Francis Giacobetti s'expose chez Artcurial avant une vente aux enchères... - vu hier
Photos prises avec mon Iphone 7
https://www.artcurial.com/pdf/presse/2017/cp-3339_Francis-Giacobetti.pdf
http://www.artcurial.com/fr/asp/fullCatalogue.asp?salelot=3339++++++14+&refno=10609549
En octobre, Francis Giacobetti s'affiche chez Artcurial. Du 14 au 16, profitez de l'exposition de 33 clichés du maître français de la photo de charme qui seront ensuite vendus aux enchères le 17.
Pour l'automne, Artcurial s'associe avec les éditions Assouline pour accueillir les oeuvres du fameux Francis Giacobetti au travers d'une exposition de 33 de ses clichés du 14 au 16 octobre de 11h à 19h.
Le photographe Francis Giacobetti chez Artcurial
Très connu pour la réalisation de l'affiche du film Emmanuel en 1974, il est aussi le co-fondateur du désormais renommé magazine Lui.
C'est d'ailleurs en grande partie grâce au talent du grand Giacobetti que Lui a rapidement suscité l'intérêt et les débats. Petit à petit, le magazine a pu exhiber les plus grandes personnalités dans des positions lascives ou dans des contextes luxurieux. Mais le photographe n'excelle pas que dans les photos de charme. Il est aussi réputé pour ses portraits composé d'un simple portrait en noir et blanc accompagné d'une capture de l'iris réalisée grâce à un appareil de sa fabrication.
Le photographe Francis Giacobetti chez Artcurial
Articurial organise, à la suite de l'exposition, une vente aux enchères le 17 octobre à partir de 19h. Un livre "Giacobetti" des éditions Assouline, rassemblant 200 images des travaux du photographe, sera également mis en vente au prix de 85€.
Francis Giacobetti chez Artcurial
Exposition du 14 au 16 octobre 2017
de 11h à 19h
Vente aux enchères le 17 octobre 2017
à partir de 19h
Lieu : Artcurial
Cité radieuse - Marseille
Le 14 octobre 1952, était inaugurée la Cité radieuse du Corbusier à Marseille, classée patrimoine mondial de l'@UNESCO depuis 2016 #CeJourLà pic.twitter.com/dECzsEqiSo
— Ministère Culture (@MinistereCC) 14 octobre 2017
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Un Bataclan encore convalescent
Par Stéphane Davet - Le monde
Un an après sa réouverture, accompagnée d’un concert hommage de Sting, la salle parisienne pâtit encore de la tuerie perpétrée le 13 novembre 2015.
A un mois du premier anniversaire de sa réouverture, qui avait été accompagnée, le 12 novembre 2016, d’un concert hommage de Sting, un an après les attaques djihadistes du 13 novembre 2015, le Bataclan peut tirer un premier bilan de son retour à sa vie de salle de spectacle.
Avec près de 80 000 spectateurs venus assister à une cinquantaine de concerts ou autres spectacles, la salle du 50, boulevard Voltaire, dans le 11e arrondissement de Paris, dont la capacité d’accueil a augmenté de 200 places (1 700 aujourd’hui, contre 1 500 avant 2016), mais dont le décor a été refait à l’identique, affiche, d’après la société de production Alias, cogérante du lieu, un taux de remplissage de plus de 90 %. Toutefois, elle connaît une baisse de plus de 20 % du nombre d’événements organisés, comparé au rythme d’avant le drame.
JULES FRUTOS, COFONDATEUR ET DIRECTEUR D’ALIAS : « LES PREMIERS MOIS ONT ÉTÉ LOGIQUEMENT DIFFICILES, CAR IL A FALLU NOUS REMETTRE DANS LE CALENDRIER »
« Les premiers mois ont été logiquement difficiles, car il a fallu nous remettre dans le calendrier », admet Jules Frutos, cofondateur et directeur d’Alias. Une barrière autant psychologique que pratique. « Pendant les travaux, nous n’étions évidemment pas submergés d’appels de producteurs désireux d’y faire jouer leurs artistes », reconnaît-il. Les tournées se construisant plusieurs mois à l’avance, la programmation de la salle parisienne a repris au ralenti, les six premiers mois de sa réouverture.
Si certains artistes, comme Marianne Faithfull, Pete Doherty ou Vianney, ont rapidement accepté de s’y produire dans un acte de soutien quasi militant, d’autres ont hésité, marqués par ce trauma, à l’instar de Francis Cabrel. « Ce drame a touché de manière directe ou indirecte un très large cercle de musiciens », dit Jules Frutos, citant l’exemple de la chanteuse Zazie qui, avant de rejouer au Bataclan, a dû convaincre les membres de son groupe, dont un des amis a été victime de l’attaque terroriste.
« Ignoble de rouvrir cette salle »
La frilosité a même pu tourner à l’hostilité, comme dans le cas de Nicola Sirkis, le chanteur d’Indochine, qui, le 7 septembre, dans un entretien au Parisien, déclarait avoir trouvé « ignoble de rouvrir cette salle », avant d’ajouter : « Je ne retournerai jamais au Bataclan (…). Il fallait en faire un sanctuaire. » Une réaction qui a choqué Jules Frutos. « Transformer cette salle en mausolée aurait été un échec pour la vie et une victoire intolérable pour ceux qui ont commis ces crimes », affirme celui qui a vécu l’horreur du drame sur place, quelques heures après les attaques.
Un sentiment partagé par la chanteuse française Fishbach qui, après avoir rempli deux fois la Cigale, à Paris, jouera, le 27 octobre, au Bataclan. « Il faut refaire de cette salle un lieu de vie », déclare celle qui avait sorti son premier disque quatre titres le 6 novembre 2015. Elle appréhende un peu l’ambiance du concert, mais se dit persuadée qu’elle et le public en ressortiront « émus et gagnants ».
Forte charge émotionnelle
Si les premiers mois ont souvent été marqués par des concerts à forte charge émotionnelle, Jules Frutos constate avec soulagement un retour à la vie normale d’une salle de concerts, dans un lieu qui a hautement renforcé ses dispositifs de sécurité, notamment en renforçant le personnel, en augmentant le nombre de caméras vidéo et en installant un poste de surveillance à l’intérieur même du Bataclan.
L’esthétique rock y a repris ses repères, mais la salle n’a pas retrouvé la polyvalence qui en faisait régulièrement un endroit de location pour des fêtes et un des principaux lieux parisiens pour les spectacles d’humour. « Ce type de programmation posait logiquement plus de problèmes que les concerts », admet Jules Frutos.
Si des soirées dansantes, comme La Nuit des Follivores et celle des Crazyvores, ont fini par reprendre leur rythme bimensuel, les humoristes ont encore du mal à venir faire rire au Bataclan. Alias doit, certes, faire face à la concurrence de nouvelles salles s’ouvrant au stand-up, comme celle du 13e Art (Paris 13e), mais le Bataclan souffre surtout, dans ce cas, de son récent trauma. Après Paul Taylor et Yassine Belattar, Mathieu Madenian sera, le 21 octobre, l’un des premiers à revenir y chatouiller nos zygomatiques.
Inrockuptibles
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La semaine dernière..... voir ci-dessous
Mise à jour : Tombe de Marie Trintignant - Photo prise le 15 octobre 2017