Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Jours tranquilles à Paris
17 août 2015

Spectacle...

IMG_7270

Publicité
14 août 2015

Jean Rochefort

Jean Rochefort ne perd pas pied. L’artiste s’est peut-être rangé des chevaux, mais côté cinéma il est toujours en selle. Dans « Floride », de Philippe Le Guay, notre gentleman acteur incarne un vieil industriel dont l’esprit commence à battre la campagne. Un rôle de composition, bien sûr ! 

11375201_980623075321155_173898487_n

14 août 2015

A VOIR SANS FAUTE..... sur ARTE + 7

14 août 2015

« C’est un film assez autobiographique »

unnamed

Jean-Pierre Améris présentait en avant-première son prochain film « Une famille à louer », au Ti Hanok d’Auray, ce jeudi à 20 h 30.

Trois questions à… Jean-Pierre Améris, réalisateur.

C’est la troisième fois que vous tournez avec Benoît Poelvoorde. Pourquoi l’avoir choisi pour ce film ?

Benoît est une sorte d’alter ego. On a beaucoup de points communs et on partage le même caractère que le personnage principal. On a tous les deux cette mélancolie de ne pas avoir d’enfant à l’âge de 50 ans. Nous avons aussi un caractère ambivalent par rapport à la famille. Benoît dit souvent : « Je ne crois pas beaucoup à la famille, mais parfois elle me manque. » Alors dès que j’ai écrit le film, j’ai pensé à lui pour le rôle.

Pourquoi avoir choisi le thème de la famille ?

C’est un thème qui me concerne particulièrement. C’est un film assez autobiographique. Je suis d’un tempérament plutôt solitaire, mais il y a cinq ans j’ai rencontré ma compagne, Murielle Magellan, qui était à l’époque mère célibataire. J’ai alors découvert ce qu’étaient la vie de famille et le chamboulement que peut provoquer l’arrivée d’enfants. Alors on a décidé d’écrire notre histoire avec Murielle, un peu scénarisée bien sûr.

A qui ce film est-il destiné ?

C’est une comédie romantique qui ressemble à un conte. Le personnage de Benoît a des allures de prince sombre, qui habite dans un château ressemblant à celui de Batman. Virginie Efira, elle, pourrait être comparée à une bergère un peu voyeuse, qui vit dans une maison en bois, un peu comme Peau d’Ane. C’est donc aussi un film pour les enfants, souvent oubliés dans les comédies romantiques. Mon film plaît beaucoup aux jeunes d’après les retours que j’ai eus aux précédentes avant-premières. C’est ce qui me fait le plus plaisir. J’avais vraiment envie de réaliser un film positif. Propos recueillis par Lise ABOU MANSOUR.

10958407_400418426815444_1811854242_n

12 août 2015

"Le Grand Journal"

C’est officiel. Maïtena Biraben présentera bel et bien Le Grand Journal de Canal + à partir de la rentrée. Après plusieurs semaines de rumeurs, la chaîne cryptée l’a confirmé sur Twitter ce mardi. Canal + annonce au passage que l’horaire du talk-show est avancé à 18h50.

maitena-biraben

Publicité
8 août 2015

Emily Ratajkowski par Mario Testino pour GQ

8 août 2015

Crazy Horse de Paris

11350754_1634589966824461_826437737_n

7 août 2015

Cinéma - LOVE

IMG_9691

IMG_4950

30 juillet 2015

David Lynch - Tout est vrai (ou presque) - ARTE

29 juillet 2015

"Des Apaches", une plongée chez les Kabyles de Belleville avec Laetitia Casta

Laetitia Casta est une mère célibataire mystérieuse et sensuelle dans "Des Apaches", comédie dramatique signée Nassim Amaouche en salles mercredi, qui nous plonge avec réalisme au cœur de la communauté kabyle parisienne et de ses traditions. Dans le quartier de Belleville, nombreux sont les bars tenus par des Kabyles qui les ont rachetés à des Auvergnats.

Ici, pas de contrats écrits, pas de paperasse, tout marche à la parole. Pour céder une affaire, on réunit un conseil des chefs de familles auquel le vendeur est tenu d’assister en présence de son fils aîné.

Samir est le fils aîné d'un père qu'il n'a jamais connu. Aussi, lorsque celui-ci débarque dans sa vie pour lui demander de l'accompagner à un de ces conseils, où il doit vendre ses parts dans un café, il commence par refuser. Pour son deuxième long métrage, six ans après "Adieu Gary" qui avait remporté le Grand prix de la Semaine de la critique à Cannes, Nassim Amaouche nous fait découvrir un pan méconnu de la communauté kabyle via le parcours d'un homme désœuvré et passif - qu'il incarne lui-même à l'écran - et qui renoue avec ses origines pour se construire.

André Dussollier fait une incursion réussie dans le film où il est l'avocat et ami du père de Samir qui l'assiste dans ses affaires... parfois teintées de chantage.

"Je suis d'origine algérienne et kabyle, c'est une communauté qui a un mode de fonctionnement singulier et l'idée de proposer aux spectateurs quelque chose d'inédit me plaisait", explique à l'AFP Nassim Amaouche, 38 ans. - Réalisme et fantastique -

Dans un style très réaliste, quasi-documentaire, il porte une regard sociologique sur cette population pour en décrire les usages et l'organisation.

Mais tel n'est pas le seul propos du film qui raconte aussi l'histoire d'amour pleine de mystère entre Samir et Jeanne, une mère célibataire interprétée par une évanescente Laetitia Casta.

"Le film marche sur deux jambes, l'une est ancrée dans le réel, l'autre explore la fiction et c'est cet équilibre fragile qui en fait une expérience intéressante", souligne Nassim Amaouche.

Une démarche originale de la part du metteur en scène qui, dans son travail, dit s'intéresser plus à la forme qu'au fond. "Je ne suis pas sûr d'avoir grand chose à dire, en revanche, c'est plus la manière de raconter les choses qui m'intéresse", explique-t-il.

Laetitia Casta incarne la partie plus symbolique, presque fantastique, du film dans le rôle d'une mère qui élève seule son fils et avec lequel elle entretient une relation fusionnelle.

"On sent qu'elle a fermé la porte à toute possibilité de relation amoureuse jusqu'à la rencontre avec Samir qui va l'entraîner dans un voyage introspectif", explique l'actrice de 37 ans à l'AFP.

"Il y a une phrase que j'aime beaucoup dans le film, celle qui dit que Jeanne sait prendre le plaisir le moment venu et n'attend rien de plus. Le fait qu'elle n'attende rien fait que, peut-être, elle commence à vivre", ajoute-t-elle.

L'ancien top-modèle dit s'être beaucoup investie dans ce rôle qui, même s'il est court "est intense et décisif".

Elle a aussi participé à l'écriture du personnage de Jeanne et travaille actuellement à celle d'un scénario, dont elle préfère ne rien dévoiler pour le moment.

105419376_o

Publicité
Publicité