Jean Rochefort, qui a pu également compter sur les applaudissements fournis des Dinardais. Au début de la cérémonie, Madame le maire de Dinard, Martine Craveia-Schutz a tenu à remercier au nom de toute la Côte d’Emeraude le président pour son implication, rendant hommage à ce « pilier du cinéma français » avant de féliciter le directeur artistique du festival Hussam Hindi pour la « mission accomplie ».

Côté palmarès, c'est le film de Tom Geens Couple in a hole, avec Kate Dickie et Paul Higgins, qui s'offre trois Hitchcock, (celui du public, du scénario, et le Hitchcock d'or). Le réalisateur, très ému, s'est dit surpris d'un tel plébiscite et a tenu à saluer le niveau de la compétition qui selon lui était très relevé. Quant à Jean Rochefort, après avoir pointé les petites invraisemblances de l'histoire, comme le fait qu'un lièvre soit tué en pleine forêt « alors que les lièvres sont très rapides et ne se trouvent que dans des champs dénudés », il s'est dit « ravi que le film mette d'accord le public et le jury. C'est réconfortant. »

Découvrez le palmarès complet.

Hitchcock d’honneur remis par le romancier et réalisateur Roger Michell (Week-end à Paris) à Hanif Kurei­shi

Hitchcock coup de cœur (de l’association la Règle du jeu) remis par l’acteur Denis Ménochet à 45 ans, de Andrew Haigh avec Charlotte Rampling

Hitchcock du meilleur court-métrage remis par l’actrice Kate Dickie à After the end de Sam South­ward

Hitchcock du public (en partenariat avec le magazine Première) Remis par les acteurs Virginie Efira et Tom Hollander à Couple in a hole de Tom Geens

Hitchcock du meilleur scénario (en partenariat avec Allianz) remis par l’actrice et membre du jury Natalie Dormer à Couple in a hole de Tom Geens

Mention spéciale du jury à Departure de Andrew Steg­gall

Hitchcock d’or (en partenariat avec Ciné +) à Couple in a hole de Tom Geens

http://www.arte.tv/guide/fr/061836-000/le-fabuleux-destin-d-elisabeth-vigee-le-brun-peintre-de-marie-antoinette

Peintre de renom, éprise de liberté, Élisabeth Vigée Le Brun n’a cessé de devancer son temps. Ce docu-fiction retrace le roman d’aventures de ses presque quatre-vingt-dix ans de vie, à l’heure où le Grand Palais lui consacre une première rétrospective.

Parmi les représentations conservées d’elle figure le magnifique Autoportrait au chapeau de paille peint en 1782, après un voyage à Anvers, où elle découvre le génie de Rubens. Élisabeth Vigée Le Brun (1755-1842) est alors au sommet de son art. À une époque où la peinture relève presque exclusivement de la sphère masculine, elle s’impose comme l’une des meilleures portraitistes de son temps, elle "qui savait si bien embellir les visages et exprimer les âmes", confie une spécialiste. Enfant prodige formée par son père, elle a débuté à 14 ans.

"Regard perdu"
Alors que nobles et bourgeois veulent posséder leurs portraits, son talent est recherché. Belle, elle suscite le désir. Pour éviter les regards appuyés des sujets masculins, elle invente le "regard perdu", où le modèle fixe le lointain. Un effet romantique qu’elle crée et qui lui assure le succès. En 1778, elle devient la peintre de Marie-Antoinette. L’artiste sait adoucir les défauts de la reine. Avant la Révolution, Élisabeth Vigée Le Brun fuit la France. Durant cet exil de treize ans, elle se rend en Italie, en Autriche, en Angleterre, en Suisse, en Russie. Les cours d’Europe la sollicitent, mais elle conserve sa liberté quand elle refuse de réaliser le portrait du pape Pie VI qui veut lui imposer de travailler voilée. Cette ambitieuse excelle aussi dans la peinture d’histoire, genre pourtant réservé aux hommes. Le film brosse le portrait de cette peintre d’exception que l’histoire, écrite au masculin, fit longtemps passer au second plan. Fondé sur ses mémoires et alternant scènes de fiction, archives, et témoignages de spécialistes, il nous éclaire sur cet extraordinaire destin et sur la modernité du regard de l’artiste.

(France, 2014, 94mn) ARTE F