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Jours tranquilles à Paris
9 septembre 2015

Cinéma : "Jamais entre amis"

Douze ans après leur première nuit d’amour, deux étudiants devenus, l’un dragueur assidu et l’autre championne de l’infidélité, se retrouvent dans un cours de thérapie sexuelle. Ils vont se lier d’amitié. En caricaturant un peu, cette comédie se situerait entre Judd Apatow et Woody Allen. Mais elle est trop souvent poussive, comme l’a noté le public du festival de Deauville où le film a été présenté. 1 h 41.

jamais entre amis

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8 septembre 2015

Du changement sur TF1...

8 septembre 2015

Un Grand Journal plutôt sérieux (hier soir sur Canal +)

18 h 50 hier soir. Après une dense page de pub, Maïtena Biraben, Tshirt blanc, veste noire et traits un peu tirés, a ouvert Le Grand Journal de « Canal +3e époque » avec une pensée pour ses prédécesseurs, Michel Denisot et Antoine de Caunes. Dans un nouveau décor chaleureux, qui change des criards plateaux blanc et bleu, elle a présenté comme on s’y attendait une équipe resserrée : les journalistes Victor Robert et Loren Bastide, Augustin Trappenard (seul rescapé de « l’ère de Caunes »), Diego Bunuel, et le comédien Eldin, « un ami fidèle » , qui s’est fait une spécialité de chambrer les politiques. Pour autant, avec Manuel Valls pour invité, l’ambiance était plutôt à la gravité dans ce premier numéro d’une émission qui démarre désormais par un long journal, consacre du temps au reportage, et a viré sa miss météo. Séquence culturelle comprise, la recette est finalement assez proche de celle du Supplément que Maïtena Biraben a animé pendant trois ans le dimanche, sur Canal , avec une décontraction qui lui a un peu manqué hier, face au Premier ministre. Même si elle n’a pas hésité à lui poser quelques questions cash ( « Vous dites réfugiés ou Migrants ? Et depuis quand ? » ). Article de Pascale VERGEREAU.

le grand journal

8 septembre 2015

Sortie dans les salles le 4 novembre - save the date

le 4 novembre sortie dans les salles

5 septembre 2015

Festival de Deauville

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5 septembre 2015

Arielle Dombasle en guêpière sexy dans son nouveau clip

Arielle Dombasle nous aura tout fait. Diva électro, latino rétro, chanteuse ingénue. Elle s'est encore trouvée de nouveaux partenaires de jeux en la personne de The Hillbilly Moon Explosion, des Suisses qui font du rockabilly

Pardon? Oui, Emmanuela Hutter et Olivier Baroni revisitent en effet les sons des années 50 sur leurs différents albums, dont le très remarqué «Raw Deal» paru en 2010. De quoi séduire la toujours fantasque Arielle Dombasle jamais à court d'idées et d'envies.

«Ma mère m'a fait découvrir la musique américaine de cette époque après notre déménagement au Mexique, explique-t-elle dans le textes de présentation de l'album «French Kiss», réalisé avec ses nouveaux copains suisses, qui sortira le 2 octobre. Elle me faisait écouter Nat King Cole, Frank Sinatra, Bing Crosby, Ella Fitzgerald mais aussi Ray Charles, Muddy Waters, BB King, Elvis Presley ou les Platters. Et, une fois à Paris, je me souviens très bien d'un concert des Stray Cats à l'Olympia en 1981. A la fin, le batteur avait jeté ses baguettes dans le public et j'en avais récupéré une.»

C'est justement lors d'un concert à Paris en 2013 que la chanteuse comédienne rencontre The Hillbilly Moon Explosion. Tout ce beau monde commence à travailler ensemble, chanter, jouer, reprendre des standards comme «Chick Habit», version anglaise de «Laisse-tomber les filles», écrite par Serge Gainsbourg pour France Gall. Une version interprétée à l'origine par April March que l'on entendait dans le film «Boulevard de la mort» de Quentin Tarantino.

Il y a de cela dans cet album, dont les chansons blues, les guitares country, les cuivres mariachi auraient très bien pu se retrouver dans la bande originale de «Pulp Fiction» ou «Django Unchained». Arielle Dombasle n'a décidément peur de rien, y compris dans le premier clip «My Love For Evermore», réalisé par le photographe Ali Mahdavi que nous vous proposons en exclusivité.

Elle y joue une femme fatale prisonnière, une condamnée en guêpière - signée Jean-Paul Gaultier - prête à tout pour s'échapper en jouant de ses charmes auprès de son geôlier. Un «French Kiss» et ça repart.

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5 septembre 2015

Bolloré prend les rênes de Canal +

Une nouvelle ère s’ouvre pour la chaîne cryptée. Sans surprise, l’industriel breton Vincent Bolloré, principal actionnaire de Vivendi, a pris hier la tête du conseil de surveillance de sa filiale, Canal+ . Comme on s’y attendait aussi, il a nommé un proche au poste-clé de l’état-major du groupe. Jean-Christophe Thiery remplacera Bertrand Méheut comme président du directoire. Ce fidèle dirigeait jusqu’à présent Bolloré Média (qui publie entre autres le quotidien gratuit Direct Matin ). Les chaînes D8, D17 et i-Télé devraient être renommées C8, C17 et Cnews.

5 septembre 2015

Actuellement dans les salles...

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4 septembre 2015

Le cinéma américain a inspiré Benoît Jacquot

Entretien

Benoît Jacquot, réalisateur et président du jury du festival de Deauville 2015.

Vous êtes président du jury du Festival du cinéma américain, qui démarre aujourd’hui, à Deauville. Qu’est-ce qui vous attire dans ce rôle ?

Je ne peux pas dire que ça m’attire comme un aimant la limaille. Mais si on me fait l’honneur et la gentillesse de me le proposer, j’y vais. Même si je ne me sens pas spécialement légitimé à présider un jury. Ça m’est arrivé plusieurs fois : à Angers pour le festival Premiers Plans, à Deauville pour le cinéma asiatique, à Annecy pour du cinéma italien. Et j’ai été juré à Cannes. J’ai une certaine expérience…

Pas question de farnienter, donc…

Non, parce qu’en plus, j’ai deux films en préparation. Non seulement j’emmène du travail, mais j’ai demandé à ce que mon opérateur fasse partie du jury. Mon assistant va passer deux-trois jours, ma productrice aussi. J’espère avoir le temps de me promener sur les planches…

C’est quoi, un bon film ?

Un bon film, c’est un film qui, quand on le voit, tient ses promesses. À partir de là, on peut discuter. Un beau film vous emporte et vous donne l’impression de voir quelque chose que vous n’avez jamais vu. Ça arrive.

Vous êtes western ou film noir ?

C’est amusant parce que, généralement, les cinéastes qui ont fait de grands westerns ont aussi fait de grands films noirs. Et inversement. J’ai peut-être un penchant pour le film noir, mais je n’en suis même pas sûr. Et j’ajouterais la comédie musicale. Un grand cinéaste pouvait traverser les genres en faisant quelque chose de très personnel : Les hommes préfèrent les blondes, Scarface et Rio Bravo, on voit bien que ces trois films sont du même auteur (Howard Hawks).

Qu’est-ce que les Américains ont de plus que nous ?

Rien. Ils n’ont pas inventé le cinéma, quoi qu’ils en disent. C’est nous. On n’a rien à leur envier. Je n’ai pas la moindre envie d’aller faire un film aux États-Unis. Mais à tous égards, le cinéma américain m’apporte énormément. Il produit des films pour lesquels j’ai un appétit d’avance. Ce sont les films américains qui m’ont donné envie de faire du cinéma.

La première fois où vous avez mis les pieds à Hollywood ?

Il y a assez longtemps. Je vivais avec une actrice avec qui j’avais fait des films. Elle était partie là-bas pour un film avec Marlon Brando et George G. Scott, engagée par la MGM. Après une discussion avec George C. Scott, un caractère terrifiant, elle a été virée. Je suis allé la rechercher, aux frais de la MGM. J’avais une vingtaine d’années, c’est la première fois que j’allais à Hollywood.

Cinq films américains…

Je mettrais un Griffith, Le lys brisé, L’Aurore de Murnau ,un Chaplin, un Hitchcock, un Lang, un Walsh….

Le festival rend hommage à Orson Welles. Que lui diriez-vous si vous le rencontriez ?

J’ai dîné avec lui quand j’étais très très jeune. Il avait fait Le procès. Il passait beaucoup de temps en France. Je ne lui ai pas parlé. J’ai écouté et regardé. J’étais vraiment junior. Aujourd’hui, je lui demanderais quelle jouissance ténébreuse il a trouvé, pendant presque toute sa carrière, à ne pas faire les films que soi-disant il voulait faire. »

Recueilli par Pierre FORNEROD (Ouest France)

4 septembre 2015

"Le tout nouveau testament"

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