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Jours tranquilles à Paris

23 novembre 2018

Extrait d'un shooting - bientôt les cadeaux !

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23 novembre 2018

ACTU - IL ACHÈTE UN BANKSY POUR LE REPEINDRE EN BLANC

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En ce moment, il semblerait qu’on aime autant qu’on abîme les toiles du street artiste… //

Ron English, un street artiste américain, a acquis l’œuvre de Banksy « Slave Labour » (2012) il y a quelques jours lors d’une vente aux enchères à Los Angeles. Mis à part le fait que l’œuvre ait été vendue pour la somme astronomique de 730 000 dollars, il n’y a jusque-là rien de choquant.

Sauf que l’histoire se complique quand l’acquéreur déclare vouloir repeindre en blanc l’œuvre qu’il vient d’acheter ! La raison ? L’œuvre de street art « Slave labour » a été tout simplement extraite de son environnement original, le pan d’un mur appartenant à un magasin londonien.

Cette pratique parfois « sauvage » visant à commercialiser des graffitis et autres œuvres fresques murales est décriée par de nombreux artistes et amateurs. C’est donc dans le but dénoncer cette commercialisation indécente de l’art de rue, qui se veut gratuit et accessible à tous, que Ron English a annoncé vouloir repeindre le graffiti de son ami Banksy.

Dans un retournement de dernière minute, l’artiste américain déclare pourtant qu’il finira par revendre la toile repeinte au prix d’un million de dollars… Cet acte qui semblait engagé ne serait-il pas finalement purement et simplement commercial ?

Ridicule ou visionnaire, à vous de juger...

23 novembre 2018

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23 novembre 2018

Nissan démet Carlos Ghosn de ses fonctions de président

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Par Philippe Mesmer, Tokyo, correspondance - Le Monde

Le conseil d’administration a sanctionné le dirigeant de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, soupçonné de malversations financières.

Carlos Ghosn n’est plus président de Nissan. Convoqué, jeudi 22 novembre, pour une séance extraordinaire, le conseil d’administration du constructeur japonais a approuvé la proposition du directeur général, Hiroto Saikawa, de le démettre de ses fonctions de président non exécutif du constructeur japonais.

Le conseil s’est prononcé à l’unanimité pour sanctionner le dirigeant de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, arrêté lundi 19 novembre pour malversations financières. Mitsubishi, également présidé par M. Ghosn, devrait prendre une décision similaire lors d’une réunion de son conseil d’administration, prévue pour la semaine prochaine. « M. Ghosn, temporairement empêché, demeure président-directeur général », a déclaré le conseil d’administration de Renault.

Au moment même où se réunissait le conseil d’administration de Nissan, une conférence de presse était organisée par le parquet de Tokyo, qui a entendu, depuis lundi, une dizaine de cadres de Nissan, dont M. Saikawa et Toshiyuki Shiga, membre du conseil d’administration. Elle n’a guère apporté d’éclairages supplémentaires. Si le procureur adjoint, Shin Kukimoto, a bien confirmé que la garde à vue de M. Ghosn avait été prolongée de dix jours (soit jusqu’au 30 novembre), il a en revanche refusé de dire si le patron de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi avait reconnu les faits de fraude financière qui lui sont reprochés.

De son côté, la presse nippone est plus bavarde et a continué de distiller des révélations sur les malversations supposées de l’ex-patron de Nissan. Le journal The Asahi Shimbun rapporte, jeudi 22 novembre, que Carlos Ghosn a demandé par courriel à Greg Kelly de falsifier ses déclarations de revenus. Le parquet de Tokyo a probablement saisi ses e-mails et pourrait les utiliser comme preuves, ajoute le journal, qui cite des sources anonymes.

Les méthodes Nissan en question

Selon le Yomiuri, plus gros tirage de la presse japonaise, qui cite également des sources anonymes, l’enquête interne menée par Nissan a révélé que Carlos Ghosn avait demandé, depuis 2002, qu’une somme d’environ 100 000 dollars soit versée chaque année à sa sœur aînée, en rémunération d’une « activité de conseil » fictive.

La liste des griefs faits à M. Ghosn, accusé officiellement d’avoir minoré ses déclarations de revenus d’environ 5 milliards de yens (38,8 millions d’euros), s’allonge. Il aurait utilisé les avoirs de l’entreprise à des fins privées et détourné des investissements du groupe, afin d’acquérir des logements au Brésil, aux Pays-Bas, en France et au Liban. Selon le quotidien The Mainichi, Carlos Ghosn aurait également détourné à son profit une partie des rémunérations destinées aux membres du conseil d’administration. Soit un milliard de yens sur trois (7,5 millions d’euros sur 23).

Mais les critiques pleuvent aussi sur Nissan et ses méthodes. D’après la chaîne de télévision TBS, le constructeur n’avait pas de structure chargée de discuter des salaires des dirigeants. Carlos Ghosn fixait semble-t-il sa rémunération lui-même. Ces révélations questionnent sur l’« aveuglement » de Nissan et sur le rôle du cabinet d’audit Ernst & Young ShinNihon, déjà critiqué pour ne pas avoir vu les manipulations comptables chez Olympus et Toshiba, deux entreprises nippones également au cœur de scandales retentissants ces dernières années.

Lors de la conférence de presse donnée après l’arrestation de Carlos Ghosn, M. Saikawa avait prôné une refonte de la gouvernance de l’entreprise. Il avait notamment déploré « le pouvoir hyperconcentré dans les mains d’une seule personne ». C’est lui qui était pressenti pour prendre la présidence par intérim du conseil d’administration, mais finalement aucun remplaçant n’a été nommé. Il sera désigné ultérieurement par un comité incluant notamment les trois administrateurs externes.

23 novembre 2018

Sur les Champs Elysées, hier soir

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23 novembre 2018

Le « Black Friday », illustration du règne de l’hyperconsommation et des promotions perpétuelles

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Par Cécile Prudhomme

Les Français devraient dépenser 5,7 milliards d’euros pendant le week-end du 23 au 25 novembre.

Aussitôt adopté, aussitôt dévoyé. Au départ, le « Black Friday », vendredi 23 novembre, et le « Cyber Monday », lundi 26 novembre, deux opérations promotionnelles importées des Etats-Unis, se tenaient sur une très courte période, uniquement sur Internet et concernaient quasi exclusivement des produits high-tech. Mais, au fil du temps, ce qui devait durer un week-end s’étend sur une… semaine.

Tous les distributeurs et commerçants, qu’ils soient en ligne ou non, ont, depuis le début de la semaine, lundi 19 novembre, lancé de vastes campagnes à « prix cassés » et autres « ventes flash ». Même certains cinémas ou banques affichent des tarifs spécifiques. Pratiqué par 3 % des commerçants parisiens en 2015, le « Black Friday » était mis en avant par 44 % des enseignes en 2017, selon le Centre régional d’observation du commerce, de l’industrie et des services (Crocis).

Les Français dépenseront 5,7 milliards d’euros pendant le week-end du « Black Friday », dont 4,8 milliards d’euros en magasin, et 68 % anticipent leurs achats de Noël sur cette période, apprend-on du Center for Retail Research (CRC). De son côté, la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) estime que 1,3 milliard d’euros sera dépensé sur Internet en quatre jours. Au total, les consommateurs devraient passer 14 millions d’heures sur les applications de shopping de leurs smartphones pendant le « Black Friday », d’après la plate-forme d’études de marché App Annie.

Trouvaille marketing

A force de se développer, le concept ne risque-t-il pas d’écœurer le consommateur, pris, tout au long de l’année, dans un tourbillon constant de promotions ? Le « Black Friday » intervient quelques semaines seulement après les « French Days », une nouvelle opération commerciale montée par six grands e-marchands français (Boulanger, Cdiscount, Fnac Darty, La Redoute, Rue du Commerce et Showroomprive), rejoints par quatre-vingts enseignes sur Internet.

Le règne de l’hyperconsommation bat son plein dans la distribution, au moment même où le grand public s’interroge sur l’achat raisonné, les origines des produits et le gaspillage, et où les pouvoirs publics tentent d’enrayer une guerre des prix dans l’alimentation. Un Français sur deux interrogés par OpinionWay pour iloveretail.fr considère le « Black Friday » avant tout comme une trouvaille marketing destinée à leur faire dépenser davantage. La Camif a, depuis deux ans, décidé de fermer son site Internet le jour du « Black Friday » pour sensibiliser les Français à la consommation responsable. Quant à l’association de défense de l’environnement Greenpeace, elle a appelé les consommateurs à « ne rien acheter » pour ne pas gaspiller.

Dans ce contexte de promotions perpétuelles, le gouvernement a essayé de réorganiser le dispositif des soldes, pour redonner de l’attrait à ces seules périodes où les commerces sont autorisés à vendre la marchandise à perte. De six semaines, elles doivent passer à quatre, deux fois par an. Une nouvelle disposition inscrite dans la loi Pacte (plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises). Or, si ce texte a été voté en première lecture, à l’Assemblée nationale, le 9 octobre, il doit encore passer devant le Sénat, en janvier 2019, avant, peut-être, d’effectuer une navette parlementaire. A cela s’ajoute « le délai de six mois après la promulgation de la loi. La petite réforme des soldes ne devrait pas s’appliquer avant janvier 2020 », précise Bernard Morvan, président de la Fédération nationale de l’habillement.

23 novembre 2018

A l'Olympia ce soir...

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23 novembre 2018

Black Friday: un nom venu de la vente d'esclaves noirs ?

Chaque année au moment du Black Friday, de nombreux internautes dénoncent les origines de ce terme, faisant selon eux référence à la vente d'esclaves noirs. Mais si cette journée de promotions a pris ce nom a priori péjoratif, c'est pour une toute autre raison.

Le Black Friday ne vient pas de la vente d'esclaves noirs comme certains l'affirment

C'est une idée qui revient chaque année au moment du Black Friday. Le terme "vendredi noir" ferait référence à une grande vente annuelle d'esclaves à l'époque de la traite négrière. Hommes, femmes et enfants auraient alors été vendus moitié prix, peut-on lire sur certains blogs et sur les réseaux sociaux. La réutilisation du terme choque donc nombre d'internautes.

Pourtant cette affirmation n'a aucun fondement. Certes on peut être surpris de cette terminologie, le terme "black" devant le nom d'un jour faisant référence aux Etats-Unis à un évènement négatif, voire tragique, le plus célèbre étant le "jeudi noir" de 1929 avec l'effondrement de la bourse américaine.

Un Black Friday a bien eu lieu au XIXe siècle, mais en raison d'une crise liée à l'inflation du cours de l'or, et donc sans lien avec l'esclavage. Si les promotions du quatrième vendredi de novembre porte ce nom péjoratif, c'est parce qu'à l'origine, il faisait référence aux débordements provoqués par les promotions.

En effet, celles-ci tombent le lendemain du jeudi Thanksgiving, fête durant laquelle les commerçants font traditionnellement leur publicité durant le défilé et en prévision des achats de Noël. Les travailleurs américains avaient pris pour habitude de poser des congés le lendemain de Thanksgiving pour faire leurs emplettes. Ce qui a vite créé des embouteillages monstrueux, mais aussi parfois des violences, mobilisant les forces de l'ordre. L'expression est apparue dans la presse au début des années 1950, bien après l'abolition de l'esclavage.

Négatif à la base, le terme a d'abord été fui par les marques mais finalement conservé. Désormais, il suppose que les promotions sont tellement importantes que des millions de personnes sont prêtes à tout pour obtenir les meilleures affaires.

22 novembre 2018

Mini concert dans le nouvel APPLE Store des Champs Elysées

22 novembre 2018

Illuminations des Champs Elysées par Karl Lagerfeld

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