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Jours tranquilles à Paris

18 septembre 2017

Birmanie

"Nettoyage ethnique" en Birmanie. Environ 370 000 Rohingyas se sont réfugiés au Bangladesh depuis le 25 août, afin de fuir les violences de l'armée birmane qui participe à une idéologie de défense du bouddhisme face à l'islam. "Il y a une démocratisation en Birmanie, mais Aung San Suu Kyi est prisonnière de sa constitution. Impossible de savoir ce qu'elle sait ou pense vraiment", explique l'ethnologue Bénédicte Brac de la Perrière

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18 septembre 2017

Keith Haring

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18 septembre 2017

Vu sur internet - j'aime beaucoup

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18 septembre 2017

Auray. Né il y a 250 ans qui était Gabriel Deshayes ?

Si les Alréens connaissent le nom de Gabriel Deshayes, porté par une association et une école de la ville, très peu savent vraiment qui était l'homme. Ordonné prêtre sous la Révolution française, à Jersey, le curé fondateur de plusieurs congrégations religieuses dont les Frères de Ploërmel et les soeurs de Saint-Gildas commencent son sacerdoce dans la clandestinité. Né à Beignon (35) en 1767, il est nommé curé d'Auray en 1805, il y officiera durant 15 ans et rachètera la Chartreuse de Brec'h, avant d'être élu supérieur des congrégations des Pères Montfortains et des Filles de la Sagesse. Il s'installe alors à Saint-Laurent-sur-Sèvre, en Vendée, où il meurt en 1841.

Bâtisseur audacieux

À Auray, il laisse un héritage important marqué par une oeuvre de charité et d'enseignement auprès des plus pauvres et notamment des prisonniers, des enfants et des sourds. Ce précurseur pourrait être un homme d'aujourd'hui et son influence auprès des populations défavorisées et des plus fragiles reste d'actualité. C'est sa personnalité d'exception qui a poussé les membres de l'association « Les amis de Gabriel Deshayes » à fêter cette année le 250e anniversaire de sa naissance. Demain, MgrRaymond Centène, l'évêque de Vannes, présidera une grand-messe, à 11 h, à la basilique Sainte-Anne-d'Auray en l'honneur de celui que certains baptisent « Le Vincent de Paul de la Bretagne ». Après un moment festif, un montage vidéo permettra, à 15 h, de découvrir sa vie et son oeuvre, dans la salle Kériolet.

Béatification ?

Par ailleurs, une demande de procès en béatification de Gabriel Deshayes devrait être déposée. « Nous avions commencé les démarches mais il faut un postulateur pour porter la demande à Rome or nous en avions un mais il a été nommé évêque. Il ne peut donc plus jouer ce rôle. Nous attendons de trouver un autre prêtre postulateur pour continuer », assure le père Adrien Collet, président de l'association. Article de Véronique Le Bagousse

18 septembre 2017

Coco de Mer

coco33

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17 septembre 2017

Comment lutter contre le blues du dimanche soir ?

Un léger vague à l'âme, voire un vrai mal-être quand le week-end touche à sa fin ? Pas d'inquiétude, il y a des solutions.

C'est quoi le blues du dimanche soir ?

« Il s'agit d'un véritable phénomène sociétal qui survient en fin de week-end, le plus souvent en fin de journée, mais parfois dès le matin », explique le Dr Florian Ferreri, médecin psychiatre, maître de conférences à l'hôpital Saint-Antoine à Paris et coauteur d'un ouvrage sur le sujet (1).

« Il se caractérise par un sentiment de morosité, de mélancolie et d'ennui, voire, dans les cas les plus marqués, par une tension intérieure, de l'irritabilité et certains symptômes physiques (maux de ventre...). » Certes sans gravité, ce blues est dommageable car il gâche un temps dédié au relâchement et au bien-être, et peut avoir des répercussions négatives sur l'entourage.

Comment l'explique-t-on ?

Plusieurs causes sont possibles. La première est l'anticipation du retour au boulot, fréquente chez les personnes excessivement préoccupées par leur travail, qu'elles l'apprécient ou non : le dimanche soir, elles se retrouvent envahies de pensées.

La deuxième est un simple problème d'organisation : après avoir profité tout le week-end, on est au pied du mur, obligé de boucler les devoirs ou le travail rapporté à la maison, de faire les tâches ménagères...

« La troisième s'apparente à une sorte de jet lag, analyse le psychiatre. Le week-end casse le rythme effréné de la semaine et impose ses propres règles (magasins fermés, programmation télé différente...) et rituels (repas en famille, footing...) immuables qui apportent un aspect répétitif et monotone dont il semble impossible de s'extirper. »

Qui concerne-t-il ?

Il touche aussi bien les hommes que les femmes, toutes générations confondues. « Bien sûr, les personnes en activité qui doivent reprendre le travail le lundi, celles qui surinvestissent leur travail, celles qui n'aiment pas leur emploi... Les lycéens et les étudiants sont davantage concernés que les tout-petits et les retraités ! »

Comment faire pour chasser ce blues ?

D'abord, on s'organise : on se débarrasse des corvées dès le vendredi ou on les distille sur les deux jours. Ensuite, si on est préoccupé par son travail, on s'oblige à ne consulter ni son portable ni ses mails, et si on est accaparé par des pensées négatives, on fait des exercices de relaxation.

« On peut aussi tenter de positiver mentalement le lundi, en le visualisant, étape par étape, afin de le relativiser », conseille Florian Ferreri. Autant que possible, on conserve également des horaires (coucher, lever, repas) proches de ceux de la semaine afin de ne pas perturber l'horloge interne de l'organisme. Enfin, on se crée des rituels dominicaux agréables : sorties au restaurant, spectacles, cinéma, goûters, jeux de société...

(1) Vaincre le blues du dimanche soir, 52 week-ends à sauver, Florian Ferreri et Gautier Bouchaud, éditions Hachette Bien-être.

Caroline HENRY.

17 septembre 2017

Emily Ratajkowski

emily56

17 septembre 2017

Loup Bureau est LIBRE...

loup bureau

17 septembre 2017

Éolien flottant. Un an de mesures au large de Groix

Au printemps 2021, quatre éoliennes flottantes entreront en service entre Groix et Belle-Ile. Nouvelle étape dans le long processus d'études préalables à cette implantation, une bouée LiDAR va être ancrée sur zone pendant un an.

« Tout est prêt. On n'attend plus qu'une fenêtre météo. » En début de semaine prochaine, une bouée LiDAR va être installée entre Groix et Belle-Ile, à proximité de la zone d'implantation de la future ferme d'éoliennes flottantes (*). Mise à l'eau à Lorient, elle sera tractée sur zone par le TSM Penzer (navire français basé à Brest). Une fois les ancrages installés, elle y sera amarrée.

« Vents, vagues, courant, pression... Pendant un an, elle va transmettre ces données en temps réel », explique Marion Ristord, experte vent chez Eolfi, l'entreprise qui porte le projet de cette ferme expérimentale. La technologie LiDAR, basée sur le laser, « va nous permettre de mesurer la force et la direction des vents », souligne Christophe Chabert, directeur du développement Grand Ouest pour Eolfi.

L'installation de cette bouée fait suite à la campagne de mesures géotechniques menées sur zone cet été. « Nous entrons dans une phase de mesures de détails, qui vont nous permettre de dimensionner précisément le projet », explique Christophe Chabert.

« Nous avons besoin de relevés sur un an pour avoir des données dans toutes les conditions », complète Marion Ristord. « Grâce à ça, nous allons pouvoir estimer précisément la production du parc et adapter, si besoin, le design des éoliennes ».

Plusieurs sites industriels du grand Ouest

Ces quatre éoliennes flottantes auront une puissance de 6 mégawatts chacune. « Cela représente la consommation électrique de 20.000 foyers », détaille Christophe Chabert. Leur mise en service est prévue au printemps 2021.

Le projet représente près de 200 M€ d'investissement (dont 85 M€ financés par l'État) et mobilise plusieurs sites industriels dans le Grand Ouest : Cherbourg pour les mâts et les pales ; Saint-Nazaire pour les nacelles (Alstom) ; Brest pour les flotteurs (Naval Energies et Vinci). Toutes les pièces seront assemblées au port de Brest, puis les éoliennes seront remorquées jusqu'au site d'implantation.

Une opportunité pour la navale lorientaise

Le projet devrait aussi bénéficier aux professionnels de la navale lorientaise. Ainsi, la bouée LiDAR, fournie par Fugro qui en assurera aussi la maintenance, a-t-elle été assemblée aux Ateliers mécaniques lorientais (AML). « Nous avons les compétences en local pour répondre aux différents besoins de ce projet », souligne Patrice Le Fel, patron des AML et président de l'Interprofession du port de Lorient.

(*) La zone d'implantation retenue, d'une surface de 17 km², se situe à 11 km au sud de Groix et 25 km au nord de Belle-Ile.

17 septembre 2017

Extrait d'un shooting - mode

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