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Jours tranquilles à Paris

16 août 2020

'MOOD LIGHTING' UNE NOUVELLE HISTOIRE VISUELLE DE 'DANIEL GREY' {NSFW / EXCLUSIVE EDITORIAL}

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Le photographe Daniel Gray  et le mannequin Kat Malone se sont associés pour l' éditorial exclusif de NAKID d' aujourd'hui intitulé « Mood Lighting ».

Gray est un photographe de mode / éditorial basé à la Nouvelle-Orléans. « Mood Lighting » est le résultat d'une Nouvelle-Orléans vide le lendemain de la mise en quarantaine obligatoire. Le mannequin Kat Malone a été une brillante collaboratrice dans la présentation de l'état stérile d'un Bourbon Street autrement sale et mondain dans le quartier français de la Nouvelle-Orléans.

Si vous aimez cette histoire visuelle, montrez-leur un peu d'amour, ce n'est qu'un aperçu des trucs incroyables qu'ils ont créés - rendez-vous sur leur Instagram pour en savoir plus sur cet artiste génial et soutenir leur créativité et votre inspiration quotidienne en les suivant !

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15 août 2020

Sainte Anne d'Auray

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15 août 2020

Exposition photographique - vu dans les rues d'Auray - Morbihan

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15 août 2020

Le Parisien du 15 août...

le parisien 15 aout

15 août 2020

L’Amérique latine ne parvient pas à endiguer le Covid-19

Par Angeline Montoya, Marie Delcas, Bogota, correspondante, Amanda Chaparro, Lima, correspondance, Frédéric Saliba, Mexico, correspondance - Le Monde

Cette région est devenue en peu de temps la plus touchée de la planète en nombre de cas (près de 6 millions) et de décès (plus de 230 000).

L’heure n’est pas encore aux bilans. Nul ne sait, à ce stade, si la pandémie due au coronavirus a atteint son pic en Amérique latine et aux Caraïbes, région devenue en peu de temps la plus touchée de la planète en nombre de cas (près de 6 millions) et de décès (plus de 230 000).

Une chose est sûre : il aura fallu moins de six semaines pour que le nombre officiel de victimes soit multiplié par deux, on en dénombrait 100 000 fin juin. On suppute aussi que les victimes pourraient être plus nombreuses. Les autorités de certains pays, comme celles du Pérou, commencent à admettre que le nombre de morts pourrait varier du simple au double.

En valeur absolue, les pays les plus touchés en nombre de cas étaient, mercredi 12 août, le Brésil, le Mexique et Pérou. Mais en proportion de la population, il s’agit du Chili (20 190 cas par million d’habitants), du Panama (18 500) et du Pérou (15 600), le Brésil arrivant en quatrième position (15 100). En nombre de morts et en proportion de la population, le Pérou est le plus touché du continent, avec 800 morts par million d’habitants.

Mais comparer les bilans – provisoires – des différents pays latino-américains reste hasardeux. « Ils ne font pas les mêmes tests, ni dans les mêmes proportions, explique Ciro Maguiña Vargas, infectiologue et professeur à l’université Cayetano-Heredia de Lima. Le Pérou teste par exemple beaucoup plus que ses voisins, mais ce sont des tests sérologiques rapides [qui mesurent la présence d’anticorps et non de virus]. Les tests moléculaires par PCR [utilisés massivement au Chili] sont plus fiables, mais il est pratiquement impossible de les faire parvenir dans les zones les plus reculées du pays. »

« Le pire est probablement à venir »

Restent les données officielles qui, jour après jour, montrent que l’épidémie est loin d’être vaincue. Quelques indices sont encourageants : certains pays tels que le Chili, l’Equateur, ou même le Mexique ont commencé à aplanir la fameuse courbe épidémiologique. Mais à un niveau de contamination toujours très élevé. Et surtout, cinq mois après le début de la pandémie, la plupart enregistrent toujours des hausses inquiétantes. L’Argentine, dont la population du Grand Buenos Aires est toujours en quarantaine, et ce depuis le 20 mars, connaît un pic de contaminations et de morts inédit : encore 7 498 cas et 116 morts le 13 août, pour un total de plus de 276 000 contaminations et plus de 5 300 morts.

« L’Argentine est un exemple de bonnes pratiques, assure Marcos Espinal, directeur du département des maladies transmissibles de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS). Malgré l’augmentation continue des cas, la mortalité y est assez basse [108 morts par million d’habitants]. » Mais, souligne Jarbas Barbosa, sous-directeur de l’OPS, « 60 % des cas y ont été enregistrés en juillet ».

« Le modèle de transmission est différent en Amérique latine et en Europe, constate M. Barbosa. En Italie, en Allemagne, en France, il y a eu une explosion de cas, puis de strictes mesures de distanciation sociale ont été très efficaces pour observer, après cinq ou six semaines, une tendance à la baisse, configurant une première vague bien identifiée. En Amérique latine, les mesures prises tôt ont été très importantes pour réduire la transmission, mais elles n’ont pas été suffisantes, dans la majorité des pays, pour la contrôler. »

En Colombie, la courbe de progression du Covid-19 ne s’infléchit pas non plus. Le nombre de cas enregistré dans ce pays de 50 millions d’habitants dépasse les 433 000 (10 000 nouveaux cas sont enregistrés tous les jours), celui des décès les 14 000. Les frontières terrestres et les aéroports sont toujours fermés. Le président, Ivan Duque, a annoncé, début août, une prorogation du confinement national – et de ses exceptions – jusqu’à la fin du mois. « L’économie a plongé, le chômage a explosé et les gens qui sont enfermés chez eux depuis près de cinq mois n’en peuvent plus », explique un haut fonctionnaire, qui se dit convaincu que « le pire est probablement à venir ».

Comme en Argentine, les autorités colombiennes ont décidé de confiner le pays alors que le nombre de cas était encore très faible. Cette mise en quarantaine précoce devait permettre de gagner du temps et d’améliorer la capacité hospitalière de ces nations face à la pandémie. Mais en Colombie, les tests et les respirateurs sont arrivés plus lentement que prévu. « Nous nous sommes heurtés à la réalité du marché », résumait en juin la maire de Bogota, Claudia Lopez.

« Mourir du Covid-19 ou mourir de faim »

Comme dans le reste de l’Amérique latine, la crise n’est pas seulement sanitaire, elle est aussi sociale. Ici comme ailleurs, les populations défavorisées y sont les plus touchées. La pandémie a encore creusé les inégalités de pays parmi les plus inégalitaires au monde. Les travailleurs du secteur informel, vendeurs ambulants, petits artisans et employés au noir qui gagnent leur vie au jour le jour doivent choisir « entre mourir du Covid-19 ou mourir de faim ». Plus exposés au virus, mal alimentés et mal soignés, les gens pauvres développent des formes plus sévères de la maladie. Si les aides publiques mises en place ont permis d’éviter une explosion sociale, elles restent très insuffisantes.

« Il ne faut pas opposer la lutte contre l’épidémie et l’économie », martèle Carissa Etienne, directrice de l’OPS. Le dilemme entre restrictions au nom de la santé et réouverture au nom de l’économie traverse tout le continent. Le 7 août, Hugo Lopez-Gatell, vice-ministre mexicain de la santé et porte-voix de la stratégie du président Andrés Manuel Lopez Obrador (« AMLO ») contre le Covid-19, annonçait le passage au « plan B » gouvernemental, qui prévoit d’« amplifier l’ouverture progressive des activités économiques, sans mettre en danger la santé » des Mexicains.

« L’ÉPIDÉMIE VA ÊTRE LONGUE. IL EST POSSIBLE QU’ELLE DURE JUSQU’EN OCTOBRE, PEUT-ÊTRE NOVEMBRE », AFFIRME HUGO LOPEZ-GATELL, VICE-MINISTRE MEXICAIN DE LA SANTÉ

Après un confinement recommandé mais non obligatoire, le pays a progressivement relancé, en juin, les activités non essentielles à partir d’un code de quatre couleurs (rouge, orange, jaune et vert) selon les régions. Depuis, la moitié des 32 Etats restent en alerte rouge, le reste en alerte orange. La ville de Mexico, principal foyer de contagion, en alerte orange depuis six semaines, lance, du 10 au 16 août, la réouverture partielle des musées, puis des cinémas et des piscines publiques. Les bars et les salles des fêtes sont autorisés à fournir des services de restauration jusqu’à 22 heures.

Avec déjà presque 57 000 morts et au rythme de contaminations actuel, le Mexique devrait franchir la barre des 60 000 morts dans quelques jours. Un seuil qualifié, début juin, de « scénario catastrophique » par Hugo Lopez-Gatell, qui prévoyait alors un total de 35 000 morts. Depuis, il ne communique plus ses prévisions. « L’épidémie va être longue, a-t-il dit le 7 août. Il est possible qu’elle dure jusqu’en octobre, peut-être novembre, avec des résurgences épidémiologiques à prévoir jusqu’en avril 2021. »

Les experts mexicains critiquent l’absence de dépistage massif : « Cela revient à gérer la crise à l’aveuglette, déplore Samuel Ponce de Leon, spécialistes des maladies infectieuses à l’Université autonome du Mexique (UNAM) et coordinateur de la Commission de l’UNAM consacrée au Covid-19. Sans parler de la faible traçabilité des contacts des malades qui permettrait de bloquer davantage la chaîne de contagions. »

« Etat d’alerte »

Le Venezuela, lui, ne réalise pratiquement aucune analyse, faute de matériel. Les hôpitaux ne testent pas les patients décédés même si le personnel soignant soupçonne qu’ils sont morts du Covid-19. Seuls deux laboratoires et une unité mobile sont autorisés à effectuer des tests. L’opposition estime que le nombre réel de morts est deux fois plus important que celui reconnu par le gouvernement de Nicolas Maduro, qui en admettait 259 au 13 août.

« Même les chiffres officiels, dont tout le monde sait qu’ils sont sous-estimés, montrent une nette progression de la maladie », souligne un médecin de l’hôpital de San Cristobal, dans l’ouest du pays. Dimanche 9 août, le président Maduro a prorogé pour trente jours l’« état d’alerte » instauré en mars pour faire face à la pandémie et il a maintenu le système dit « sept sur sept » adopté en juillet : une semaine de strict confinement est suivie d’une semaine de relâchement « surveillé ». L’inquiétude, elle, ne se relâche pas.

Autre source d’inquiétude majeure pointée par Carissa Etienne, de l’OPS, mardi 11 août, lors d’un point presse en ligne : la propagation du coronavirus en Amérique latine augmente les risques de maladies transmises par les moustiques, comme la dengue ou la malaria, qui ont « un impact disproportionné sur les populations pauvres et vulnérables », en particulier sur les communautés indigènes.

« Alors que nous étions en train de parvenir à des résultats significatifs dans la lutte contre les maladies tropicales telles que la filariose ou la bilharziose, la pandémie a interrompu les campagnes de distribution massive de médicaments », a-t-elle regretté, égrainant les autres problèmes sanitaires engendrés par la crise du coronavirus : « 80 % des pays de la région ont rapporté des difficultés pour la délivrance des traitements contre la tuberculose ; 30 % des personnes séropositives au VIH ne consultent plus de médecins ; le dépistage des hépatites est rendu difficile dans un tiers des pays… Des patients meurent de ne pas avoir accès à leurs traitements de maladies chroniques. »

Au Venezuela, le chef de l’exécutif de Caracas meurt du Covid-19. Dario Vivas, qui représente le gouvernement national dans la capitale vénézuélienne, est décédé, jeudi, à l’âge de 70 ans, près d’un mois après avoir été testé positif. « Il est mort en combattant (…), en prenant soin de notre santé et de notre vie à nous tous dans cette dure bataille conte la pandémie », a déclaré la vice-présidente vénézuélienne, Delcy Rodriguez. Plusieurs hauts dirigeants proches du président, Nicolas Maduro, ont annoncé ces dernières semaines avoir contracté le virus, mais M. Vivas est le premier dirigeant proche du gouvernement à décéder après avoir été contaminé par le Covid-19.

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15 août 2020

LIBAN

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15 août 2020

Auray - Visite guidée du quartier de la gare ce jour à Auray

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Le service patrimoine de la Ville d’Auray propose une visite guidée du quartier de la gare à travers son architecture et son histoire, ce samedi 15 août, à 14 h 30.

Céramiques colorées, enduits de façades roses, mosaïques rouges, vitraux bleus… Le quartier de la gare est le reflet d’une nouvelle architecture des années 1920 et représente une entité à part de la ville d’Auray, rythmée par le chemin de fer. Venez explorer ce quartier à la découverte des couleurs et des matières qui le composent.

Pratique

Samedi 15 août, à 14 h 30. Rendez-vous place Raoul-Dautry (devant l’entrée de la gare). Tarifs : 5 €, gratuit moins de 12 ans. Renseignements : tél. 02 97 24 18 32.

15 août 2020

Laetitia Casta

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15 août 2020

Étel - La bénédiction de la mer, tradition ancrée à Etel

Jusqu’à son désarmement de la SNSM en 2004, le canot « Patron-Emile-Daniel » était le bateau-amiral des bénédictions ; depuis, il les accompagne en place d’honneur. Samedi, il apparaîtra rénové à neuf.

La bénédiction de la mer se tiendra à Etel samedi 15 août. Une tradition qui revêt une dimension particulière dans ce port à l’histoire maritime chargée.

Bien ancrée dans beaucoup de ports de pêche, la bénédiction de la mer revêt une dimension particulière à Etel. Si l’ancien port thonier est désormais tourné vers la plaisance, son histoire est riche (et parfois chargée, aussi), sa position reste importante avec le Crossa, qui coordonne les opérations de secours en Atlantique, sa station SNSM, une des plus anciennes, son ancien canot et son abri, tous deux classés, et la caisse de secours des marins et péris en mer. Et le pays d’Etel compte toujours de nombreux gens de mer, attachés à leur identité.

Traditionnellement, la bénédiction de la mer est doublée du souvenir des victimes du drame Bombard, le 3 octobre 1958, et de toutes les autres happées par la barre d’Etel.

Avant les campagnes de pêche

Désormais, cette bénédiction est amarrée au pardon de Notre-Dame des Flots, le 15 août. Autrefois, elle avait lieu avant la grande partance pour les campagnes de pêche, le jour de la Fête-Dieu (sul ar Sakramant). Après les vêpres, la procession s’élançait depuis l’église jusqu’au port, avec bannières, ex-votos, statue de Sainte-Anne, etc. Là, une estrade était dressée pour l’adoration du Saint-Sacrement. Suivait la bénédiction des bateaux à quai et de leurs équipages, un à un. Puis le célébrant embarquait sur le canot de sauvetage pavoisé pour la bénédiction des bateaux au mouillage.

Une édition adaptée

Cette année, le contexte sanitaire impose un déroulé adapté. « On a vu avec les personnes de la paroisse et le maire. La messe aura lieu sous la criée à 10 h 30 mais avec un nombre de participants réduit et tous les gestes barrière. Ensuite, on fera une petite procession jusqu’aux bateaux. On embarquera en nombre réduit, sept maxi, pour la bénédiction », précise le P. Syrinus, recteur. L’après-midi, la kermesse habituelle n’aura pas lieu.

Pratique

Samedi 15 août, messe : 10 h 30 ; bénédiction : vers 12 h.

15 août 2020

Trump donne trois mois à la Chine pour se séparer de TikTok aux États-Unis.

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Donald Trump a finalement mis sa menace à exécution en signant vendredi un décret obligeant le groupe chinois ByteDance à vendre les activités américaines de TikTok sous 90 jours, rapporte CNBC. “Il y a des preuves crédibles qui me laissent penser que ByteDance […] pourrait prendre des mesures qui menacent de nuire à la sécurité nationale des États-Unis”, écrit le président américain dans son décret. ByteDance, en négociations avancées avec Microsoft pour céder la filiale américaine de son application de vidéos, devra par ailleurs s’engager à détruire toutes les données d’utilisateurs américains, obtenues ou dérivées de TikTok, selon le décret.

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