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Jours tranquilles à Paris

8 juin 2018

Extrait d'un shooting - bondage on the sea

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8 juin 2018

L’Assemblée vote l’interdiction du téléphone portable dans les écoles et les collèges

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Le texte a obtenu les voix des élus de la majorité LRM et MoDem, ainsi que de l’UDI-Agir. Tous les autres groupes ont dénoncé une proposition « inutile ».

L’Assemblée nationale a voté jeudi 7 juin une proposition de loi à l’initiative de La République en marche (LRM) visant à une « interdiction effective » des téléphones portables dans les écoles et collèges à la rentrée prochaine, défendue par le gouvernement comme « un signal à la société ».

Le texte, adopté à main levée en première lecture, a obtenu les voix des élus de la majorité LRM et MoDem, ainsi que de l’UDI-Agir, mais tous les autres groupes ont dénoncé une proposition « inutile » voire une « tartufferie » (Les Républicains), qui revient à une « simple opération de communication ».

« Une loi d’entrée dans la révolution numérique »

Le ministre de l’éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a défendu « une loi du XXIe siècle, une loi d’entrée dans la révolution numérique » qui envoie « un signal à la société française sur cet enjeu de société ». « Etre ouvert aux technologies du futur ne signifie pas que nous devons les accepter dans tous les usages », a-t-il plaidé, listant les « mauvais usages » tels que cyberharcèlement, consultation de sites pornographiques, addiction aux écrans…

S’il a reconnu que l’interdiction était déjà « dans les faits possible », il a fait valoir que son effectivité « n’[était] pas assurée ». Le code de l’éducation interdit, depuis la loi du 12 juillet 2010, les téléphones portables « durant toute activité d’enseignement et dans les lieux prévus par le règlement intérieur ». Mais le ministre a défendu le besoin d’« une base juridique beaucoup plus solide ».

Le texte LRM sur « l’encadrement de l’utilisation » du portable entend interdire l’usage de tout objet connecté dans les écoles et collèges, avec des exceptions « pour des usages pédagogiques » ou les enfants handicapés. Les activités à l’extérieur, comme le sport, seront aussi concernées pour les quelque 8,5 millions d’élèves du public.

« Nous passons d’un principe d’autorisation, sauf là où c’est interdit, à un principe d’interdiction », a résumé le président de la commission des affaires culturelles et de l’éducation Bruno Studer (LRM), ancien professeur d’histoire-géographie. Les chefs d’établissement, pour qui la mesure est utile à défaut d’être un « big bang », auront à décider des modalités d’interdiction (lieux, conditions), le ministère prévoyant de leur fournir un vade-mecum.

Alors que près de neuf jeunes sur dix âgés de 12 à 17 ans (86 %) possèdent un smartphone, la rapporteure Cathy Racon-Bouzon (LRM) a insisté sur le fait qu’« en pratique », la disposition n’est appliquée que dans « la moitié » des établissements, plusieurs élus de la majorité vantant « un droit à la déconnexion » pour les enfants.

« Pure opération de communication »

Mais, à l’exception de l’UDI-Agir, tous les groupes d’opposition sont montés au créneau contre un texte revenant, à leurs yeux, à « enfoncer des portes ouvertes ». Voulant traduire « coûte que coûte » les promesses de campagne du président, la majorité s’est engagée « ostensiblement dans une pure opération de communication », a ainsi dénoncé l’ex-prof de maths Frédéric Reiss (Bas-Rhin, LR). Son collègue Patrick Hetzel (Bas-Rhin, LR), ancien professeur d’université et ancien directeur de l’enseignement supérieur auprès de Valérie Pécresse, a quant à lui parlé d’« un simulacre ».

Michèle Victory (Ardèche, Parti socialiste) a qualifié la mesure de « changement purement cosmétique » sans aucun outil aux chefs d’établissement, déplorant l’examen de ce texte « inutile » alors que « l’agenda parlementaire est suffisamment chargé ».

« Effet d’annonce et de communication » ou « gadget », ont aussi dénoncé les « insoumis » Alexis Corbière et Sabine Rubin. Les communistes ont jugé le texte « absurde », l’ex-ministre Marie-George Buffet soulignant que « l’outil existe » et que le problème est dans son application.

« Certains essaient de nous dire que cette loi est inutile », a répliqué le ministre, pointant une « énorme » différence entre l’existant et ce qui est proposé. « Allez sur une plage où il est interdit de se baigner sauf quand c’est autorisé, ou une plage où il est autorisé de se baigner sauf quand c’est interdit. Vous verrez que vous ne vous baignerez pas avec la même fréquence », a-t-il affirmé.

8 juin 2018

Exposition "Miss Van" à la Galerie Openspace - actuellement

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8 juin 2018

Bertrand Cantat toujours au centre de la discorde

Par Guillaume Fournier - Le Monde

L’unique date parisienne du chanteur au Zénith de la Villette a été le théâtre d’une manifestation organisée par plusieurs associations féministes s’opposant à sa venue.

« La musique adoucit les meurtres », « pas d’honneur pour les tueurs » ou encore « y a pas mort d’hommes », c’est avec des slogans chocs que les voyageurs sortant de la station de métro porte de Pantin ont été accueillis, ce jeudi 7 juin au soir, à partir de 19 heures. En cause, le concert de Bertrand Cantat programmé au Zénith de Paris. « C’est extrêmement important pour nous de se mobiliser contre la tolérance sociale et l’acceptation des violences masculines contre les femmes. Pour nous c’est absolument indécent que Bertrand Cantat soit célébré à ce point » explique Pauline Spinazze, porte parole de l’association Osez le féminisme !.

Au total, une trentaine de militants, en majorité des femmes, ont répondu à l’appel des diverses associations à manifester contre le spectacle du très contesté musicien palois. Interdit par la préfecture de se rendre devant l’entrée de la salle le concert, le petit groupe chante en cœur près de la sortie du métro. Le tout sous le regard de journalistes présents en nombre pour couvrir l’événement. Le cortège est aussi encadré par des agents de sécurité du complexe de la Villette. Ils resteront à l’écart durant le temps de la manifestation, aucun débordement n’étant à signaler, à part quelques passants qui semblent s’amuser à jeter de l’huile sur le feu en criant « Vive Bertrand Cantat » avant de s’en aller. D’autres s’arrêtent pour comprendre ce qui se passe, avant de reprendre leur chemin.

Une tournée tronquée

Un peu plus loin dans l’allée qui mène à la salle de concert, la plupart des spectateurs pressent le pas pour atteindre l’entrée. Pour autant, la polémique autour du chanteur n’a pas ébranlé leur choix de venir écouter l’ex-leader de Noir Désir. « Je ne vois pas en quoi le fait qu’il ait des démêlés avec la justice à quoi que ce soit à voir avec le fait qu’il puisse avoir le droit de s’exprimer, artistiquement parlant, une fois qu’il a purgé sa peine » commente Thomas Connor. Ce spectateur bruxellois profite de son voyage à Paris pour aller au concert de l’artiste, qu’il suit depuis longtemps. Même son de cloche du côté de Magalie et Elodie, deux amies de 40 ans venues spécialement de Marseille : « On est là pour Bertrand Cantat le musicien, on est là pour écouter sa musique. »

Deux représentations du chanteur de 54 ans étaient initialement prévues à l’Olympia, les 29 et 30 mai, mais le gestionnaire de la salle avait évoqué une crainte de « troubles à l’ordre public ». Malgré les appels à manifester, Daniel Colling, directeur du Zénith de Paris, a lui décidé de maintenir le concert. « Je n’ai aucune raison juridique d’empêcher Bertrand Cantat de chanter. (…) C’est un monsieur qui a fait un acte condamnable, qui a été condamné, qui a fait de la prison » avait-t-il déclaré un peu plus tôt dans l’après-midi à l’AFP.

Commencée en mars, la première tournée solo de Bertrand Cantat ne cesse d’être tronquée : annulations de concerts, déprogrammation de festivals et manifestations devant les salles où il se produit. Vers 20 h 30, les premiers sons émanant du Zénith résonnent dans le parc de la Villette. Comme un coup de sifflet final à la manifestation, les militants remballent leurs pancartes après avoir entonné une dernière fois le slogan « Cantat tais toi ». Preuve que si le concert a bien eu lieu, les opposants de Bertrand Cantat n’ont pas fini de faire entendre leurs voix pour réduire la sienne au silence.

8 juin 2018

Les catacombes de Paris

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Photos : J. Snap

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8 juin 2018

Souvenir ! Souvenir ! 45 tours...

45tours

7 juin 2018

Guerre commerciale

7 juin 2018

Bettina Rheims

 

#mycameraismyweapon Sibyl Buck la joue écrasé sur un lit, Janvier 1996, Paris The other day I was giving a lecture and a student asked me if I had muses that had inspired me most.... Sybil Buck who figures on several covers of my books was definitely part of them...BR More Trouble, Schirmer Mosel, 2004 #muse #sybilbuck #BettinaRheims



857 Likes, 10 Comments - Bettina Rheims (@bettinarheims) on Instagram: "#mycameraismyweapon Sibyl Buck la joue écrasé sur un lit, Janvier 1996, Paris The other day I was..."

 

7 juin 2018

Miles Aldridge

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7 juin 2018

Culture: 3 raisons de courir voir « WAW » au théâtre

WAW (We Are Women), la dernière création de Thierry Smits et de la Compagnie Thor est à voir jusqu’au 16 juin au théâtre Varia. Ne manquez pas ce bijou. On vous donne trois raisons de réserver votre place MAINTENANT (alors qu’on pourrait en donner au moins 7 de plus!).

1. Pour en prendre plein les mirettes

La création s’ouvre sur le retour au vestiaire d’une équipe de foot: onze silhouettes masculines se déplacent de façon saccadée et enchaînent les gestes de victoire. Première prouesse. Passage à la douche où ces corps sculptés, musclés, taillés en forme de V – comme dans virils – se déshabillent. Se mettent à nu. Littéralement. De façon insinueuse, l’un d’entre eux explore sa part de féminité… entraînant les autres avec lui. Pour nous offrir un festival de couleurs, sans temps morts. Des somptueux tableaux vivants dotés d’une énergie inouïe. Passant de la douceur candide et maternelle à l’hystérie rebelle de sorcières fêtant le sabbat, en passant par les manifestations féministes pour l’avortement et la place de la femme dans la société. Le tout magnifiquement chorégraphié. WAW!

2. Pour admirer la grâce masculine

Qu’ils sont beaux ces danseurs. Qu’ils sont élégants. Qu’ils sont vifs. Drôles. Touchants. Une équipe, une famille. Parmi eux, le jeu d’Oliver Tida Tida, Oskari Nyyssölä et Duarte Valadares nous a particulièrement fascinée: leur grâce est hypnotisante. Démontrant carrément que l’homme peut être une plus belle femme que les autres…

3.Pour ouvrir les yeux des hommes qu’on aime

Pourquoi pour être ‘un homme, un vrai’, il faudrait aimer le foot, s’habiller en couleurs ternes et faire des blagues machistes? À la veille du lancement de la Coupe du monde de football 2018, où la plupart de nos compagnons vont se transformer en supporters grossiers et barakis, la compagnie Thor nous prouve par A(pparence) + B(allet) que l’homme n’en est que plus impressionnant lorsqu’il assume sa part féminine. La tendresse les rend plus forts. Waw est une création à faire découvrir à tous les hommes un peu rustres qu’on aime (quand même). Une chose est sûre, pour que notre société évolue vers l’égalité du genre, le féminisme doit passer par eux… Voilà une belle façon de les initier.

En pratique

Quand? Jusqu’au 16 juin 2018. Un conseil: ne tardez pas à réserver.

Où? Au Varia, à Ixelles.

En savoir plus? WAW

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