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Jours tranquilles à Paris

19 mai 2017

66 ANS DE GLAMOUR TOTALEMENT CRAZY !

Le 19 mai 1951, le Crazy Horse ouvrait ses portes à Paris, avenue George V. Soixante-six ans plus tard, le cabaret, devenu mythique, emmène son public dans un show « Totally Crazy ». Ce bel âge, la Maison légendaire de l’avenue George V le porte avec toujours plus d’audace, de glamour et de féminité…joyeux anniversaire cher Crazy Horse !

UNE SIGNATURE ARTISTIQUE GLAMOUR QUI S’AFFINE À TRAVERS LES DÉCENNIES

La féminité sublimée par un habillage de lumière, des tableaux inspirés de l’actualité : c’est ainsi qu’Alain Bernardin, fondateur du Crazy Horse, imagine  le cabaret. Cette signature, portée par ses héritiers puis par Andrée Deissenberg, l’actuelle directrice générale création & développement, a établi et renforcé  l’identité du Crazy Horse au fil des années.

Avec des tableaux d’un esthétisme parfait devenus iconiques, de fabuleuses collaborations avec des artistes d’exception, le Crazy Horse a su magnifier la femme dans sa quintessence glamour, portant avec elle un vent de liberté et d’audace… et cela fait 66 ans que cela dure !

UN ANNIVERSAIRE « TOTALLY CRAZY » AVEC LES CRAZY GIRLS ! 

Le Crazy Horse et son public, c’est une histoire d’amour qui dure aussi depuis 66 ans. Les spectateurs et les passionnés du Crazy montrent bien souvent leur attachement au cabaret, aiment découvrir ses shows et toutes les nouveautés, partagent avec le cabaret une vision de la femme, belle, audacieuse, sensuelle.

Puisque le succès du Crazy Horse vous est intimement lié, venez fêter ce 66ème anniversaire avec les Crazy Girls et toute l’équipe du Crazy!

Découvrez notre nouveau spectacle « Totally Crazy » et offrez-vous une soirée d’exception en choisissant nos propositions de diner-spectacle : nos restaurants partenaires, tous situés à proximité, vous accueillent, avant ou après le show, pour une escapade gourmande qui ravira vos papilles. Et pour une soirée glamour et pétillante, venez tenter la Crazy Expérience : un accueil exclusif en backstage par l’une de nos sublimes danseuses, qui vous permet d’approcher de près le mythe Crazy Horse en mode VIP.

Le Crazy Horse vous attend de pied (chaussé de Louboutin) ferme !

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19 mai 2017

Jef Aérosol

19 mai 2017

Vu sur instagram

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19 mai 2017

Extrait d'un shooting - en mode polaroïd

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19 mai 2017

Théâtre de la Michodière

Actuellement : "Des souris et des hommes"

Dans l'Amérique rurale des années 30, les deux amis parcourent la Californie à la recherche de travail dans les ranchs. Ils entretiennent un même rêve : acquérir le pécule qui leur permettra d'acheter une petite ferme, synonyme de liberté et de paix.

Nomination aux Molières 2015 - Meilleur spectacle théâtre privé

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Des souris et des hommes, titre original : Of Mice and Men) est un roman de l'écrivain américain John Steinbeck publié en 1937. Avec Les Raisins de la colère (1939), il s'agit de l'une de ses œuvres les plus connues.

George Milton, un homme plutôt petit et Lennie Small sont deux amis d'enfance qui errent sur les routes de Californie en travaillant comme saisonniers de ranch en ranch. George et Lennie partagent depuis toujours le même rêve : posséder un jour une petite exploitation, pour y vivre « comme des rentiers », y élever des lapins et être libres. Lennie nourrit une passion bien enfantine : il se plaît énormément à caresser les choses douces. Doté d’une très grande force physique, il ne parvient pas à dominer sa puissance hors de l'ordinaire. Il est également intellectuellement déficient, et passe constamment pour un « idiot ». Cela finit par lui causer des ennuis notamment avec Curley, le fils du patron, et sa belle et jeune femme. En effet, lorsque cette dernière va proposer à Lennie de toucher ses cheveux, tout va mal tourner. En effet, Lennie, pris de panique, tue accidentellement la femme de Curley. Il court alors se réfugier dans les fourrés. Curley fou de rage décide d'abattre Lennie et part à sa recherche avec les hommes du ranch. George part de son côté retrouver Lennie au lieu de ralliement prévu entre eux en cas de « problème ». Sachant que son ami est condamné et ne voulant pas qu'il souffre, il le tue d'une balle dans la nuque. Source Wikipedia

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19 mai 2017

Bonapartisme managérial par Laurent Joffrin

Macron a tenu parole. Les proportions de la recette gouvernementale par lui définie ont été respectées, à peu de chose près : femmes-hommes, droite-gauche, élus-non élus… L’équipe séduira : tout nouveau, tout beau. Mais on voit aussi s’esquisser un système de gouvernement inédit dans la république, qui a son avers et son revers. C’est l’effet du recours massif – 50% – à la «société civile», ce mantra corollaire du discrédit qui frappe la classe politique. Ces ministres neufs sont sympathiques et excipent d’une compétence indiscutable. Ils ont aussi un point commun un peu gà ªnant dans une démocratie : ils n’ont jamais approché le moindre électeur. Leur légitimité procède du seul président, qui les tient par définition dans sa main puisque aucun parti, aucun courant, aucune aura électorale ne les soutient. Politiquement, ce sont tous des hologrammes. Il en sera de même si d’aventure En Marche remporte une majorité à l’Assemblée. Désignés non par des militants ou des citoyens mais par une commission de ressources humaines arbitrée par le seul Macron, ces élus devront tout à leur manager-président. A l’Assemblée comme au gouvernement, on ne verra qu’une seule tête : celle de Macron. Rarement dans la Ve on n’aura alors érigé un système de pouvoir personnel aussi cohérent.

Les amateurs d’histoire ne manqueront pas de rapprocher cette nouveauté politique d’une ancienne expérience : celle du Consulat, quand un jeune général sans aucune expérience parlementaire se retrouva seul à la tête de la République. Une fois l’élection acquise à la hussarde, une sorte de 18 Brumaire démocratique, le Premier Consul d’En Marche, comme son lointain prédécesseur, compose une équipe disparate recrutée chez les blancs et chez les bleus, dans la Montagne comme dans la Plaine, techniquement compétente, qui procède de lui et de personne d’autre, pour mener au pas de charge les réformes de compromis qui lui paraissent indispensables. «Ni droite, ni gauche», dit Macron, comme Bonaparte disait «ni talon rouge, ni bonnet rouge» (ni aristocrate ni révolutionnaire). Le tout au service d’un centrisme autoritaire qui ramène l’ordre, éteint les foyers de discorde et pose la base d’un régime à la fois égalitaire et hiérarchique. Macron n’a pas pris le pont d’Arcole et il y a peu de chance qu’il organise dans quatre ans un plébiscite pour devenir Empereur. On ne sait encore si l’expérience connaîtra l’efficacité que les historiens reconnaissent, qu’ils soient pour au contre, à l’œuvre du Consulat. La comparaison a ses limites. Mais Bonaparte disait qu’il fallait imposer aux Français le gouvernement qu’ils souhaitent. C’est l’intention de Macron. S’il parvient à ses fins, appuyé sur ce régime de monarchie républicaine en place depuis 1958 dont il souhaite user à plein, on pourra lui donner cette définition d’une antique modernité : le bonapartisme managérial.

19 mai 2017

Glace

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19 mai 2017

Monica Bellucci

19 mai 2017

Extrait d'un shooting - lingerie

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19 mai 2017

En attendant l’eau, les avis jaillissent

Par  Christine Henry

Le rond-point des Champs-Elysées (VIII e) va retrouver un nouvel éclat. Les six bassins qui l’entourent accueilleront des fontaines à la fois minimalistes et monumentales imaginées par les frères Ronan et Erwan Bouroullec, deux designers français sélectionnés par le Fonds de dotation pour Paris, avec l’aval de la maire (PS) Anne Hidalgo, comme nous le révélions dans notre édition du 10 mars.

Leur projet a reçu un avis favorable de la commission des sites, un organisme chargé de la protection patrimoniale et du paysage, le 23 mars.

Les fontaines se composeront d’un mât central planté au milieu des bassins et sur lequel viendront s’accrocher des bras supportant des maillons lumineux qui feront scintiller l’eau. L’ensemble tournera doucement sur lui-même. Ces œuvres animées remplaceront les fontaines créées en 1958 par Max Ingrand à l’horizon 2018.

Si Parisiens et touristes saluent unanimement la démarche, les avis sont en revanche plus partagés sur le design. « Un projet plus classique aurait permis au rond-point des Champs-Elysées de retrouver son lustre d’antan », glisse Simone, une septuagénaire déçue par les visuels.

Pauline, une trentenaire, se montre, elle aussi, critique : « C’est dommage d’avoir choisi une œuvre minimaliste pour un site aussi grandiose. » Un point de vue que partage ce Parisien : « Ces artistes ont du talent et je respecte leur travail. Mais je suis un peu déçu par cette œuvre. On dirait des mâts porte-drapeaux sur lesquels on aurait incrusté des diamants Swarovski. » « La Ville est en train de faire la même erreur que pour les Halles. C’est dommage », soupire Pierre, tandis que son épouse apprécie « le caractère épuré. Je pense que ces fontaines vont ramener de la vie sans en mettre plein la vue. »

« Le projet est moins attrayant sur le papier qu’il ne le sera dans la réalité », tempère Jeanne d’Hauteserre, la maire (LR) du VIII e, qui se félicite qu’un projet voie enfin le jour.

Le projet artistique devrait s’élever à 2,5 M€. Serge Dassault a promis d’apporter 1 M€ (le site se nomme rond-point des Champs-Elysées Marcel-Dassault) et la famille Houzé, propriétaire des Galeries Lafayette, financera le reste. L’enseigne va ouvrir un magasin sur la mythique avenue à l’automne 2018.

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