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Jours tranquilles à Paris
25 août 2017

Street Art à l'ancienne maison d'arrêt de Nantes

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24 août 2017

Le Voyage à Nantes - MORSE ATTACKS, OPÉRATION NEPTUNE SUITE ET FIN

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Photo : J. Snap

GILBERT COQALANE

L’œuvre est une mise en lumière d’une scène célèbre : le parachutiste John Steele, dans la nuit précédant le débarquement de Normandie, s’est retrouvé suspendu à l’église de Sainte-Mère-Église. Petite histoire dans la grande Histoire, cet accident est devenu un épisode connu de tous, où il est possible – sans compromettre l’engagement du soldat – de capter et révéler un potentiel d’humour dans la malchance. Ici, l’animal apporte une nouvelle narration à construire, de nouvelles interrogations sur l’origine et le dénouement de cette histoire.

Mais alors, quelles interactions entre l’animal, sauvage et gauche, et le protagoniste initial ? Chacun pourra établir une connexion entre le milieu naturel de l’animal ou le pays d’origine du militaire et l’éloignement de la scène, un parallèle entre l’impossibilité physiologique commune à l’humaine et au morse de voler, mais aussi remarquer l’homonymie avec l’alphabet militaire, l’attribution individuelle d’un combat collectif – militaire pour l’un, environnemental pour l’autre.

Gilbert Coqalane puise dans le « bon sens commun » tout un répertoire d’habitudes et d’attitudes dont il éprouve les limites, de manière aussi bien fantasque que raisonnée, afin de créer des espaces de liberté. Par sa capacité à éveiller le regard et l’intérêt du passant en perturbant le réel dans ce qu’il a de plus quotidien, l’artiste détourne la forme originale du devoir de mémoire pour ne plus obéir à la norme ni à la règle.

Il poursuit ainsi son travail « contenant contenu » qui explore les contours de la banalité du quotidien pour mieux en comprendre le contenu (et inversement), et intègre la série « Suite & fin ».

3 QUESTIONS À...GILBERT COQALANE

QUEL EST VOTRE PREMIER SOUVENIR DE NANTES ?

Un détail, mais ce fut une mouette posée sur un grand logo LU. Étant originaire des Ardennes et vivant maintenant à l’est, je prête beaucoup d’importance à l’économie locale, à l’industrie de la ville, aux grands employeurs de la région. Les secteurs d’activités et l’environnement naturel font généralement, du fait de l’histoire, des combats et des fiertés, les hommes et les femmes qui habitent la ville.

QUE SIGNIFIE POUR VOUS « ESPACE PUBLIC » ?

C’est un lieu de plaisir et de découvertes mais aussi de combat en tant que citoyen, et de réappropriation et d’expérimentation en tant qu’artiste. L’important est de rendre l’espace public le plus vivant possible, ce qui permet mutation et évolution pour tous les habitants de la cité. Il existe plein de domaines qui permettent cette réappropriation. Pour ma part c’est celui de l’art, qu’on propose et parfois qu’on impose, tel l’architecte d’une ville.

QUE REGARDEZ-VOUS EN PREMIER DANS UNE VILLE ?

Les détails et les failles. Pour les détails : ceux qui se trouvent en hauteur, au sol, sur les façades, dans les recoins, dans les petites rues, dans le nom des rues… Et pour les failles, elles se trouvent partout : dans les panneaux du code de la route, dans les enseignes et publicités, dans le mobilier urbain, dans les écritures sur les murs… Ce sont ces failles qui permettent la narration et l’imagination. Un grand nombre de failles et de détails rendent la ville vivante et humaine, ce qui par conséquent augmente son attractivité…

SI ON VOUS DIT « VOYAGE », VOUS RÉPONDEZ…

Voyage n’est pas synonyme de grande distance kilométrique avalée ; l’important est de se sentir bien pour poser son bagage. Pour cela, me concernant, cela va d’un voyage de Nancy à Charleville-Mézières, dans toute la Wallonie, Bruxelles, la mer du Nord, Lille, Nantes et la pointe du Raz.

24 août 2017

RANCINAN à La Baule - vu hier

Jusqu’au 3 Septembre 2016 à la Chapelle Sainte-Anne :

Exposition des photographies de Gérard Rancinan, Les Modernes

Textes et calligraphies de Caroline Gaudriault

Tous les jours de 14h à 20h.

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20 août 2017

Picasso à Landerneau... - vu hier

EXPOSITION "PICASSO"

Jusqu’au 1er novembre 2017

Lieu

Fonds Hélène & Édouard Leclerc pour la Culture

Aux Capucins

29800 Landerneau

 

Dans la lignée de ses grandes expositions monographiques consacrées aux artistes emblématiques des XXe et XXIe siècles, le Fonds Hélène & Édouard Leclerc crée l’évènement cet été à Landerneau avec « Picasso ».

Cette rétrospective singulière de l'œuvre de l’artiste dévoilera un Picasso intime et inédit, de ses premiers essais, jusqu’aux tout derniers tableaux, en traversant toutes les périodes de l’artiste. L’histoire se raconte à travers un ensemble exceptionnel de deux cents oeuvres (peintures, dessins, céramiques, livres illustrés) et nous emmène à la découverte d’une aventure picturale extraordinaire.

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20 août 2017

Elliott Erwitt au Festival Photo de La Gacilly

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17 août 2017

Exposition photographique à Concarneau

Le photographe René Métairie, primé à plusieurs reprises pendant ses 60 ans de carrière, a sélectionné 70 clichés, exposés jusqu'à dimanche à Concarneau (29), sur le site du festival des Filets Bleus, quai d'Aiguillon.

Deux ans après avoir pris sa retraite, le photographe, originaire de Mauron, fera son retour au festival des Filets Bleus, à Concarneau. L'occasion, surtout, d'admirer la Cornouaille depuis l'oeil expert du photographe. En 60 ans d'exercice, René Métairie ressort de ses archives 5.000 photos, toutes soigneusement classées et rangées chez lui. Pour appuyer sa sélection de 70 clichés phares, le choix a été rapide : « Des tirages qui ont déjà figuré, pour une bonne partie, tr+ois mois dans une exposition au Musée national, à Paris ». Ses portraits coups de coeur, ses clichés du paysage de Cornouaille, en long, en large, en travers, du port de Concarneau aux communes avoisinantes : Trégunc, Pont-l'Abbé, jusqu'à Scaër, le lieu où il décide d'établir ses quartiers. L'endroit où il fonde sa famille.

Dans le bureau de Gorbatchev

« Les chevaux souriants » lui mettent le pied à l'étrier du métier de photographe, en été 1965. « C'est par une chaude journée que je me suis rendu chez Manu, un paysan connu à Trégunc (29). On racontait alors qu'il baignait ses chevaux dans l'eau de mer et qu'après, sur le sable, il faisait ouvrir la bouche ». Il est là au bon endroit, au bon moment : les chevaux lui décrochent leur plus beau sourire. « On aurait dit qu'ils se fendaient vraiment la poire ! ». Alors simple ouvrier au studio photo de Pierre Le Grand, à Concarneau, il se fait remarquer par la presse, à 22 ans : passé à la télévision, dans Paris Match, le journal anglais The Sun ou le magazine allemand Stern, son cliché aurait même été vu, à l'époque, selon le photographe, dans le bureau de Gorbatchev.

Six ans plus tard, en 1971, il se met à son compte, dans son atelier à Scaër. Durant sa carrière, il reçoit une dizaine de prix : Figaro, O.R.T.F... Une médaille lui a été remise par Jean d'Ormesson. Lors d'autres cérémonies, il côtoie Jack Lang. En 2015, l'année de sa retraite, il reçoit le premier prix européen de photographie en Allemagne, aux côtés de 400 concurrents étrangers. Une belle manière de finir sa carrière.

13 août 2017

Musée du Faouët - vu récemment

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Reportage photographique : J. Snap

http://www.museedufaouet.fr/pages/expo/expo_fiche.php

Nombreux sont les métiers à avoir inspiré les peintres et les photographes qui fréquentaient la Bretagne aux XIXe et XXe siècles. De la terre et de la mer, ces artistes ont saisi les instantanés d’une époque aujourd’hui révolue, conscients de la disparition prochaine de certaines activités comme le crieur public ou encore le colporteur… A l’heure des nouvelles technologies de l’information et de la communication, d’autres métiers ont survécu en se modernisant ou ont été créés, offrant une nouvelle source d’inspiration à nos peintres contemporains. L’exposition retrace cette évolution à travers près de 150 œuvres et 80 noms d’artistes.

13 août 2017

Le Domaine de Kerguéhennec - vu avant hier

Racheté par le Département du Morbihan en 1972 et classé au titre des Monuments historiques en 1988, le Domaine de Kerguéhennec est situé sur la commune de Bignan, à 30 km au nord de Vannes. Le château a été construit au XVIIIe siècle et remanié à la fin du XIXe siècle. Le parc paysager a été élaboré par Denis Bühler. A partir de 1986, un parc de sculptures ainsi qu'un centre d'art voient le jour. Le Domaine présente donc une offre riche et variée aussi bien d'un point de vue architectural que paysager et artistique. Le Domaine s'étendait sur plus de 2 000 ha en 1847, sous les Janzé, ancêtres du comte Lanjuinais. Il en compte 175 aujourd'hui. Selon les sources, le lieu aurait connu trois constructions différentes et une restauration conséquente au XIXe siècle. Ainsi, de 1476 à 1972, la propriété va passer entre les mains de plusieurs familles dont deux ont eu une influence considérable sur le château et son parc ; les Hogguer et les Lanjuinais.

En 1703, le Domaine est acheté par de riches banquiers suisses résidant à Paris, Daniel et Laurent Hogguer. En 1710, sur les vestiges d'un ancien manoir, les Hogguer érigent un château, symbole de leur réussite et de leur fortune. Pour cela, ils font appel à Olivier Delourme, architecte vannetais, auteur notamment du château de Loyat, près de Ploërmel, et de l’église Saint-Patem à Vannes. La réalisation de Delourme se compose d'un corps de logis encadré de deux pavillons d'angle respectant parfaitement les contraintes de symétrie et de rigueur voulues par l'Académie Royale d'Architecture de Louis XIV. On note enfin une recherche de confort, d'intimité, ainsi qu'un certain goût pour la lumière grâce à la fragmentation intérieure des espaces. Le comte Lanjuinais fait l'acquisition du domaine en 1872. Cet avocat est également une personnalité politique de premier plan, tant au niveau régional que national. Il est maire de Bignan puis président du Conseil général du Morbihan en 1901, mais aussi député royaliste à l'Assemblée nationale à compter de 1881. Paul-Henri Lanjuinais concrétise le projet de transformer le parc et le château en un domaine de prestige mêlant, sans crainte du paradoxe, vision autarcique et volonté d'ouverture. Sous la direction de l'architecte parisien Ernest Trilhe, d'importants travaux sont entrepris aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment Delourme.

Après le rachat du Domaine par le Département du Morbihan en 1972. la restauration du château débute en 1997 par les extérieurs et plus précisément par les façades et les toitures. La restauration intérieure du château n'est amorcée qu'à partir de 2001, offrant aujourd'hui, au rez-de chaussée, un décor de style néo-Renaissance de la fin du XIXe siècle. Le parti pris a été de conserver en l'état le décor et la distribution de l'édifice avec le confort moderne et l'accessibilité pour tous. Les travaux de restauration sont achevés en 2006 et, dès l'année suivante. le château est ouvert au public.

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Roland Cognet - 2014-Bois, acier

Dépôt de ('artiste depuis 2014

Dans sa sculpture, Roland Cognet catalyse les quatre essences fondamentales : le minéral, le végétal, l'animal et l'humain.

Couché et posé sur un socle monumental, le tronc fait jonction avec ('architecture dans une étonnante proximité de couleur et de graphisme. D'élément naturel, l'arbre devient sujet dans l'œuvre puis objet-mémoire s'inscrivant dans une histoire : son histoire et cette des hommes qui le contemple. 

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Nicolas Fedorenko - 2014 - Fonte d'acier, feuille d'or

Dépôt de l'artiste depuis 2015

Nicolas Fedorenko développe un univers artistique aux références multiples, qu'il puise aussi bien dans l'histoire de l'art et la littérature que dans les arts populaires et l'industrie culturelle.

Faisant fi des catégories et de leur hiérarchie, il mêle les références classiques aux icônes naïves de l'enfance - oursons, lapins, poupons - dans des combinaisons de formes où l'humour le dispute à la rêverie. Paysage spirituel est l'aboutissement d'une réflexion sur le thème de la montagne, à la fois éternelle et soumise à d'incessantes mutations physiques. Cette sculpture aborde la question du paysage dans sa dimension poétique et onirique.

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Carel Visser - 1989 - Métal découpé et soudé, peinture

Acquis par commande à l'artiste en 1989

Coll. Centre national des arts plastiques

Carel Visser a assemble différents éléments d'acier qui constituent ce qu'il a nommé L'Oiseau Phénix. Cet animal est étrange et mécanique. La récupération d'une goulotte de moissonneuse ou d'un chariot renvoie aux machines agricoles.

Cet assemblage de métal est mis en regard du château et du parc. Le domaine lie dans son histoire et dans le paysage, les espaces architecturaux et les espaces agricoles. L’œuvre réinterroge ces relations à l’aune des technologies de l’agriculture du XXème siècle, par un « dialogue des cultures .. la culture des terres, la culture des esprits ».

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Simon Augade - 2016 - bois de charpente, bois de récupération, clous, vis, peinture

Dépôt de l'artiste depuis 2016

Pans et portes de meubles, issus de nos intérieurs et mis au rebut, s'accumulent telles des écailles. "Ce sont des agglomérés, dont on ne peut reconnaître les essences de bois, amalgamées de colles néfastes pour l'environnement. Il y a toujours un revêtement qui cache. Notre société conçoit des matériaux pratiques pour un usage relativement court, qui ne sont ni bricolables, ni réparables et dissimulent la réalité du cœur des choses". De la construction ondulatoire, un cube blanc semble émerger et pénétrer.

Effondrement ou ascension? Soulèvement soulève et "sous-lève". Sous ce qui se lève, nefs et alcôves révèlent l'envers du décor. Bastaings, poutres, chevrons partent en tous sens et révèlent le travail du sculpteur pour qui "l'expérience et le dialogue avec les matières font la sculpture. Rien n-est droit, cela questionne. On doute quant à la tenue de l'ensemble. Le doute permet de construire en évitant de figer les choses."

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Jean Pierre Raynaud - 1986-Pots et béton peints

Achat par commande à l'artiste en 1986

Coll. Frac Bretagne

Jean-Pierre Raynaud a choisi la serre, lieu de confrontation entre la matière vivante et la matière inerte. Les pots de fleurs utilisés sont empruntés au réel mais détournés de leur fonction première ; l'artiste les a remplis de béton, rompant avec les représentations d'une nature idéalisée. La couleur rouge renforce cet effet de contraste. L'installation questionne et interpelle sur la mort inévitable de tout être vivant. Dans cette serre, rien ne pousse, rien ne vit... Mais rien ne meurt non plus. Comme une nature morte au premier abord, qui n'en est finalement pas une, puisqu'il aurait fallu qu'elle vive auparavant pour pouvoir mourir. "A l'école d'horticulture, on m'a appris à soigner les fleurs, mais pas à les empêcher de mourir. Je décidais d’éviter de nouvelles victimes en remplissant les pots de fleurs avec du ciment"

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Marcel Dupertuis - 2013-Bronze patiné

Dépôt de l'artiste depuis 2013

Si les sculptures de Marcel Dupertuis sont réduites jusqu'à la ligne, la matière n'en est pas éliminée pour autant. Celle-ci reste bien présente, entre allégement et pesanteur, et dans une tension que vient redoubler le matériau choisi par l'artiste : le bronze, traditionnellement utilisé en sculpture mais réputé pour sa robustesse et sa densité plus que pour sa légèreté. Marcel

Dupertuis propose ainsi un jeu sur les apparences et sur propriétés physiques des matériaux qu'il travaille, passant par le procédé complexe et classique de la fonte pour obtenir ces sculptures aériennes. La linéarité se fait circulaire, articulée par des « nœuds » et déposée légèrement au-dessus du sol. Elle se relève comme une invitation à la pénétrer, à pénétrer la Clairière.

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Le Parc de Kerguéhennec

Initialement, le parc est conçu dans l'esprit d'un jardin à la française. La perspective de l'allée cavalière et la géométrie de la cour d'honneur au sud du château en témoignent.

A la fin du XIXe siècle, le parc est considérablement remodelé sous l’influence de Denis Bühler (créateur, avec son frère, du parc de la Tête d'or à Lyon et des jardins du Thabor à Rennes).

L'intervention concerne essentiellement le parc Nord où plusieurs modifications sont apportées. Les lignes amples et sinueuses remplacent alors les allées rectilignes à la française, créant ainsi un nouveau cheminement, plus romantique. Le château n'est plus découvert de front et dès l’entrée, il faut désormais un lent cheminement pour mieux s'imprégner de l'esprit du parc. Une dualité est lisible entre le parc Nord aux allées sinueuses et le parc Sud dont les allées rectilignes et perpendiculaires sont conservées.

La volonté du comte Lanjuinais fut aussi de faire du parc Nord un véritable arboretum mêlant les essences et les variétés des quatre coins du monde. On retrouve ainsi des plantations d'Asie, d'Amérique du Nord, d'Afrique mais également d'Europe. Celles-ci répondent aux plantations originelles du Domaine. L'arboretum mène le visiteur à arpenter non seulement le paysage naturel mais à emprunter les chemins de la connaissance. Au XIXe siècle, le savoir agit comme facteur de différenciation sociale entre ceux qui savent nommer les essences et les autres qui ne voient rien d'autre que des arbres.

Enfin, la création d'un potager est envisagée dès 1873, avec une serre ainsi qu'un grand bassin alimenté par la citerne octogonale de Cléhury. Paul-Henri Lanjuinais sollicite le jardinier Jarry pour en faire son jardinier en chef, qui est chargé des premières plantations du potager.

8 août 2017

Hans Feurer à Caméra Work - Berlin

Le photographe suisse Hans Feurer expose plus de 25 clichés en grand format pour célébrer les 20 ans de la galerie berlinoise Caméra Work. A découvrir depuis le 15 juillet 2017.

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Voir mes précédents billets sur Hans Feurer

8 août 2017

Galerie Jean Jacques Rio à Auray

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