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Jours tranquilles à Paris

16 octobre 2017

Ellen von Unwerth

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16 octobre 2017

Extrait d'un shooting - gif animé

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16 octobre 2017

La une de Libération ce matin

 

Instagram post by Jacques Snap * Oct 16, 2017 at 12:24am UTC



2 Likes, 0 Comments - Jacques Snap (@jacquessnap) on Instagram

 

16 octobre 2017

BE YOURSELF BUT DON'T OVER DO IT

 

BE YOURSELF BUT DON'T OVER DO IT @bruno_metra



873 Likes, 23 Comments - * (@mauriziocattelan) on Instagram: "BE YOURSELF BUT DON'T OVER DO IT @bruno_metra"

 

16 octobre 2017

Quand Emmanuel Macron tente de conjurer le régicide sur TF1

Par Françoise Fressoz - Le Monde

Pour le chef de l’Etat, « la France est un pays de monarchistes régicides ». Pour calmer la grogne, dimanche soir, il a opté pour la pédagogie mais pas pour les concessions, souligne dans sa chronique, Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Louis XVI n’est jamais loin des monarques qui nous gouvernent. « En forçant le trait, on pourrait dire que la France est un pays de monarchistes régicides, ou encore que les Français élisent un roi mais qu’ils veulent à tout moment pouvoir le renverser », a déclaré Emmanuel Macron dans un entretien à l’hebdomadaire allemand Der Spiegel publié juste avant son intervention télévisée, dimanche soir 15 octobre sur TF1.

Ce n’est pas la première fois que le vainqueur de 2017 souligne la précarité de la fonction présidentielle, sa dangerosité même. Il l’avait déjà analysée lorsqu’il était en campagne, reprenant à son compte l’analyse de Nicolas Sarkozy qui confessait durant son quinquennat avoir la crainte que d’un coup, tout s’embrase : « La France n’est pas le pays le plus simple à gouverner du monde… Les Français ont guillotiné le roi, au nom d’une mesure symbolique, ils peuvent renverser le pays », répétait-il à ses ministres lorsqu’il voulait calmer le jeu.

« Je fais ce que j’ai dit »

Pour conjurer le régicide, Nicolas Sarkozy, l’homme de « la rupture », avait appris à composer. Il dosait les réformes, pactisait avec la CGT, s’arrêtait au point d’équilibre qu’il jugeait acceptable, ce qui avait le don d’énerver son premier ministre, François Fillon, qui aurait voulu aller beaucoup plus loin que lui sur la réforme des régimes spéciaux de retraite ou l’assouplissement des 35 heures par exemple.

Emmanuel Macron, c’est tout le contraire : « Je continuerai au même rythme avec la même détermination. C’est le mandat du peuple français », a-t-il fait valoir dimanche en se glorifiant de mettre en œuvre tout ce qu’il avait annoncé pendant la campagne : « Je fais ce que j’ai dit. »

Ses cinq premiers mois élyséens le confortent. Certes, des résistances sont apparues mais aucune ne s’est révélée suffisamment forte et construite pour l’empêcher : les syndicats sont trop divisés, Jean-Luc Mélenchon trop radical, la droite trop centrée sur sa reconstruction et le PS trop empêtré dans sa déconstruction pour espérer peser.

« Je n’ai pas cherché à humilier »

Alors le président de la République fonce avec pour seul ennemi lui-même, ses déclarations à l’emporte-pièce – « bordel », « fainéants » – qui risquent, à force de s’accumuler, de le faire passer pour un « de la haute », méprisant, coupé du peuple, dépourvu d’affect. « Je n’ai pas cherché à humilier », s’est défendu Emmanuel Macron sans vouloir cependant se dédire, revendiquant le parler cru et dénonçant « le mot sorti de son contexte ».

Pour un roi, le mea culpa est toujours difficile, si ce n’est impossible. Et pourtant, le président de la République l’a senti : il faudra bien qu’il trouve les moyens d’améliorer sa relation au peuple durant cette période délicate d’« un an et demi à deux ans » qu’il s’est donnée avant d’engranger les résultats, de voir repartir la croissance et l’emploi, de prouver que le pays est effectivement « profondément transformable », comme l’annonce le contrat de départ.

Lorsqu’il était en difficulté, Nicolas Sarkozy jouait sur l’affect, Emmanuel Macron est davantage enclin à la pédagogie, un brin technocratique. Mais les causes sont parfois difficiles à plaider, comme celle de la réforme de l’ISF qui ne saurait se résumer à un simple problème de « jalousie ». La force symbolique de cet impôt est telle qu’il faudra plus qu’une intervention télévisée pour l’abattre.

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16 octobre 2017

Don't touch !

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16 octobre 2017

Paris: Le «Domestikator», l’œuvre évoquant une levrette, sera finalement exposé au Centre Pompidou

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ART Le Louvre avait refusé d’accueillir cette immense sculpture de 12 mètres de haut…

L’œuvre « Domestikator », qui devait initialement figurer dans le parcours « Hors les murs » de la Foire internationale d’art contemporain (Fiac) aux Tuileries, avant d’être refusée par le Louvre, sera finalement exposée sur le parvis du Centre Pompidou, ont indiqué samedi les exposants.

L’immense sculpture de 12 mètres de haut constituée de briquettes façon Lego évoque un couple en position de levrette.

« Une magnifique utopie en prise avec l’espace public »

La direction du Louvre avait motivé son refus d’accueillir l’œuvre dans un courrier adressé à la Fiac, où son président Jean-Luc Martinez estimait que « des légendes sur l’Internet circulent et attribuent à cette œuvre une vision trop brutale qui risque d’être mal perçue par notre public traditionnel du jardin des Tuileries ».

« L’œuvre de l’Atelier Van Lieshout est une magnifique utopie en prise avec l’espace public », a pour sa part estimé Bernard Blistène, directeur du Musée national d’art moderne du Centre Pompidou. « J’ai demandé au Président du Centre, Serge Lasvigne, et il a immédiatement dit oui ».

Joep Van Lieshout se dit « heureux que les visiteurs du Centre Pompidou puissent avoir l’opportunité de faire l’expérience de cette œuvre et espère que cela génère questions et dialogue autour de la complexité du problème que pose la domestication de notre monde ».

« Domestikator » sera exposée sur le parvis de Beaubourg à partir du mardi 17 octobre, dans le cadre de la 44e édition de la Fiac (19 au 22 octobre).

16 octobre 2017

Coco de Mer

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16 octobre 2017

Sur TF1, Emmanuel Macron joue la pédagogie et se refuse à l’autocritique

Par Bastien Bonnefous, Cédric Pietralunga - Le Monde

Lors d’une première interview télévisée sans grande annonce, dimanche soir, le chef de l’Etat a assuré qu’il allait poursuivre son action « au même rythme » et a dénoncé la « jalousie française » envers les riches.

Pour sa première explication « face aux Français », dimanche 15 octobre sur TF1, Emmanuel Macron a choisi de s’exprimer depuis le bureau d’angle de l’Elysée, qui jouxte son bureau officiel au premier étage du palais. Une pièce qui, dans l’histoire élyséenne récente, a été rebaptisée « le bureau qui rend fou », après le passage mouvementé de ses deux derniers occupants en date, les conseillers spéciaux de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, respectivement Henri Guaino et Aquilino Morelle.

Pendant plus d’une heure, entre une toile du peintre belge Pierre Alechinsky et une « Marianne » stylisée de l’artiste américain Shepard Fairey, dit Obey (qui le suit depuis son QG de campagne pendant la présidentielle), le chef de l’Etat s’est livré à un exercice classique de pédagogie de son action. « Je ne suis pas là pour gérer ou réformer, mais pour transformer en profondeur le pays », a résumé M. Macron qui, depuis son élection en mai, avait préféré les grands discours en tribunes et les entretiens avec la presse écrite aux questions-réponses avec des journalistes en direct à la télévision.

Pour le chef de l’Etat, cette figure imposée de la communication présidentielle devait remplir deux missions principales, alors que s’enclenche la deuxième étape de son action économique et sociale, avec la réforme de l’assurance-chômage après celle, par ordonnances, du code du travail. D’un côté, montrer l’étendue des changements accomplis depuis son entrée en fonction, il y a cinq mois ; de l’autre, tenter de renouer avec la notion de « bienveillance », qui avait été un de ses mantras comme candidat, mais qui semble l’avoir quitté depuis son arrivée à l’Elysée.

« Je continuerai à dire ce que je crois »

Longuement interrogé sur son style et sur ses récentes déclarations polémiques – sur les « fainéants » ou sur ceux qui « foutent le bordel » – M. Macron a refusé de faire son mea culpa et d’avouer la moindre maladresse. Au contraire, le président de la République « assume » et réfute tout mépris ou arrogance de sa part dans ces mots « sortis de leur contexte », selon lui, qui ont pu choquer une partie des Français. « Je n’ai pas insulté qui que ce soit, je considère l’ensemble de mes concitoyens », a-t-il déclaré, revendiquant un langage parfois « populaire », mais « un discours de vérité ».

Décidé à ôter au plus vite cette étiquette de « président des riches » qui commence à lui coller dangereusement à la peau, il a rappelé ses origines sociales et familiales – « je suis un enfant de la province » – et répété son « amour pour le pays ». « Je continuerai à dire ce que je crois », a-t-il affirmé, fustigeant même au passage « nos élites politiques qui se sont habituées à ne plus dire les choses ». Avec la conscience que cette franchise peut s’avérer dangereuse : « Quand on s’approche de la vérité, parfois on se brûle », a-t-il reconnu.

Au-delà de son vocabulaire, le président de la République a refusé de la même façon toute autocritique au niveau de son action politique. Dans ce domaine aussi, M. Macron continue de se dépeindre, cinq mois après sa victoire, comme l’outsider qui réussit là où tous lui prédisaient l’échec. « Je ne devais pas être élu sans parti. (…) Je ne devais pas avoir de majorité à l’Assemblée. (…) Je ne devais pas y arriver », a-t-il listé dans un rappel à ses contradicteurs, prévenant qu’il « continuerai [t] au même rythme, avec la même détermination ». « Je fais ce que je dis, ça surprend peut être, ça contrarie certains », a-t-il ajouté, comme un résumé de son message global.

Refus de lier son destin à « un seul indicateur »

Une manière pour lui de se différencier encore et toujours de François Hollande, son prédécesseur à l’Elysée, qu’il n’a jamais cité dimanche soir, mais dont il a à plusieurs reprises critiqué le bilan et la méthode. Prudent, il a refusé de lier la réussite de son quinquennat à « un seul indicateur », comme l’avait fait M. Hollande avec « l’inversion de la courbe du chômage ». « On ne juge pas la réussite d’un président à un seul indicateur, c’est l’un des désaccords avec mon prédécesseur », a expliqué M. Macron, qui a renvoyé à plus tard l’effet sur l’emploi de ses choix économiques : « La plénitude des réformes, vous les verrez dans un an et demi, deux ans », a-t-il assuré.

Mais s’il a répété ne faire que mettre en œuvre son programme, le chef de l’Etat a pour autant pris de la distance avec certains de ses engagements de campagne. Alors qu’il avait promis d’élargir sans condition le droit au chômage aux salariés qui démissionnent, il a estimé que la mesure devrait être finalement « encadrée » et que seuls ceux qui ont « un projet » pourront en bénéficier, sans donner plus de précisions. De la même façon, il a déclaré que ce droit à indemnisation serait valable « au bout de cinq ans, six ans, sept ans », alors qu’il s’était engagé sur cinq ans lors de la campagne.

Cet entretien télévisuel devait donner une coloration plus sociale à son action, mais M. Macron n’a pas présenté de mesures fortes en la matière. Certes, il a estimé que « l’entreprise ne peut pas être uniquement le lieu des actionnaires », mais la codétermination, le renforcement de la présence des salariés dans la gouvernance des entreprises défendu par la CFDT et que le candidat Macron avait un temps envisagée, reste toujours lettre morte. Le chef de l’Etat s’est simplement engagé à ouvrir « un vrai débat » en 2018 sur l’intéressement et la participation pour que « les salariés puissent avoir leur part de la réussite ».

Les « passions tristes de la France »

Mais c’est sur la réforme de l’impôt sur la fortune que le chef de l’Etat, lui-même assujetti à l’ISF, s’est montré le plus inflexible et a défendu son évolution censée « favoriser l’investissement dans l’économie » et faire revenir dans l’Hexagone « beaucoup de talents partis à l’étranger ».

Une nouvelle fois, M. Macron a dénoncé à ce sujet « les passions tristes de la France » contre les plus riches. « Je ne crois pas à la jalousie française qui consiste à dire “il y a des riches, taxons-les, nous nous porterons mieux” », a-t-il expliqué. Chargé politiquement, ce pilier fiscal du budget pour 2018 fait inévitablement pencher le balancier de l’exécutif vers la droite, loin du « couple libérer-protéger » vanté par le chef de l’Etat comme « l’esprit des réformes ».

Là aussi, M. Macron assume, faisant appel à une métaphore montagnarde pour soutenir les Français les plus aisés, comparés aux « premiers de cordée » de la société dans son ensemble. « Il ne faut pas jeter des cailloux sur les premiers de cordée, sinon c’est toute la cordée qui dégringole », a-t-il expliqué. Une image qui fait écho au roman à succès de Roger Frison-Roche, Premier de cordée, publié dans les années 1940. Un roman dans lequel un jeune alpiniste est confronté à son propre vertige, et dont la suite littéraire avait eu pour titre… La Grande Crevasse.

16 octobre 2017

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