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Jours tranquilles à Paris

28 août 2018

Cimetière de bateaux de Kerhervy

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Dans ce cimetière d’un genre particulier, de vieux bateaux reposent dans le lit de la rivière du Blavet, depuis les années 20 pour les plus anciens. Des thoniers de l’île de Groix, mais aussi des bateaux de Larmor-Kernevel déplacés pendant la seconde guerre mondiale par les Allemands pour dégager l’accès à la base sous-marine de Lorient. Chaque carcasse s’enlise inexorablement dans la vase.

Le cimetière de Kerhervy abrite également un théâtre de plein air où se déroule chaque année le festival de théâtre de Kerhervy.

Le cadre est enchanteur, et la vue sur les épaves est superbe, nous sommes au pied du château de Locguénolé, c’est beau, très paisible et reposant.

L’endroit idéal pour une jolie balade ou pour pique-niquer au calme (et aussi pour les rendez-vous coquins, à ce qu’il paraît !)

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28 août 2018

Extrait d'un shooting - baroudeuse / otage

sexy

baroudeuse

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28 août 2018

La Chapelle des Sept Saints

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La légende des Sept Saints

Une mère avait donné naissance à des sextuplés. Craignant de ne point pouvoir les élever, elle décida de ne conserver qu'un enfant et ordonna à sa servante de noyer les six autres. Alors que la servante se rendait à la rivière proche (la rivière du Sach) afin d'accomplir sa triste besogne, elle s'arrêta en chemin pour se reposer tant le berceau était lourd, à tel point qu'i laissa même son empreinte sur le rocher où elle l'avait posé. La servante vit là un signe de Dieu et reprit le chemin de la maison avec le berceau ; les parents, désabusés par ce qu'ils avaient ordonné de faire à la servante, abandonnèrent alors leur funeste dessein. Et c'est ainsi qu'ils élèvèrent leurs sept fils, lesquels deviendront plus tard les sept saints fondateurs des anciens évêchés de Bretagne : Patern à Vannes, Corentin à Quimper, Paul-Aurélien à Saint-Pol-de-Léon, Tugdual à Tréguier, Brieuc à Saint-Brieuc, Samson à Dol de Bretagne, Malo à Saint-Malo.

28 août 2018

Milo Moiré

28 août 2018

Paris : les Femen s’attaquent à un uritrottoir

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L’urinoir de rue installé sur le quai d’Anjou, dans le IVe, a été vandalisé par le mouvement féministe. Sa situation sous les fenêtres de l’hôtel de Lauzun fait polémique.

Leur expérimentation fait polémique. Mais c’est la première fois que l’un des « uritrottoirs », ces urinoirs écologiques installés par la mairie de Paris, est mis hors service suite à un acte de vandalisme.

C’est le « numéro 4 », celui du quai d’Anjou, sur l’Ile Saint-Louis, qui a fait les frais des Femen, dans la nuit de jeudi à vendredi, si l’on en croit le dessin d’un poing levé sur le trottoir, symbole du mouvement.

Ces dernières n’ont pas fait dans la dentelle. Bouché par des morceaux de ciment et des tampons hygiéniques, l’engin a surtout été recouvert d’affiches aux slogans explicites : « une b… correcte est une b… rangée », martèle un autocollant.

Une enquête ouverte

« Les femmes qui sortent leurs seins pour allaiter sont priées de se cacher, les hommes qui sortent leur sexe pour uriner sont subventionnés par la mairie, proclame une autre affichette. Les b… en public, c’est non ! »

Alors que les dégâts ont été constatés vendredi matin, la mairie de Paris a déposé plainte dans l’après-midi. L’enquête a été confiée au commissariat du IVe arrondissement.

Des urinoirs qui font polémique

Rectangles rouges surmontés d’une jardinière, ces urinoirs publics font débat. Outre les accusations d’exhibition, ils apparaissent pour les féministes comme une manifestation flagrante de discrimination.

Ces dernières années, le nombre de sanisettes a drastiquement diminué dans la capitale, réduit à environ 400 aujourd’hui. Elles sont accusées de drainer l’insécurité, et d’abriter trafic de drogue ou prostitution. Dans le même temps, nombreux étant les hommes parisiens à uriner dans la rue, les uritrottoirs sont apparus comme une alternative.

Les premiers ont été installés au printemps, d’abord près de la place de Clichy, puis près de la gare de Lyon et dans un square du Ve. Les deux derniers l’ont donc été quai d’Anjou, puis aux abords de la gare du Nord. Celui de l’île Saint-Louis, notamment, a déclenché la colère des riverains, qui prévoyaient de lancer une pétition réclamant sa suppression.

Une lutte contre les « pipis sauvages »

À l’inverse, leurs promoteurs rappellent que ces uritrottoirs ont d’abord été pensés pour la nuit, destinés aux fêtards, et beaucoup moins pour la journée, où leurs utilisateurs sont particulièrement exposés…

« On est juste à côté d’un square où se retrouvent beaucoup de sans-abri qui font leurs besoins là où ils peuvent : c’est plutôt très pratique et utile pour eux », se félicitait toutefois cette semaine dans nos colonnes un habitant du Xe, travaillant à deux pas de celui installé, il y a quelques jours, rue Bossuet.

« Il en faudrait même deux vu le volume d’urine qu’on trouve ici chaque matin », jugeait un autre habitant, quand le maire (PS) de l’arrondissement Alexandra Cordebard, prônait leur généralisation pour lutter contre le fléau des « pipis sauvages ».

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27 août 2018

Mylène Farmer

27 août 2018

Charlie Hebdo

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27 août 2018

Collection Pinault - exposition à Rennes

27 août 2018

Libération

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27 août 2018

Vu sur internet

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